Tarzan: les différents visages d’un « bon sauvage »

En 1918, il incarne Tarzan dans Tarzan Chez Les Singes. Il se glisse dans la peau de ce personnage pour quatre films, jusqu’en 1921. Cette expérience marque pour lui le passage du cinéma muet au cinéma parlant. Par la suite, il obtiendra surtout des rôles de figurations.

Il a également connu les débuts de Tarzan au cinéma puisqu’il fait partie du casting de Tarzan Chez Les Singes, mais en tant que doublure d’Elmo Lincoln. Il prendra sa place dés 1921 dans Les Dernières Aventures de Tarzan de Robert Hill.

Il est ici aux côtés de Natalie Kingston dans Tarzan The Mighty de Jack Nelson et Ray Taylor en 1928.

Son nom vient à l’esprit dés que l’on évoque le rôle de Tarzan à l’écran. Le nageur double champion olympique en 1924 et 1928 est celui qui incarne Tarzan dans la durée: entre 1918 et 1932, dans plus de douze films. Mais en plus, il lui a donné une nouvelle étoffe: le cri qu’il invente sera associé à jamais au super-héros Tarzan.

Autre nageur, également champion olympique – décidément!- en 1932, il a certainement été très impressionné par son collègue de bassin chloré Johnny Weissmuller, pour désirer à ce point marcher dans ses traces.

Il incarne Tarzan le temps d’un épisode: Tarzan L’Intrépide, en 1933. Sa filmographie contient également un rôle dans Flash Gordon en 1933.

Quel honneur! Glenn Morris est ici pris en photo alors qu’il serre la main du créateur de son personnage: Edgar Rice Burroughs.

Cela lui sera peu utile pour perdurer en tant que Tarzan, puisqu’il ne joue que dans La Revanche de Tarzan de D. Ross Ledermann, en 1938.

Il a été plombier, cow boy, vendeur de machines agricoles, et… Tarzan. A la fin des années 50, il est remarqué par le producteur Sol Lesser, qui a vu passer plus de 200 candidats au rôle de Tarzan. Le producteur aurait notamment été impressionné par la taille du biceps de Gordon Scott: 48 cm de circonférence!

Scott incarne Tarzan de 1955 à 1960, notamment dans Tarzan Le Magnifique de Robert Day en 1960.

Dans Tarzan, L’Homme Singe, (1981) Miles O’Keeffe joue un personnage qui n’avait jamais été raconté du point de vue féminin. Ici, c’est Jane qui livre sa vision de l’histoire, interprétée par la belle Bo Derek.

Un carton pour Christophe Lambert! Greystoke, La Légende De Tarzan en 1984, est sûrement l’un des films les plus marquants dans la carrière du Français, avec Subway et Highlander.

L’un des héros de Starship Troopers, Casper Van Dien a incarné Tarzan en 1998 dans Tarzan Et La Cité Perdue. Le pitch? Tarzan apprend à la veille de son mariage que son pays natal est en danger. Le beau Casper se met donc en route pour sauver la jungle, au grand désespoir de sa future femme.

En 2001, c’est Tony Goldwyn qui prête sa voix à Tarzan dans le film d’animation de Disney. Toujours musclé et chevelu, Tarzan n’a pas fini de faire partie des imaginaires collectifs…

Créé en 1912 par Edgar Rice Burroughs, Tarzan a traversé l’histoire comme l’un des permiers super-héros, protégeant la jungle et vivant en harmonie avec la nature.

Personnage mythique, il a rendu célèbre de nombreux acteurs, et ses aventures n’ont cessé d’être exploitées à l’écran tout au long du XXe siècle.

A l’heure de l’ouverture de l’exposition Tarzan au Quai Branly, visitez notre galerie photo des incarnations de Tarzan.

Camille Choteau

Mardi 16 juin 2009

Animaux : quand l’homme découvre de nouvelles espèces

Le singe Skywalker de Birmanie est un gibbon au regard tendre qui fait partie des 157 nouvelles espèces découvertes l’année dernière. Comme ses cousins, filmés au Laos, ce primate doit son surnom à son agilité à rebondir d’arbre en arbre. La région du Mékong, en Asie du Sud-Est, abrite la plupart des découvertes, comme une chauve-sourie blonde et coiffée en brosse ou encore un poisson-chat, baptisé Pancake. Chaque année, des dizaines d’espèces sont repérées et l’inventaire est loin d’être terminé.Le crapaud Elfina“On connaît aujourd’hui grosso modo 2 millions d’espèces, on pense que le nombre réel à la surface de la planète est entre 6 et 10 millions”, explique Philippe Bouchet, professeur au Museum d’histoire naturelle de Paris. L’an passé, les scientifiques ont aussi découvert des espèces végétales. Autre trouvaille, un crapaud baptisé Elfina, en référence à une créature du Seigneur des anneaux. Mais ces petits nouveaux sont souvent déjà menacés d’extinction. Un tiers des espèces de la planète pourrait disparaître dans les deux prochains siècles.Le JT

  • JT de 13h du mardi 18 décembre 2018 L’intégrale

Les autres sujets du JT

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    “Gilets jaunes” : un grand débat en question

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    Référendum d’initiative citoyenne : le modèle italien

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    Des ONG attaquent l’État français pour inaction climatique : le précédent néerlandais

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    Commerces : le “cash back” ou comment retirer de l’argent à la caisse

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    Moselle : la tradition des boules de Noël soufflées

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    Feuilleton : voyage au pays du père Noël (2/5)

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Inde : hindous et musulmans, la guerre des vaches sacrées

Ils se sont donné rendez-vous sur un parking avant de partir patrouiller. Fusil de chasse et équipements faits maison, ces Indiens exposent leurs armes. Ils se font appeler “Gau Raksha”, “sauveurs de vaches” et leur logo est explicite. Il existe plusieurs centaines de milices de ce type en Inde et leurs membres sont des militants radicaux. Narendra Modi, le Premier ministre hindou, a rendu extrêmement difficile l’abattage des vaches.Des lynchages à mortLes musulmans à la tête de la filière bovine du pays sont aujourd’hui stigmatisés et menacés. Avec les nouvelles lois, beaucoup ont perdu leur travail. Par ailleurs, les éleveurs doivent aussi faire face aux milices de protection des vaches. En quelques instants, les “Gau Raksha” se jettent à l’assaut des camions pour débusquer des animaux. Très souvent, la situation dégénère lors de ces patrouilles et les médias indiens rapportent des scènes de lynchage. Une trentaine de personnes ont été battues à mort en deux ans.Le JT

  • JT de 20h du jeudi 27 décembre 2018 L’intégrale

Les autres sujets du JT

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    Passeports diplomatiques d’Alexandre Benalla : le Quai d’Orsay lui a demandé de les restituer

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    L’Élysée agacé par les passeports d’Alexandre Benalla

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    PME : certaines entreprises en retard pour la mise en place de l’impôt à la source

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    Prélèvement à la source : crédits d’impôts et cas particuliers

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    Prélèvement à la source : le vrai du faux

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    Prélèvement à la source : les agents des finances publiques s’inquiètent

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    Prélèvement à la source : est-ce un risque politique ?

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    Tunisie : de nouvelles émeutes sociales

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    Liens avec les services de renseignement, cyberespionnage… Huawei, le géant chinois qui fait peur

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    Savoie : un garçon survit miraculeusement à une avalanche

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    L’Islande face à l’éruption touristique

  • Madagascar : à la découverte du premier caviar africain

    C’est l’histoire d’une idée folle, née il y a 10 ans à Madagascar, sur le lac Mantasoa, perché à 1 500 mètres d’altitude. C’est le rêve de trois entrepreneurs français, installés de longue date sur la grande île, à la tête d’une société de prêt-à-porter de luxe. Ils ont décidé de produire ici le premier caviar du continent africain. Pour cela, ils ont bâti de toute pièce une immense ferme aquacole où sont désormais accueillis des esturgeons.“Des personnes nous ont pris pour des fous. Ils nous ont dit : ‘C’est n’importe quoi. Pourquoi pas des saumons dans le désert tant que vous y êtes’. Mais en fait, ce n’est pas si insensé que ça, puisque ça marche”, explique Delphyne Dabezies, fondatrice d’Acipenser. Pour y arriver, il a d’abord fallu importer les poissons qui n’existaient pas à Madagascar. Ils ont fait venir des œufs fécondés de Russie principalement pour les faire grandir dans des bassins. 300 tonnes d’esturgeonsUn kilo de ces œufs fécondés peut atteindre 50 000 euros. Un vrai trésor, dont il faut prendre soin. Les poissons se sont parfaitement adaptés aux eaux chaudes malgaches. Après avoir investi des millions d’euros, disent-ils, la ferme héberge aujourd’hui 300 tonnes d’esturgeons. Le caviar malgache reste un produit de luxe. À Paris, il vous en coûtera 1 500 euros le kilo, contre moitié moins à Madagascar. Peut-être l’occasion d’un voyage pour goûter le premier caviar africain dans son cadre d’origine…Le JT

  • JT de 20h du samedi 29 décembre 2018 L’intégrale

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      “Gilets jaunes” : des tensions en régions

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      “Gilets jaunes” : quelles suites pour le mouvement ?

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      Sinistrés de Marseille : le difficile relogement

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      Benalla : la réaction de l’Élysée après l’affaire des passeports diplomatiques

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      Moyen-Orient : le retour des touristes

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      États-Unis : tempête de neige et inondations

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      Saint-Sylvestre : les pétards sous surveillance

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      Réveillon : composer un repas de fête bon marché

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      Youtubeurs : qui sont les nouvelles idoles des jeunes ?

    • 11

      Éclair de génie : Alfred Hitchcock, maître de la terreur

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    Il y a 30 ans disparaissait Philip K. Dick…

    Décédé le 2 mars 1982, l’auteur culte n’a jamais cessé d’être adapté au cinéma depuis, lui qui est mort peu avant la sortie du mythique “Blade Runner” de Ridley Scott, coup d’envoi d’une longue série (en cours) d’adaptations de ses œuvres…

    Les principaux longs métrages tirés de ses oeuvres :

    2012 : Total Recall Mémoires Programmées (nouvelle adaptation de We Can Remember It For You Wholesale)
    2011 : L’Agence (tiré de la nouvelle Adjustment Team)
    2010 : Radio Free Albemuth
    2007 : Next (tiré de la nouvelle The Golden Man)
    2006 : A Scanner Darkly
    2003 : Paycheck
    2002 : Minority Report
    2001 : Impostor
    1995 : Planète hurlante (tiré de la nouvelle Second Variety)
    1992 : Confessions d’un barjo (Confessions of a Crap Artist)
    1990 : Total Recall (inspiré de la nouvelle We Can Remember It For You Wholesale)
    1982 : Blade Runner (tiré du roman Do Androids Dream of Electric Sheep?)

    A signaler au passage : Your Name Here (biopic inspiré de la vie de l’auteur), le projet d’adaptation d’Ubik de Michel Gondry (toujours d’actualité ?), voire le Blade Runner 2 (variation autour de l’univers de l’original) envisagé par Ridley Scott.

    Le sondage :

    Quelle est votre adaptation cinématographique préférée de Philip K. Dick ?

    Le Merci qui ? spécial Blade Runner :

    A.G.

    “Action N°1” : Cage recherche comics désespérément !

    Fan de comic books, Nicolas Cage sera au coeur de “Action N°1”, qui reviendra sur l’histoire (vraie) du vol d’une de ses bandes-dessinées, la première mettant Superman en scène.

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    Il était une fois Nicolas Cage : acteur et fan de comics, ce dernier avait réussi à mettre la main sur le premier numéro d’Action, qui marquait le premier vol de Superman, son idole absolue. Mais en 2000, c’est à un autre vol qu’il a du faire face : celui de son précieux trésor par un cambrioleur toujours en fuite. Une histoire vraie dans laquelle Lionsgate a décelé un potentiel certain, au point de vouloir en faire un long métrage. Ecrit par les scénaristes de La Nuit au musée, Action N°1 reviendra donc sur ce fait divers, avec quelques modifications à la clé, puisque l’intrigue mettra en scène un groupe de nerds préparant le fameux cambriolage. Outre le nom du réalisateur, la grande inconnue se situe au niveau de Nicolas Cage : s’il y aura une place dans le script pour qu’il apparraisse en tant que lui-même, il n’est pas encore sûr que l’acteur soit de la partie. Mais ce serait vraiment dommage pour lui de se priver d’un projet aussi improbable…

    Maximilien Pierrette avec The Hollywood Reporter

    Barrichello back on top in Legends Esports battle

    Formula 1’s most experienced racer, former Ferrari and Brawn driver Rubens Barrichello, has shown that he still has what it takes to come out on top of a bruising battle out on the race track.

    The 47-year-old Brazilian – a veteran of 322 Grand Prix races – was taking part in Saturday’s Legends Trophy ESports competition hosted by The Race website, run on a simulated NOLA racetrack.

    Other than Barrichello, the field boasted some familiar names from F1 including Jenson Button, Juan Pablo Montoya, Emerson Fittipaldi, Jan Magnussen and Tonio Liuzzi.

    • ‘Difficult’ for drivers to accept pay cuts amid crisis – Button

    The competition started with a five-lap event which saw everyone at the wheel of a 1970s-era Brabham F1 car, with Magnussen cruising to victory. While Montoya finished in the top six, former Brawn team mates Barrichello and Button were eighth and ninth respectively after Button lost places following a clash with Emanuel Pirro.

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    The result put Barrichello and Brawn in prime position for the second reverse grid which saw everyone driving Brabham BT44Bs on rFactor 2. However Button was immediately entangled in a messy multi-car first corner incident that saw him dropped down the order to 13th.

    Meanwhile Barrichello managed to navigate the trouble and then passed Max Papis at the start of lap 2 to take the lead, which he held on to as he opened up a sizeable gap over the rest of the field. Papis meanwhile subsequently became the latest victim of Pirro, and dropped back to tenth after being spun by the Italian driver putting him just behind the recovering Button.

    By the final lap, Barrichello’s advantage had extended to almost three seconds and he was the clear winner of the race with Pirro picking up second ahead of WTCC star Tiago Monteiro and former IndyCar champ Dario Franchitti, who was fortunate to survive a penultimate-lap excursion across the grass.

    Button’s recovery topped out in fifth place. Fittipaldi was set to take sixth place, but had problems clashing with Adrian Fernandez on the final lap which dropped him to 15th by the chequered flag.

    Fernandez survived the encounter to take sixth place ahead of David Braham, followed by Liuzzi, Montoya and race one winner Magnussen who had been another victim of the initial mêlée at the start of the race.

    The evening also saw the latest round of the All-Star Cup with former F1 stars Stoffel Vandoorne and Esteban Gutierrez finishing in seventh and 14th respectively.

    The best of the ‘real’ world drivers was British/New Zealand BTCC racer Mike Epps who claimed sixth place at the line.

    Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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    Jenson Button, Esports, Rubens Barrichello