Alimentation trop sucrée : un risque de cancer du sein

On sait que le cancer et l’alimentation sont intimement liés. Les scientifiques évoquent notamment le rôle protecteur des fruits et légumes. Mais une nouvelle étude vient souligner le lien néfaste d’une alimentation trop riche en sucre. Cela pourrait augmenter le risque de cancer du sein.

L’étude a été menée sur les dossiers de plus de 93 000 femmes réunies au sein de l’enquête Women’s Health Initiative. Elle montre un lien entre les taux élevés d’insuline et le risque de cancer du sein. L’insuline est une hormone sécrétée pour réguler le taux de sucre dans le sang.Les scientifiques ont également montré une corrélation entre l’obésité et l’augmentation du cancer du sein. Mais ils ont montré que la majeure partie peut s’expliquer par l’augmentation de la glycémie et les facteurs hormonaux. Selon eux, ce serait donc le principal facteur de risque.Pour le Dr David Servan-Schreiber, auteur du livre “Anticancer“, cette étude confirme “le rôle majeur de l’alimentation trop sucrée (“à index glycémique élevé“) dans la survenue de certains cancers, et souligne à nouveau la nécessité de communiquer auprès des patients déjà atteints d’un cancer sur l’importance d’adopter un régime alimentaire à index glycémique bas, pour réduire la sécrétion d’insuline et son influence néfaste sur la croissance des cellules cancéreuses“.Une preuve encore qu’une alimentation équilibrée reste indispensable pour préserver sa santé. Source : Journal of the National Cancer Institute, décembre 2008 et communiqué du Pr. David Servan-Schreiber, janvier 2009.Click Here: Atlanta United FC Jersey

Fracture du pénis : vent de panique sur le web

La “

fracture du pénis“ est rare et mal connue. Pourtant depuis quelques jours la recherche sur ce thème a été quasiment doublé sur Google. La raison  ? Un épisode de la série médicale “Grey’s Anatomy“ qui aborde de manière frontale ce sujet. 

Même si vous ne comprenez pas l’anglais, vous avez pu constater en visionnant les mésaventures ci-dessus du docteur Marc Sloane et de sa charmante collègue que cette “fracture“ est extrêmement douloureuse et survient lorsque le pénis est turgescent, au cours de l’acte sexuel. Elle se manifeste concrètement par un “clac“ sonore suivi d’un grand cri de douleur du partenaire masculin, qui fait normalement cesser instantanément les ébats…Il s’agit en fait d’une déchirure suite à un faux mouvement de l’enveloppe du pénis, qui est uniquement gonflée et donc rigide pendant l’érection. Bien entendu, cette dernière cesse immédiatement après la déchirure, le pénis se ramollit d’un coup et il est temps d’appeler les urgences pour une prise en charge immédiate de ce problème.En effet, cette déchirure-fracture entraîne la constitution d’un hématome qu’il faut vite évacuer sous peine de complications ultérieures.Néanmoins pas d’inquiétude, il s’agit d’un accident très rare qui, de plus, ne laisse pas de séquelles après une prise en charge thérapeutique adaptée.Pour en savoir plus, n’hésitez pas à lire notre article “Gare aux fractures du pénis  !“, en lien ci-dessous et dont, curieusement, les statistiques de lecture nous indiquent également une augmentation de la consultation depuis quelques jours… 😉

Prévenir les cancers dès l'enfance : nouvelle campagne !

A l’occasion de la Journée mondiale contre le cancer, le 4 février, l’Union Internationale contre le cancer (UICC), avec le soutien de l’OMS et de presque 300 membres de l’UICC dans plus de 90 pays, lance une initiative mondiale pour promouvoir chez les enfants l’équilibre alimentaire et la pratique de l’activité physique afin de prévenir les cancers à l’âge adulte “Moi, j’aime bouger et manger équilibré“.La prévalence de l’obésité augmente chez les adultes et les enfants. L’“International Obesity Taskforce“ estime que dans le monde, 30 à 45 millions d’enfants d’âge scolaire sont obèses.

Selon l’UICC, les facteurs alimentaires, le manque d’activité physique, le surpoids et l’obésité sont en cause dans environ 30% des cancers dans les pays développés et 20% dans les pays en développement. De ce fait, l’alimentation et l’activité physique apparaissent comme des facteurs-clés pour la prévention des cancers.Cette augmentation de l’obésité existe aussi en France, où on estime que  11 à  14% des enfants présentent une surcharge pondérale et 3 à 4,5% une obésité. Ces problèmes doivent être pris en compte au plus tôt: les habitudes alimentaires acquises pendant l’enfance peuvent se perpétuer à l’âge adulte.Il apparaît donc essentiel, en termes de prévention, d’essayer de réduire la sédentarité dès l’enfance, de favoriser une dépense physique régulière en complément d’une alimentation équilibrée et diversifiée basée sur les repères de consommation du Programme National Nutrition Santé (PNNS).Membre de l’UICC, l’Institut National du Cancer soutient cette campagne qui va diffuser très largement ce message de prévention vers toutes les familles, les professionnels de santé, les professeurs, les responsables des politiques de santé publique. L’UICC mettra de nombreux outils à leur disposition: des posters téléchargeables disponibles sur Internet, deux rapports scientifiques, des kits média vidéo…Source : Communiqué de presse, Inca, 4 février 2009

L'accès à l'eau potable pour tous, une urgence !

La demande en eau n’a jamais été aussi importante qu’aujourd’hui et elle ne fera qu’augmenter au cours des prochaines années, comme le confirment les experts lors du 5e forum de l’eau qui a débuté le 16 mars à Istanbul. Cette ressource indispensable vient à manquer et inquiète les autorités nationales et internationales, qui se concertent lors de différentes manifestations afin de palier au mieux et le plus rapidement à cette pénurie.

Au moins 900 millions de personnes n’ont pas accès à l’eau potable et 2,5 milliards n’ont pas ou peu d’accès à l’assainissement. 5 000 enfants meurent par jour de diarrhée, soit un enfant toutes les 17 secondes, du fait d’une eau insalubre ! La quantité limitée des ressources ainsi que l’insalubrité persistante inquiètent les autorités et font l’objet d’événements à l’échelle internationale, tout au long du mois de mars.
La demande d’eau en augmentation incessante
L’état des ressources mondiales d’eau fait l’objet tous les trois ans, d’un rapport des Nations Unies. Cette année, le rapport intitulé “L’eau dans un monde changeant“ souligne la nécessité d’adapter les systèmes d’assainissement aux ressources d’eau et à la demande mondiale.
En effet la demande en eau n’a jamais été aussi importante qu’aujourd’hui. Cette pénurie augmentera au fil des années, avec la croissance de la population et l’urbanisation : la production alimentaire et d’énergie devront être accrues, ce qui impliquera une augmentation de la consommation d’eau.
De plus avec le réchauffement climatique, la situation ne peut qu’empirer : l’augmentation des températures accentuera les variations de précipitations et augmentera le risque d’inondations ou de sécheresse. Les calottes polaires ainsi que les glaciers commencent déjà à fondre, réduisant ainsi les réserves d’eau douce. Depuis 1900, la moitié des zones humides du monde ont disparues.
L’insalubrité, un fléau supplémentaire
En sus du manque de ressources en eau, il reste un problème majeur, l’insalubrité. Par exemple, chaque jour, 2 millions de tonnes d’eaux usagées sont déversés et 70 % des résidus industriels sont déversés sans traitement préalable dans les cours d’eau des pays industrialisés !
Conséquence du manque de ressources et d’assainissement : un enfant meurt toutes les 17 secondes de diarrhée, soit 5 000 enfants par jour. Ces décès pourraient être évités si des systèmes d’accès à l’eau potable étaient mis en place. Une maladie sur 10 est due à l’approvisionnement, à l’insalubrité, à l’hygiène ou à la gestion des ressources d’eau.
La pauvreté et la guerre majorent la pénurie
Il existe un lien très clair entre la pauvreté et les ressources en eau : le nombre de personnes vivant avec moins d’ 1,25 dollar par jour coïncide approximativement au nombre de celles qui n’ont pas accès à l’eau potable.
Par ailleurs, comme le souligne Robert Mardini, chef de l’Unité “eau et habitat“ au Comité International de la Croix Rouge (CICR), “Les systèmes d’adduction d’eau, d’égouts et d’alimentation en électricité, ainsi que les structures médicales, sont généralement les premiers services atteints lors de l’éclatement d’un conflit (…). Ils peuvent être endommagés ou détruits par les bombardements et les explosions, ou être totalement débordés par l’afflux de personnes déplacées. De telles perturbations sont souvent suivies de graves pénuries et de la propagation rapide de maladies qui peuvent être mortelles“. Selon le CICR, un quart des personnes privées d’eau potable et 15 % de ceux qui n’ont pas accès à des services d’assainissement adéquats se trouvent dans des pays déchirés par la guerre.
Des systèmes d’approvisionnement et d’assainissement doivent donc être mis en place en priorité dans les lieux de vie des personnes les plus défavorisées, ayant le moins accès à l’eau. “Maintenant, la priorité est à l’action. Nous devons mobiliser l’engagement, la volonté et les moyens humains pour s’assurer que les prévisions faites concernant la crise en eau ne deviennent pas réelles. L’eau a été, peut être et doit être un rassembleur, pas un diviseur“ confirme Koïchiro Matsuura, directeur général de l’ Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO) dans un message élaboré à l’occasion de la journée mondiale de l’eau 2009.
22 mars 2009, la Journée Mondiale de l’Eau en faveur du partage
La Journée Mondiale de l’Eau a été créée en 1992, par l’Assemblée Générale des Nations Unies, suite à une recommandation faite lors de la Conférence sur l’Environnement et le Développement. Cette journée a pour but de célébrer l’eau douce et la première édition eut lieu le 22 mars 1993.
Durant plus de 15 ans, cette journée fut l’occasion pour les grandes institutions ainsi que pour les associations de mettre en lumière certaines problématiques liées à l’eau. Les précédentes années, la thématique de cette journée avait concerné la pénurie, les problèmes sanitaires ou encore l’importance de l’eau dans la plupart des cultures.
La Journée Mondiale de l’Eau 2009, intitulée “Eaux partagées, opportunités partagées“ mettra en avant les sources d’eau douce transfrontalières. Il existe 263 lacs et bassins fluviaux transfrontaliers et 145 pays en possèdent. 45% des terres sont couvertes de bassins ou de fleuves passant dans plus d’un pays .De même, on dénombre 273 aquifères souterrains.
Ces sources d’eau seraient suffisantes pour tous, mais leur mauvaise gestion place certains pays en réelle pénurie. De nombreux conflits sont à prévoir, c’est pourquoi les Nations Unies ainsi que la Food and Agriculture Organization (FAO) préconisent la coopération transfrontalière. Plus de 200 accords internationaux ont été signés, les 60 dernières années et seulement 37 cas de violence entre états pour l’eau ont été rapportés.
Augmenter les opportunités de coopération dans la gestion de ces eaux pourraient impacter sur la compréhension, le respect et la confiance mutuels entre les pays. Cela favoriserait la paix, la sécurité et une croissance économique stable. C’est du moins ce que souhaite l’UNESCO avec l’aide de la Commission Economique des Nations Unies pour l’Europe (UNECE) et la FAO.
Valérie Chau, 19 mars 2009
Sources:
– L’eau qui tue, l’eau qui sauve : une urgence humanitaire, dossier de presse 2009 de Solidarités, association d’aide humanitaire d’urgence- Site officiel de la Journée Mondiale de l’Eau
– Cinquième Forum mondial de l’eau : meilleur accès à l’eau et à l’assainissement pour les victimes de la guerre, communiqué de presse du Comité International de la Croix Rouge, 16 mars 2009
Des sites pour en savoir plus :
http://www.unesco.org/waterLe calendrier des évènements associés à la Journée Mondiale de l’eau du 22 mars (en anglais) :http://www.unwater.org/worldwaterday/events.html

Arrêt des addictions : récompenser plutôt que prévenir?

Récompenser les changements positifs de comportements serait plus efficace que les campagnes de prévention, au moins à court terme. Cette méthode motiverait davantage les gens qui doivent modifier certains comportements dangereux pour leur santé.

Les stimulations d’ordre financier sont de plus en plus utilisées pour inciter certains changements dans les habitudes, par exemple afin de perdre du poids, arrêter de fumer ou tout autre comportement addictif. Les récompenses financières seraient même plus efficaces que les campagnes de prévention : récompenser dans l’immédiat les bons comportements serait plus encourageant que les gains pour la santé, qui mettent plus de temps à apparaitre. De plus, la plupart d’entre nous auraient tendance à privilégier les petites récompenses immédiates que celles à plus long terme mais plus bénéfiques. Récompenser les bonnes attitudes permettrait d’élargir l’autonomie des personnes, face à leur problème de santé. Mais les récompenses financières pourraient avoir des effets inattendus sur la motivation, le choix éclairé et la relation entre le médecin et le patient. Ce sont les avertissement des auteurs de la recherche, publiée sur le site internet du British Medical Journal (BMJ). Des études supplémentaires doivent donc être menées pour savoir si les effets de la récompense financière diffèrent entre les catégories socio-économiques.Source : “Using financial incentives to achieve healthy behaviour“, www.bmj.com, 11 avril 2009Click Here: Geelong Cats Guernsey

"Et la santé, on dit quoi ?" le magazine afro de la santé

Depuis plusieurs années, l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé, l’Inpes, met en place des programmes de communication à destination de la population africaine vivant en France. Il y avait déjà eu une mini-fiction “Toi même tu sais“, désormais un magazine santé intitulé “Et la santé, on dit quoi ?“ est également disponible.

L’idée de l’Inpes est de pouvoir proposer des supports, des messages en phase aussi bien avec les spécificités et les particularités de ces populations en matière de santé, qu’avec leurs codes culturels. Le but est de faire de la santé un sujet de vie quotidienne. Pour cela, l’Inpes a donc lancé ce premier magazine dédié à la santé à destination des populations africaines.“L’afro magazine“ est un magazine trimestriel et gratuit. Pédagogique et ludique, le magazine donne de nombreux conseils-santé, tout en divertissant avec des interviews, romans-photos et jeux. Le troisième numéro est sorti début juin avec en couverture le président américain Barak Obama, auquel le magazine consacre un dossier. La chanteuse Oumou Sangaré livre également son engagement contre la faim et pour les femmes africaines dans un entretien.Ce numéro est aussi l’occasion de préparer les vacances “au pays“ avec un point sur les risques solaires, mais aussi un dossier sur le paludisme, sur l’hépatite B et deux pages consacrées aux préservatifs masculin et féminin.“Et la santé, on dit quoi ?“ est diffusé à 240 000 exemplaires dans plus de 1 500 points de vente à travers la France et est disponible gratuitement sur le site Toi-memetusais.com. Sur ce même site, vous découvrez d’ailleurs les épisodes de la série du même nom, “Toi même tu sais“.Source : Communiqué Inpes “’Et la santé, on dit quoi ?’, le magazine afro de la santé“, 11 juin 2009Click Here: cheap nrl jerseys

Assiette des Français : des améliorations encourageantes

A chaque époque, sa nourriture, ou plutôt ses habitudes culinaires ! L’Agence Française de Sécurité Sanitaire et Alimentaire (Afssa) vient de publier son deuxième rapport sur la consommation alimentaire des Français. En comparaison avec le dernier rapport datant de 1999, le bilan reste mitigé…

Cette deuxième étude Individuelle Nationale des Consommations Alimentaire (INCA 2) a été menée entre fin 2005 et avril 2007. Réalisée auprès de 4 000 Français suivis pendant 7 jours, elle permet de dresser un tableau assez réaliste des habitudes alimentaires hexagonales.Premier constat : les adultes consommeraient plus de fruits et légumes, moins de sel et moins d’alcool qu’en 1999. Autre point positif, les apports énergétiques quotidiens se seraient stabilisés chez l’adulte. Cependant, tout n’est pas rose… Les Français ne bougent pas assez. Attention, au-delà du contenu de votre assiette, la santé passe aussi par une activité physique régulière.Si les adultes consomment en moyenne trois repas par jour, les jeunes adultes et les adolescents ne prennent pas systématiquement de petit-déjeuner… La ration quotidienne des Français serait tout de même de 2 200 kcal (1 855 kcal/j pour les femmes et 2 500 kcal/j pour les hommes).Comparées aux hommes, les femmes sont plus nombreuses à consommer des produits laitiers frais, du poisson, des fruits, de l’eau, des boissons non alcoolisées et des produits sucrés comme les biscuits, les pâtisseries, les glaces et le chocolat. Les hommes mangent davantage de viande, de charcuteries, de pommes de terre, de fruits secs et plus de boissons alcoolisées. L’étude montre aussi que les Français consomme de plus en plus de glace.En France, certaines habitudes alimentaires régionales sont soulignées. Concernant les matières grasses, les apports en acides gras saturés (comme le beurre) sont plus important dans le Nord et dans l’Ouest. Dans le Sud en revanche, c’est la vitamine E (dans l’huile) et les acides gras mono et poly-saturés qui arrivent en tête. Autre spécificité : les habitant du Sud consommeraient plus de fruits et légumes.INCA 2 montre également que le surpoids (avec un indice de masse corporelle entre 25 et 30) toucherait 40 % des hommes et 25 % des femmes tandis que 14 % des 3/17 ans seraient concernés (quels que soient leur âge et leur sexe). Enfin, 11,6 % des Français souffriraient d’obésité (IMC>30).Source : Dossier de presse Etude INCA 2006-2007, Afssa, 9 juillet 2009Click Here: cheap Cowboys jersey

“Kidnappés” de Miguel Angel Vivas : l’avant-première

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A l’occasion de la sortie du thriller espagnol “Kidnappés” de Miguel Angel Vivas le 30 novembre prochain, venez assister à une avant-première qui aura lieu au Nouveau Latina dans le cadre de Panic !Cinéma.

Synopsis

” Jaime, Marta et leur fille, Isabel, se préparent à fêter leur emménagement dans leur nouvelle villa quand brutalement, trois hommes cagoulés font irruption… En une nuit, leur vie va basculer.”

Quand ?

Le samedi 29 octobre à 22h.

Où ?

Cinéma Le Nouveau Latina – 20, rue du Temple – 75004 Paris

Williams recruits McLaren COO Simon Roberts as new managing director

Williams has appointed former McLaren chief operations officer Simon Roberts as its new managing director of F1.

The Grove-based outfit is strengthening its executive base by recruiting Roberts and establishing the new position of managing director that will include responsibility for the team’s design and development process, racing, factory operations and planning.

Roberts joined McLaren in 2003 as its operations director and general manager.

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    Axed F1 season could wipe out ‘an awful lot of teams’ – Williams

In 2009, Roberts was loaned to Force India for a year before returning to McLaren in 2010 to resume his role as operations director. In 2017, he was appointed chief operations officer, heading the Woking-based outfit’s engineering and factory operations.

Claire Williams, Deputy Team Principal of ROKiT Williams Racing said: “Simon will bring enormous experience and knowledge to the Williams team, and we are delighted that he is joining us when we head back to work after this long enforced F1 shutdown.

“He will lead a highly talented team that’s looking forward to designing and developing the next generation of Williams F1 cars.”

Roberts will join Williams on June 1st to take responsibility for F1 Technical, Operations and Planning functions, reporting to CEO, Mike O’Driscoll.

Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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