Wave Hitting California With Record 19.6 Million Registered

SAN JOSE, CA — With a staggering number of Californians registered to vote on Election Day Tuesday, Democrats are dwarfing any other party affiliation as national and local political pundits have predicted. But this year’s “no party” preference saw the highest jump (4.23 percent) since 2014.

The 19.6 million people in the state represents a high 78.16 percent eligible citizens, the highest percentage of eligible citizens registered heading in a gubernatorial election since 1950, the California Secretary of State’s Office reported.

Of that, 8.5 million are registered as Democrats, almost twice as much as the Republican party — which is down compared to 2014 by 4 percent. That’s about the same percentage of the increase in those registered with no party affiliation, with 5.4 million awaiting to be cast.

“It is nearly unprecedented for California to set a voter registration record in a midterm election,” Secretary of State Alex Padilla said.

The Silicon Valley mostly matched the state’s breakdown, with San Mateo County registering 78.68 percent and Santa Clara’s coming in at 73.29 percent. For the former, Democrats represent half of those registered while overwhelming the number of Republicans by three times. For the latter, Santa Clara’s 403,587 Democrats dominates the GOP’s 152,914.

The Democrats’ surge may come as no surprise to San Jose State University Political Science Professor James Brent. First, it’s predictable based on history.

“The president’s party almost always loses seats in the midterm elections,” Brent told Patch. “Given 2016, I’m hesitant to predict anything. But my gut feeling is Democrats are probably going to do well, and they would anyway, but my feeling is they’ll do better than expected rather than worse. Hardly does one party win in three elections, and Republicans have won the last two.”

Where things may get tricky for Democrats is the Senate. They stand to lose more.

“The electoral map is so awful for them,” Brent added.

The professor turned to a flood of early voting enthusiasm as a guide to how the pendulum may swing.

“When early voting is up, and you think about who’s going to turn out, the pattern holds (as an advantage) for the opposition party,” he said, referring to the party not in power.

“Democrats are so anti-Trump, they’ve been chompin’ at the bit for this for two years,” he said. “And keep in mind, Trump lost the popular vote (in the 2016 presidential election).” U.S. President Donald Trump won on the Electoral College.

If the prediction about the victor comes true, then what?

“You may see Democrats in this time of prosperity build on our infrastructure, instead of just squandering the win,” he said. Trump campaigned on this issue, but it’s unclear whether the two parties can work together in these particularly polar times.

Brent also wanted to remind people that these aren’t our most polar times. Take the Civil War. However, in contemporary times, the United States is faced with a big cultural question that goes well beyond our politics given the last two years of observed cases of extreme nationalism that has all but labeled immigrants as outcasts.

“We need to ask ourselves: ‘Do we live in a culture that supports or do we live in a culture that marginalizes?'” he said.

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–Images via Shutterstock, San Jose State University

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Lutte anti-tabac : les 10 propositions radicales d'Yves Bur

Dans un rapport sans concession rédigé à la demande du ministre de la Santé, qu’il lui a remis le 1er mars, le député UMP Yves Bur propose 10 axes d’action pour réduire de moitié la proportion de fumeurs d’ici 2025 et revenir ainsi à des taux de consommation proches de ceux du Royaume-Uni, du Canada, de la Nouvelle-Zélande ou encore de la Thaïlande.

Le député UMP Yves Bur propose 10 mesures radicales pour réduire de moitié le tabagisme d'ici 2025.

Chaque année, le tabac tue plus de 60 000 personnes en France. Après plusieurs années de baisse de sa consommation, celle-ci est repartie à la hausse entre 2005 et 2010, atteignant 29 % de la population. Une proportion encore plus forte chez les 20-25 ans où elle atteint 42,8 % chez les jeunes hommes et 39 % chez les jeunes femmes de cette tranche d’âge.La mauvaise gestion politique pointée du doigtDans son rapport, Yves Bur n’hésite pas à mettre en cause la gestion politique de la

lutte contre le tabac, dénonçant “des moyens dérisoires consacrés au contrôle du tabac“, une “fluctuation de la volonté politique au cours du temps, avec des prises de décision contradictoires“ au cours des dix dernières années. Et le député d’incriminer une gestion économique et non sanitaire de la situation, “avec une prise en main par le budget de décisions qui devraient revenir à la santé“.Yves Bur rappelle par ailleurs que, contrairement aux idées reçues, les “recettes fiscales du tabac de 11 milliards d’euros ne couvrent pas, loin s’en faut, le coût de l’assurance maladie“ qui est de 18 milliards d’euros. Au total, le coût social du tabac est estimé à 47 milliards d’euros par an, soit 3 % du PIB de la France, souligne le député.Sa première recommandation concerne donc la mise en place d’un interlocuteur unique, désigné par le Premier ministre, pour piloter la politique de lutte contre le tabac.Augmentation de 10 % du prix du tabac

Parmi les mesures fortes que propose Yves Bur, celle de l’augmentation de 10 % des taxes et du prix des produits du tabac est certainement le signal le plus fort. S’appuyant sur les conclusions de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de la Banque Mondiale, le député estime qu’une telle hausse des prix entraînera une réduction de la consommation du tabac de 2,5 à 5 %, notamment chez les

jeunes, plus sensibles au facteur prix. En écrivant que la fixation des objectifs des prix du tabac doit être motivée “uniquement pas des considérations de santé publique“, Yves Bur dénonce en filigrane les motivations davantage pécuniaires que sanitaires des politiques qui ont prévalu jusque-là, avec une  augmentation des recettes fiscales obtenues par des hausses trop faibles des prix.Yves Bur souhaite par ailleurs “rendre au tabac sa véritable image“ de tueur ; il soutient pour cela l’idée d’un

paquet neutre standardisé qu’il défend depuis 2010, et suggère de mettre fin aux stratégies marketing de l’industrie du tabac qui banalisent et normalisent le tabac (paquets ludiques, design, utilisation d’arômes…).Interdiction du fumer dans tous les lieux publics où se trouvent des enfantsBien qu’il existe un cadre réglementaire contre le tabagisme actif et passif depuis plusieurs années, force est de constater qu’il est mal appliqué ou insuffisant pour protéger les jeunes et les enfants, estime le député du Bas-Rhin. Il demande donc de renforcer les contrôles concernant l’interdiction de vente aux mineurs, l’interdiction de publicité et de promotion sur les lieux de vente et propose, en cas d’infraction grave, “des sanctions dissuasives comme la révocation de licence“. Yves Bur souhaite également que la France se mette “en conformité avec les recommandations internationales“ et s’attaque à la non-conformité des terrasses de cafés, bars et restaurants qui hésitent de moins en moins à braver l’

interdiction de fumer dans les lieux publics et lieux de travail. Il préconise aussi de supprimer la possibilité de fumoirs et propose d’introduire la vente des produits du tabac “sous le comptoir“.Alors que Nice a inauguré le 20 février 2012 sa première plage sans tabac, Yves Bur va plus loin et suggère, pour protéger les enfants, d’“élargir le champ d’interdiction de fumer à l’ensemble des lieux publics ouverts ou fermés où les enfants peuvent se trouver comme les jardins d’enfants, les plages, les véhicules privatifs“.Prise en charge à 100 % des aides au sevrage pour certaines populationsDans son rapport, le député rappelle que le soutien à l’

arrêt du tabac est plus coût-efficace que le traitement des

maladies liées au tabac ; il recommande, par conséquent, la prise en charge intégrale des

aides au sevrage pour les populations vulnérables (

femmes enceintes, bénéficiaires de la CMU, Affections Longue Durée) et une prise en charge modulée pour le reste de la population. Cette aide au sevrage nécessite également l’implication des professionnels de santé, qui doivent pour cela recevoir une formation spécifique, suggère Yves Bur.Enfin, le député s’attaque aux lobbies des fabricants de tabac, au niveau national mais aussi européen. Yves Bur n’y va pas par quatre chemins et dénonce “les stratégies et les comportements malveillants“ mis en œuvre par l’industrie du tabac. Et de citer la désinformation du public via des campagnes savamment orchestrées, la corruption de chercheurs, l’organisation de la contrebande… Il propose donc, comme pour les médicaments, de mettre fin aux conflits d’intérêt qui existent chez certains représentants de l’État et qui nuisent à la lutte contre le tabac.Enfin, il suggère de revoir le statut des buralistes, pour ne plus lier leur rémunération au volume de ventes de tabac. Pour l’instant, ils touchent 8,5 % brut du prix des paquets qu’ils vendent. 80 % reviennent à l’État et le reste aux fabricants. Mais dans ce domaine, Yves Bur ne donne aucune solution.Pour Emmanuelle Béguinot, directrice du Comité National de lutte Contre le Tabagisme (CNCT), “ce rapport fera date. Le sujet est posé comme il le fallait, avec des mesures concrètes“. Et de conclure : “Aucun responsable politique ne peut désormais ignorer que des mesures efficaces peuvent être prises. En ne les prenant pas, ils sont responsables de morts prématurées évitables“.Amélie PelletierSources– Propositions pour une nouvelle politique de lutte contre le tabac, Rapport au Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé, remis le 1er mars 2012 à Xavier Bertrand.- Interview d’Emmanuelle Béguinot, directrice du Comité National de lutte Contre le Tabagisme (CNCT), le 2 mars 2012.- Communiqué du CNCT, le 2 mars 2012.Crédit photo : Yves Bur, IBO/SIPAClick Here: Cardiff Blues Store

Mélanomes : les cabines de bronzage responsables de 76 décès par an

Entre 19 et 76 décès annuels sont attribuables à l’utilisation des cabines de bronzage, selon une étude française publiée dans le Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire(BEH), et ce nombre pourrait s’élever à 2288 dans les 30prochaines années si les habitudes des Français en matière d’exposition aux cabines UV ne changent pas, préviennent les auteurs.

Les UV artificiels seraient responsables de 76 décès annuels par mélanome

Le jour même de la publication du BEH spécialement consacré aux dangers des UV artificiels, la ministre de la Santé Marisol Touraine a annoncé la publication prochaine d’un décret visant à durcir la réglementation des cabines de bronzage. Déposé par l’ancien gouvernement, ce décret a pour objectif de mieux protéger les utilisateurs d’appareils exposant à des ultraviolets artificiels.En détails, il s’agirait notamment d’inciter les centres de bronzage à proposer gratuitement des lunettes de protection, ou encore d’apposer des messages d’avertissement sur les dangers sanitaires liés aux UV ultraviolets dans ces centres.Le nombre de cancers de la peau double tous les 10 ansLe nombre de

cancers de la peau double tous les 10 ans. Parmi ces cancers, les

mélanomes sont de loin les plus agressifs et les plus difficiles à traiter actuellement, rappellent Jean Civatte et Jacques Bazex, membres de l’Académie de médecine dans leur éditorial. Pour ces derniers, l’exposition aux UV des

cabines de bronzage participent indubitablement à cette évolution. Faux ! rétorque le Syndicat national des professionnels du bronzage en cabine (SNPBC) qui, met en avant la discordance entre la localisation des centres de bronzage et celle des cancers de la peau. “Les régions dans lesquelles les mélanomes sont les plus fréquents sont précisément celles où les centres de bronzage sont les moins nombreux, voire même absents“, affirmait ainsi le SNPBC dans un communiqué publié fin avril, alors que la polémique battait déjà son plein suite à la publication d’une

étude américaine mettant en cause les cabines de bronzage dans l’explosion du nombre de cancers cutanés. S’insurgeant contre “le dénigrement systématique de l’usage, même modéré, des cabines UV“, le syndicat plaidait plutôt pour “une prévention plus efficace et plus ciblée auprès des personnes à risque“. Mais les professionnels de santé veulent aller plus loin. Soulignant avec force qu’il n’y a “aucun bénéfice pour la santé à s’exposer aux rayons ultraviolets artificiels mais, qu’en revanche, les dangers sont bien réels“, ils appellent donc tout simplement à “l’interdiction progressive des cabines de bronzage“ ! Autant dire que le bras de fer va être musclé…6 millions de Français ont fréquenté les cabines UVLa France dispose d’environ 18 000 cabines UV. Selon le Baromètre cancer 2010, “13 % de la population française âgée de 15 à 75 ans, soit environ 6 millions de personnes, ont déjà eu recours au moins une fois dans leur vie aux UV artificiels pour bronzer“. Les plus adeptes sont les 26-54 ans et plus particulièrement les femmes, dont la fréquentation des cabines UV va crescendo jusqu’à 54 ans. Les mineurs, pour lesquels le bronzage artificiel est pourtant interdit, seraient environ 3,5 % à s’y adonner. Alors que le SNPBC met en avant “l’utilisation extrêmement raisonnable“ des clients des centres de bronzage, évaluée à 7 séances par an en moyenne, l’InVS indique quant à elle qu’un tiers des 3 359 personnes interrogées se sont exposés plus de 10 fois au cours des douze derniers mois,  et surtout que 26,2 % des 20-25 ans se sont exposés plus d’une fois par mois.Les UV artificiels ne préparent pas la peau au soleilMême s’ils ne dissuadent visiblement pas les gens de fréquenter les cabines UV, les messages sanitaires marquent les esprits puisque 89,2 % des personnes interrogées dans le Baromètre cancer 2010 estiment qu’avoir recours aux cabines UV est une cause possible de cancer. Mais les messages véhiculés par les professionnels du bronzage aussi ! Ainsi, l’idée selon laquelle le bronzage en cabine prépare la peau pour se protéger des coups de soleil est très ancrée, un quart des gens se disant d’accord avec cette idée et 40 % de ceux qui s’y adonnent. Il faut dire qu’elle est fortement mise en avant par les professionnels du bronzage en cabine, le SNPBC n’hésitant pas à affirmer que “faire des UV en cabine de manière raisonnable reste la meilleure manière de préparer la peau avant une exposition au soleil en vacances“. Pour Julie Gaillot-de-Saintignon et ses collègues de l’Institut du cancer, il s’agit d’une idée reçue “utilisée comme un argument commercial pour encourager le recours à cette pratique“. “La pigmentation acquise après une exposition aux cabines UV ne représente pas une protection efficace vis-à-vis des expositions ultérieures au soleil et peut même donner, à tort, un sentiment de sécurité incitant les utilisateurs à ne plus respecter les principes de prévention solaire adéquats“.Les UV artificiels ne sont pas de même nature que les UV solairesEt de rétablir une vérité scientifique concernant les UV délivrés dans les cabines, présentés à tort par les professionnels du bronzage comme étant de même nature que les UV solaires. “Les lampes UV des installations de bronzage en France délivrent de fortes doses d’UVA. Les doses d’UVB sont limitées à 1,5 % de l’éclairement énergétique UV totale émis. Une des particularités de ce bronzage artificiel “riche en UVA“ est à souligner : à bronzage égal, les mécanismes de photoprotection (épaississement de la peau) sont plus faiblement activés que lors d’une exposition solaire“. En outre, “aucune sensation de chaleur n’est perçue par l’utilisateur car le rayonnement des lampes de bronzage est dépourvu de la partie infrarouge du spectre solaire, responsables des effets thermiques de l’exposition au soleil“. Autrement dit, aucun des signaux d’alerte que perçoit normalement la peau au soleil n’est activé, alors que “l’exposition sous lampes UV correspond à une exposition de même durée au soleil de midi sur une plage des Caraïbes sans protection solaire“ !Quant à l’argument selon lequel l’exposition aux UV des cabines de bronzage, en favorisant la synthèse de

vitamine D, serait un moyen de couvrir les besoins physiologiques de la population générale, il est lui aussi vite balayé. “Étant donné le potentiel cancérogène avéré des UV artificiels, la fréquence des effets secondaires à très court terme observés et la possibilité d’apport en vitamine D par voie orale, l’utilisation de cabines UV pour couvrir les besoins physiologiques en vitamine D pour la population générale ne peut se justifier“.Des risques bien réelsCar d’après les scientifiques qui ont participé à l’élaboration du BEH, les risques sanitaires liés aux UV artificiels sont réels : outre le mélanome, d’autres types de cancer cutané (carcinomes basocellulaires et épidermoïdes), des effets oculaires (dégénérescence maculaire de la rétine,

cataracte,

cancers…) ou encore des effets aigus de la photokératoconjonctivite sont possibles. Ainsi, selon l’enquête permanente  sur les accidents de la vie courante (Epac), 17 accidents sont survenus à la suite d’une exposition aux UV artificiels entre 2004 et 2010. Il s’agissait de brûlures dans la majorité des cas (15 cas), parmi lesquels un jeune de 19 ans brûlé au 2ème degré sur 43 % de sa surface corporelle à la suite d’une séance d’UV, qui a dû être hospitalisé 4 jours.Bien que contesté par le SNPBC, le lien de causalité entre les UV des lampes de bronzage et le mélanome ne fait pas de doute dans l’esprit des auteurs qui ont chiffré l’impact sanitaire de l’exposition aux lampes UV : ils attribuent ainsi 4,6 % des cas de mélanomes cutanés, soit 347 cas annuels dont 76 conduisent à des décès, à l’utilisation des cabines de bronzage. Une proportion qui peut paraître modeste mais qui, comme le soulignent les auteurs de l’étude, est “comparable [au nombre de décès] attribué à l’usage d’un médicament antidiabétique oral qui a récemment été retiré du marché pour ce motif (entre 500 et 2 000 décès sur 30 ans)“. Cette proportion serait en outre encore plus forte pour les individus ayant eu une exposition à un âge jeune, puisque la moitié des cas de mélanome seraient alors attribués au bronzage en cabine.Le SNPBC rappelle que la réglementation française interdit l’usage des cabines de bronzage aux personnes de

phototype 1 (peau claire, cheveux blonds ou roux, ne bronze jamais… ). Reste à savoir si cette condition est bien respectée. Une chose est sûre, si l’idée d’une interdiction pure et simple des cabines de bronzage, comme l’a décidé le Brésil, n’est pas suivie, l’information devra être renforcée : seule la moitié des personnes interrogées dans le cadre du Baromètre cancer 2010 estiment être bien informée sur les risques de cancer liés aux cabines de bronzage.Le mélanome constitue la 6ème cause de cancer chez la femme avec 5 100 nouveaux cas par an, et la 8ème chez l’homme avec 4 680 nouveaux cas annuels. En termes de décès, il représente respectivement la 14ème et la 12ème cause avec 720 et 900 décès en 2011.Près de 10 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. La moitié le sont avant 58 ans chez la femme et 60 ans chez l’homme.Comme chaque année, les dermatologues français accueilleront le grand public dans des centres de dépistage spécifiques, pour lui proposer un dépistage gratuit des cancers de la peau. L’occasion pour les personnes malades de profiter d’une prise en charge précoce, seul moyen de combattre le mélanome malin.Partenaire de l’opération, MAAF Assurances met un numéro vert (3015) à disposition des particuliers pour leur permettre d’obtenir les coordonnées du centre de dépistage le plus proche de chez eux. Ces coordonnées sont également disponibles sur le site internet du 

SNDV.Amélie PelletierSources– Le bronzage artificiel : une menace bien réelle, mais évitable, pour la santé publique – BEH, numéro thématique 22 mai 2012 / n°18-19 (

téléchargeable sur Internet).- Cabines de bronzage et mélanome : le SNPBC réagit à la polémique actuelle et repositionne le débat sur un enjeu de santé publique – Communiqué de presse du SNPBC, 27 avril 2012.Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

Denver City Council Approves Safe 'Injection Site' For Drug Users

DENVER, CO – Denver’s City Council voted Monday to approve a pilot program to provide a supervised site for illegal drug users to inject. The bill was sponsored by Councilman Albus Brooks.

More than 200 people died of injected drug overdoses in Denver last year, and more than 1,000 died of opioid overdoses in the state of Colorado. Resources for metro-Denver’s most vulnerable addicts have been reduced after the closing of Thornton-based safety-net operation Arapahoe House, which served more than 5,000 of the poorest patients with substance abuse problems in 13 metro-Denver locations. It’s unclear where those patients have gone for treatment, and whether more deaths and serious medical events have resulted from the closing of the organization.

Trained medical staff at the proposed “safe injection site” would be on-hand with naxilone for overdoses and would be able to refer drug abusers to treatment resources.

“This ordinance isn’t about addicts. This is about our neighbors,” Brooks posted on his Facebook page. ” This is about our neighbors experiencing addiction. When we see people as our neighbors, we see their stories deeply connected to ours. And that is how we save lives. That is why we are here tonight.”

Council member Kevin Flynn was the lone vote against the pilot program. “It’s not the path I think the city ought to be taking,” Flynn said, as reported on Colorado Public Radio. “To establish a designated area where dangerous illegal drugs, heroin, can be consumed.”

The program would still need to be approved by the Colorado state legislature.

State Senator-elect Brittany Pettersen, who championed opioid recovery bills in the legislature as a state representative, felt that her GOP colleagues voted against her bills because of politics. She will likely re-present these bills now that the Democrats have a trifecta in the state legislature and governor’s office.

Image via Shutterstock


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“Sleeping Beauty” : interdit aux moins de 16 ans.

Le long métrage de Julia Leigh «Sleeping Beauty», présenté en compétition officielle lors du dernier festival de Cannes vient d’être interdit aux moins de 16 ans.

Le long métrage de Julia Leigh, Sleeping Beauty présenté en compétition officielle lors du dernier festival de Cannes vient d’être interdit aux moins de 16 ans par la commission de classification des œuvres cinématographiques. La société de distribution ARP Sélection avait fait appel de cette interdiction auprès du Ministre de la Culture, qui y a répondu en demandant un nouvel avis à la commission. Mais à l’issue de ce nouveau visionnage, la commission et le Ministre de la Culture ont décidé d’interdire le film aux moins de 16 ans. Le film, qui sort en salles ce mercredi 16 novembre raconte le parcours de Lucy (Emily Browning) une jeune étudiante qui a besoin d’argent et qui multiplie les petits boulots. Suite à une petite annonce, elle intègre un étrange réseau de beautés endormies. Elle s’endort. Elle se réveille. Et c’est comme si rien ne s’était passé. Ce que les hommes lui font la nuit, Elle l’a oublié au réveil. Sleeping Beauty a été interdit pour son message qui serait, selon la commission, une « incitation à la prostitution ».

 

La bande-annonce

 

Laëtitia Forhan

VIDEO. Tsunami en Indonésie : un témoin filme les vagues géantes qui déferlent sur l’île des Célèbes

Des vagues de plusieurs mètres de haut. Un homme a filmé avec son téléphone portable le déferlement du tsunami sur l’île des Célèbes en Indonésie, qui a fait 384 morts et plusieurs centaines de blessés, vendredi 28 septembre. Auparavant, un sésisme de magnitude 7,5 avait fait trembler l’île.La vidéo d’environ cinq minutes, que France 2 s’est procurée, a été filmée au crépuscule depuis le parking du Grand Mall de Palu (350 000 habitants), sur la côte ouest de l’île. Elle montre en direct l’arrivée du tsunami sur le littoral, qui emporte en quelques secondes les habitations en bois et en tôle, la végétation ainsi que les véhicules garés devant le parking. Face à la montée des eaux, le témoin qui filme la vidéo, en pleurs, fuit à l’intérieur du parking.L’Indonésie, un archipel de 17 000 îles et îlots qui s’est formé par la convergence de trois grandes plaques tectoniques (indo-pacifique, australienne, eurasienne), se trouve sur la ceinture de feu du Pacifique, une zone de forte activité sismique. Le 26 décembre 2004, elle avait été frappée par une série de séismes dévastateurs, dont l’un de magnitude 9,1 sur l’île de Sumatra. Ce tremblement de terre avait suscité un tsunami qui avait tué 220 000 personnes dans la région, dont 168 000 rien qu’en Indonésie.Click Here: camiseta seleccion argentina

Préserver son coeur durant l'été

C’est bientôt l’été ! La saison des changements de rythmes, d’habitudes et de comportements avec notamment la multiplications des apéros, des pratiques sportives intenses… Mais attention à ne pas surmener votre coeur. A la veille des départs en vacances, la Fédération Française de Cardiologie lance une campagne de prévention pour rappeler que, chaque année, 50 000 personnes meurent prématurément d’un arrêt cardiaque et plus de 400 personnes (plus de femmes que d’hommes) meurent chaque jour d’une maladie cardiovasculaire en France.

Pour cet été, la Fédération Française de Cardiologie propose au public un vrai petit guide de préservation de leur santé cardiovasculaire. Ce guide d’information et de sensibilisation a été conçu pour permettre aux usagers de protéger leur coeur et de prévenir d’éventuels troubles ou maladies cardiaques au cours de leurs vacances estivales. Il s’appuie sur 7 recommandations.1 – Poursuivre ou reprendre le sport… mais pas n’importe comment !L’activité physique adaptée et régulière (30 minutes au quotidien) peut réduire de 30 % la survenue d’un problème cardiaque. Une heure de marche d’un bon pas/trois fois par semaine permet d’améliorer de 12 % les performances de la pompe cardiaque. La Fédération française de cardiologie recommande ainsi de poursuivre ou de reprendre le sport en été sans pour aurant pratiquer une activité sportive intense ou brutale.2 – Traitements : l’été, le coeur n’est pas en vacances… de médicaments !“L’été est une période pour se reposer, relaxer et oublier les longs jours d’hiver. Mais cela ne doit pas pour autant inciter les patients atteints de pathologies cardiaques à abandonner les traitements qui leur ont été prescrits : ceux-ci sauvent de nombreuses vies“ déclare le Professeur Jacques Beaune, Président de la Fédération Française de Cardiologie. Le succès d’un traitement tient avant tout au respect de sa prescription par le patient. 3 – Arrêt cardiaque : se former aux gestes qui sauvent est un acte citoyen même en vacances !A la veille de l’été, la Fédération Française de Cardiologie rappelle à tous les citoyens la nécessité de connaître les gestes qui sauvent face à l’arrêt cardiaque : Appeler le 15 – Masser – Défibriller. Le taux de survie à un arrêt cardiaque en France est de 5 % ; il est 4 à 5 fois plus élevé dans les pays où les lieux publics sont équipés en défibrillateurs automatisés externes et la population formée aux gestes qui sauvent. Depuis mai 2007, la loi autorise tout citoyen à utiliser un défibrillateur. 4 – OUI à l’alimentation équilibrée, NON à l’hyper-alcoolisation aiguë ! Mieux vaut boire un peu de vin (un à deux verres) tous les jours que de faire des excès d’alcool le week-end avec à la clé, moins d’accidents de la route et moins d’accidents cardiaques ! 5 – Bien ou mieux manger : Fruits, Légumes et PoissonsL’alimentation équilibrée est un excellent moyen de protection contre l’excès de cholestérol, le diabète ou et l’obésité et favorise la santé du coeur. Les règles de l’équilibre alimentaire sont simples. Les respecter est une garantie de confort de vie et de santé pour le coeur. 6 – Cet été, j’arrête de fumer !On ne le sait pas assez, le coeur est le premier à souffrir du tabagisme. Même quand on fume peu, même depuis peu de temps, nos artères et donc notre coeur sont en danger. Pourquoi ne pas profiter de l’été pour arrêter ? 7 – Sport extrême et problème cardiaque : attention, danger !Il est important de demander l’avis de son cardiologue si vous envisagez de pratiquer un sport extrême ou inhabituel durant vos vacances. En pratique, pour tout cardiaque et en particulier coronarien, il est fortement déconseillé de se livrer à des activités stressantes tel qu’un exercice physique violent, après un repas copieux, en plein trafic dans une ville polluée. En revanche une activité physique modérée, adaptée et régulière si possible tous les jours, est indispensable pour le bien être d’une personne cardiaque. Il convient de privilégier les sports du type “endurance“, qui permettent d’améliorer les capacités cardiovasculaires sans imposer d’efforts trop violents au coeur.

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Fedecardio.com. Outre la délivrance de conseils pratiques, la Fédération française de cardiologie lance chaque année différentes campagnes, dont les Parcours du Coeur, pour sensibiliser la population aux maladies cardiovasculaires. Quelque 50 000 personnes décèdent prématurément d’un arrêt cardiaque tous les ans.Luc BlanchotSource :Communiqué de la Fédération Française de Cardiologie – 26 mai 2011

Rappel de steaks hachés surgelés chez Lidl : 7 enfants infectés

La grande famille de la bactérie Escherichia coli ne cesse de faire parler d’elle. A ce jour, sept enfants de la région Nord-Pas de Calais sont hospitalisés suite à une toxi-infection causée par une forme de la bactérie. La source a très vite été repérée, il s’agit de steaks hachés de boeuf surgelé de la marque Steaks Country vendus dans les magasins Lidl. L’Agence Régionale de Santé (ARS) du Nord Pas-de-Calais a demandé le rappel par mesure de sécurité des lots concernés.

Les sept enfants touchés auraient tous souffert de syndrome hémolytique et urémique (SHU, la même maladie causée par l’autre souche de bactérie sévissant en Allemagne), mais la plupart se trouvent aujourd’hui dans un état stable d’après l’ARS. Une enquête alimentaire a rapidement permis de déterminer que les enfants malades avaient tous consommés des steak hachés de la marque Steaks Country vendus chez Lidl.L’agence déconseille vivement la consommation de steaks hachés de la marque Steaks Country vendus chez Lidl, en boîtes d’un kilo, portant une date limite de consommation aux 10, 11 et 12 mai 2012. Une procédure de rappel est en cours dans les magasins de l’enseigne.Par ailleurs, le fabricant de ces steaks, la société SE (Société Economique Bragarde), basée à Saint-Dizier, en Haute-Marne, a annoncé le rappel de tous les lots concernés. Elle recommande à tous ses magasins clients “de procéder a minima et par précaution au retrait de la vente et au rappel des steaks hachés surgelés“ de la marque “Steak Country“ porteurs des numéros de lot 10/05/11, 11/05/11 et 12/05/11, des dates limites de consommation 10/05/12, 11/05/12 et 12/05/12 et du numéro d’identification vétérinaire FR 52 448 02 CE.
Les personnes ayant acheté ces produits sont priés de ne pas les consommer et “de les rapporter au point de vente où ils ont été achetés“ a indiqué la société qui met à leur disposition un numéro vert, le 0800.802.511.
Néanmoins, des analyses restent à faire pour savoir précisément où la contamination a eu lieu, sur le lieu de production, sur la chaîne de distribution ou sur le lieu de distribution. Ce que la Commission européenne exige. Pour le moment, les autorités assurent que cette contamination n’a rien à voir avec celle qui a touché l’Allemagne et que la souche de la bactérie n’est pas la même. L’hygiène des mains apparaît comme le principal facteur à surveiller pour réduire les risques de contamination. Les consommateurs sont invités à se laver les mains avec du savon, puis à les rincer et à les sécher avec une serviette jetable ou une serviette textile à lessiver régulièrement à 60 degrés.Il est particulièrement recommandé de se laver les mains avant de préparer ou de servir à manger, après avoir utilisé les toilettes, après avoir manipulé des légumes crus, des racines ou de la viande, ou encore après avoir été en contact avec des déjections d’animaux.Les particuliers sont également appelés à manipuler toutes sortes d’aliments avec précaution. L’InVS demande aux personnes souffrant de diarrhée ou de vomissements de ne pas manipuler la nourriture. La cuisson est également un élément important pour réduire le risque de contamination. Chacun est appelé à bien cuire la viande, notamment la viande hachée de boeuf, et les légumes ; procédé qui permet de détruire les bactéries responsables de maladies ou de virus.Ultime conseil : les planches à découper doivent être lavées avec du savon entre la manipulation d’aliments différents. Emeline Dufour avec Relaxnews
Sources :
Communiqué de la DGS – 16 juin 2011

Rappel des steaks hachés surgelés Country dans le Nord de la France,communiqué duministère de l’Agriculture, 16 juin 2011/

ARS du Nord-Pas-de-Calais Photo : Un magasin LIDL à Chambourcy © Michel Euler/AP/SIPAClick Here: los jaguares argentina

Dépistage rapide du VIH : la solution au bout du doigt

Aujourd’hui, un doigt suffit pour se faire dépister. Pourfaire connaître ces tests rapides du VIH désormaispratiqués par certaines associations, AIDES et JWT Parislancent un jeu coquin baptisé Sexy Fingers. Au menu, un clip,un mini-site et bien sûr l’application Android qui permettrad’y jouer.
Tout en faisant rougir de plaisir et de malice, cette campagned’été en profite pour informer sur le démarrage dudépistage rapide réalisé par les militants de AIDES.Jean Michel Tixier, réalisateur du clip et desillustrations, Flairs, compositeur de la musique, et le studioANONYMOUS, chargé du développement, propose une campagnequi s’appuie sur un clip, un site et une appli Android
Attention, les dessins explicites de la vidéo ci-dessous sontà réserver à des internautes avertis.

Le premier élément de la campagne est un mini-clip danslequel plusieurs doigts vont venir jouer avec des “instruments“ unpeu particulier, afin de créer au final une musique trèsdansante. Le clip, diffusé notamment sur la chaine youtubeAIDES (

www.youtube.com/aides) et sur (

www.sexyfingers.org, s’achève par un message desensibilisation qui explique qu’“avec un doigt, vous pouvez aussivous faire dépister du sida“.Le jeu sur Android mise là-aussi sur le “tripotagemono-digital“, chaque organe s’animant en fonction du traitementqui lui est fait : tâter, tirer, fesser… Et chaquegeste provoque un son spécifique (guitare, percussions,claviers…).

Le butde ce jeu coquin est de faire prendre connaissance aux utilisateursdu dépistage rapide du VIH réalisé par les militantsde AIDES. Cette offre novatrice permet en effet en quelquesinstants d’obtenir le résultat par une légère piquresur un doigt. Avec tout l’accompagnement nécessaire et troisrègles de base : anonyme, fait par les pairs et sansjugement. L’occasion, enfin, de prendre soin de sa santé enaméliorant ses connaissances sur les autres IST, quipeuvent être autant de facteurs favorisant la transmission duVIH.En avril 2011, le Pr. Jean-François Delfraissy,directeur de l’Agence nationale de recherche sur le SIDA et leshépatites virales (ANRS) nous parlait de cetteavancée en matière de dépistage.

Pour AIDES, “se faire dépister doit devenir un geste aussifamilier et convivial que de “parler cul“ entre amis ou acheter sabaguette de pain. Le dépistage rapide par les pairs estidéal pour tous ceux qui sont directement concernés parl’épidémie et trouvent l’offre actuelle inadaptéepour eux : les gays, personnes migrantes, travailleurs du sexe,usagers de drogue…“.David BêmeSource :Communiqué de Aides – 20 juillet 2011Click Here: Golf special

Plus de 1240 cas d'hépatite A déclarés en France en 2010

Quelque 1 244 cas d’hépatite A ont été enregistrés en France en 2010, dont 1 219 en métropole et 25 dans les départements d’outre-mer, selon les derniers chiffres communiqués par l’Institut de veille sanitaire (InVS), jeudi 28 juillet. Le taux d’incidence des cas déclarés en France métropolitaine s’est établi à 1,97 cas pour 100 000 habitants. A noter : plus de 1 500 cas d’hépatite A ont été observés en France en 2009.L’Institut de veille sanitaire rappelle qu’une épidémie nationale d’hépatite A,

causée par la consommation de tomates séchées, est survenue en France en 2010. En outre, l’Yonne (Bourgogne) et la Haute-Marne (Champagne-Ardenne), les deux départements les plus touchés, ont été victimes de cas groupés d’hépatite A chez des populations résidant sur des sites d’accueil pour gens du voyage, dans des conditions sanitaires précaires. Distribution des taux d’incidence des cas notifiés d’hépatite aiguë A par département métropolitain de résidence, France, 2010

Comme chaque année, les hommes et les moins de 15 ans ont été beaucoup plus touchés par l’hépatite A que les femmes et les autres classes d’âge.Les deux principales expositions à risque dans les 2 à 6 semaines précédant le début de la maladie étaient la présence de cas d’hépatite A dans l’entourage (46 %) avec, pour 78 % d’entre eux, des cas dans l’entourage familial, et un séjour hors métropole (30 %). Parmi les cas ayant séjourné hors métropole, presque la moitié d’entre eux (42 %) ont séjourné dans l’un des pays du Maghreb. RelaxnewsSource : Communiqué de l’InVS – 28 juillet 2011Click Here: cheap sydney roosters jersey