Les Français préfèrent se passer de nourriture plutôt que de leur téléphone

Selon un sondage mené par Toluna, 20 % des Français interrogés par l’entreprise préfèrent se passer de nourriture plutôt que de leur smartphone. Une hyperconnectivité presque addictive.

Entre manger et leur téléphone, les Français ont choisi. C’est ce que révèlent les résultats récoltés par la société Toluna. On y découvre que 20 % des Français interrogés (1 000 personnes) préfèrent mettre de côté la nourriture plutôt que leur smartphone. Parmi les raisons données par les sondés, 77 % affirment qu’ils seraient apeurés à l’idée de rater un appel important d’un proche. Une hyperconnectivité qui touche majoritairement les millénials, qui affirment avoir énormément de mal à se séparer de leur bien-aimé smartphone à peine cinq minutes. Un mot a même été élu “mot de l’année 2018” par le comité du Dictionnaire en ligne de Cambridge pour expliquer ce phénomène : la nomophobie, soit la peur d’être séparé de son téléphone.

20% des personnes ne lavent pas cette partie du corps

Un sondage lancé sur Twitter révèle que sous la douche, près d’une personne sur quatre zappe le nettoyage d’une partie du corps pourtant assez grande. Et vous, faites-vous partie de ce groupe ?

Sous la douche, prenez-vous le temps de laver absolument toutes les parties de votre corps ? Un sondage Twitter montre que nombreuses sont les personnes à ne pas le faire, puisque 20% d’entre elles déclarent ne pas savonner… leurs jambes !

La question, posée par un utilisateur nommé Conor Arpwel, a fait réagir pas mal de monde, puisque plus de 852 000 Twittos y ont répondu. Tandis que les 80% qui affirment laver systématiquement leurs jambes disent ne pas comprendre pourquoi certains individus ne le font pas, ces derniers expliquent avoir l’impression que leurs gambettes ne se salissent pas et n’ont donc pas besoin d’être décrassées…

Doit-on vraiment laver ses jambes ?Alors, qui a raison et quelle attitude adopter ? Le docteur Sandy Scotnicki, dermatologue et auteure du livre “Beyond Soap: The Real Truth About What You Are Doing to Your Skin and How to Fix It for a Beautiful, Healthy Glow”, a pris le temps de laisser un commentaire sous les résultats du sondage, et explique que “le savon a des effets nocifs sur la peau. Un

excès d’hygiène conduit à des maladies comme

l’eczéma,

l’asthm

e et les

allergies. Pas la peine de mousser si on n’est pas sale. Donc, pas de lavage de jambes, sauf si elles sont sales.“Une idée qui rejoint la théorie admise par les dermatologues selon laquelle

nous n’avons pas besoin de nous laver tous les jours, au risque d’agresser la barrière naturelle de la peau qui aide notamment à lutter contre les infections bactériennes. Les experts recommandent ainsi de ne se laver entièrement qu’un jour sur deux, et de réaliser une toilette des parties intimes, des aisselles et des pieds les autres jours.

Plus de la moitié des propriétaires de chien l’embrassent plus que leurs partenaires

Une étude américaine pour une marque de croquettes a mis en lumière tout l’amour que portent propriétaires de chien à leur fidèle compagnon à quatre pattes.

Fidèle, affectueux, empathique, courageux, toujours disponible… comme le veut l’adage,

le chien est le meilleur ami de l’homme. Et à en croire les résultats d’une étude américaine réalisée pour la marque

d’aliments pour animaux Riley’s Organics auprès de propriétaires de chiens, l’être humain le lui rend bien.

En effet, plus de la moitié des sondés, 52%, affirme embrasser plus fréquemment leur compagnon à quatre pattes que leur partenaire. Et pour 61% d’entre eux, ces bécots ont lieu directement dans la

gueule de l’animal. Mais cette adoration ne se limite pas à quelques bisous. 52% des propriétaires interrogés affirment également préférer

dormir avec leur chien plutôt qu’avec leur compagne ou compagnon. Enfin, ils sont près de 94% à considérer leur chien comme leur meilleur ami, et à peine moins, 80%, à célébrer son anniversaire. Bref, une belle réussite pour la marque américaine, qui souhaitait évaluer l’amour que portait les propriétaires à leur chien.Click Here: cheap all stars rugby jersey

L'instinct maternel et la dépression post-partum pourraient être liés à la production d'ocytocine

Une étude publiée dans la revue Plos One, révèle l’existence chez la souris d’une différence cellulaire entre le cerveau des mâles et celui des femelles, en lien avec la production d’ocytocine.

Sommaire

  1. Des systèmes d’ocytocine différents chez le mâle et la femelle
  2. Un espoir pour traiter la dépression post-partum

L’étude, menée par des chercheurs de l’université de Louisiane aux Etats-Unis a révélé l’existence d’un groupe de cellules activées par « l’hormone du bonheur » – l’

ocytocine- dans le cerveau des souris femelles, non présent dans la même zone du cerveau masculin.L’ocytocine – hormone de l’amour et de l’attachement – est en effet connue pour

son rôle dans la survenue des contractions lors du travail et de l’accouchement. Elle est également impliquée dans différents comportements sociaux. « Beaucoup de chercheurs ont essayé de trouver une différence entre le système d’ocytocine des mâles et celui des femelles, mais personne n’avait jusqu’à présent trouvé de conclusion évidente. Notre découverte est une vraie surprise », s’est réjoui Ryoichi Teruyama, auteur principal de l’étude et professeur associé au LSU Department of Biological.Des systèmes d’ocytocine différents chez le mâle et la femelleLes scientifiques ont en effet constaté que, chez les souris, les cellules réceptrices de l’ocytocine étaient présentes dans la zone cérébrale liée à la régulation du comportement maternel. Ils se sont également rendus compte que l’expression des récepteurs de l’ocytocine dans ces cellules n’était présente que lorsque des œstrogènes – hormones sexuelles femelle- étaient présents. Un espoir pour traiter la dépression post-partumSelon les chercheurs cela prouverait l’implication de ces cellules dans l’induction du comportment maternel (attachement) mais également un lien entre la

dépression post-partum dont souffrent 10% des jeunes mamans et la production d’ocytocine. Cette étude confirme les récentes études ayant montré une relation entre l’expression altérée des récepteurs de l’ocytocine et la dépression post-partum et pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements.

Le tabac pourrait rendre le staphylocoque doré plus résistant aux antibiotiques

Des chercheurs de l’université de Bath ont démontré que l’exposition à la fumée de cigarette pouvait rendre certaines bactéries plus virulentes, notamment en les rendant résistantes à un antibiotique.

Sommaire

  1. Une augmentation des mutations
  2. D’autres sources de pollution soupçonnées

Principale cause de décès évitable dans le monde, le

tabac est un problème de santé publique majeur, responsable de 75 000 décès par an dans l’Hexagone selon Santé publique France. Et d’après une étude de chercheurs de l’université de Bath,

publiée le 25 juillet dans la revue Scientific Reports, il pourrait être lié à une autre préoccupation des politiques de santé :

l’antibiorésistance. En effet, les scientifiques ont mis en évidence que l’exposition à la fumée de cigarette pouvait rendre certaines souches de Staphylococcus aureus, une

bactérie naturellement présente chez l’homme sur la peau ainsi que dans certaines muqueuses, notamment nasale, plus résistante à un

antibiotique.Une augmentation des mutationsPour leur démonstration, les chercheurs ont exposé six souches pathogènes chez l’homme de la superbactérie SARM, pour Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (SARM), à de la fumée de cigarette. Bien qu’elles n’aient pas toutes réagi de la même manière à cette exposition, une majorité a par la suite démontré une résistance accrue à l’antibiotique rifampicine ainsi qu’un caractère invasif et une persistance accrue. Pour expliquer ce phénomène, les chercheurs pensent que la fumée induit un stress chez les bactéries, à l’origine d’une réaction d’urgence qui se traduit par une augmentation du taux de mutation de son ADN microbien qui, in fine, entraîne l’émergence de variantes plus résistantes. Ils estiment d’ailleurs que d’autres antibiotiques pourraient être concernés. D’autres sources de pollution soupçonnées”Nous nous attendions à certains effets, mais nous ne pensions pas que la fumée affecterait la résistance aux médicaments à ce degré, explique le Dr. Maisem Laabei, auteur principal de l’étude, dans des propos relayés par Science Daily. Nous reconnaissons que l’exposition dans un laboratoire est différente de la fumée inhalée sur une longue période, mais il semble raisonnable de supposer, sur la base de nos recherches et de travaux précédents, que les conditions stressantes imposées par le tabagisme induisent des réponses dans les cellules microbiennes qui conduisent à l’adaptation à des conditions difficiles, avec pour effet net une augmentation de la virulence et/ou du potentiel pour l’infection”. Après la fumée de cigarette, l’équipe de recherche va maintenant tenter d’évaluer l’effet de la pollution provenant des gaz d’échappement des moteurs diesels sur les bactéries des voies nasales.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

La pollution routière affecterait aussi la santé visuelle

De nouvelles recherches montrent que l’exposition au long cours à de forts taux de substances polluantes émanant des gaz d’échappement semblerait être liée à la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), une maladie fréquente touchant la rétine.

Pour cette étude, menée par des chercheurs du China Medical University Hospital de Taïwan, 39.819 participants de plus de 50 ans ont été pris en compte. Aucun sujet ne souffrait de dégénérescence maculaire en début d’étude. 30% des sujets résidaient dans des zones fortement urbanisées et 32,5% dans des zones moyennement urbanisées.En recourant à des données de qualité de l’air, les chercheurs ont calculé l’exposition totale de chaque participant à des substances polluantes telles que le dioxyde d’azote (NO₂) et le monoxyde de carbone (CO) entre 1998 et 2010. Ils ont aussi essayé de voir s’il existait un lien avec le risque de survenue de

DMLA, qui touchait au total 1.442 personnes au terme des 11 années de suivi.Leurs résultats, parus en ligne dans la revue 

Journal of Investigative Medicine, ont montré qu’après avoir pris en compte des facteurs tels que l’âge, le genre et d’autres maladies, les sujets qui avaient été exposés aux plus forts taux de NO₂ étaient plus de deux fois plus susceptibles (91%) de développer une DMLA que les personnes peu exposées à ces substances.

De plus, les participants exposés aux plus forts taux de CO enregistraient un risque accru de 84% de développer cette maladie.5,8% des personnes récemment diagnostiquées comme souffrant de DMLA résidaient dans des zones fortement exposées au monoxyde de carbone.Les chercheurs ont cependant souligné que cette étude se fondait sur l’observation et qu’elle ne pouvait donc pas montrer de lien de cause à effet. Ils ont aussi précisé que leurs recherches n’incluait pas d’autres facteurs de risques comme le tabac, la génétique et l’inflammation, qui pourraient affecter les résultats.Ils tiennent cependant à noter que cette étude est une première, elle “montre une association significative entre la DMLA et de forts taux ambiants de NO₂ et de CO”. Ils ajoutent que de récentes recherches avaient montré que le NO₂ pouvait avoir des effets néfastes sur la santé cardiovasculaire et neurologique et comme la rétine fait partie intégrante du système nerveux central, la biologie pourrait expliquer pourquoi la rétine est vulnérable face à ces substances polluantes.Des études précédentes avaient déjà montré que la pollution atmosphérique augmentait le risque de conjonctivite.La DMLA est une maladie neuro-dégénerative qui affecte la partie centrale de la rétine et qui entraîne des pertes de vision, avec des conséquences sur la conduite, la lecture et l’écriture au quotidien. Cette maladie est plus fréquente après 50 ans et elle pourrait être causée par des interactions entre des facteurs génétiques et des facteurs de risques environnementaux. Il n’existe pas de remède à ce jour.Click Here: liverpool mens jersey

Les médecins n’incitent pas assez les survivants du cancer à adopter une hygiène de vie saine

Selon une nouvelle étude américaine, médecins traitants, oncologues et spécialistes ne feraient pas assez la promotion d’un mode de vie sain auprès des patients ayant survécu à un cancer, pourtant primordiale pour éviter certaines complications. Parmi les principales raisons invoquées : le manque de temps et de formation, et la crainte de les angoisser davantage.

Sommaire

  1. Seulement 26,7% des oncologues s’y attellent
  2. Manque de temps, de ressources, et peur d’angoisser
  3. Un suivi à assurer grâce à des personnes formées

Après un cancer, l’adoption d’une hygiène de vie saine est d’autant plus importante que les patients sont exposés à davantage de risques, notamment cardiovasculaires à cause des traitements lourds qu’ils ont subis. Pourtant, les professionnels de santé n’en font pas assez la promotion. C’est ce que pointe une récente étude américaine, publiée le 26 août dernier dans la revue médicale CANCER.Seulement 26,7% des oncologues s’y attellentLes chercheurs se sont attelés à interroger 30 médecins traitants, 30 oncologues et 31 spécialistes (urologues, gynécologues et dermatologues) suivant les personnes touchées par un

cancer de la prostate,

du sein ou d’un

mélanome. Si 90% du premier groupe affirment encourager au moins quelques patients à suivre des règles d’hygiène de vie comme la

perte de poids et le

sevrage tabagique, seulement 26,7% des oncologues et 9,7% des spécialistes indiquent faire de même. Manque de temps, de ressources, et peur d’angoisserLa plupart des médecins interrogés ont exprimé leur crainte d’une mauvaise observance thérapeutique si les patients devaient également se soucier de leur poids. Les oncologues pensent par ailleurs que donner des conseils d’hygiène de vie pourraient les “angoisser” ou les “accabler” davantage. Enfin, ils affirment manquer de temps et de ressources pour pouvoir fournir ces recommandations, bien qu’ils reconnaissent qu’elles soient primordiales.Un suivi à assurer grâce à des personnes forméesSi les chercheurs expliquent que de plus amples recherches sont nécessaires pour vérifier si ces craintes sont fondées, le docteur Bonnie Spring, co-auteure de l’étude, ajoute que “la promotion d’un mode de vie sain auprès des survivants du cancer devrait être assurée de manière plus efficace par des personnes formées en nutrition, en activité physique et en coaching comportemental dans le cadre d’un programme développé en partenariat avec les oncologues”.Click Here: liverpool mens jersey

Vingt années de sédentarité doubleraient le risque de décès

Des chercheurs européens ont démontré que le fait d’adopter un mode de vie sédentaire pendant deux décennies entraînerait un risque doublé de décès prématuré en comparaison avec les personnes ayant une activité physique régulière.

Pour éviter une mort prématurée, des chercheurs norvégiens conseillent d'avoir une activité physique tout au long de la vie.

Ces recherches, menées par des scientifiques de la Norwegian University of Science and Technology, Trondheim (Norvège), visaient a étudier les effets des changements d’activité physique sur la mortalité sur une période de 22 ans.Un total de 23.146 hommes et femmes ont pris part à cette étude, tous résidaient en Norvège et étaient âgés d’au moins 20 ans.On demanda aux participants de rapporter la fréquence et la durée de leur activité physique pendant leur temps libre entre 1984 et 1986 ainsi qu’entre 2006 et 2008. Trois niveaux d’activité physique ont été établis : les personnes inactives, celles ayant une activité modérée (moins de deux heures par semaine), et élevée (plus de deux heures par semaine). Les participants ont été partagés en groupes selon leur niveau d’activité lors de chaque enquête. Les sujets qui rapportaient s’adonner à plus de deux heures de sport par semaine lors des deux entretiens ont été choisis comme groupe de référence.Leurs résultats, présentés lors du congrès de l’European Society of Cardiology, ont montré que les participants qui étaient inactifs à la fois entre 1984-1986 et 2006-2008 enregistraient un risque doublé de décès toutes causes confondues, et d’un risque plus que doublé (x2,7 fois) de mourir d’une maladie cardiovasculaire en comparaison avec le groupe de référence. De plus, les chercheurs ont aussi trouvé que les participants enregistrant des niveaux d’activité modérée lors des deux enquêtes voyaient leur risque de décès toutes causes confondues augmenter de 60% et de 90% pour les maladies cardiovasculaires, en comparaison avec le groupe de référence.Les résultats restaient avérés même après avoir pris en compte les facteurs susceptibles d’influencer les résultats, comme l’indice de masse corporelle, l’âge, le genre, le tabac, le niveau d’éducation et la tension.Lorsqu’ils se sont intéressés aux sujets dont le niveau d’activité évoluait au cours de l’étude, les scientifiques ont trouvé que les personnes qui passaient de l’inactivité à une grande quantité de sport affichaient un risque de décès situé entre ceux qui étaient restés continuellement actifs ou continuellement sédentaires.En revanche, les sujets qui passaient d’une activité physique intense à la sédentarité enregistraient un risque comparable aux personnes inactives lors des deux enquêtes.L’auteure de l’étude, le Dr. Trine Moholdt a commenté : “Nos résultats laissent penser que pour bénéficier au maximum de l’activité physique en terme de protection contre les décès prématurés toutes causes confondues et les décès cardiovasculaires, il ne faut pas arrêter d’avoir une activité physique. Vous pouvez aussi réduire votre risque en vous mettant au sport plus tard dans la vie même si vous n’aviez pas été actif auparavant“.Elle conseille par ailleurs des activités quotidiennes comme “marcher pour faire ses courses plutôt que de prendre le métro ou sa voiture et prendre les escaliers plutôt que l’ascenseur”. Et de préciser :”je recommande à chacun d’être essoufflé au moins deux fois par semaine“, afin de rester en meilleure santé.Click Here: liverpool mens jersey

Usher est de nouveau célibataire

C’est bel et bien fini: Usher et Tameka Foster sont officiellement divorcés. Les parents de Raymond V, 18 mois, et Naviyd Ely, 6 mois, ont signé les papiers la semaine dernière, à Atlanta.

«Usher et Tameka ne vivent plus ensemble depuis plus d’un an, et ce, seulement après deux ans de mariage. Usher se soucie avant tout de ses enfants. C’est un bon père et il veut juste faire ce qui lui semble correct», a déclaré à la presse un proche du chanteur. L’histoire d’amour entre les deux tourtereaux de 30 et 38 ans aura été brève mais intense.

Après leur mariage en août 2007, les anciens époux ont eu deux garçons, Raymond V, 18 mois, et Naviyd Ely, 6 mois. D’après la presse américaine, c’est le chanteur qui a pris l’initiative du divorce, alors que le couple ne faisait plus toit commun depuis plusieurs mois. L’interprète de Here I Stand a déposé une demande de divorce après moins de deux ans d’union. Mais depuis plusieurs mois déjà, des rumeurs insistantes annonçaient la séparation du couple. Usher avait même été surpris (en novembre dernier) en charmante compagnie après une représentation à Miami.

A 30 ans, Usher redevient célibataire. Et tout va bien côté carrière: son dernier opus ( Here I Stand) cartonne outre-atlantique. Il faut dire qu’il a mis toutes les chances de son côté, en s’entourant comme il faut: T-Pain, Ludacris et Timbaland ont participé à la conception de l’album.

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Lundi 15 juin 2009

Urgences : Agnès Buzyn présente son plan pour sortir de la crise

Agnès Buzyn a présenté lundi 9 septembre les 12 mesures de son “pacte de refondation des urgences” en réponse à la grève qui dure depuis six mois. 750 millions d’euros vont être crédités.

Six mois après le

début de la grève dans les urgences hospitalières, la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, a dévoilé lundi 9 septembre son “pacte de refondation des urgences” lors d’une réunion avec les représentants des personnels et des dirigeants hospitaliers, les syndicats des médecins libéraux et le collectif Inter-Urgences, à l’origine de la grève. Ce plan, qui comporte 12 mesures, coûtera 750 millions sur une période d’un peu plus de trois ans (2019-2022). Il a été précisé que cette somme sera puisée dans des crédits existants et ne s’ajoutera pas au budget déjà prévu des dépenses de santé. 

Des compétences élargies pour les professionnels non médecinsParmi les principales mesures, ce plan comporte la création d’un “service d’accès aux soins” d’ici l’été 2020. Disponible 24 heures sur 24, en ligne ou par téléphone, ce service, dont le montant est évalué à 340 millions d’euros, permettra d’orienter les patients en fonction de l’urgence de leur situation, du simple conseil médical par téléphone à l’envoi d’une ambulance à leur domicile. Il comportera également une carte en ligne grâce à laquelle il sera possible de consulter les structures disponibles à proximité de chez soi (cabinet médical ou paramédical, pharmacie de garde, service d’urgence etc.). Autre mesure, l’élargissement des compétences de certains professionnels non médecins. Ainsi, certains pharmaciens pourront renouveler ou adapter certaines ordonnances avec l’accord du médecin traitant. De même, les infirmiers formés en pratique avancée aux urgences pourront réaliser des sutures, prescrire des actes d’imagerie ou effectuer le suivi de routine de certaines maladies chroniques (

diabète,

maladies rénales, psychiatrie). La médecine libérale comme alternativeC’est l’une des priorités du gouvernement : encourager l’émergence d’une offre en ville pour désengorger les services d’urgences. Pour cela, Agnès Buzyn entend renforcer l’offre de consultations médicales sans rendez-vous en cabinet, maison et centre de santé, notamment par le déploiement progressif de plusieurs milliers de postes d’assistants médicaux. La ministre ambitionne également d’offrir à la médecine de ville certains outils dont disposent les urgences : possibilité pour le SAMU de solliciter un transport sanitaire pour conduire un patient à un rendez-vous en libéral, systématiser le tiers-payant dans le cadre des gardes des médecins libéraux et permettre un accès direct à certains examens de biologie dans le cadre des consultations sans rendez-vous (

glycémie,

gaz du sang,

hématologie, marqueurs cardiaques etc.). Réforme du financement et parcours spécifiques pour les personnes âgéesEn outre, le plan “urgences” d’Agnès Buzyn entend renforcer la sécurité des professionnels aux urgences, réformer le financement des urgences, notamment en réduisant la facturation à l’activité, lutter efficacement contre l’intérim médical en le rendant moins attractif et en renforçant son encadrement, et intégrer la vidéo à distance dans tous les SAMU pour mieux évaluer l’état des patients. Enfin, dans le but de limiter leur passage aux urgences, la ministre des Solidarités et de la Santé souhaite mettre en place des filières d’admission directe en service hospitalier des personnes âgées depuis un EHPAD ou leur domicile.Click Here: liverpool mens jersey