Michelle Obama : son mari fait fondre les internautes avec son message d’anniversaire

Sur les réseaux sociaux, Barack Obama a tenu à célébrer, d’une jolie façon, l’anniversaire de son épouse. Ce 17 janvier, Michelle Obama fêtait en effet ses 57 ans.

Chaque moment avec toi est une bénédiction. C’est par ces quelques mots que Barack Obama a tenu à célébrer, ce 17 janvier, le 57ème anniversaire de son épouse, Michelle Obama. Sur les réseaux sociaux, l’ancien président des Etats-Unis, jamais timide sur sa femme, a célébré celle qui partage sa vie depuis plus de 30 ans. Joyeux anniversaire à mon amour, ma partenaire et ma meilleure amie, a-t-il écrit. Et d’ajouter : “Je t’aime Miche”. En plus de ces jolis commentaires, l’ex-chef d’Etat américain a partagé un cliché de Michelle Obama, pris dans les années 1990.

La démarche a semble-t-il plu aux internautes, qui ont été nombreux à fêter l’anniversaire de l’ex-First Lady. “Vous nous manquez tellement, tellement !”, Je vous souhaite le meilleur”, Vous êtes tous les deux esprits les plus brillants que le monde ait eu le plaisir de porter”, ont commenté des fans, visiblement sous le charme. Les actrices Viola Davis et Regina King et l’animatrice Ellen DeGeneres ont également célébré l’ancienne avocate.

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“Merci d’être là pour nous guider”

Portée aux nues par Hollywood, Michelle Obama a également reçu des messages de grandes figures politiques et d’institutions. “Merci d’avoir consacré chaque once de vous-même à la montée en autonomie de la prochaine génération de dirigeants. Notre pays et moi-même allons mieux grâce à vous, a notamment écrit Kamala Harris, la vice-présidente des Etats-Unis. De son côté, l’ONU Femmes a tenu à remercier l’activiste : “Joyeux anniversaire Michelle Obama ! Merci d’être là pour nous guider, nous inspirer et nous motiver !

Véritable icône outre-Atlantique et dans le monde, la mère de Malia et Sasha a publié son autobiographie, Devenir, en 2018, où elle retraçait son quotidien à la Maison-Blanche, mais aussi son enfance à Chicago. Un ouvrage devenu un best-seller dans de nombreux pays.

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Crédits photos : Douliery Olivier/ABACA

ARCHIVES – Jean-Pierre Bacri : « Je n'ai pas peur de la mort, je serai le dernier au courant »

Jean-Pierre Bacri est décédé ce 18 janvier. Il avait 69 ans. Alors que les hommages se succèdent pour lui rendre hommage, redécouvrez sa dernière interview dans Gala en juin 2017. C’était à l’occasion de la sortie du film “Grand Froid” dans lequel Jean-Pierre Bacri jouait un croque-mort en fin de carrière.

Ce lundi 18 janvier, Jean-Pierre Bacri est mort à l’âge de 69 ans des suites d’un cancer, a annoncé son agent à BFMTV. Le comédien, réalisateur et scénariste, qui n’a jamais eu d’enfant, était connu du grand public pour ses rôles de ronchons au cinéma lors de ses quatre décennies de carrière. Tout au long de sa vie, il est resté également très attaché à Agnès Jaoui, avec qui il a formé un couple à la ville et à la scène pendant plus de 25 ans. Il laisse derrière lui des films cultes à l’instar de Cuisine et dépendances ou Un Air de famille. En 2017, Gala le rencontrait pour la sortie de Grand froid.

VEEREN / BESTIMAGE

GALA : Ce film, Grand froid, vous ressemble une fois de plus par son aspect comique grinçant

JEAN-PIERRE BACRI : N’ayant qu’une vie, je ne peux pas en essayer une où je ferais les choses pour les autres. Donc je fais ce qui me plaît. Tant pis si ça paraît répétitif à certains.

GALA : Donc pour vous, rôle de « composition », ça ne veut rien dire ?

JEAN-PIERRE BACRI : Ça n’a aucun intérêt pour moi. Ça voudrait dire quoi “à contre-emploi” ? Jouer les sentimentaux ou les héros ? En effet, ça ne m’inspire que de l’indifférence. Heureusement, je commence à être assez vieux (soixante-six ans, ndlr) pour ne plus avoir ce type de propositions.

“Je ne peux pas vivre sans humour”

GALA : Donc vous restez dans le registre du « mec bougon » comme on se plaît à vous définir ?

JEAN-PIERRE BACRI : Moi, bougon ? Ça ne me définit pas du tout ! Je passe mon temps à rire! Allez voir mes amis, ils vous diront qu’ils rigolent avec moi. Tout ça n’est qu’une invention. Je ne peux pas vivre sans humour.

GALA : Votre personnage, Georges, s’inquiète beaucoup de sa fin de vie. Contrairement à vous ?

JEAN-PIERRE BACRI : Je n’ai pas peur de la mort puisque je serai le dernier au courant. Ce sont les autres qui diront : “T’as vu, Bacri est mort”. Moi, je m’en fous, je ne serai plus là. Je ne pourrai pas partager leur tristesse. La mort elle-même est le point final du contrat qu’on a tous signé avec la vie. À un moment, ça s’arrête. Il faut faire de la place aux autres.

GALA : Avez-vous, comme Georges, réfléchi à votre épitaphe ?

JEAN-PIERRE BACRI : Je veux me faire incinérer donc il n’y en aura pas. Mais le plus grand compliment qu’on pourrait me faire serait : “C’était un homme libre”. L’indépendance d’esprit, c’est la plus grande qualité.

“Je voudrais qu’il sache qu’on l’aime”

GALA : Qu’aimeriez-vous laisser, à la fin ?

JEAN-PIERRE BACRI : Je préfère penser au présent. Sauf quand il s’agit de Molière dont je viens de jouer Les Femmes savantes. Là, je me dis : “C’est dommage, il n’a jamais su que trois siècles plus tard, il ferait hurler de rire le public.” Je voudrais qu’il sache qu’on l’aime.

GALA : Il a quand même connu le succès de son vivant…

JEAN-PIERRE BACRI : Oui, c’est bien le succès. Être aimé, fêté. Même si ce n’est que vanité, c’est flatteur.

GALA : C’est ça qui vous donne envie de continuer à créer ?

JEAN-PIERRE BACRI : Je ne pourrais pas faire autre chose. Et puis écrire avec Agnès, c’est une bénédiction.

GALA : On parlera encore du duo Bacri-Jaoui dans quatre cents ans ?

JEAN-PIERRE BACRI : Je n’en sais fichtrement rien, et encore une fois : on s’en fout. Déjà on en parle maintenant. Ça fait super plaisir.

“Le bonheur, ça ne veut rien dire”

GALA : C’est ce qui vous rend heureux ?

JEAN-PIERRE BACRI : Ça et ma vie de tous les jours. Le bonheur, ça ne veut rien dire, il y a des moments où l’on a mal aux dents, et là, on ne peut pas dire « je suis très heureux », on dit plutôt, « je voudrais qu’on m’arrache la tête ». C’est stupide de parler de bonheur. Quand on ne me fait pas chier, oui, je suis heureux.

GALA : Il paraît que vous détestez vous voir…

JEAN-PIERRE BACRI : C’est vrai. J’aimerais voir Cary Grant à l’écran et je me vois moi. C’est quand même le grand écart ! Et ça ne se règle pas du tout avec les années. C’est pour ça qu’il ne faut pas s’emmerder à se regarder, il vaut mieux attendre les opinions positives des proches !

GALA : Et les critiques négatives, vous prenez ?

JEAN-PIERRE BACRI : Je n’ai pas envie de lire des choses désagréables. Avec Agnès, on a décidé ça à la sortie de On connaît la chanson, il y a vingt ans. Le mec des Cahiers du cinéma avait écrit : “Je préférerai toujours les problèmes de masturbation d’un adolescent de quinze ans à ce genre de film”… Je me suis dit alors : “Je vais arrêter de lire ces connards”.

GALA : Je peux donc écrire ce que je veux dans cette interview ?

JEAN-PIERRE BACRI : Vous pouvez écrire les pires insanités sur moi, la prochaine fois qu’on se croise, je vous dirai gentiment bonjour.

PROPOS RECUEILLIS PAR CAMILLE CHOTEAU

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Pierre Perusseau / Bestimage

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VIDEO – « On marche sur la tête ! » : chez Pascal Praud, Olivier Véran en prend pour son grade

Alors que la France vit dans l’angoisse d’un nouveau confinement, Olivier Véran est plus que jamais attendu au tournant. Acculé, le ministre de la Santé en a, une fois n’est pas coutume, pris pour son grade sur le plateau de L’heure des pros ce mercredi 20 janvier.

Invitée au micro de RTL ce mercredi 20 janvier, Brigitte Macron a évoqué la colère des Français. Une colère légitime d’après la Première dame du fait d’un “quotidien extrêmement difficile“. Des propos qui n’ont pas manqué de faire réagir les chroniqueurs de L’heure des pros sur CNEWS qui s’en sont une nouvelle fois pris à Olivier Véran.

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Alors que le ministre de la Santé ne fait pas de mystère autour de l’éventualité d’un troisième confinement si la situation sanitaire venait à s’aggraver, l’avocat Alain Jakubowicz est monté au créneau, rappelant que “la santé mentale fait partie de la santé“. Et de détailler son propos : “nous sommes des êtres sociaux, on ne peut pas vivre en dehors de la société, les enfants doivent être scolarisés, on ne peut pas vivre uniquement en travaillant, en rentrant chez soi faire à manger. On a besoin de culture, on a besoin de sport (…) On marche littéralement sur la tête. Une tirade qui n’a pas manqué de faire réagir Pascal Praud qui a pointé du doigt le principal responsable de cette situation selon lui, Olivier Véran.

Il nous prend pour des…”

Depuis plusieurs mois maintenant, le compagnon de Coralie Dubost est fréquemment pris pour cible par le présentateur phare de CNEWS qui n’hésite pas à mettre en doute sa sincérité. “Nous, on fait des erreurs, parfois moi je dis des bêtises à la télévision ça m’arrive (…) eux jamais“, s’agaçait encore récemment Pascal Praud, qui considère que les hommes politiques “revisitent et réécrivent leurs bêtises“.

Et d’évoquer Olivier Véran, que le journaliste ne porte pas dans son cœur : il nous prend pour des… vraiment c’est ça qui est insupportable ! (…) le problème c’est qu’ils n’ont pas été bons sur les masques, ils ne sont pas très bons sur les tests (…) ils ne sont très bons sur rien… Des attaques dont ne fait que peu de cas le principal intéressé, imperturbable face aux critiques.

Crédits photos : CNEWS

Diana : sa robe de mariée envenime un divorce

Les créateurs de la robe de mariée de Diana sont en plein divorce et s’écharpent au tribunal. La situation s’envenime à cause des croquis des robes de la regrettée princesse qu’ils se disputent.

Le mercredi 29 juillet 1981, le monde entier avait les yeux rivés sur la cathédrale Saint-Paul de Londres et pour cause, le mariage du prince Charles et de Diana était célébré. Ce jour-là, celle qui n’était pas encore la mère de deux magnifiques garçons, William et Harry, convolait avec son prince, malgré des tensions en privé. Dans une magnifique robe en soie en ivoire, le couple s’unissait pour le meilleur et pour le pire. Cette robe a d’ailleurs rendu ses créateurs, David et Elizabeth Emanuel, particulièrement populaires.

Deux couples, une robe, mais un même destin. En 1992, Charles et Diana se séparaient et se déchiraient. Aujourd’hui, ce sont ces mêmes tensions que connaissent David et Elizabeth Emanuel, comme l’indique le Daily Mail. En effet, les créateurs ont divorcé et la robe de Diana se retrouve au coeur de cette séparation. Elizabeth Emanuel, 67 ans, est poursuivie par son ex-mari après avoir mis aux enchères des croquis de plusieurs de leurs créations pour Diana, y compris la robe qu’elle portait pour son mariage. L’homme compte bien empêcher son ex-moitié de vendre les croquis sans son consentement et demande une ordonnance du tribunal l’empêchant de violer à l’avenir son droit d’auteur sur les dessins.

© AGENCE / BESTIMAGEMariage de Charles et Diana en 1981

Un pan de la vie de Diana bientôt brûlé ?

Comme précisé par le site, David Emanuel a demandé à la Haute Cour que les copies de ses croquis soient détruites. Cela concerne donc les croquis de la robe de fiançailles de Diana, d’une robe en soir verte qu’elle portait en 1985, d’une robe sombre et argentée enfilée pour la première du film Out Of Africa en 1986 et une création nommée “robe en crêpe blanche” qui habillait la rivale de Camilla lors de la tournée royale des États du Golfe en 1986.

Crédits photos : ALPHA AGENCY / BESTIMAGE

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Olivier Véran agacé : le ministre face au « tir au pigeon »

La stratégie de vaccination mise en place par le gouvernement fait l’objet de nombreuses critiques. Emmanuel Macron, tout comme Jean Castex et Olivier Véran, s’agacent contre les constantes accusations et condamnations dont ils font l’objet.

L’exécutif en a marre et le fait savoir. Alors que la stratégie de vaccination initiée par le gouvernement est critiquée de toutes parts, Emmanuel Macron a fait part de sa colère ce jeudi 21 janvier, lors d’une déplacement à l’université de Saclay. Comme le rapportent nos confrères de l’Opinion, le chef de l’Etat a dénoncé “la traque incessante de l’erreur”, fustigeant une France “devenue une nation de 66 millions de procureurs“. Une sortie vivement critiquée par Thomas Sotto, qui a également provoqué la colère de l’opposition.

Suivant la ligne du président de la République, les membres du gouvernement semblent s’être passés le mot. A l’Assemblée nationale, Olivier Véran, très caustique en privé, s’en est pris aux députés ce mercredi 20 janvier, les accusant avec sévérité de se livrer “au tir au pigeon” avant d’ajouter, agacé : “ça commence à se voir, cette espèce d’outrance permanente“. Déjà le 5 janvier dernier, face aux critiques sur la lenteur de la campagne de vaccination, Jean Castex, avait tenté de balayer d’un revers de main “ces polémiques stériles” qui “n’ont jamais sauvé une vie”.

© Eliot Blondet / Pool / BestimageOlivier Véran et Jean Castex en première ligne face à la crise sanitaire

A couteaux tirés

Bien décidés à ne pas se laisser polluer par les critiques, l’exécutif tente de faire front, quitte à refuser toute objection ? Olivier Véran, qui a le cuir épais comme le confie son entourage, et Jean Castex, habitué à avaler des couleuvres, tentent de poursuivre tant bien que mal leurs missions, et optent pour l’offensive. Tous le savent, personne n’a droit à l’erreur. La réélection d’Emmanuel Macron en 2022 en dépend.

Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

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Tomy, le pêcheur sexy de France 2, attire l'oeil de Jean Castex

Le pêcheur breton qui avait marqué les esprits en se montrant torse nu a été remis en lumière par le Premier ministre, Jean Castex, à l’occasion du Comité interministériel de la mer qui se tient le 22 janvier au Havre.

Sa carrure avait marqué les téléspectateurs de France 2. Le 19 décembre, l’émission 13h15 le samedi consacrait un reportage à la pêche durable, dans lequel apparaissait Tomy Journaux. Cet éleveur de coquilles Saint-Jacques qui travaille torse nu avait charmé le public et les réseaux sociaux. Le 22 janvier, le Comité interministériel de la mer (CIMer) est l’occasion de remettre en avant ce pêcheur.

Alors que le CIMer se tient au Havre, le Premier ministre, Jean Castex, a republié ce reportage sur Twitter. Le locataire de Matignon se félicite du « récent engouement suscité par la pêche durable » et précise que « 600 projets sont actuellement à l’étude » pour promouvoir la préservation du littoral et le rayonnement des métiers de la mer.

Le battage médiatique qui a entouré Tomy Journaux bien malgré lui n’aura finalement pas été vain. Le 8 janvier dernier, il était invité à rencontrer la ministre de la Mer, Annick Girardin, en déplacement à Saint-Malo Grâce à sa récente célébrité, le « pêcheur sexy » a pu plaider pour la défense de son métier face aux répercussions du Brexit.

Si la France s’est prise de passion pour les coquilles Saint-Jacques et le physique de Tomy Journaux, celui-ci n’a pas répondu aux nombreuses internautes ensorcelées par ses pectoraux et sa moustache. Dans un entretien accordé à France Bleu le 23 décembre, il avait fait savoir que son cœur était déjà pris : « Je n’ai pas besoin de prétendante. J’ai une vie sérieuse avec une petite femme superbe ». Il avait cependant confié espérer que ce gain de notoriété apporterait un « boost » à son activité. Et Jean Castex n’a pas rechigné à lui donner un petit coup de pouce pour 2021.

Crédits photos : Capture France 2

Christophe Beaugrand : ces nouvelles photos trop craquantes de son fils Valentin

Christophe Beaugrand est très fier de son fils Valentin, 1 an. Ce bonheur immense, le père de famille le partage avec son mari Ghislain Gerin, mais aussi avec le public. En story Instagram, il a posté deux photos de leur petit garçon ce dimanche 24 janvier.

Le 9 novembre 2019, tout a changé pour Christophe Beaugrand avec l’arrivée dans sa vie de Valentin, son fils né d’une GPA à Las Vegas, aux États-Unis. « Ghislain Gerin et moi, tes papas, on se demande ce qu’on faisait quand tu n’étais pas là. Tu pousses à une vitesse ahurissante ! Chaque jour une nouvelle prouesse, un nouveau progrès. Tu nous étonnes à chaque seconde », avait écrit l’animateur de TF1 sur son compte Instagram en novembre dernier, à l’occasion du premier anniversaire du petit garçon. Ce week-end, Christophe Beaugrand a tenu à partager avec ses fans une nouvelle « prouesse » de son fils. Valentin a, en effet, grimpé l’escalier. Une belle ascension que le journaliste qui officie aussi sur LCI a immortalisé et partagé en story sur Instagram ce dimanche 24 janvier.

L’enfant apparaît de dos, habillé d’un haut bleu et d’un jean. « Attention ! Bébé grimpe l’escalier… », a écrit Christophe Beaugrand, visiblement pas rassuré par cette nouvelle aventure. « Va-t-il arriver en haut ??? », s’interroge-t-il sur une autre photo où Valentin apparaît presque debout, entre deux marches. Face à lui, son papa a ajouté le personnage de Bob l’éponge, assis sur l’une des marches, visiblement effrayé. Mais Christophe Beaugrand peut se rassurer. Son fils semble avoir les mains bien posées pour s’appuyer. Et en cas de souci, le journaliste de 44 ans peut toujours compter sur son mari Ghislain pour l’épauler.

Story Instagram Christophe Beaugrand
Story Instagram Christophe Beaugrand

« La plus belle chose qui me soit jamais arrivée »

À seulement un an et quelques mois, Valentin se débrouille déjà comme un grand. Petit à petit, il apprend, mais c’est surtout lui qui donne une leçon de vie à ses parents, inconsciemment. « Ce n’est pas toi qui apprends à nos côtés, c’est le contraire, tu nous donnes tant de leçons, tu nous apprends tant. Valentin tu es la chose la plus extraordinaire, la plus belle, la plus précieuse qui me soit jamais arrivée. N’oublie jamais que nous t’aimons de toutes nos forces et que nous serons toujours là pour toi. Te guider, t’accompagner, te rendre heureux », avait écrit Christophe Beaugrand à l’occasion du premier anniversaire de son fils.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

Crédits photos : Denis Guignebourg / Bestimage

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Le saviez-vous ? Ivanka Trump a fait affaire avec Julio Iglesias

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D’après les révélations de Paris Match, Ivanka Trump a acheté un terrain dans une zone résidentielle sur l’Indian Creek, une île très sécurisée. Auparavant, il appartenait au chanteur Julio Iglesias.

Entre luxe, calme et discrétion, Donald et Melania Trump ont commencé leur nouvelle vie à Palm Beach. Leur cadre de vie idyllique ferait de l’œil aux deux enfants du magnat de l’immobilier, comme l’ont relaté nos confrères de Paris Match, ce dimanche 24 janvier. Soucieuse de se rapprocher de son père, Ivanka aurait en effet acquis quelque 7 500 mètres carrés, pour la modique somme de 32 millions dollars (près de 25 millions d’euros) sur l’île exclusive d’Indian Creek, surnommé le “bunker à milliardaires” de la baie de Miami. Ce terrain, situé à une heure du célèbre club privé, lui a été vendu par le chanteur espagnol Julio Iglesias, en décembre dernier.

L’achat d’Ivanka Trump, installée dans une copropriété de luxe de Miami au cœur de The Arte le temps des travaux de sa future demeure, ne relève pas du hasard. D’abord, la maman d’Arabella Rose, Joseph Frederick et Theodore James rêvait de s’installer dans la région.Les Kushner cherchent à acheter une propriété en Floride depuis un certain temps, et maintiendront également leur maison à New York”, confiait une source à Page Six, le 7 décembre dernier. Mais en plus, l’ancienne conseillère à la Maison-Blanche aurait l’intention de se présenter aux prochaines élections sénatoriales en Floride. Quant à son frère aîné, Donald Junior aimerait investir à Jupiter, une ville située dans le comté de Palm Beach. L’homme d’affaires de 43 ans aurait d’ailleurs déjà été séduit par une maison.

Proches, mais pas trop

Néanmoins, le frère et la sœur n’ont pas daigné rejoindre le patriarche de la famille Trump. N’avaient-ils pas envie de poser leurs bagages dans son fief de Mar-a-Lago ? Comme nous vous le révélions ce vendredi 22 janvier, les enfants de Donald Trump préféreraient la discrétion. D’autant que la présence de l’ancien président ne serait pas appréciée de tous dans le domaine. Le milliardaire Nelson Peltz, figure emblématique du coin, ne se remettrait pas de l’insurrection du Capitole. Je regrette d’avoir voté pour lui. J’avais honte d’être américain ce jour-là”, a-t-il déclaré à Paris Match. Alors qu’ils vivront désormais à une heure de route du magnat de l’immobilier, essayeraient-ils de redorer leur image loin de celui qui a connu une fin de mandat chaotique ?

Article écrit avec la collaboration de l’agence 6Medias

Crédits photos : Imago / Panoramic / Bestimage

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VIDÉO – Thomas Hugues et son ex Laurence Ferrari, stars de TF1 : « On faisait partie des 5% des Français qui gagnent le mieux leur vie »

Dans L’Instant de Luxe sur Non Stop People, Thomas Hugues a confié qu’à l’époque où il était sur TF1, il « gagnait très bien sa vie », comme son ex-femme Laurence Ferrari.

Invité de L’Instant de Luxe ce mardi 26 janvier, Thomas Hugues a évoqué son ex-femme Laurence Ferrari, ses enfants, et n’a pas pu échapper à la désormais célèbre case argent de l’émission de Non Stop People. Au début des années 2000, le journaliste était le joker de Patrick Poivre d’Arvor au 20 Heures de TF1. « Franchement, je ne peux pas répondre à la question. Mais je gagnais très bien ma vie à TF1. On était deux (NDLR : avec Laurence Ferrari) à très bien gagner notre vie », a reconnu Thomas Hugues. « C’est une époque où on a pu mettre de l’argent de côté, acheter une belle maison. On faisait partie des 5% de Français qui gagnaient le mieux leur vie, très clairement », a admis l’ancien présentateur de Sept à huit.

« On ne saura pas si c’était plus ou moins que Jacques Legros », a regretté, visiblement déçu, l’animateur de l’émission de Non Stop People Jordan de Luxe. En décembre 2019, dans le même programme, le joker du 13 Heures de TF1, avait confié remporter « 2 000 euros par JT ». Par la suite, il avait expliqué qu’il s’était senti « piégé ». Thomas Hugues estime que la situation n’est pas comparable. « Je ne peux pas répondre à la question parce que je ne calculais pas au JT parce que j’étais salarié à TF1 », a précisé celui qui a rappelé qu’il était « en CDI ». Au moment d’évoquer son salaire mensuel, le journaliste a joué l’amnésie. « Je ne me souviens plus de ce que je gagnais, c’était en francs, c’est trop compliqué », a répondu avec humour le journaliste qui a quitté TF1 en 2006, plus de quatre ans après le passage à l’euro.

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© Guillaume Gaffiot/BestimageThomas Hugues et Laurence Ferrari le 13 mars 2006

Son salaire sur France 5

Thomas Hugues s’est montré plus bavard au sujet de son passage sur France 5 entre 2008 et 2016. « À l’époque de ‘Médias le mag’ par exemple, c’est une émission hebdomadaire, je gagnais 3 000 euros par émission. Ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui », a confié celui qui présente depuis septembre dernier l’émission Smart Impact sur la chaîne d’information économique B Smart TV. « J’ai les yeux qui brillent quand je me souviens de cette époque », a ironisé dans L’Instant de Luxe Thomas Hugues.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

Crédits photos : Capture Non Stop People

« Qu'est-ce que je peux faire de plus ? » : Jean Castex ému face à la détresse des étudiants

Après avoir partagé sur les réseaux sociaux une vidéo pour alerter sur la détresse des étudiants depuis le début de la crise sanitaire, le vidéaste Gaspard Guermonprez a été contacté par Jean Castex en personne. Dans son appel, le Premier ministre s’est montré “très ému” par le mal-être étudiant.

C’est un sujet qui touche de plus en plus de jeunes. Afin d’alerter sur la détresse des étudiants, dont la situation a empiré depuis le début de la crise sanitaire, le vidéaste et YouTubeur Gaspard Guermonprez a décidé d’interpeller l’opinion publique sur cette question. Dans une récente vidéo postée sur Instagram, ce diplômé de HEC Montréal s’est fait le relais de plusieurs témoignages. Visionnée plus de deux millions de fois, elle n’a pas non plus échappé à l’entourage du Premier ministre, qui a encouragé Jean Castex à contacter le jeune homme pour échanger avec lui sur le sort des étudiants. Gaspard Guermonprez, qui tenait à faire preuve d’une “totale transparence”, a filmé et partagé sa conversation avec le chef du gouvernement sur les réseaux sociaux.

Lors de cet entretien téléphonique, qui a eu lieu ce mardi 26 janvier, le locataire de Matignon s’est dit “ému” face au mal-être étudiant : “J’ai regardé ta vidéo et je voulais te dire qu’elle m’a beaucoup ému. Je pense qu’elle résume une situation qui est effectivement difficile même si je te prie de croire que je me débats pour l’améliorer“, a souligné Jean Castex, avant de rappeler que le gouvernement était au travail : “Ce qui m’intéresse au-delà du diagnostic, c’est d’essayer d’agir. On a pris (…) toute une série de mesures. On avait commencé à en prendre en décembre, on les a amplifiées courant janvier. Qu’est-ce que je peux faire de plus et de mieux pour aider ?“, s’est interrogé le successeur d’Édouard Philippe, qui a rappelé qu’il était “là pour agir.”

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Vers une “exception” pour les étudiants en cas de reconfinement ?

S’il n’a pas exclu qu’un troisième confinement pouvait être mis en place prochainement, Jean Castex a expliqué à son interlocuteur que les étudiants pourraient bénéficier d’une dérogation, afin de pouvoir revenir en cours une journée par semaine, comme cela avait été annoncé par le président de la République : “Même quand on est confiné, on a pu parfois, prévoir un certain nombre d’exceptions. Là aussi, est-ce que compte tenu de la réalité des étudiants, on les fait entrer dans les exceptions ? À quel moment ? Ces questions restent ouvertes”, a assuré le Premier ministre.

Si ce dernier a fait preuve de “prudence” sur la question, son entourage a précisé à nos confrères de BFMTV que rien n’était encore décidé : “Il est sensible à la question étudiante. Et donc oui, envisager des dérogations est une option qui n’est pas écartée. Mais rien n’est tranché pour le moment.Suite à cette discussion avec Jean Castex, Gaspard, comme bon nombre d’étudiants, attend “un signal fort” de la part du gouvernement.

Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

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