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Vers un vaccin contre l’asthme ?

L’asthme allergique touche 300millions de personnes dans le monde, un nombre qui a doublé en 10ans. Face à cette maladie respiratoire chronique, le traitement est essentiellement symptomatique mais aujourd’hui une équipe française avance une nouvelle piste: la possibilité d’un vaccin, aujourd’hui testé chez l’animal.

Des chercheurs français travaillent à la mise au point d'un vaccin contre l'asthme allergique.

Bloquer la réaction allergiqueTrès souvent, l’asthme est causé par une réactivité anormale à des substances de l’environnement appelées allergènes. Cette hypersensibilité se traduit par une inflammation importante au niveau des bronches et des bronchioles des individus. Toux, des sifflements dans la poitrine, une gêne respiratoire, une oppression thoracique… la capacité des patients à respirer est altérée.Aujourd’hui, la prise en charge combine des traitements de crise et des traitements de fond, qui permettent de réduire l’hyperréactivité et l’inflammation bronchique. Un seul traitement pérenne permet de traiter cette hypersensibilité : la désensibilisation ou immunothérapie spécifique. Elle consiste à administrer des doses croissantes d’allergènes afin de diminuer les symptômes lors d’une exposition ultérieure. Mais l’efficacité de cette technique reste assez contraignant, avec des résultats variables selon les patients.Vers un vaccin ADN contre l’asthme allergique ?Face à cette maladie, des chercheurs français de l’Inserm et du CNRS ont imaginé une technique de vaccination innovante, basée sur l’ADN de la substance allergisante. “Plutôt que d’administrer des extraits d’allergènes de manière répétée afin de diminuer la sensibilité, nous avons travaillé à partir de séquences d’ADN spécifiques (de l’allergène) responsables de l’allergie. Quelques études ont montré le potentiel thérapeutique de cette stratégie mais il fallait trouver des techniques s’assurant de la faisabilité chez l’homme“, explique Bruno Pitard, Directeur de l’équipe Innovations en Biothérapie de l’Institut du thorax (CNRS/Inserm/Université de Nantes).En Europe, Dermatophagoides farinae 1 (Derf1) est un allergène très commun véhiculé par l’acarien Dermatophagoides farinae. Le principe est d’identifier les séquences d’ADN correspondant à cet allergène Derf1 (à l’origine de sa synthèse). Les chercheurs ont ensuite fabriqué des milliers de nanosphères en polymère biodégradable dans lesquels ils ont inséré ce matériel génétique. Cette séquence d’ADN, transportée dans ces “taxis moléculaires“ dans les cellules musculaires, assurant la synthèse protéique de l’allergène, devait permettre de moduler la réponse allergique aux acariens.Pour prouver le concept avec cet allergène, ce vaccin a été testé sur des modèles de souris saines, puis optimisé dans un modèle de souris asthmatiques. Chez ces dernières il déclenche une fabrication d’anticorps spécifiques anti Derf1 et une réponse cellulaire spécifique de Derf1. Le système immunitaire privilégierait ainsi cette réponse non allergisante, protectrice lorsque l’allergène est rencontré. Avec deux injections intramusculaires administrées à 3 semaines d’intervalle, l’hypersensibilité des voies aériennes et les témoins de l’inflammation (niveaux de cytokines) ont été significativement réduits.Suite à ces bons résultats, des essais cliniques chez l’homme pourrait intervenir dans les 3 à 5 prochaines années.David BêmeSources :DNA/amphiphilic block copolymer nanospheres reduce asthmatic response in a mouse model of allergic asthma. Beilvert F, Tissot A, Langelot M, Mevel M, Chatin B, Lair D, Magnan A, Pitard B. Hum Gene Ther. 2012 Mar 19. (

abstract accessible en ligne)Communiqué de l’Inserm – avril 2012Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

Lutte contre les déserts médicaux : les réponses des candidats

Baisse de l’installation des médecins en exercice libéral, difficulté d’accès aux soins dans certaines zones de province ou des banlieues… La désertification médicale touche de plus en plus de régions. Comment lutter contre ce phénomène et ainsi garantir un accès pour tous à une médecine de qualité? Nous avons posé la question aux candidats aux prochaines élections présidentielles.

Comment lutter contre les déserts médicaux ? Les candidats avancent plusieurs propositions.

Les médecins libéraux sont de moins en moins nombreux dans la plupart des régions de France, selon les

Atlas régionaux de la démographie médicale française 2010 du Conseil national de l’Ordre des Médecins, avec de très importantes disparités régionales. A la question “Quelles mesures comptez-vous prendre pour lutter contre la désertification médicale ?“, les candidats ont évoqué plusieurs pistes : la révision du numerus clausus, des actions pour cibler les zones prioritaires et la mise en place de “maisons de santé“.Promouvoir l’exercice regroupé via des maisons de santéLa grande majorité des candidats évoque la mise en place de maisons de santé, en priorité dans les zones déficitaires. Eva Joly d’Europe Ecologie entend créer “des maisons de la santé et de l’autonomie, regroupant médecins généralistes et professions de soins“ à raison d’“une pour 10 000 habitants en commençant par les territoires déficitaires“. Jean-Luc Mélenchon propose “d’aider financièrement la création de centres de santé (…) des structures de proximité, collectives, regroupées et pluridisciplinaires qui appliquent à la fois le tiers payant et les tarifs opposables“. Philippe Poutou privilégie pour les zones déficitaires des “Centres de Santé, publics et gratuit, ouverts 24h/24 avec des médecins et des professionnels de service public, installés au plus près de la population. Ces Centres de Santé, sont préférables à des maisons médicales, qui restent dans le cadre d’un exercice libéral“.Nicolas Sarkozy défend son bilan :Nous avons développé 230 maisons de santé pluri-professionnelles en 2011, et nous en avons plus de 450 en projet. Sur l’année scolaire 2010-2011, 146 étudiants se sont engagés à exercer dans une zone déficitaire. Avec le cumul emploi-retraite, en 2011, ce sont plus de 5 100 médecins qui sont demeurés en activité, contre 3 800 en 2010 et 1 500 en 2008“. Santé : pôles d’excellence ou pôle de proximité ?François Hollande évoque des pôles de santé de proximité qui “pourront prendre plusieurs formes : maison de santé, centre de santé ou encore hôpital local“. Une préoccupation également soulignée par Jean-Luc Mélenchon ou Nathalie Arthaud qui insiste enfin sur la nécessité de “maintenir les hôpitaux et maternités de proximité et mettre fin à leur fermeture sous prétexte de rentabilité, ce qui amène les malades à faire des dizaines de km pour se faire soigner ou accoucher“. Elle est rejointe en ce sens par François Bayrou qui estime qu’il “faut conserver les services de proximité : l’urgence en particulier, l’urgence cardiovasculaire, le soin ambulatoire, la maternité“. Zones prioritaires : des mesures incitatives dès la formationLes régions déficitaires sont identifiées qu’elles concernent des zones rurales ou urbaines. Mais comment inciter les professionnels de santé à s’y installer en priorité ? Grâce à des mesures incitatives ou contraignantes ?Jean-Luc Mélenchon entend réserver “les avantages sociaux consentis dans la convention (…) qu’aux professionnels de santé qui s’installent dans des zones sous denses médicalement ou qui s’engagent à réaliser une médecine mobile dans des territoires qui en ont besoin“. François Hollande, candidat du PS, plaide pour une incitation précoce : “il faut d’abord, dès la formation, inciter les étudiants à aller là où on a le plus besoin d’eux, notamment en développant les lieux de stage dans les zones prioritaires. Philippe Poutou, candidat du NPA, évoque la “création d’un statut de médecin en formation, rémunéré (SMIC) pendant toute la durée des études médicales en contrepartie d’un engagement à servir dans le service public là où des besoins existent. Nathalie Arthaud de Lutte Ouvrière évoque la possibilité d’aider les jeunes médecins à s’installer dans les zones prioritaires. Des diplômés auquel François Hollande consacre un “plan d’urgence pour l’installation des jeunes médecins“ qui, bien au-delà des incitations financières, visera à les aider dans la construction des projets médicaux, à les accompagner dans les démarches administratives, et à contractualiser les carrières et les parcours professionnels.Peu de candidats se risquent réellement à prévoir des mesures contraignantes. Nicolas Dupont-Aignant avance cependant la proposition que “tous les nouveaux médecins devront assurer un exercice de 2 ans dans les territoires les plus démunis : monde rural ou banlieues. Pour certaines spécialités, en fonction des nécessités, la liberté d’installation sera encadrée par un système de licence analogue à celui qui existe pour les pharmacies“. De son côté, François Hollande entend limiter “les conventionnements de secteur 2 dans les zones surdotées pour mieux répartir les professionnels de santé dans tous les territoires“. Privilégier une approche plus globaleJugeant que la politique engagée depuis 5 ans commence à porter ses fruits, Nicolas Sarkozy rappelle les réformes engagées : “Nous avons créé les contrats de coopération entre les professionnels de santé pour qu’un acte médical puisse être réalisé par un autre professionnel de santé, par exemple une infirmière ou un pharmacien. Nous avons augmenté le numerus clausus et mis en place les contrats d’engagement de service public qui permettent aux internes de recevoir une bourse pendant leurs études en échange de l’installation pendant quelques années dans des zones déficitaires“.Jacques Cheminade se distingue en préconisant “un système de paiement en fonction du nombre de patients traités dans l’année (…), modulé en fonction de critères comme la nature et la gravité de la pathologie (…) et de la zone d’exercice du médecin. Il pourra donc être plus élevé dans les zones les moins favorisées, incitant les médecins à se répartir de manière plus équitable sur l’ensemble du territoire et donc à servir les populations les plus démunies“. Une politique qu’il entend joindre à une défense du service public dans ces zones géographiques.Pour le Front National, le Dr Joëlle Melin entend éviter “la contrainte ou le recrutement de médecins à diplômes roumains de cursus 5 ans“ et lutter contre les déserts médicaux grâce à “une grande politique de ré-industrialisation des campagnes mais aussi des périphéries des villes, une réinstallation des fonctionnaires de l’État et territoriaux désinstallés depuis 30 ans par les pouvoirs successifs et par l’application de la tolérance zéro dans les zones urbaines difficiles“.Faut-il revoir le numerus clausus ?Face à la pénurie de médecins (particulièrement criante dans certaines régions), certains candidats entendent revenir sur le principe du numerus clausus (nombre d’étudiants admis en 2ème année de médecine), même si cela n’entraînera une hausse du nombre de médecins, spécialistes ou non, que 10 ans plus tard, en raison de la durée des études de médecine.Pour Nathalie Arthaud, candidate de Lutte Ouvrière, la suppression du numerus clausus doit permettre d’en finir avec la pénurie de nouveaux médecins. Pour Nicolas Dupont-Aignan, le numerus clausus devra être revu, “afin d’éviter la pénurie dans certaines spécialités“, tout comme pour François Bayrou qui propose de l’élargir “par la négociation, contractuellement, mais en fléchant en même temps un certain nombre de postes pour des affectations de jeunes médecins, là où l’on en aura le plus besoin“.Que pensez-vous de ces propositions ? Venez-vous exprimer sur notre

Forum Actualités politiques.Découvrez l’ensemble du projet santé des candidats dans notre

dossier consacré aux Présidentielles.David BêmeSource :

Questionnaires envoyés par Doctissimo aux candidats accessibles en ligneClick Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

La bendamustine améliore le traitement de certains lymphomes

Développée en Allemagne de l’Est dans les années60 (ex-RDA), la bendamustine pourrait améliorer la prise en charge de certains lymphomes, tout en limitant les effets secondaires. Ces résultats encourageants de ce médicament présentés lors du congrès américain sur le cancer vont-ils changer la prise en charge des patients?

Selon le Pr. Mathias J Rummel de l'Université de Giessen, un médicament développé derrière le mur de Berlin, la bendamustine, devrait changer la prise en charge de certains lymphomes.

Good Bye Lenin ! Hello Bendamustine !La bendamustine a été utilisé pendant des décennies en Europe en Allemagne de l’Est. L’effondrement du mur de Berlin et la réunification allemande ont permis à ce médicament d’aider des patients à l’Ouest. Les médecins allemands l’ont ainsi utilisé dès les années 1990 dans le traitement de maladies hématologiques (principalement des leucémies puis des

lymphomes). Héritage de la guerre froide sans doute, elle n’a obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM) aux Etats-Unis qu’en 2008 et

au niveau européen qu’en 2010.De précédents résultats ont plaidé en faveur d’une utilisation préférentielle de l’association bendamustine/rituximab contre les lymphomes non-hodgkiniens indolents, mais cette préférence n’est toujours pas mise en pratique par les cliniciens. De nombreux praticiens lui préfèrent encore le régime R-CHOP qui est une association du rituximab (

Mabthera ®) à de la cyclophosphamide (

Endoxan ®), de la

doxorubicine, de la

vincristine et de la

prednisone. En France, la bendamustine (commercialisée sous le nom de

Levact ®) n’a pas d’autorisation de mise sur le marché (AMM) en première ligne dans cette indication, mais en tant que “traitement en monothérapie du lymphome non hodgkinien indolent en progression, pendant ou dans les 6 mois, chez des patients ayant reçu un traitement par rituximab seul ou en association1. En octobre 2010, la commission de transparence de la Haute Autorité de Santé a jugé que le Levact ® constituait un “Progrès thérapeutique modéré dans le traitement du lymphome non hodgkinien indolent en progression après un traitement par rituximab2.Mais les résultats de l’étude présentée lors du congrès américain sur le cancer ASCO 2012 pourraient changer la donne3.Pas de rechute ni d’aggravation pendant près de 6 ansCette étude a inclus 514 patients atteints de lymphome non-hodgkiniens indolents ou de lymphomes à cellules du manteau qui n’avaient encore reçu de traitement. La moitié a reçu le régime R-CHOP et l’autre moitié l’association bendamustine/rituximab. La période durant laquelle la maladie n’a pas progressé (appelée survie sans progression) a été de 69,5 mois dans le groupe bendamustine/rituximab contre 31,2 mois dans le groupe R-CHOP4.La survie globale ne diffère pas entre les groupes. Mais pour le Pr. Mathias J. Rummel de l’hôpital universitaire de Giessen (Allemagne) et principal auteur de l’étude, cela est notamment dû au fait que la moitié des patients dont la maladie continuaient à progresser ont été autorisé à recevoir l’autre traitement et que la survie pour ces lymphomes indolents tend à être très longue. Selon lui, la survie sans progression constitue déjà un indicateur très fiable du bénéfice clinique et de la qualité de vie des patients.Moins d’effets secondaires avec la bendamustineL’étude a noté plus de réactions dermatologiques dans le groupe sous bendamustine, mais pas de perte de cheveux et moins d’infections et d’atteintes nerveuses que chez les patients sous R-CHOP. Des

neutropénies modérées à sévères (abaissement dans le sang du nombre de granulocytes neutrophiles qui expose à un risque plus élevé d’infections) ont concerné 69 % des patients sous R-CHOP contre 29 % des patients sous bendamustine/rituximab. Ce problème a nécessité un traitement (facteur de croissance hématopoïétique) chez 20 % des patients sous R-CHOP mais seulement chez 4 % des patients sous bendamustine/rituximab.“Il s’agit du premier essai randomisé comparant la bendamustine et le rituximab avec le régime de chimiothérapie standard pour ce types de lymphomes, et il montre clairement que le régime à base de bendamustine est plus efficace et moins toxique“ déclare le Pr. Mathias J. Rummel. “De manière aussi importante, le régime à base de bendamustine permet aux patients d’avoir une meilleure qualité de vie pendant le traitement. Les résultats à long terme devrait être suffisamment importants pour changer la pratique clinique“.Vers un changement du traitement de première ligne ?Faut-il donc changer dès maintenant le traitement de première ligne au profit de l’association bendamustine/rituximab ? Interrogé sur le sujet par Doctissimo, le Pr. Gilles Salles, professeur au Service d’hématologie des Hospices Civils de Lyon et membre du Groupe d’étude des lymphomes de l’adulte (GELA) reste réservé. Il souligne que les résultats des patients traités par R-CHOP sont moins bons qu’attendus, et regrette l’absence de différence en termes de survie globale. “La combinaison bendamustine/rituximab semble moins toxique à court terme mais le recul sur les toxicités possibles à long terme ne sont pas connues. C’est une donnée importante pour des patients qui ont une espérance de vie supérieure à 10 ans“ regrette le Pr. Salles.“Nous attendons les résultats d’une étude comparable menée en Amérique du Nord pour confirmer ces données. On peut sûrement conclure que cette association donne de bons résultats, que cette combinaison est particulièrement attractive chez les patients âgés ou avec une contre-indication aux

anthracyclines. Mais il faut plus de recul et une confirmation externe avant de conclure à une réelle supériorité par rapport au R-CHOP“ conclut l’expert français. Un avis partagé par Bernard Coiffier, président du GELA et hématologue au centre hospitalier Lyon-Sud. Il déclare à Doctissimo qu’il attend lui aussi la publication de ces données dans une revue de référence et la confirmation de ces résultats par une autre étude. Affaire à suivre…David Bême1 – RCP du

Levact disponible sur notre guide des médicaments2 – LEVACT (bendamustine), alkylant, dans le traitement du lymphome non hodgkinien – Synthèse d’avis – Haute Autorité de Santé (

accessible en ligne)3 – Bendamustine plus rituximab (B-R) versus CHOP plus rituximab (R-CHOP) as first-line treatment in patients with indolent and mantle cell lymphomas (MCL): Updated results from the StiL NHL1 study. – Mathias J. Rummel, – ASCO 2012 – Abstract #3 (

accessible en ligne)4 – Cette amélioration de la survie sans progression concerne les

lymphomes folliculaires, les lymphomes à cellules du manteau et la

macroglobulinémie de Waldenström mais pas les lymphomes de la zone marginale.Photo : © ASCO/Scott Morgan 2012

Une vitamine miracle dans le lait ?

Elle empêcherait la prise de poids, éviterait le diabète, améliorerait les performances sportives, le tout sans effets secondaires… Qui? La nicotinamide riboside, une vitamine naturelle peu étudiée jusqu’à présent et sur laquelle se sont penchés des chercheurs suisses. Cette substance, que l’on retrouve notamment dans le lait et peut-être la bière, offrirait de nombreuses perspectives thérapeutiques, qui demandent néanmoins confirmation, en particulier par des étudespratiquéessur l’homme.

La nicotinamide riboside, une vitamine naturellement présente dans le lait, aurait diverses propriétés “miracles“ chez la souris.

De la nicotinamide riboside (NR), on ne savait que peu de choses, si ce n’est que cette

vitamine  naturelle permettait de favoriser indirectement l’activité énergétique des mitochondries, les centrales énergétiques des cellules. Pour en chercher à en savoir plus sur cette mystérieuse molécule, les chercheurs de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne ont mené toutes une série d’expériences sur des souris, afin de déterminer ses effets in vivo.
 
Une prise de poids limitée et un diabète évité
Pour ce faire, dans un premier temps, ils ont soumis deux groupes de souris à un régime riche en graisses : un groupe contrôle et un groupe qui ont reçu de la NR. Résultat, la

prise de poids de “souris NR“ n’atteignait que 60 % des autres. En outre, ces souris NR n’ont montré aucun signe de développement de

diabète, contrairement aux autres. “Même avec un régime normal, la NR améliore la sensibilité à l’insuline“ détaille Carles Cantó, auteur principal de l’étude. Ci-dessous, une vidéo où le chercheur explique ses travaux :

Un métabolisme boosté
Par ailleurs, les chercheurs ont remarqué que les “souris NR“  (par voie orale durant 10 semaines) couraient mieux que les autres : elles dépassaient de 10 % leurs congénères sur les courses d’endurance. Comment expliquer ces performances remarquables ? Il semblerait que tous ces effets “miracles“ soient dus à une amélioration du fonctionnement des mitochondries, ces “cellules énergétiques“ qui transforment le glucose en une forme d’énergie directement utilisable par la cellule, l’ATP. En fait, la NR stimule indirectement l’activité des mitochondries via les sirtuines.
En effet, la NR est un précurseur de NAD+, un coenzyme de la sirtuine : ainsi, une forte concentration de NR dans l’organisme aboutit à une augmentation de la concentration en NAD+, puis, une augmentation de l’activité des sirtuines et enfin, une amélioration de fonctions métaboliques liées aux mitochondries, notamment la combustion des graisses et les capacités oxydatives des cellules.
 
Pas d’effets secondaires
Selon les chercheurs, cette vitamine aux capacités exceptionnelles pourrait contribuer à améliorer la santé, voire la longévité car le déclin de nombreuses fonctions de l’organisme serait lié à une baisse d’activité des mitochondries. Donc, en stimulant leur activité, il devrait être possible d’agir indirectement sur d’innombrables fonctions. Pour le moment, les chercheurs testent leur hypothèse sur des vers nématodes.Mais il doit bien y avoir une contrepartie, des effets secondaires ? Même pas ! “Malgré tous nos efforts, nous ne sommes pas parvenus à déceler d’effets secondaires“ s’étonne Carles Cantó, et ce, même avec des doses très importantes.Néanmoins, ces résultats restent à confirmer, notamment chez l’homme. Par ailleurs, de nombreux autres points restent en suspens car cette molécule est difficile à synthétiser. Et dans quels aliments la trouve-t-on ? En quelle quantité ?  “A l’heure actuelle, nous ne pouvons même pas mesurer sa concentration dans le lait, nuance le chercheur. Impossible donc de savoir combien il faudrait en boire pour pouvoir en observer les effets“.Malgré les perspectives offertes par cette molécule prometteuse, les éventuelles applications thérapeutiques ou préventives ne sont donc pas pour tout de suite…Yamina SaïdjSources :– “Le lait recèle une incroyable vitamine cachée“,  communiqué de presse Mediacom – Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, juin 2012- 

The NAD+ Precursor Nicotinamide Riboside Enhances Oxidative Metabolism and Protects against High-Fat Diet-Induced Obesity, C.Cantó and al, Cell Metabolism, Volume 15, Issue 6, 838-847, 6 June 2012Click Here: All Blacks Rugby Jersey

Indonésie : les victimes du tsunami et du séisme s’accumulent

 Palu, 350 000 habitants, la ville principale de l’île des Célèbes (Indonésie) a été détruite par le séisme de magnitude 7,5 et le passage du tsunami survenus vendredi 28 septembre. L’hôtel Roa Roa, construction moderne, n’a pas résisté. Les huit étages de béton se sont empilés les uns sur les autres, emprisonnant plusieurs clients. Dimanche 30 septembre, les secours ont fouillé les décombres, sauvant trois personnes.Des villages inaccessiblesÀ cause des répliques, les sauveteurs professionnels ne peuvent pas intervenir pour évacuer plusieurs victimes localisées, à qui de l’eau a pu néanmoins être donnée. Les militaires, chargés de porter assistance à la population, sont arrivés à Palu avec le président indonésien Joko Widodo. Les cadavres s’amoncellent à l’entrée de l’hôpital, où se retrouvent les familles à la recherche de proches. Un homme, qui a survécu par miracle à deux vagues, y recherche sa femme. Le bilan, toujours provisoire, compte 832 personnes décédées et des centaines de blessés. Pour autant, les secours n’ont pas encore atteint les visages isolés qui ont été frappés par la catastrophe.Le JT

  • Soir 3 du dimanche 30 septembre 2018 L’intégrale

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Dot, le nouveau parfum féminin de Marc Jacobs

Marc Jacobs s’inspire des pois, du papillon et de la coccinelle pour Dot, le troisième parfum féminin de la marque.

Dot, le nouveau parfum féminin de Marc Jacobs

Après avoir lancé Daisy en 2007 et Lola en 2009, Marc Jacobs, le célèbre créateur de mode new-yorkais, réitère l’expérience et imagine Dot, son troisième parfum pour femme.Habitué à attribuer des prénoms féminins à ses parfums, le styliste n’a pas dérogé à la règle en baptisant sa nouvelle fragrance “Dot“, une double référence au prénom anglais et au motif à pois qu’il apprécie tant.En collaboration avec les nez Annie Buzantian et Ann Gottlieb, Marc Jacobs a imaginé un tout nouveau parfum aux senteurs fruitées et sensuelles.Fin mélange de baies rouge, de fruit du dragon et de chèvrefeuille, le parfum est également composé de notes de jasmin, de coco et de fleur d’oranger, qui se marient parfaitement au fond de vanille, de musc et de bois flotté. Contenu dans une bouteille atypique, qui n’est pas sans rappeler le flacon de Daisy, le parfum s’inscrit dans la lignée des créations hautes en couleur de Marc Jacobs.Sculpté dans un verre transparent teinté de rouge, de pois noirs et cerclé d’or, le flacon a notamment été pensé par Sayuri Shoji. Il est surmonté d’un cabochon en forme de papillon que l’on retrouve en différentes tailles sur la bouteille.Un parfum chic et audacieux qui promet d’embaumer les fashionistas ! Ça sent bon l’été et le succès !Parfum Féminin Dot by Marc Jacobs Prix : 57,00 € – 50 mlEn vente dans toutes les parfumeries agrées Marc Jacobs à partir du 16 juillet 2012Amandine GarciaSource : Communiqué Marc Jacos – Juillet 2012Click Here: cd universidad catolica

Le gouvernement s’attaque aux dépassements d’honoraires

Le gouvernement entend limiter les dépassements d’honoraires des médecins qui ont très largement augmenté ces dernières années et qui handicapent l’accès aux soins pour les patients. La volonté affichée par le gouvernement est d’aboutir à une solution avant la fin de l’année.

Marisol Touraine veut mettre fin aux dépassements d'honoraires abusifs.

Des dépassements qui représentent 2,5 milliardsSoulignant que les dépassements d’honoraires ont plus que doublé entre 1990 et 2010, passant de 900 millions à 2,5 milliards, le gouvernement juge que ces pratiques constituent de vraies entraves à l’accès aux soins. Les complémentaires remboursant tout ou partie de ces dépassements mais le reste à charge est parfois élevé pour les patients… Interrogée par le Nouvel Observateur, Marisol Touraine rappelle ainsi : “En 2000, le dépassement moyen par rapport au tarif de base était de 38 %, il atteint aujourd’hui 56 %. Et ce phénomène fait tache d’huile. Dans certains départements, il devient très difficile voire impossible de trouver un médecin à un prix remboursé par la Sécurité sociale, comme à Paris, dans le Rhône, en Isère, dans les Alpes-Maritimes… 90 % des médecins sont en dépassement“. Les principaux intéressés sont les spécialistes du secteur 2, qui peuvent faire payer un supplément à leur patient par rapport au tarif de base fixé par la Sécu.Bien que le code déontologique préconise de respecter “le tact et la mesure“, des excès sont régulièrement constatés. Ce qui a motivé le gouvernement à se saisir de ce dossier évoqué dès la campagne du candidat François Hollande. L’Ordre des médecins a récemment proposé de limiter à “trois ou quatre fois“ le tarif de la Sécu… Cette recommandation sera-t-elle suivie par le ministère ? Vers un accord pour l’automneMercredi, la Ministre des Affaires sociales et de la santé a demandé à l’Assurance maladie d’ouvrir une négociation avec les syndicats de médecins et les mutuelles et assureurs pour parvenir à un accord permettant de limiter les dépassements d’honoraires. L’objectif est de voir ces discussions aboutir à un accord d’ici l’automne. En cas d’échec des discussions qui devraient débuter le 25 juillet, la Ministre précise qu’elle fixera “des contraintes par la loi“, ainsi que “des sanctions dissuasives“ pouvant aller jusqu’au déconventionnement pour les médecins qui commettrait des abus.Il reste donc à savoir jusqu’où les complémentaires santé seront prêtes à s’engager (et avec quelles répercussion pour l’usager qui devra vraisemblablement payer plus cher sa mutuelle), quelle sera la position des syndicats de médecins libéraux dont certains demandent la création d’un secteur intermédiaire entre le secteur 1 (tarif Sécu) et le secteur 2 et la revalorisation des actes de secteur 1. Réponse attendue pour l’automne… De son côté, l’Association UFC-Que Choisir regrette que les consommateurs et les usagers du système de santé soient pour l’instant exclus de ces concertations. Elle souligne également qu’au-delà des dépassements abusifs, les difficultés de millions de patients naissent d’une succession de dépassements de moindre ampleur.David BêmeSources :Nouvelobs du 12 juillet/Europe 1 du 12 juilletPhoto : DURAND FLORENCE/SIPAClick Here: camisetas de futbol baratas

En Nouvelle-Zélande, un jeu vidéo aide les ados à combattre la dépression

Parfois considérés comme abrutissants et facteurs d’enfermement, les jeux vidéos peuvent aussi aider les adolescents déprimés. En effet, une équipe de chercheurs néo-zélandais spécialisés dans le traitement de la dépression chez les adolescents a développé un jeu vidéo nommé SPARX, qui a même reçu l’agrément du ministère de la Santé. Les résultats de l’essai clinique ont été publié dans le British Medical Journal.

Des chercheurs néo-zélandais ont développé un jeu vidéo pour traiter la dépression chez les adolescents.

En Nouvelle-Zélande, un jeu mis au point par des psychiatres met en scène un monde imaginaire où le jeune sauve le monde du désespoir. Plutôt que d’encourager à détruire pour le plaisir, le jeu

SPARX cherche à apprendre aux adolescents à faire face à la

dépression, sur la base d’une méthode thérapeutique dite comportementale et cognitive (CBT). Tout aussi important, ses concepteurs ont voulu créer un outil ludique et captivant pour des patients souvent réticents à demander conseil, ou agacés par les recommandations des adultes.Dans le monde imaginaire présenté par SPARX, le joueur entre dans la peau d’un avatar qui détruit les pensées négatives avec des boules de feu pour sauver le monde du désespoir et du pessimisme. Directrice du projet, Sally Merry, pédo-psychiatre à l’université d’Auckland, explique que cette approche peu conventionnelle séduit les ados car elle leur permet de faire face à leurs problèmes par eux-mêmes et à leur rythme. “On n’est pas obligé de traiter des difficultés psychologiques de manière effroyablement sérieuse“, dit-elle. “La thérapie ne doit pas forcément être déprimante en elle-même, on peut aussi s’amuser“.

Parmi les pays riches, la Nouvelle-Zélande est un de ceux qui arrivent régulièrement en tête en matière de suicide chez les jeunes, selon des études internationales. Et Sally Merry veut rendre plus accessible le traitement à cette maladie.“La dépression chez les jeunes est un phénomène international. C’est fréquent et la plupart du temps, on ne la soigne pas“, indique-t-elle.Or la dépression s’accompagne souvent, chez cette classe d’âge, d’échec scolaire et d’un isolement social. Souvent les jeunes “ont juste l’impression qu’ils se sentent mal et ils se disent qu’ils doivent faire avec. SPARX et la CBT montrent qu’on peut faire autre chose qu’accepter cela“, selon la psychiatre.Le jeu vidéo compte sept niveaux d’une quarantaine de minutes chacun – une durée similaire aux traditionnelles consultations avec un praticien – et s’adresse aux adolescents âgés de 13 à 17 ans. Aidé par un guide, le joueur évolue au sein des différents niveaux, qui à chaque fois apportent au joueur des clés pour mieux gérer la colère, résoudre les conflits ou apprendre à se relaxer avec des exercices de respiration.Au fil des étapes, l’univers dans lequel il avance devient plus lumineux et moins menaçant.Pour Maru Nihoniho, directrice de Metia Interactive, qui a travaillé sur ce programme, la difficulté était de rendre le jeu suffisamment captivant pour que le jeune apprenne des choses sans s’en rendre compte sur le moment. “Nous devions garder en tête les objectifs thérapeutiques, tout en concevant un véritable jeu“, raconte-t-elle. La conception a pris quatorze mois, en s’appuyant sur les souhaits d’un groupe test d’ados. Il a fallu cependant limiter leurs demandes de combats sanglants et de coups de feu gratuits.  “On savait qu’il ne pouvait pas y avoir de tirs à cause de la nature du jeu. Si bien qu’au lieu d’avoir des personnages qui tuent avec des mitraillettes ou des bombes, l’avatar a le pouvoir de foudroyer les pensées négatives pour les convertir en idées positives“.Les résultats d’un essai clinique publiés en début d’année dans le British Medical Journal montrent que ce jeu vidéo est aussi efficace pour lutter contre le spleen que des consultations en tête à tête avec un psychothérapeute. SPARX a suscité l’intérêt des Etats-Unis, du Canada, de l’Australie et de la Grande-Bretagne, ainsi que d’autres pays non anglophones qui veulent le traduire.Sally Merry voudrait le rendre accessible dans les établissements scolaires, chez les médecins ou dans les centres d’accueil pour adolescents en difficulté ou même sur internet. Elle envisage aussi d’élaborer une version destinée aux adolescents homosexuels. Et même pour les jeunes qui souffrent d’une grave dépression, ou d’une maladie mentale, le jeu peut les aider à oser demander de l’aide. “Ca ne va pas guérir tout le monde“, note-t-elle. “Mais lorsque le jeu ne guérit pas, il peut pousser l’utilisateur à aller chercher de l’aide“.RelaxnewsSource :The effectiveness of SPARX, a computerised self help intervention for adolescents seeking help for depression: randomised controlled non-inferiority trial –  Sally N Merry et al. – BMJ 2012; 344 doi: 10.1136/bmj.e2598 (Published 19 April 2012) (

accessible en ligne)Click Here: Putters

Manger des noix améliorerait la qualité du sperme

Manger une grosse poignée de noix par jour permettrait d’améliorer la qualité du sperme selon une étude américaine. Un petit coup de pouce alimentaire à l’heure où près de 40% des cas d’infertilité ont une origine masculine?

Les noix amélioreraient la qualité du sperme.

Près de 70 millions de couples sont confrontés à des problèmes d’infertilité ou d’hypofertilité dans le monde. Dans 30 à 50 % des cas sont attribuables aux partenaires masculins. Certaines études semblent confirmer une baisse de la qualité du sperme dans les pays industrialisés, une évolution possiblement liée à la pollution, une mauvaise hygiène de vie (qui peut se traduire par un

excès de poids) et un

régime alimentaire déséquilibré. L’équipe du Dr Wendie Robbins de l’Université de Californie ont voulu enquêter sur les bénéfices possibles d’un apport plus important d’acides gras polyinsaturés (les fameux

oméga 3) sur la qualité du sperme des hommes ayant un régime occidental. Les principales sources de ces acides gras sont les poissons, les huiles de poissons, les graines de lin et les noix, ces dernières sont riches en acide alpha linolénique (ALA).Au total, 117 hommes en bonne santé de 21 à 35 ans ont participé à cette recherche, chez chacun d’eux, des échantillons de sperme ont été analysés au démarrage et à la fin de l’étude. La moitié des sujets devait consommer quotidiennement une poignée d’environ 70 grammes de noix, en complément de leur régime alimentaire habituel. Après 12 semaines de ce régime, la qualité du sperme des mangeurs de noix s’était améliorée (concentration de spermatozoïdes, vitalité, motilité, morphologie et anomalies chromosomiques) alors que celle du groupe contrôle n’avait pas évolué. En outre, les mangeurs de noix dont les spermatozoïdes étaient les plus paresseux au démarrage de l’étude ont affiché les progressions les plus spectaculaires.L’étude, fondée en partie par la Commission californienne des noix, a été revue par un comité scientifique indépendant et a été publiée en ligne dans la revue 

Biology of Reproduction. Bien qu’elle indique que la consommation de 75 g de noix par jour permet d’augmenter la qualité du sperme de jeunes hommes, on ne sait pas encore si ces bénéfices peuvent s’appliquer à des hommes ayant des problèmes d’infertilité ou si ce régime permet d’augmenter concrètement la fertilité masculine. Néanmoins, plusieurs études se sont déjà intéressées aux bénéfices de ces oléagineux sur la santé, notamment sexuelle (une étude turque avait lié

l’ingestion de pistaches à une réduction des troubles de l’érection).David BêmeSource :Walnuts improve semen quality in men consuming a Western-style diet: randomized control dietary intervention trial. – Robbins WA, Xun L, FitzGerald LZ, Esguerra S, Henning SM, Carpenter CL. – Biol Reprod 2012; (

étude accessible en ligne)