Live Impeachment: Sondland Testifies There Was 'Quid Pro Quo'

WASHINGTON, DC — In the most anticipated hearing of the public House impeachment inquiry into President Trump to date, Gordon D. Sondland, the ambassador to the European Union, has testified that quid pro quo did occur between the United States and Ukraine.

“Fourth, as I testified previously, Giuliani’s requests were quid pro quo for arranging a White House visit for President Zelensky,” he said. “Mr. Giuliani demanded that Ukraine make a public statement announcing investigations of the 2016 election/DNC server and Burisma. Mr. Giuliani was expressing the desires of the president of the United States, and we kew these investigations were important to the president.”

The distinction needs to be made, though, that Sondland also testified that he never heard President Trump explicitly direct for the quid pro quo.

Trump recently released a response to Sondland’s testimony through the White House’s twitter page.

Sondland also stated that “everyone” was aware of the quid pro quo, and he indicated that included White House chief of staff Mick Mulvaney, Secretary of State Mike Pompeo and Vice President Pence.

Rudy Giuliani, who has been a central figure in Sondland’s testimony, also took to twitter to push back against Republican lawyer Stephen R. Castor, who asked a long list of questions in Wednesday’s hearing.

Sondland’s testimony stretched out until nearly 4 p.m. Wednesday, after it started at 9 a.m. and was scheduled to finish closer to 2 p.m.

Laura K. Cooper, a deputy assistant defense secretary, and David Hale, the under secretary of state for political affairs, will testify together in the afternoon session.

Sondland kept Secretary of State Mike Pompeo apprised of his efforts to pressure Ukraine’s leaders to commit publicly to investigations Trump wanted, two people briefed on the matter told The New York Times in a story published Wednesday.

Sondland informed Pompeo in mid-August about a draft statement that Sondland and another American diplomat had worked on with the Ukrainians that they hoped would persuade Trump to grant Ukraine’s new president the one-on-one meeting he was seeking, the people said, speaking to the Times on the condition of anonymity because the discussions were intended to be private.

The disclosures tie Pompeo more directly than was previously known to the Trump administration’s pressure campaign on Ukraine, the Times reported.

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Les savons antibactériens pas plus efficaces que les savons ordinaires

Les savons antibactériens à base de triclosan, un produit controversé, ne sont pas plus efficaces qu’un savon ordinaire pour éliminer les bactéries qui souillent les mains dans la vie réelle, selon une étude publiée mercredi dans une revue spécialisée.

L'effet bactéricide des savons antibactériens n'est pas supérieur à celui du savon ordinaire.

Pour démontrer cette absence de différence, l’équipe conduite par le docteur Min-Suk Rhee de la Korea University de Séoul a examiné les effets du

triclosan, l’

antiseptique le plus courant dans les savons antibactériens, sur les bactéries de deux manières.Effet du triclosan sur les bactéries et les mains contaminéesLes chercheurs, dont les travaux sont publiés dans The Journal of Antimicrobial Chemotherapy, ont testé cet ingrédient chimique d’une part sur 20 souches de bactéries (par exemple, E.Coli, salmonelles, staphylocoques dorés…) et d’autre part sur 16 volontaires adultes. Ils ont comparé l’efficacité respective des savons ordinaires et antibactériens pour débarrasser leurs mains des microbes qui s’y trouvaient.Pour leurs tests sur les savons antibactériens, les chercheurs ont utilisé une concentration de triclosan à 0,3%, maximum autorisé dans l’Union Européenne, au Canada, en Australie, en Chine et au Japon. Ils ont ainsi exposé les bactéries au triclosan durant 20 secondes à 22 degrés Celsius (température ambiante d’une pièce) et à une température plus chaude, recréant les conditions d’un lavage des mains dans la vie courante en laboratoire.Les volontaires pour leur part, après s’être abstenus de recourir à des savons antibactériens pendant une semaine au moins avant le test comparatif, ont lavé soigneusement leurs mains pendant 30 secondes avec les deux types de savon et les ont rincées à l’eau très chaude. Des bactéries avaient été préalablement déposées sur leurs mains.Pas de différence de l’effet bactéricideLes auteurs concluent qu’il n’y a “aucune différence significative entre les effets bactéricides d’un savon ordinaire et ceux d’un savon antibactérien lorsqu’on les utilise dans les conditions de la vie réelle“.Toutefois, les chercheurs admettent que le triclosan a un effet bactéricide nettement meilleur mais seulement  au bout de neuf heures en laboratoire à ces faibles concentrations, mais pas après le court laps de temps consacré à un lavage des mains dans la vie quotidienne.Le triclosan, un produit cher et potentiellement nuisibleLe triclosan est un agent bactéricide utilisé de longue date dans de nombreux produits d’hygiène (savons, dentifrices, déodorants…) et cosmétiques. Il est en outre considéré comme un

perturbateur endocrinien.“Des millions de consommateurs aux Etats-Unis utilisent des savons antibactériens pour se laver les mains ou le corps, dépensant près d’un milliard de dollars par an“, notent les chercheurs. Ils en attendent une protection contre les agents infectieux pathogènes supérieure à celle conférée par les savons ordinaires, regrettent les auteurs.Ces derniers relèvent aussi que nombre des producteurs, en raison des controverses sur les risques sanitaires et le manque d’efficacité du triclosan, l’ont retiré de leurs produits. Seuls 13 des 53 savons antibactériens étudiés en 2014 en Corée en contenaient.Après la parution d’études liant le triclosan à des cas de

résistance aux antibiotiques  et de dérèglements hormonaux,

dont une étude américaine publiée en 2013, les autorités sanitaires américaines ont décidé de réexaminer son innocuité. Ce qui pourrait aboutir, une fois ce processus achevé, à des restrictions de son usage.AFP/RelaxnewsSource : Bactericidal effects of triclosan in soap both in vitro and in vivo – Kim S. A., Moon H., Lee K., Rhee M. – The Journal of Antimicrobial Chemotherapy – First published online: September 15, 2015 (

abstract accessible en ligne)

4 bonnes raisons de pratiquer la randonnée

Accessible à tous et peu chère, la randonnée est un excellent moyen de faire de l’exercice et de brûler des calories, de rester en bonne santé, d’avoir l’esprit clair et de passer du temps avec la nature.

La randonnée réduit le stress et favorise la concentration et la créativité. © Paolo Cipriani/Istock.com

Un porte-monnaie allégéLa randonnée est un excellent moyen pour passer des vacances sportives et économiques, en famille ou entre amis, et même avec son animal de compagnie. Inutile de mettre la barre trop haut en choisissant un parcours trop compliqué. En forêt, montagne comme en bord de mer, chacun peut adapter sa capacité physique et profiter du paysage en brûlant des calories.Un esprit apaiséNotre cerveau aime la randonnée pour le bien-être psychologique qu’elle procure. Une étude publiée en 2015 dans Proceedings of the National Academy of Sciences a montré que les personnes qui avaient marché 90 minutes en pleine nature avaient des pensées moins négatives et une activité neuronale plus réduite dans le cortex préfrontal subgenual – une zone du cerveau liée à la maladie mentale – que ceux qui avaient marché en milieu urbain.Une créativité au topMarcher au grand air permet de faire une véritable digital detox. Le temps passé ainsi dans la nature, privé de toute technologie et de bruits perturbateurs peut réduire le stress et aussi stimuler la créativité et la pensée complexe. En 2012, des chercheurs anglais ont constaté que la performance sur les tâches nécessitant la résolution de problèmes avait été améliorée de 50% pour les participants qui ont passé plusieurs jours dans un environnement naturel.Une concentration amélioréeUne concentration en berne et du mal à contrôler ses pulsions ? Bouger au grand air peut se révéler bénéfique. Pour des enfants atteints d’un trouble d’hyperactivité de déficit d’attention (TDHA) qui ont des difficultés à rester concentrés, les “activités de plein air” peuvent réduire considérablement leurs symptômes, selon une étude américaine menée en 2004.

Bloquer la dissémination des cellules cancéreuses

Pour la première fois, des scientifiques pensent avoiridentifié comment les cellules cancéreuses du seinquittent cet organe pour coloniser d’autres parties du corps.Tant que les tumeurs cancéreuses sont bien localiséesau niveau du sein, les chances de réussite des traitementssont élevées. Elles diminuent de manièreimportante si des métastases apparaissent au niveau desganglions lymphatiques ou d’autres tissus. La manièredont les métastases parvenaient au systèmelymphatique restait mystérieuse.
On savait déjà que certaines tumeurs sont capables degrossir en augmentant leur propre réseau de vaisseauxsanguins. Selon des chercheurs du Massachussetts General Hospital,les cellules cancéreuses quittent la masse cancéreusepar leur propre système lymphatique. Les chercheurs onttrouvé une corrélation entre le nombre de cesvaisseaux et le nombre de métastases au niveau des ganglionslymphatiques et des poumons. L’identification de cemécanisme pourrait permettre de diagnostiquer le risque dedissémination des cellules cancéreuses et àmoyen terme de les bloquer.
Source : Nature Medicine, February 2001 Volume 7Number 2 pp 192-198Click Here: cheap nrl jerseys

Un chat à la maison pourrait réduire le risque d’asthme chez l’enfant

Les enfants qui vivent en présence d’un chatpourraient développer une réponse immunitaire quipréviendrait le développement de l’asthme. Uneéquipe américaine de l’Université deVirginie a étudié la réponse immunitaire de226 enfants âgés de 12 à 14 ans (dont 47asthmatiques) aux allergènes du chat et aux acariens. Leschercheurs ont trouvé que quelques enfants avaientdéveloppé une tolérance vis-à-vis desallergènes du chat grâce à un type particulierd’anticorps. Certains exposés aux allergènes duchat durant de longues périodes pouvaient mêmedévelopper un effet protecteur contre l’asthme. Unniveau d’exposition élevé peut soit engendrerun effet protecteur, soit représenter un facteur de risque.D’autres facteurs interviennent : génétiques,environnementaux, etc. Vous n’éliminerez donc pasforcément le risque d’asthme chez votre enfant encongédiant votre matou.
Source : Lancet 2001 ; 357 : 752-56Click Here: cheap all stars rugby jersey

Détecter les vaches folles de plus en plus tôt !

Un nouveau test de dépistage de l’encéphalitespongiforme bovine (ESB), plus précis et plus efficace queceux actuellement disponibles, devrait bientôt voir le jour.C’est le résultat de recherches menées par unscientifique suisse et publiées dans la trèssérieuse revue Nature.
Le procédé utilisé par les chercheurspermettrait de détecter des quantités infimes deprion, l’agent responsable de la maladie de la vache folle.Il agit comme une “photocopieuse“ chimique. Si un prion se trouvedans le prélèvement, il sera aussitôt reproduiten plusieurs milliers d’exemplaires, devenantdétectable. Ainsi, le test pourrait êtreréalisé à partir de simples prises de sang, aulieu de prélèvements de tissus nerveux. Leprocédé pourrait révélerprécocement un cas d’ESB dans un troupeau, bien avantl’apparition des premiers symptômes.
Rappelons que la maladie de la vache folle est liée àl’apparition chez l’homme d’une variante de lamaladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ). Celle-ci a déjàentraîné la mort de trois personnes en France et de 78Outre Manche.
Source : Nature, juin 2001, vol. 411, p. 811– 813.Click Here: cheap all stars rugby jersey

Des globules rouges à la pelle…

Une équipe de chercheurs français a réussià produire 500 000 globules rouges à partird’une seule cellule. Prélevée dans le cordonombilical, la cellule utilisée est une cellule souchehématopoïétique capable de se multiplier entoutes les cellules sanguines.
Click Here: Cheap FIJI Rugby JerseyLes scientifiques ont ainsi réussi à influencer ledevenir de cette cellule, à la guider pour qu’elle sedivise et se transforme en précurseurs de globules rouges.Cette technique est un réel progrès car lesprécédentes techniques de productionn’offraient que quelques centaines de cellules. De plus, lecaractère immature des cellules obtenues permet uneconservation et un stockage aisé (possibilité decongélation). Cette technique pourrait permettre dans unproche avenir une production d’hématies compatiblesavec les besoins transfusionnels et alimenter de véritablesbanques du sang. Seule restriction, ces globules rouges ne serontpas utilisables en urgence, car ils ne deviennentopérationnels que deux jours après l’injection.

Les femmes mangent mieux, c’est physiologique !

Les femmes mangent mieux que les hommes, vous l’avezcertainement constaté. Au restaurant par exemple, Monsieurchoisit volontiers le confit alors que Madame opte pour une saladeparisienne… Est-ce les conseils nutritionnels des magazinesféminins qui les aident à faire les bons choix etmanger équilibré ? Pas du tout ! C’est unequestion de stimulation nerveuse et hormonale !
C’est du moins la conclusion d’une étude dechercheurs américains présentée lors duCongrès de la Société américaine dePhysiologie. Ceux-ci ont étudié la stimulation dunerf vague, qui relie notamment le cerveau àl’appareil digestif, chez des femmes et des hommes lorsd’un bon repas.
Résultat : chez les hommes, la stimulation de ce nerf sembleindispensable à une digestion efficace, alors que chez lafemme il ne semble pas intervenir. De plus, lessécrétions de différentes hormones, etnotamment d’insuline, augmenteraient chez l’homme justeaprès avoir mangé mais resteraient stables chez lafemme. Ainsi, les mécanismes hormonaux et nerveux lors de laprise de repas changent complètement selon les sexes. Pourles scientifiques, ce phénomène influerait sur lecomportement. Cette différence dans la digestionentraînerait ainsi une divergence des choixalimentaires… Messieurs, si votre compagne vous reproche devous gaver de plats en sauces ou de pizza, vous pourrez luirépondre : “Ce n’est pas de ma faute, c’est monnerf vague…“.
Source : Société américainede Physiologie

Infertilité masculine : deux nouvelles pistes

Deux récentes découvertes pourraient apporter unnouvel éclairage sur l’origine et le possibletraitement de certaines infertilités masculines. Deschercheurs allemands viennent de mettre en évidence lerôle d’un virus de la famille des parvovirus.Nommé AAV, ce virus a besoin de la machinerie organiqued’un autre virus pour se reproduire. Trèsrépandu dans le monde, ce virus estgénéralement considéré comme nonpathogène, bien que de précédentesétudes l’aient relié avec une augmentation durisque de fausse-couche. En étudiant le sperme de 73 hommesconsultant pour des problèmes de fertilité, labiopsie testiculaire de 38 hommes stériles et le sperme de22 sujets fertiles, le virus AAV a étédétecté dans 38 % des éjaculatsprésentant des analyses anormales et dans 4,6 % des analysesnormales. L’ADN du virus était retrouvé dans 10des 38 biopsies d’hommes infertiles. Selon les scientifiques,il pourrait interférer avec la spermatogenèse(formation des spermatozoïdes).
Autre voie de recherche : la piste génétique. Unemutation génétique pourrait être responsable de5 à 10 % des cas d’infertilité masculine. Lamutation du gène POLG affecterait les mitochondries desspermatozoïdes. Véritable usine àénergie, ces composants cellulaires permettent auxspermatozoïdes de nager suffisamment vigoureusement pourqu’au final, un spermatozoïde soit capable de fertiliserl’ovule. Les chercheurs estiment que 2 % de la population estporteuse de cette mutation et qu’elle pourrait expliquerprès de 10 % de tous les cas d’infertilitémasculine, excluant cependant les cas d’azoospermie (absencede spermatozoïde dans l’éjaculat).
Un test virologique sur le sperme et un dépistagegénétique pourrait ainsi épargner à denombreux couples infertiles la succession d’échecs encas de recours à la procréation médicalementassisté.
Source : Hum Reprod 2001 Nov;16(11):2333-2337
Nature Genetics, 22 october 2001, vol.29N°3, pp261-262Click Here: st kilda saints guernsey 2019

Premier vaccin contre le staphylocoque doré

Le staphylococcus aureus est l’une des bactéries lesplus résistantes aux antibiotiques. Chaque année, desmilliers d’infections graves interviennent en milieuhospitalier, où la muporicine et la méthicilline, desantibactériens courants, ne sont plus capables de venirà bout de certaines souches de staphylocoques dorés.La recrudescence des cas de bactéries résistantes auxantibiotiques conduit les scientifiques à rechercher denouveaux composés antimicrobiens et la mise au point devaccin.
La mise au point d’un vaccin contre le staphylocoquedoré est ainsi accueillie comme une très bonnenouvelle par la communauté médicale. Uneéquipe américaine a conduit des essais sur 1 804personnes sous hémodialyse (purification du sang pour lespatients souffrant d’insuffisance rénale).Résultat : le vaccin de la compagnie biopharmaceutiqueaméricaine Nabi a réduit le risque de contaminationde 57 % chez ces personnes à risque. Toutefois, on doitnoter un bémol : l’efficacité n’estsignificative que durant quarante semaines. Au-delà, laréponse des anticorps diminue.
Les chercheurs jugent cependant cette découverte trèsencourageante. Selon eux, si le vaccin a permis d’obtenir uneréponse partielle chez des patientshémodyalisés (donc moins susceptibles dedévelopper une réponse immunitaire),l’efficacité du vaccin devrait au moins êtreidentique voire supérieure sur une autre population depatients.
Source : NEJM, Volume 346:491-496, 14février 2002, N°7