Coronavirus: en Italie, des robots au chevet des malades

"Les robots sont des assistants infatigables. Ils ne peuvent être contaminés, ils ne sont jamais malades": ces recrues sont adoubées par le chef de l’unité de soins intensifs de l’hôpital Circolo de Varèse en Italie (nord), submergé par les malades du coronavirus.

En pilotant à distance ces bijoux d'électronique, médecins et infirmiers de cet hôpital de Varèse se protègent et économisent les équipements de protection.<br />
©Miguel MEDINA / AFP

Pilotés à distance, les six robots acquis récemment par l’hôpital s’activent auprès des

malades, vérifiant les paramètres vitaux ou déclenchant des procédures indispensables au maintien en vie de ces malades durement atteints. Certains des robots sont blancs, dotés d’écrans et de capteurs sur ce qui fait office de tête, d’autres, plus simples, ressemblent à un petit balai noir sur roues avec une tête-écran rectangulaire. Tous semblent sortis d’un film futuriste.En pilotant à distance ces bijoux d’électronique, médecins et infirmiers de cet hôpital de Varèse se protègent et économisent les équipements de protection. Et d’après les médecins, ces petits robots ont un autre atout: ils font sourire certains patients.Tout près de la frontière suisse,

Varèse est une des zones les plus épargnées de Lombardie, région qui concentre plus de la

moitié des décès en Italie. Mais son hôpital a accueilli de nombreux patients des zones durement affectées, comme Bergame où les services sanitaires craquaient de toutes parts.En Lombardie, le personnel médical a été “durement touché par le virus. Le fait que ces robots ne puissent être contaminés est quelque chose de formidable“, dit Francesco Dentali.Selon l’Institut supérieur de la Santé, près de 10% des 120.000 contaminés officiellement recensés dans le pays appartiennent au personnel médical.L’ordre des médecins a établi une liste de 70 médecins morts depuis le début de la

pandémie, sans être en mesure de préciser si ces décès sont ou non imputables au virus.Avec près de 15.000 morts (dont 8.300 en Lombardie), l’Italie est le pays le plus endeuillé du monde par le

Covid-19, à en croire les bilans officiels.Mais le nombre de décès est sans doute beaucoup plus élevé comme en attestent les premières données sur la surmortalité dans les zones touchées.Click Here: camiseta seleccion argentina

Coronavirus: l'isolement rapproche les voisins sur le réseau Nextdoor

Le réseau social ultra local Nextdoor, qui met en relation les habitants d’un même quartier, déborde soudain d’offres pour s’entraider entre voisins, des courses à faire pour les personnes âgées aux chiens à promener.

Nextdoor, le réseau social hyper local, est vu sur l'écran d'un smartphone à Washington, DC, le 27 mars 2020.<br />
©Eric Baradat / AFP

Sommaire

  1. Parcs à chiens
  2. “Dans le même bateau”

Nextdoor.com a vu son nombre de membres actifs au quotidien bondir de 80% en un mois, alors que plus de la moitié des Américains sont appelés à rester chez eux, avec des mesures de

confinement plus ou moins strictes selon les Etats, pour freiner la propagation de la

pandémie de coronavirus.Comme en Chine, puis en Europe, les foyers confinés se sont tournés vers les plateformes numériques pour garder le contact et se divertir. Les appels vidéo ont ainsi explosé sur les messageries.Nextdoor permet de son côté de rester en contact avec ceux que l’on ne croise plus dans la rue ou dans l’ascenseur.”On s’aperçoit que la proximité est plus importante que tout en ce moment“, dit à l’AFP Sarah Friar, la directrice exécutive du réseau. “Nous avons besoin des personnes qui vivent près de chez nous”.Lancée fin 2011, la société basée à San Francisco couvre désormais 260.000 quartiers dans 11 pays, dont l’Australie, le Royaume-Uni, la France, l’Italie, l’Espagne…Parcs à chiens”J’avais l’habitude que mes voisins me donnent des citrons (de leur jardin), mais maintenant je peux me reposer sur eux pour les courses”, raconte Paulina Borsook.A 66 ans, cette Américaine qui habite dans la baie de Monterey, au sud de la Silicon Valley, préfère sortir le moins possible.”Je suis vraiment touchée par l’esprit de communauté, les gens qui s’aident, qui font les courses les uns pour les autres“, ajoute-t-elle.Sur la plateforme gratuite, les utilisateurs partagent des tuyaux, quels restaurants proposent des plats à emporter ou les dernières informations locales, quelle aire de jeux est désormais interdite d’accès, par exemple.Avec ce qu’il faut de colère ou d’agacement contre les mesures jugées trop strictes ou les habitants considérés comme irrespectueux.”Je suis furieuse et dégoûtée que le petit parc à chiens de Hearst ait été fermé”, s’indigne par exemple une utilisatrice de Berkeley, un ville de la baie de San Francisco.”C’est INCROYABLE le nombre de groupes en train de boire et de regarder le coucher du soleil“, commente un habitant du même quartier, à propos d’un parc. “Je n’ai jamais vu la zone aussi bondée. C’est pour ça qu’on va tomber malade!“D’autres lancent des initiatives pour apporter un peu de réconfort, comme placer des dessins d’arcs-en-ciel ou des ours en peluche aux fenêtres, tournés vers la rue, pour amuser les enfants.”Je vais remettre mes lumières de Noël demain pour mettre un peu de baume au coeur”, annonce un message sur un groupe de Santa Cruz, sur la côte californienne. “Faites comme moi!”“Dans le même bateau”Nextdoor promeut l’entraide, les collectes de nourriture pour les associations et le soutien aux commerces locaux, durement affectés par les mesures de sécurité.Sur la page d’accueil, une carte interactive permet aux membres d’indiquer où ils habitent et les tâches qu’ils peuvent remplir.Nextdoor est aussi utilisé par les mairies et organisations gouvernementales pour communiquer des informations très locales.Sans compter les contributions des utilisateurs.”Les gens postent des anecdotes ou des choses utiles à savoir que je ne reçois nulle part ailleurs“, remarque Paulina Borsook.”Et si vous écrivez quelque chose qui n’a aucun sens, les autres réagissent. Il y a vraiment un côté, ‘on est dans le même bateau’“.Le réseau surveille les tentatives de désinformation ou d’arnaques, une tâche plus facile que sur d’autres plateformes, car le système d’inscription vérifie que les utilisateurs sont qui ils disent être, et habitent bien dans le quartier indiqué.”Quand les gens publient des messages, c’est sous leur propre nom, cela les responsabilise“, commente Sarah Friar.Comme Facebook et Twitter, Nextdoor souffre de la perte de recettes publicitaires dues à la crise économique liée au coronavirus.”D’un autre côté, des entreprises que nous ne connaissions pas s’intéressent à nous désormais“, précise la dirigeante.Click Here: los jaguares argentina

Perturbateurs endocriniens et cancérigènes présumés dans l'air, selon une étude

Des traces de pesticides suspectés d’être des perturbateurs endocriniens ou des cancérigènes ont été relevés dans près des trois quarts des relevés de qualité de l’air effectués en 2017 dans six régions, selon un rapport rendu public mardi par l’ONG Générations Futures.

L’association a travaillé sur des bases de données publiées en décembre par le réseau Atmo, qui regroupe les associations régionales de surveillance de la qualité de l’air (AASQA), sur des relevés réalisés entre 2002 et 2017.Elle y a recherché la présence de substances répertoriées cancérogènes, mutagènes ou reprotoxiques (CMR), qui font l’objet d’un classement européen, et des

perturbateurs endocriniens (PE, qui agissent sur le système hormonal) présumés, d’après le classement américain TEDX, en l’absence de liste européenne spécifique.Les jeux de données étant disparates en date de réalisation et produits recherchés selon les régions, l’ONG a réalisé deux études, dont la première porte sur les mesures les plus récentes, remontant à 2017. Six AASQA sont concernées sur 18 (Centre-Val de Loire, Corse, Grand-Est, Hauts-de-France, Nouvelle Aquitaine, Occitanie).Au total, 52 substances actives ont été détectées, dans 1.633 relevés. Plus du quart (27,55%) étaient des pesticides classés CMR avérés, supposés ou suspectés et plus de la moitié (56,33%) des PE suspectés. En comptant les produits entrant dans les deux catégories, ce sont au total près de trois quarts des relevés (74,28%) qui présentent des traces.Certaines régions ne disposant pas de données récentes, la seconde analyse porte sur les dernières données disponibles de chaque région (sauf Bourgogne-Franche-Comté) dont certaines remontent à 2004. L’étude présente donc également des biais possibles liés aux disparités des produits recherchés, certains pouvant avoir été interdits depuis l’époque de certains relevés. Mais les tendances globales vont dans le même sens que l’analyse sur 2017.Ainsi pour 104 substances actives relevées dans 4.622 cas, plus des trois quarts (82,69%) étaient classées CMR et/ou PE suspectés. Par catégorie, 29,94% étaient classés CMR et 68,86% PE suspectés.Ces analyses, les premières du genre, confirment que “l’air est un endroit d’exposition des populations” à ces substances potentiellement, ou de façon avérée, toxiques, souligne François Veillerette, président de Générations Futures. Et “contrairement à l’eau ou l’alimentation il n’y a pas de normes pour les pesticides dans l’air“, alors que les résultats de ces analyses sont “très cohérents” avec ceux de ces deux autres secteurs.Pour l’ONG, ces résultats démontrent la nécessité de “réduire l’utilisation des pesticides de façon importante“. Très engagée sur ces dossiers, Générations Futures milite pour une extension des zones non traitées, objet d’un récent décret controversé fixant des distances d’épandage, contre lequel l’ONG et d’autres associations vont déposer la semaine prochaine un recours.Enfin, l’ONG préconise une harmonisation au niveau national de ce suivi des pesticides dans l’air, et son financement, une demande également faite par Atmo France.Click Here: cheap sydney roosters jersey

100 orgasmes par jour : la maladie liée à un trouble du système nerveux

Le syndrome génital sans repos qui provoque jusqu’à 100 orgasmes par jour sans aucune relation sexuelle, ni stimulation est essentiellement perçu comme un trouble psychologique. Mais dans une nouvelle étude des chercheurs américains suggèrent pus d’efficacité avec une approche neurologique.

Une excitation permanente et des

orgasmes (jusqu’à 100 par par jour dans certains cas) à répétition sans aucun rapport sexuel, ni aucune stimulation. C’est ce que vivent les femmes atteintes du

syndrome génital sans repos. Maladie peu connue, elle fait beaucoup souffrir psychologiquement et physiquement. Une nouvelle étude postée récemment dans la revue scientifique Pain Report®, le 9 janvier 2020, ajoute un peu plus de détails concernant les causes de la maladie. 

Les patientes sans vie sexuelle et à risque de dépressionJusqu’ici les solutions proposées sont essentiellement des moyens de diminuer les symptômes par la relaxation ou par un travail qui consiste à distraire son attention des sensations ressenties. Mais pour les chercheurs des universités du McLean Hospital et de la Harvard Medical School, “il faut la traiter comme une maladie neurologique”. Au cours de leur étude, les chercheurs ont étudié les cas de 10 femmes atteintes du syndrome génital sans repos. “La plupart d’entre-elles avaient des épisodes d’orgasmes ou d’excitation hors contexte sexuel pendant plusieurs minutes voire des heures sur des périodes de plusieurs jours voire même des années”, expliquent les scientifiques. Quelques facteurs déclenchant ont été listés sans trop de convictions car parfois les symptômes se déclenchaient même sans rien. Pour aider les patientes, le groupe d’étude rapporte que la masturbation n’a pas apporté grand soulagement ou alors très peu. La plupart d’entre-elles n’avaient plus de rapports sexuels du tout à cause de la maladie et souffraient de symptômes d’anxiété et de dépression. Mais le rapport est ferme : “les traitements psychiatriques (électroconvulsivethérapie, injections, médicaments…)  ne donnent rien voire même empirent les symptômes”.Un trouble neuropathiqueEn revanche, les traitements neurologiques sont ceux qui ont le mieux fonctionné. Ils ont même aidé à définir des causes possibles pour le syndrome. “Toutes les patientes sauf une ont rapporté des douleurs sensorielles au niveau du pelvis, aux cuisses ou dans les fesses”. Ces douleurs pourraient indiquer un trouble du message nerveux entre le cerveau et cette zone du corps. En poussant plus loin, les chercheurs ont remarqué des lésions dans les nerfs rachidiens, des anomalies nerveuses et des troubles sensoriels au niveau des nerfs périphériques. En considérant la maladie comme un trouble neurologique, des pistes de traitements ont pu être tentées et ont montré plus d’efficacité que toutes les autres solutions. “La plupart des femmes atteintes du syndrome génital sans repos se plaignent que leurs symptômes ont été immédiatement qualifiés comme troubles psychologiques ou mal jugés par leur médecin (qui étaient essentiellement des hommes)”, rapportent les chercheurs. Saurabh Sharma, médecin auteur de l’étude incite les médecins à considérer la maladie sur les mêmes bases qu’une neuropathie, c’est-à-dire une atteinte des nerfs du système nerveux périphériques.Click Here: cheap sydney roosters jersey

Ocon: Verstappen’s rapid rise ‘was difficult to swallow’

Renault’s Esteban Ocon is one of a number of new generation drivers on the Formula 1 grid, but his rise hasn’t been as smooth or as rapid as he would have liked compared with that of his contemporary Max Verstappen.

The pair faced off in the 2014 European Formula 3 championship, with Ocon taking the title by a significant margin over Tom Blomqvist and Verstappen ending up third in the driver standings.

But while Verstappen was immediately fast tracked into Formula 1 at Toro Rosso, Ocon spent the next year competing in the GP3 Series, where he was once again crowned champion at the end of the season.

Even after that double success, Ocon found his way into F1 thwarted and he started 2016 competing in DTM. The French driver admitted that it had been deeply frustrating to have to watch on from the sidelines while Verstappen’s star in F1 was making a rapid ascent.

  • Ocon recalls his biggest – and sorely missed – karting rival

“I won the title in Formula 3 but the tough moment for me was that Max had signed a deal to race Formula 1,” Ocon said in a column for the official Formula1.com website.

“Well done to him, definitely, but when I saw the news it was difficult to swallow,” he admitted. “He was third in the championship; I was winning, and I didn’t have a seat in any category at that time.

“I did a few tests in GP2, but there was nothing really confirmed. The Lotus F1 junior programme had difficulties at the time and I wasn’t going anywhere, so it was quite a challenging moment.

“But I used that as motivation. I knew I had to work hard and keep on top of the junior categories if I was to make it to Formula 1,” Ocon continued. “It was my ultimate target: not necessarily wanting to face Max again, but rather joining him in Formula 1.”

It’s a rivalry between the pair that goes all the way back to their karting days.

“I think the first time I raced with Max Verstappen was in 2010,” Ocon recalled. “It was a tough year for me transitioning into international racing. Karting is very tough anyway. I was alone with my dad pretty much fighting the big teams.

“Max and I were always quite close on track and sometimes it came too close! In 2011 we were fighting for the 2011 world series championship and he won in the end.

“I remember a race in Italy: I came out on top, but me and him were a long way ahead of the rest. It was a rivalry which started then, and it soon became even bigger.”

Ocon claimed nine wins in the 2014 European Formula 3 series with Prema alongside team mates Nicholas Latifi and Antonio Fuoco. But Verstappen went one better with a strong run of results in the latter half of the season, including clinching all three race wins in a weekend at both Spa and the Norisring.

“Max started to become strong and he was challenging me for wins and suddenly he was the guy to beat,” recalled Ocon, who himself swept the board in the Moscow round.

“We were fighting to get [the triple] all the time. In that Moscow race he came close to beating me and we banged wheels a couple of times, just like the old karting days.”

Ocon got his long-awaited F1 break with Manor at Belgium in 2016, after a number of free practice outings with Renault. The following season he secured a full time race seat at Force India that lasted for two years.

“Finally, I had achieved my dream of racing in F1. All the hard work had been worth it, and now it was time to start the next part of the story.”

Unfortunately the team’s financial troubles led to Ocon being replaced by Lance Stroll for 2019, leaving him on the sidelines once again.

Ocon has now returned to his former home at Renault. He had been expecting to make his race debut for Renault in Australia alongside Daniel Ricciardo, until the last minute cancellation of the race due to the coronavirus outbreak.

“I can’t wait to go racing again,” he admitted. “Until then, stay safe and speak soon!”

Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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