Les retraitées qui se fixent des objectifs préviendraient leur déclin cognitif

L’engagement envers ses objectifs personnels pourrait permettre aux femmes retraitées de faire reculer leur risque de déclin cognitif, à en croire une nouvelle étude américaine.

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  1. “Toutes les personnes à la retraite ne font pas face à un risque accru de déclin cognitif”

Ces recherches, menées à l’Université du North Dakota State, ont pris en compte 732 participants sondés dans le cadre d’une plus vaste étude qui s’intéresse aux facteurs qui influent sur la santé lorsqu’on prend de l’âge. Les scientifiques ont analysé les données pour identifier des différences de fonctionnement cognitif entre les adultes à la retraite et ceux qui avaient choisi de continuer à travailler au-delà de l’âge de la retraite.Ils ont analysé le niveau de “désengagement envers les objectifs” des participants, lorsque les personnes abaissent leurs ambitions et leur engagement envers leurs objectifs personnels. Pour ce faire, les chercheurs leur ont demandé d’évaluer à quel point ils étaient en accord avec les affirmations suivantes : “Pour éviter d’être déçu, je ne me fixe pas d’objectifs trop ambitieux”, et “Je suis soulagée lorsque je relâche certaines de mes responsabilités” sur une échelle de un à quatre.Les scientifiques ont par ailleurs testé les fonctions cognitives de base des participants, telles que la mémoire, les raisonnements et la vitesse de traitement des informations.“Toutes les personnes à la retraite ne font pas face à un risque accru de déclin cognitif”Leurs résultats, relayés par la revue 

Psychology and Aging, ont montré que les femmes à la retraite qui étaient indifférentes à leurs objectifs affichaient un déclin du fonctionnement cognitif plus abrupt que les femmes qui continuaient à travailler. En revanche, que les hommes continuent à travailler ou qu’ils soient à la retraite, le fait d’être indifférents à leurs objectifs ne semblait pas affecter leur santé cognitive. Les chercheurs notent que le fait de bénéficier d’un statut socio-économique plus élevé pourrait avoir protégé les hommes d’un déclin précoce.“Cette étude soulève la question de savoir comment les différences individuelles de motivation et le genre jouent un rôle dans le déclin cognitif et elle montre l’importance potentielle de continuer à s’adonner à des activités mentalement stimulantes à la retraite”, a expliqué le principal auteur, Jeremy Hamm. “Cela pourrait représenter un défi significatif pour les personnes qui ont tendance à abandonner leurs objectifs lorsqu’ils rencontrent des obstacles et des déconvenues.”Leurs résultats viennent étayer de précédentes recherches qui avaient montré que le passage à la retraite était associé à un risque accru du déclin cognitif, mais peu de données existent sur les facteurs de motivation qui pourraient rendre une personne plus susceptible de souffrir d’un tel déclin, précise le professeur Hamm.“Nos résultats montrent que toutes les personnes à la retraite ne font pas face à un risque accru de déclin cognitif. La retraite offre de nombreuses opportunités d’activités mentalement stimulantes, comme la lecture ou les jeux de mots”, précise-t-il, tout en soulignant que la motivation personnelle joue un rôle important à cet âge de la vie.Click Here: new zealand rugby team jerseys

Coronavirus : La Poste maintient ses activités "essentielles"

La Poste maintient ses activités "essentielles à la population" face à la propagation du coronavirus, a-t-elle annoncé lundi, la majeure partie des facteurs assurant la distribution du courrier tandis que certains bureaux de poste restent ouverts au public.

La Poste maintient ses activités "essentielles à la population" face à la propagation du coronavirus.

La Poste “maintient (…) la continuité de ses activités essentielles à la population, dans le respect absolu de la santé de ses collaborateurs et de ses clients“, a déclaré le groupe public dans un communiqué.Le gouvernement a ordonné ce week-end la fermeture des lieux publics qui ne sont pas jugés indispensables, dont notamment les restaurants et les cafés, face à la propagation du coronavirus.”Mais les activités essentielles à la vie du pays continuent“, souligne la Poste qui précise que 80% des facteurs assurent la distribution du courrier.En matière de tri postal, la situation est habituelle car “l’appareil industriel de la Poste fonctionne normalement“, a-t-elle précisé.En revanche, l’accueil du public est nettement restreint même s’il continue à être assuré : sur les 17.000 “points de contact” du groupe, “1.000 bureaux de poste seront (…) ouverts ce lundi à partir de 11H00“, est-il indiqué, sans préciser la répartition géographique.”En fonction de l’évolution de la situation sanitaire et de l’absentéisme des équipes, des ajustements seront réalisés au jour le jour et les modalités de continuité opérationnelle seront communiquées dans les meilleurs délais“, conclut la Poste.Face à l’accélération de l’épidémie, qui alimente les rumeurs de confinement total du pays, le président Emmanuel Macron doit s’adresser aux Français lundi à 20H00.Le bilan de l’épidémie a grimpé. Le 16 mars, la France compte 1210 cas supplémentaires, et 21 nouveaux décès en 24 heures. Le bilan total en France est de 6636 cas détectés, et 148 décès dans le pays, qui est officiellement entré samedi dans le stade 3 de l’épidémie.

Le coronavirus commence à affecter la vie quotidienne des Français

Salon de l’agriculture écourté, semi-marathon de Paris reporté, fermeture d’établissements scolaires dans l’Oise: la France cherche à freiner la propagation du nouveau coronavirus sur son territoire avec des mesures spectaculaires qui ont des effets concrets sur la vie quotidienne.

L’Hexagone a franchi samedi soir le seuil symbolique des 100 cas depuis la fin du mois de janvier, devenant le deuxième foyer du coronavirus en Europe après l’Italie. Sur ces 100 personnes, 12 sont guéries, 2 sont mortes et 86 hospitalisées, dont 9 dans un état grave, a énuméré le numéro deux du ministère de la Santé Jérôme Salomon.”Il faut (…) ralentir la propagation du virus et protéger les zones non ou peu touchées” en réduisant les contacts avec celles où le virus circule, a-t-il souligné. Pour cela, “tous les rassemblements de plus de 5.000 personnes en milieu confiné seront annulés“, a indiqué le ministre de la Santé Olivier Véran, qui exclut à ce stade l’annulation des élections municipales prévues les 15 et 22 mars.Egalement annulés, les rassemblements “en milieu ouvert quand ils conduisent à des mélanges avec des populations issues de zones où le virus circule possiblement“. Ces mesures ont été décidées samedi lors d’un Conseil de défense et un Conseil des ministres exceptionnels présidés par Emmanuel Macron. Elles correspondent au passage au stade 2 de l’épidémie, sur une échelle de 3.L’interdiction “touche potentiellement des centaines de salles de spectacles en France de plus de 5.000 places, et donc des milliers d’événements culturels“, a prévenu dans un communiqué le Prodiss (syndicat national du spectacle musical et de variété, qui regroupe les producteurs, diffuseurs, salles et festivals).Le sport est également concerné. Le week-end a ainsi été amputé du semi-marathon de Paris qui aurait dû avoir lieu dimanche. Il rassemble généralement 40.000 participants, et beaucoup de monde en plus sur les trottoirs.Le match du Championnat de France de basket entre Villeurbanne et Monaco prévu dimanche a également été reporté. Pour le moment, les matches de football de L1 ne sont pas remis en cause.Le Salon de l’agriculture, qui figure parmi les plus grands événements commerciaux de France, a fermé ses portes samedi soir avec 24 heures d’avance et n’a pas connu la fréquentation habituelle.En 2019, il avait attiré quelque 630.000 visiteurs, mais cette année, ils n’étaient que 480.221, sur les huit jours qu’a duré le salon, contre neuf l”année précédente. “Le coronavirus y a fortement contribué“, en particulier sur les derniers jours, a déclaré à l’AFP le président du salon, Jean-Luc Poulain.Maire contaminéDes mesures encore plus strictes ont été prises pour les deux principaux foyers de propagation du virus en France, l’Oise (d’où sont issus 36 cas) et la commune de La Balme-de-Sillingy en Haute-Savoie. Dans ce département et cette commune, “tous les rassemblements seront interdits jusqu’à nouvel ordre“.De son côté, le maire de La Balme-de-Sillingy, François Daviet, a annoncé sur Facebook qu’il était lui aussi contaminé et qu’il allait être hospitalisé à Annecy. Selon le point ministériel de samedi soir, neuf personnes sont contaminées à la Balme. Le maire, lui, a fait état de treize contaminations.Dans les cinq communes de l’Oise particulièrement touchées (Creil, Crépy-en-Valois, Vaumoise, Lamorlaye, Lagny-le-Sec) ainsi qu’à la Balme, “nous recommandons aux habitants de limiter leurs déplacements” et “si possible recourir au télétravail“, a précisé M. Véran.Dans l’Oise, l’ensemble des établissements scolaires de l’agglomération de Creil (Creil, Montataire, Nogent-sur-Oise, Villers-Saint-Paul) et des communes de Crépy-en-Valois, Vaumoise, Lagny-le-Sec et Lamorlaye resteront fermés, alors qu’ils auraient dû rouvrir lundi après la fin des vacances d’hiver.A Crépy-en-Valois dimanche matin, les quelque commerçants présents sur le marché ont été évacués par les forces de l’ordre brandissant un arrêt d’interdiction municipal.Outre l’Oise et La Balme, “un voyage organisé en Egypte a été à l’origine de onze cas“, selon le Pr Salomon.En Martinique, au Lamentin, des heurts ont opposé samedi soir des policiers à des manifestants qui réclament des contrôles sanitaires plus stricts de tous les voyageurs arrivant sur l’île.L’un des enjeux des jours à venir sera d’éviter les contaminations parmi le personnel soignant. Ainsi, trois soignants de l’hôpital Tenon à Paris, où est hospitalisé l’un des cas graves recensés dans l’Oise, ont été testés positifs. Si leur état n’inspire pas d’inquiétude, l’hôpital a décidé de “délester” ses urgences.L’autre crainte est que la multiplication des cas de Covid-19 ne pousse dans ses retranchements un système hospitalier déjà mis à rude épreuve.Enfin, des syndicats de médecins libéraux ont réclamé que des masques à haut niveau de protection (dits FFP2) soient distribués d’urgence à ces soignants, qui seront en première ligne si l’épidémie s’intensifie.Click Here: cd universidad catolica

Cancer de la vessie: un test d'urine permettrait une détection précoce

Un simple test d’urine permettrait de détecter des mutations génétiques annonciatrices d’un cancer de la vessie plus de dix ans avant que soit posé le diagnostic, indique jeudi l’agence de l’OMS pour la recherche sur le cancer (CIRC/IARC).

Ce test détecte les mutations du gêne TERT, les plus fréquentes en cas de

cancer de la vessie, précise le CIRC dont le siège est à Lyon.Il pourrait permettre de réduire l’utilisation d’outils invasifs et d’améliorer “significativement” la détection précoce de la maladie, explique le docteur Florence Le Calvez-Kelm, chercheuse au CIRC et une des principales rédactrices de l’étude.Pour mener ses recherches, l’agence a collaboré avec plusieurs partenaires universitaires et notamment l’université des sciences médicales de Téhéran qui disposait d’échantillons d’urine de quelque 50.000 Iraniens.Les résultats ont montré que les

mutations génétiques ont pu être détectées plus de dix ans avant sur 46,7% des échantillons de patients ayant ensuite déclenché un cancer de la vessie.Ces tests pourraient servir à dépister les sujets à haut risque de développer ce

cancer. Ces recherches doivent maintenant être validées par d’autres études.L’étude a été publiée le 17 février dans la revue

EBioMedicine.Click Here: cd universidad catolica

Une étude observe des effets similaires chez les souris entre le bisphénol A et son remplaçant

Une étude sur des souris conclut que le bisphénol S a les mêmes effets de perturbateur endocrinien sur le placenta que la substance qu’elle remplace, le bisphénol A, interdit depuis 2011 en Europe dans les biberons.

L’expérience a été publiée lundi dans la revue scientifique américaine PNAS, et compare trois groupes de souris à qui les chercheurs ont fait ingérer pendant deux semaines de faibles doses de

bisphénol A (BPA), de

bisphénol S (BPS), et de nourriture sans l’un ni l’autre.Puis les chercheurs ont fait féconder les souris, et ont observé les effets sur leur placenta à mi-grossesse.Résultat : les changements de forme du placenta étaient similaires chez les souris BPA et BPS, explique Cheryl Rosenfeld, professeure de sciences biomédicales à l’université du Missouri.En outre, les expressions de 13 gènes étaient modifiées.Et troisièmement, les régimes BPA et BPS ont chacun provoqué une réduction de la production d’une hormone importante dans le développement du cerveau du fœtus, la

sérotonine, ainsi qu’une augmentation de la production de

dopamine.”Notre inquiétude est que ces changements dans le cerveau et dans le comportement futur soient dus au fait que le placenta ne produise pas des niveaux normaux de ces neurotransmetteurs“, dit la chercheuse à l’AFP.Il faudra d’autres études pour établir les conséquences réelles sur les fœtus exposés au bisphénol S.Mais cette étude sur le placenta des souris illustre selon la scientifique qu'”il ne faut pas juste s’intéresser au BPA, il faut examiner tous les produits de substitution“.”Moi je crois que tous les substituts sont aussi mauvais que le BPA“, dit Cheryl Rosenfeld.Les

perturbateurs endocriniens sont des composés chimiques présents dans de nombreux produits de consommation courante notamment en plastique (jouets, tickets de caisse, plastiques, peintures, vêtements, produits phytosanitaires…) qui interfèrent avec le système hormonal.L’utilisation du BPA dans les biberons est interdite dans l’Union européenne depuis juin 2011. En Belgique, en Suède et au Danemark, son utilisation est également interdite dans les autres matériaux qui entrent en contact avec des denrées alimentaires et qui sont destinés aux nourrissons et aux enfants de moins de trois ans. En France, le BPA est interdit dans tous les emballages, conteneurs et ustensiles pour denrées alimentaires, ainsi que, depuis le 1er janvier, dans les tickets de caisse.La France a annoncé en octobre qu’elle lancerait une procédure pour faire classer perturbateur endocrinien un autre remplaçant du BPA, le bisphénol B.Click Here: camisetas de futbol baratas

Hermès lance sa première gamme de maquillage

Sacs, parfums, bijoux et désormais maquillage: la mythique Maison de Luxe Hemrès sort sa première gamme de rouges à lèvres en mars prochain.

Seizième métier de la marque, la Beauté Hermès entre dans le marché des cosmétiques de luxe avec sa gamme de 24 rouges à lèvres. Cette idée, initiée il y a plus de 5 ans en partie par Agnès de Villiers présidente Hermès Parfums et Beauté, a été dévoilée mercredi 5 février. Un travail autant sur la couleur que sur le packaging a été pensé par les directeurs artistiques de la marque. Les rouges à lèvres sont assemblés manuellement dans du métal laqué, poli, noir, blanc ou or permabrass et sont surtout rechargeables ! “J’avais l’intuition que, pour durer, cette proposition devait pouvoir changer, être sans fin… Quelque chose qui reste et quelque chose qui change” explique dans un communiqué Pierre Hardy, directeur de création à l’origine de l’élaboration du packaging. Plus qu’une simple gamme de rouges à lèvresSi la marque offre une collection qui s’avère être emblématique, elle ne compte pas se résigner qu’à des rouges à lèvres. Des accessoires en cuir, des étuis et des miroirs lunes sont également de mises pour cette sortie. A cela s’ajoute un baume pour les lèvres, un brillant à lèvres, un pinceau à lèvres et enfin un crayon pour le contour de lèvres afin d’éviter « que le rouge à lèvre ne dépasse trop » indique Pierre-Alexis Dumas, directeur artistique Hermès.D’autres objets viendront s’ajouter à la collection Beauté Hermès chaque semestre à partir de septembre. En attendant, rendez-vous le 4 mars prochain pour la sortie des 24 lipsticks pour lesquels il faudra compter 62 euros minimum et 40 euros la recharge.Click Here: Putters

Spotify lance les playlists pour animaux de compagnie

Le nouvel outil de création de playlists dévoilé par la plateforme de streaming musical Spotify cible la personnalité unique de votre chien ou chat mélomane.

Pour que les auditeurs continuent à utiliser son service, Spotify propose de nouvelles playlists au contenu unique sélectionné pour chaque individu. En plus d’albums créés automatiquement par la plateforme comme Discover Weekly et Release Radar, le service propose aussi des playlists réalisées avec l’aide de l’utilisateur. Ainsi en novembre dernier, Spotify avait lancé “Soundtrack your Ride”, un outil capable de réaliser des playlists pour un utilisateur adapté à un road trip en fonction des réponses données à une série de questions concernant ce voyage.

L’entreprise vient de dévoiler un outil similaire, afin de concevoir des playlists adaptées aux goûts musicaux de votre animal de compagnie.A en croire Spotify, 71% des personnes possédant un animal de compagnie leur mettent de la musique et 80% des maîtres et maîtresses pensent que leur animal aime la musique, c’est pour cela que la plateforme a dévoilé l’outil Pet Playlists.A l’ouverture de l’outil, les utilisateurs doivent répondre à une série de questions concernant leur animal dont l’espèce — chien, chat, oiseau, hamster ou iguane — et sa personnalité — qu’il soit énergique, timide ou curieux. En fonction de ces réponses et de vos propres goûts musicaux connus de la plateforme, Spotify créera une playlist de 30 morceaux à écouter sans modération par vous et votre animal.Pet Playlists est disponible sur 

spotify.com/pets.

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Les compléments de zinc et d'acide folique n'amélioreraient pas la fécondité masculine

Des scientifiques ont montré que contrairement à la croyance populaire, les compléments de zinc et d’acide folique ne doperaient pas la fertilité de ces messieurs.

Contrairement aux femmes, la prise de compléments alimentaires de zinc et d'acide folique n'augmenterait pas la fécondité des hommes.

Ces recherches, menées au Eunice Kennedy Shriver National Institute of Child Health and Human Development (NICHD) aux Etats-Unis, ont pris en compte 2.370 couples qui prévoyaient de recourir à la procréation assistée.On assigna les hommes de manière aléatoire à des compléments à prendre quotidiennement pendant six mois, ils contenaient 5 milligrammes d’acide folique et 30 milligrammes de zinc, ou bien à un placebo. Les femmes quant à elles devaient répondre à des questionnaires dès le début de l’étude et jusqu’à 18 mois après en vue d’évaluer les cas de grossesse.Leurs résultats, repris par la revue 

JAMA, ont montré qu’il n’y avait pas de différence significative du nombre de naissances entre les hommes qui avaient reçu les compléments (404 naissances, 34%) et ceux du groupe placebo (416 naissances, 35%).Les deux groupes d’hommes affichaient par ailleurs des spermogrammes similaires et des spermatozoïdes de même forme et même motilité (la capacité qu’ont les spermatozoïdes à se déplacer dans l’appareil reproducteur féminin).

En revanche, les scientifiques ont noté une différence entre les deux groupes : ceux qui avaient pris les compléments enregistraient une augmentation significative de fragmentation de l’ADN dans leurs spermatozoïdes par rapport au groupe placebo. Les chercheurs expliquent que de précédentes études avaient montré que la fragmentation de l’ADN pouvait contribuer à la stérilité. De plus, les hommes qui avaient pris les compléments de zinc et d’acide folique rapportaient aussi plus de douleurs abdominales, de nausées, de vomissements et d’autres symptômes gastro-intestinaux que ceux qui avaient reçu un placebo.”C’est un essai important sur les compléments pour la fertilité masculine“, a expliqué James M. Hotaling, co-auteur de l’étude. “Le message pour les hommes est que, pour la première fois, nous disposons de données de bonne qualité montrant que le zinc et l’acide folique n’améliorent pas les chances de grossesse ou des fonctions du sperme“.”Cette vaste étude, bien contrôlée et randomisée, nous montre que (…) le zinc et l’acide folique n’améliorent pas les chances de grossesse et qu’ils peuvent même causer des effets secondaires qui ne sont pas bénéfiques“, a ajouté C. Matthew Peterson, l’un des principaux superviseurs de cette étude. “Il est important que les hommes de tous âges adoptent une alimentation équilibrée pour garder leur fécondité, mais il n’est pas nécessaire de prendre quelque chose en plus pour améliorer la qualité de son sperme“.

Le sperme en 10 questions

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A Sainte-Pazanne, les cas de cancers pédiatriques n’auraient aucune “cause commune”, selon l’ARS

Les résultats de l’étude épidémiologique menée par Santé publique France depuis mars 2019 n’ont mis en évidence aucun lien entre les 20 cas de cancers pédiatriques recensés dans la commune de Sainte-Pazanne, a annoncé dans un communiqué du 19 novembre l’ARS Pays de la Loire.

Sommaire

  1. 13 familles interrogées
  2. L’ARS recommande la fin des investigations
  3. Des mesures environnementales programmées dans les logements
  4. Les connaissances sur les causes des cancers pédiatriques “restent parcellaires”

Alors que trois nouveaux cas de

cancers pédiatriques viennent d’être identifiés à Sainte-Pazanne, ce qui porte à 20

le nombre de jeunes malades recensés depuis 2015 dans cette ville et ses proches alentours, l’Agence Régionale de Santé (ARS) Pays de la Loire confirme qu’aucune “cause commune” n’a pu être identifiée, dans un communiqué publié le 19 novembre. 13 familles interrogéesCes résultats sont ceux de l’investigation épidémiologique menée par Santé publique France depuis le mois de mars 2019 à Sainte-Pazanne, Port-Saint-Père, Saint-Mars-de Coutais, Machecoul-Saint-Même, Villeneuve-en-Retz, St-Hilaire-de-Chaléons et Rouans. Treize familles concernées ont été soumises à un questionnaire passant en revue les conditions de vie de la mère avant, pendant et après la grossesse, la vie du père, les habitudes alimentaires des enfants, les lieux de vacances, la scolarité ou encore le mode de garde des enfants, précise l’AFP. L’ARS recommande la fin des investigationsSi l’enquête “valide le fait que le nombre de cancers pédiatriques sur le secteur des 7 communes sur la période 2015-2019 est plus important que ce que l’on observe en moyenne en France”, elle n’a pas permis de mettre en évidence “la présence d’un facteur de risque documenté dans la littérature scientifique”. “Les résultats de ces travaux amènent Santé publique France à conclure à la présence d’un regroupement spatio-temporel sans cause commune identifiée”, précise le communiqué.L’agence nationale de santé publique recommande ainsi “de ne pas poursuivre les investigations épidémiologiques localement” et “de ne pas engager d’investigations et prélèvements environnementaux supplémentaires”. Elle propose néanmoins “de mettre en place une surveillance active en collaboration avec le CHU de Nantes pour identifier tout nouveau cas de cancer sur le secteur”.Des mesures environnementales programmées dans les logementsLes investigations ont également été menées dans les logements construits sur l’ancien site Leduc, où étaient fabriquées des charpentes. “Ces analyses écartent l’existence d’un risque sanitaire pour les habitants de ces logements”, affirme l’ARS Pays de la Loire. Par ailleurs, “des diagnostics ont été réalisés par l’ARS au cours de l’été dans 17 logements d’enfants atteints de cancer. Des mesures environnementales portant sur l’eau, l’air intérieur, les rayonnements ionisants et les champs électromagnétiques sont programmées d’ici la fin du mois de janvier 2020.” Une deuxième campagne de “levée de doute” sera également menée à l’école Notre-Dame de Lourdes de Sainte-Pazanne.Les connaissances sur les causes des cancers pédiatriques “restent parcellaires”L’ARS reconnaît que “les connaissances scientifiques aujourd’hui sur les causes des cancers de l’enfant et le potentiel rôle des expositions environnementales dans ce processus restent parcellaires. La recherche fondamentale sur les causes des cancers pédiatriques devrait permettre dans l’avenir d’enrichir les connaissances et ainsi d’améliorer les outils d’investigation disponibles pour répondre aux interrogations de la population face à un regroupement de cas de cancers pédiatriques.”Click Here: cheap nrl jerseys

La Sécu dans le rouge

Le 16 septembre, la Cour des comptes constate un déficithistorique de l’Assurance maladie. Le déficit durégime général atteindra 8,9 milliardsd’€uros en 2003. Si rien n’est fait, il sechiffrera en 2004 à 13,6 milliards d’€uros.L’Assurance maladie est à l’origine del’essentiel de ces dépenses. Une semaine plus tard, leMinistre de la santé officialise ce chiffre etprésente les mesures pour combler ce trou “abyssal“. Auprogramme du projet de loi de financement de lasécurité sociale (PLFSS) pour 2004, le Ministreprévoit 3,1 milliards d’€urosd’économie et un milliard d’€uros derecettes nouvelles. En attendant le grand projet de réformerepoussée à l’année prochaine, lesannonces ressemblent plus à un patchwork de mesures :
– Augmentation du prix du tabac (800 millions sont attendus) ;
– Poursuite de la politique du médicament avec undéremboursement des médicaments au servicemédical rendu (SMR) insuffisant, alignement du remboursementde l’homéopathie sur celui des médicamentsà SMR faible ou modéré ;
– Augmentation du forfait hospitalier de 10,67 à 13€uros au détriment des patients modestes sansassurance complémentaire ;
– Hausse de la taxe sur la promotion pharmaceutique.
Par ailleurs, les caisses sont invitées à introduire“des recours contre les tiers afin de mieux responsabiliser lesresponsables d’accidents et leurs assureurs“. Enfin, leministre espère également générer deséconomies via les accords de bon usage de soins (promotiondes génériques, fin du recours inutile auxantibiotiques et aux visites à domicile, etc.) et unmeilleur contrôle des arrêts de travail etd’admission en affection de longue durée.
Selon le ministre “Le Projet de Loi de Finances de laSécurité Sociale 2004 est un projet de loi definancement de clarification, mais également la marqued’une ambition pour notre sécurité sociale(…) la première étape du nécessaireretour à l’équilibre des comptes del’assurance maladie“. Malgré ces mesures, ledéficit de la Sécurité sociale pour 2004devrait flirter avec les 11 milliards d’€uros. Leretour à l’équilibre reste un objectifministériel à “l’horizon de lamagistrature“.
Source : Communiqué du Ministère dela santéClick Here: cheap Cowboys jersey