LA McDonald's Workers To Strike Over Sexual Harassment

LOS ANGELES, CA — Widespread sexual harassment across the fast food industry and especially at McDonald’s should leave a sour taste in your mouth, said organizers of a nationwide strike aimed at forcing the burger giant to revamp it’s handling of abuse complaints.

McDonald’s workers in Los Angeles will join co-workers across the nation in a 10-day strike to protest the company’s handling of sexual abuse complaints including widespread groping, lewd comments and propositions for sex, it was announced Monday. The strike is the first of its kind with employees at a nationwide chain walking out over sexual abuse.

The problem of sexual harassment in the fast food industry isn’t limited to the double arches, but the company is being called out for failing to address the problem, according to strike organizers. The employees will be asking for specific measures to address sexual harassment including — namely forming a committee to address sexual harassment, comprised of workers, representatives from corporate and franchise stores, and leaders of national women’s groups. The striking L.A. workers will be cooks and cashiers, according to a statement.

“This committee would chart a path forward to make sure nobody who works for McDonald’s faces sexual harassment on the job,” according to a workers statement.

It said the upcoming strike will be the first-ever nationwide walkout to protest sexual harassment and the first over the issue since 19-2, when garment workers at the Kalamazoo Corset Company walked off their jobs.

Tuesday’s strike will begin at noon, during the lunchtime rush in L.A., Chicago, Durham, Kansas City Missouri, Miami, Milwaukee, New Orleans, Orlando, San Francisco and St. Louis. In Los Angeles, the one restaurant targeted is the McDonald’s at 505 West Florence Ave.

McDonald’s workers said they’ve assembled a far-reaching coalition to support their effort, including #MeToo, Affirm LA, several SEIU locals, Bernie Brigade, LA Street Vendor Coalition, LA Tenants Union, California for Progress, Ice out of LA, LA Voice, Military Families Speak Out, Union de Vecinos and others.

The Sept. 18 walkout was called by members of local Fight for $15 Women’s Committees, which formed following the filing of EEOC charges in May, and approved in a nationwide strike vote Tuesday.

The EEOC charges filed in May came nearly two years after McDonald’s workers in the Fight for $15 filed 16 sexual harassment charges against the company. They show that despite the spotlight on the issue in Hollywood and the media, little has changed for the burger giant’ frontline workers, the statement said.

Nearly 20 leading national women’s groups joined the Fight for $15 in an open letter to McDonald’s in May, calling on the company to address sexual harassment. In the letter, which ran as a full-page advertisement in Crain’s Chicago, the groups wrote that McDonald’s faces a choice: combat sexual harassment in its stores or face a rejection of its brand by people of conscience.

In addition to demanding the formation of an anti-sexual harassment committee, striking workers will demand McDonald’s strengthen and enforce the zero-tolerance policy against sexual harassment outlined in its manual and in its franchisees’ policies, the statement said. Workers are also calling on the company to hold mandatory trainings for managers and employees and to create a safe and effective system for receiving and responding to complaints.

Sexual harassment is rampant in the fast-food industry, according to a 2016 survey by Hart Research Associates conducted for the National Partnership for Women and Families, the Ms. Foundation and Futures Without Violence, the statement said. Forty percent of female fast-food workers experience unwanted sexual behavior on the job.

The 2016 Hart Research survey also showed that 42 percent of women in the industry who experience unwanted sexual behavior feel forced to accept it because they can’t afford to lose their jobs, it added. The Hart Survey also reported that more than one in five women who face sexual harassment — 21 percent — report that, after raising the issue, their employer took some negative action, including cutting their hours, changing them to a less desirable schedule, giving them additional duties, and being denied a raise.

City News Service; Patch staffer Paige Austin contributed to this report. Photo: McDonald’s restaurant employees (Photo by David McNew/Getty Images)

Les Oméga 3 bons pour la vue

D’après une étude publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition, les Oméga 3 diminueraient le risque de problèmes visuels. Ces acides gras réduiraient le risque de Dégénérescence Maculaire Liée à l’Age (DMLA).

La DMLA est une maladie qui altère la macula, une petite zone située au centre de la rétine, responsable de l’acuité visuelle. Les personnes atteintes conservent une vision périphérique, mais elles perdent progressivement la vision centrale. Le risque de survenue de la maladie augmente avec l’âge : elle touche plus de 25 % de des plus de 75 ans. Une prédisposition génétique ou la consommation de tabac augmentent fortement les risques. C’est la première cause de cécité chez les personnes âgées. En France, près de 1,3 million de personnes sont concernées.
Les conclusions de la nouvelle étude montrent que la consommation d’Oméga 3 réduit de 70 % le risque de développer la DMLA. Déjà connus pour leurs effets sur le coeur et l’équilibre émotionnel, ces acides gras essentiels ont donc un nouveau bénéfice à leur actif : la vsion ! Mais il ne s’agit pas de n’importe quels oméga 3 : la population de l’étude consommait au moins une portion de poisson gras par semaine (saumon, thon rouge, hareng, maquereau, anguille, anchois, sardine…).
Pour mémoire, le Programme National Nutrition Santé (PNNS) recommande la consommation de poisson au moins deux fois par semaine.
Pour faire le plein d’oméga 3, on peut privilégier également les margarines et les huiles végétales (colza, noix, soja…).Source : American Journal of Clinical Nutrition, Vol. 88, No. 2, 398-406, August 2008

Héparines : fin des problèmes d'approvisionnement

Depuis fin août 2008, le retour à la normale de l’approvisionnement en héparine se confirme. L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé met ainsi fin au dispositif de surveillance de l’approvisionnement mis en place après la découverte de lots contaminés.

En avril 2008, la présence anormale de chondroïtine persulfatée (CP) dans de la matière première servant à la fabrication d’héparine sodique et d’héparine de bas poids moléculaire (HBPM – produits anticoagulants) provenant de Chine a conduit l’Afssaps à mettre en place une stratégie de gestion du risque tenant compte de l’exigence de continuité de l’approvisionnement du marché français, particulièrement impérieuse compte tenu de la place des héparines dans la thérapeutique. Plus de 20 000 patients français ont besoin de ce médicament, traités pour dialyse, infarctus, suite à une intervention chirurgicale ou encore pour des troubles veineux…Depuis fin avril 2008, seuls des lots de Lovenox® (énoxaparine) exempts de chondroïtine persulfatée (CP) peuvent être distribués en France. Cette mesure a provoqué des tensions globales sur l’approvisionnement en HBPM, sans qu’il ait toutefois été constaté de rupture d’approvisionnement complète. A la vue de ces éléments, l’Afssaps a fait procéder au retrait des dernières boîtes de Lovenox® restant sur le marché, contenant des traces de chondroïtine persulfatée et distribuées avant mai 2008.L’utilisation de Lovenox® dans les conditions préconisées par l’AMM (indications, posologie, voies d’administration) est donc de nouveau possible, en particulier, par voie intraveineuse (notamment dialyse) et sous-cutanée. Dans ce contexte, l’Afssaps a diffusé un message aux professionnels de santé pour les informer de ce retrait et du retour à la normale de l’approvisionnement global en HBPM. Enfin, l’Afssaps a renforcé les exigences relatives au contrôle de pureté des matières premières d’héparine qui s’imposent désormais à l’ensemble des fabricants d’héparine et d’HBPM.Source : communiqué de presse Afssaps, 22 septembre 2008

L'origine génétique de la calvitie

Vous souffrez de calvitie ? Il se pourrait bien que vos parents vous aient transmis cet héritage, au même titre que la couleur de vos yeux et de vos cheveux. Une équipe européenne de chercheurs vient de mettre à jour deux variantes génétiques qui multiplieraient par sept le risque de calvitie.

Jusqu’à présent, on pensait que la calvitie était due à un excès d’hormones mâles. Et bien, les études indépendantes publiées dimanche 12 octobre sur le site de la revue britannique “Nature genetics“ viennent contredire cette certitude. Les deux groupes conduits par Axel Hillmer (université de Bonn) et Tim Spector (King’s College de Londres) ont trouvé des variantes chromosomiques qui pourraient provoquer la calvitie chez les hommes mais aussi chez la femme.Les deux études ont été menées sur 1421 hommes européens souffrant de calvitie. Et ceux qui présentaient à la fois une variation du chromosome X et d’une variation du chromosome 20, ont vu leur risque de perdre leurs cheveux multiplié par sept !Pour Tim Spector, “prédire la calvitie avant qu’elle n’apparaisse peut mener à des thérapies plus efficaces que lorsque l’on traite la perte de cheveux elle-même“. Sachant que la calvitie affecte 40 % d’hommes et de femmes, le chercheur n’a pas à se faire de cheveux blancs quant à l’intérêt que va susciter les résultats de son étude.Source : Nature Genetics – Published online: 12 October 2008Click Here: Cheap QLD Maroons Jersey

Bachelot présente son projet de loi sur l'hôpital

La Ministre de la Santé Roselyne Bachelot a présenté le 22 octobre son projet de loi “Hôpital, patients, santé et territoire“. Le texte prévoit une réorganisation du système de soins et une nouvelle répartition des établissements hospitaliers et des médecins en France.

Principaux objectifs de ce projet de loi sur les hôpitaux : regrouper les moyens des hôpitaux, reconvertir les petites maternités et les services de chirurgie modestes en centres de séjour et lutter contre la désertification médicale.La Ministre de la Santé entend aussi durcir la législation sur la vente d’alcool qui sera interdite aux mineurs jusqu’à 18 ans et non plus 16 ans.La réorganisation du système de soins est censée optimiser la répartition des médecins et des hôpitaux sur le territoire. La réforme crée des communautés hospitalières de territoire : mise en commun des moyens de plusieurs établissements autour d’un centre de référence. Celui-ci disposera d’un plateau technique de haut niveau tandis que les autres établissements devront transformer leurs services de chirurgie ou de maternité les moins performants. Ils s’occuperont des soins de suite après les opérations chirurgicales, la prise en charge des personnes âgées ou dépendantes.Ces rapprochements se feront sur la base d’un “volontariat incité“ grâce à la dizaine de milliards d’euros de subvention prévus dans le Plan Hôpital 2012. Le but ? Rationaliser la gestion et améliorer de la qualité des soins mais aussi limitater les coûts de l’hôpital.Les Agences Régionales de Santé (ARS), dont la mise en place est envisagée début 2010, rassembleront tous les acteurs de la Santé au niveau régional. Elles poursuivront ainsi la régionalisation du système de santé commencée dans les années 1990, avec des nouveautés : champ de compétence étendu à la médecine libérale, pilotage du secteur médico-social (personnes âgées et handicapées) et compétences en matière de santé publique.Autre volet du projet de loi : une meilleure organisation de la médecine de “premier recours“ et de la permanence des soins, en valorisant la médecine générale. Pour lutter contre la désertification des zones rurales et des banlieues, le projet de loi mise sur l’exercice de groupe et aidera à financer des “maisons de santé“. Les médecins s’installant souvent à l’endroit où ils ont étudié, il est prévu de définir le nombre d’étudiants à former, par territoire et par spécialité, en partant des besoins identifiés au niveau local.Ce projet de loi sera discuté début 2009.Source : conférence de presse Ministère de la Santé, 22 octobre 2008Photo : Ministère de la santé

Diabète : 2,5 millions de Français traités

Près de 4 % des Français sont actuellement traités pour un diabète, contre 3,6 % en 2005 et 2,7 % en 2000. Ces chiffres traduisent une progression allant au-delà des prévisions de ce que les experts nomment l’épidémie de diabète, en particulier chez les plus de 60 ans.

Pour parvenir à ce résultat, les auteurs de l’étude de l’Institut de Veille Sanitaire ont analysé les données de remboursement de 56,5 millions de personnes affiliées au régime général de la Sécurité Sociale. Les 2,5 millions de personnes diabétiques traitées en 2007 représentaient donc 3,95 % des patients, chiffre variant énormément en fonction de l’âge : 0,4 % de 0 à 44 ans; 5,8 % de 45 à 64 ans, 13,3 % de 65 à 74 ans, 13,4 % chez les plus de 75 ans.
Cette analyse a également permis de souligner les différences entre les différentes régions françaises. Ainsi les diabétiques sont plus nombreux dans le quart nord-est de la France, en Seine Saint Denis (5,1 %, alors qu’il n’y a que 2,9 % de diabétiques à Paris, 3,4% dans les Hauts de Seine…) et surtout dans les territoires d’Outre-Mer, à la Réunion (7,8 %), en Guadeloupe (7,3 %) et en Martinique (6,8 %). Ces variations géographiques sont probablement dues à des risques héréditaires différents, des conditions socio-économiques défavorables et des modifications plus rapides du mode de vie.
De manière globale, cette augmentation impressionnante du nombre de patients diabétiques traités est attribuée logiquement par les auteurs à la progression du surpoids et de l’obésité ainsi qu’au vieillissement de la population, même si l’augmentation du dépistage et de l’espérance de vie des patients diabétiques (en raison de l’amélioration des traitements) relativisent légèrement cette hausse. Ces chiffres élevés rejoignent ceux des Etats-Unis à la fin des années 90, faisant craindre une poursuite de l’épidémie.
Alors que dans 2 jours aura lieu la Journée Mondiale du diabète, ces chiffres rappellent donc opportunément la nécessité d’une politique de santé publique reposant sur une stabilisation du surpoids et de l’obésité en France : mieux maîtriser l’offre alimentaire, en particulier pour les enfants qui prennent facilement de mauvaises habitudes (l’interdiction envisagée des publicités télévisées pour les produits gras et sucrés dans les émissions enfantines serait par exemple un premier pas, de même que la présence de fruits à croquer dans les distributeurs scolaires), encourager l’activité physique, concentrer les efforts publics sur les personnes de plus de 60 ans et sur les zones géographiques particulièrement touchées.Bien manger et bien bouger sont les deux meilleures armes non médicamenteuses contre le diabète, qu’on ait 7 ou 77 ans ! Source : Institut de Veille Sanitaire, Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire n°43, 12 novembre 2008.

Vieillir en bonne santé : les Européens inégaux

Une étude réalisée dans le cadre de l’Observatoire européen des espérances de santé montre de fortes disparités entre les pays européens. Dans dix pays de l’Union Européenne, “l’espérance de vie en bonne santé ou sans incapacité“ est inférieure à 65 ans. De quoi s’interroger sur le projet d’allongement de la durée du travail…

L’espérance de vie dans l’Union Européenne en 2005 était de 78 ans en moyenne chez les hommes et de 83 ans chez les femmes, avec des disparités. A 50 ans, un Italien ou un Suédois pouvaient espérer vivre jusqu’à 80 ans, contre seulement 71 ans pour un Letton ou un lituanien. Pour les femmes, l’espérance de vie était la plus importante en France, Italie et Espagne, d’environ 85 ans et la plus faible en Estonie et en Hongrie (79 ans).Les disparités se creusent encore plus lorsqu’on compare l’espérance de vie “en bonne santé“ ou sans incapacité. Cette étude montre qu’en Europe, les hommes vivent en moyenne sans ennui de santé jusqu’à 67 ans et 7 mois et les femmes jusqu’à 69 ans. Mais, dans 10 pays, cette espérance de vie en “bonne santé“ est inférieure à 65 ans.Les ressortissants des 15 Etats membres les plus “anciens“ de l’Union Européenne ont en général une espérance de vie et une espérance de vie “en bonne santé“ plus longues que les derniers entrants. Un fort produit intérieur brut (PIB) et des dépenses de santé élevées sont associés à une meilleure santé des personnes après 50 ans. Chez les hommes, le chômage de longue durée, des études courtes et un faible niveau d’éducation générale seraient responsables d’une moins bonne santé en vieillissant.Ce qui fait dire aux chercheurs ayant réalisé cette étude : “sans amélioration de l’état de santé des personnes vieillissantes, repousser l’âge de départ à la retraite sera difficilement réalisable pour certains pays de l’Union Européenne“.Rappelons que les députés français viennent d’adopter une mesure autorisant les salariés à travailler jusqu’à 70 ans, suscitant ainsi des inquiétudes quant à une possible remise en question de la retraite à 60 ans.Source : Revue médicale The Lancet, 17 novembre 2008

Sécurité routière : constat en demi-teinte

Les mesures de répression et les campagnes d’informations gouvernementales pour la sécurité routière ont-elles eu un impact réel sur le comportement des automobilistes ? Les derniers résultats d’une étude réalisée par les chercheurs de l’Inserm sur plus de 11 000 personnes entre 2001 et 2004 dévoilent que les limitations de vitesse sont les seules à être effectivement respectées. L’application des recommandations vis-à-vis de la consommation d’alcool et de l’utilisation du téléphone portable est moins évidente.
Dès 2002, l’accroissement des mesures d’information et de répression décidée par le gouvernement a permis de diminuer très significativement la mortalité routière en France, avec une baisse historique de plus de 40 % en 5 ans. De 2001 à 2004, les chercheurs du Centre de Recherche en épidémiologie et biostatistique de l’Inserm à Bordeaux ont étudié le comportement au volant de plus de 11 000 volontaires salariés et retraités afin de mettre en évidence les causes sous-jacentes de cette baisse de la mortalité.
Il apparaît ainsi qu’entre ces deux périodes il y a eu :- Diminution des excès de vitesse et des accidents qui leur étaient attribuables en ville, sur les routes et autoroutes ;- Pas de baisse sensible de la conduite en état d’ivresse. Pourtant favorables à l’idée d’un renforcement des contrôles d’alcoolémie, ces conducteurs corrigent difficilement leurs habitudes de consommation et les chiffres des accidents attribuables à la conduite en état d’ébriété ne baissent pas ; – La somnolence au volant reste un problème préoccupant. Pour les chercheurs, il apparaît aujourd’hui nécessaire de développer des campagnes de communication et de sensibilisation de grande ampleur sur ce sujet, et ce, même en dehors des périodes de grands départs en vacances ; – L’utilisation du téléphone portable au volant a fortement diminuée mais reste impliquée dans un grand nombre d’accidents corporels. A ce sujet, du 30 novembre au 21 décembre 2008, une campagne de prévention nationale souligne que téléphoner en conduisant multiplie par 5 les risques d’accident.  

Sécurité routière – Téléphoner en voitureSource : Communiqué de l’Inserm – Communiqué de la sécurité routière – novembre 2008

Nuxe ouvre un nouveau Spa à Paris

Et de trois ! Forte de son succès avec ses 2 précédents spas, la marque Nuxe ouvre un troisième lieu dédié à la volupté et au bien-être dans l’ouest parisien. C’est dans un écrin chic et luxueux, à deux pas de la Tour Eiffel, que le nouvel espace va ouvrir ses portes le 15 décembre prochain : à l’hôtel Square.

Dès le 15 décembre, le nouveau spa Nuxe prend ses quartiers au coeur du complexe Square qui fait partie de la chaîne Small Luxury Hotels of the World, une chaîne hôtelière qui regroupe les plus beaux exemples d’architecture. C’est dans ce décor élégant et contemporain que la marque a choisit d’ouvrir un nouveau spa de 200 m².
Le nouveau spa Nuxe conserve les codes qui font son succès, à savoir : simplicité et raffinement, authenticité et modernité. Les formes y sont douces, les matières et couleurs nobles (blanc, ivoire, or). Cinq cabines de soins visage et corps vous attendent dans une ambiance chaleureuse. Vous vous ferez chouchouter avec les grands classiques de la marque mais aussi un nouveau massage spécialement développé pour Nuxe : le massage “Kashmir Zébra“, qui éliminera fatigue, stress et tensions grâce à des techniques profondes inspirées du massage indien. Objectif : sensualité, plaisir et délicatesse absolue pour une évasion unique et inoubliable.
Source : Communiqué Nuxe – Décembre 2008
Click Here: camiseta boca juniors

Les Françaises, championnes des naissances

Avec près de deux enfants par femme (1,98 exactement) en âge de procréer, la France est en tête des pays européens pour la natalité. Autres constatations : l’âge moyen des mères a tendance à augmenter et, dans la moitié des cas, les enfants naissent hors mariage. Découvrez les principaux chiffres de cette nouvelle étude de l’Insee.

Selon les chiffres du dernier recensement, la France compte désormais 63 185 925 habitants, ce qui la place derrière l’Allemagne mais devant l’Italie et la Grande-Bretagne. La croissance de la population en France, deuxième pays de l’Union européenne en nombre d’habitants, s’explique principalement par une forte natalité à la différence des autres pays européens, dont les populations continuent à croître surtout en raison de l’arrivée de nombreux immigrés.816 500 naissances ont été enregistrées en France en 2007. Un nombre qui n’a cessé de croître : 741 500 naissances en 1994, puis 776 548 en 1999. Le cap des 800 000 a été franchi en l’an 2000 avec 808 249 bébés. Depuis, la natalité se maintient à un niveau très élevé. La France devance tous les autres grands pays européens.Depuis 2006, plus de la moitié des naissances (50,5 %) sont le fait de couples non mariés. Dix ans auparavant, cette proportion était d’à peine 40 %. Autre observation : l’âge moyen des mères mettant un enfant au monde a tendance à augmenter, passant de 28,8 ans en 1994 à 29,8 en 2007, soit un an de plus en une décennie.Cependant, il ne faut pas exagérer le phénomène : 95 % des bébés sont mis au monde par des mères âgées entre 20 et 40 ans, avec une hyper-concentration sur la tranche 25-35 ans. Au delà de 40 ans, les naissances demeurent rares : seulement 4,6 % des quadragénaires ont eu un enfant en 2007 (contre 3 % dix ans plus tôt). Malgré la crise, 2009 devrait voir encore de nombreuses naissances !Source : Insee, janvier 2009Click Here: camiseta boca juniors