Le gouvernement lance un "grand plan national d'action" contre l'excision

Vendredi 21 juin, la secrétaire d’Etat à l’égalité, Marlène Schiappa a annoncé le lancement d’un "grand plan national d’action" pour lutter contre l’excision afin d’améliorer la prise en charge des victimes et la prévention.

En France le gouvernement estime qu’entre 40 000 et 60 000 femmes vivent excisées. Un chiffre annoncé lors de la présentation du “grand plan national d’action” dédié contre ces mutilations génitales, par Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, vendredi 21 juin dernier, à la Maison des Femmes de Saint-Denis. “En France, comme partout dans le monde, les mutilations sexuelles féminines sont des atteintes inadmissibles à l’intégrité et aux droits fondamentaux des femmes et des petites filles qui en sont victimes “, a déclaré Marlène Schiappa, ajoutant qu’“ Aucune coutume ne saurait être invoquée” pour justifier de telles mutilations.Mettre l’accent sur le soutien aux victimes et la préventionPour rappel, l’excision, également appelée mutilations sexuelles féminines concerne toutes les interventions qui consistent à retirer partiellement ou totalement des organes sexuels externes de la femme.  Selon l’OMS, il en existe quatre types : l’ablation partielle ou totale du clitoris, l’ablation partielle ou totale du clitoris et des petites lèvres, le rétrécissement de l’orifice vaginal et toutes les autres interventions “nocives pratiquées sur les organes génitaux à des fins non thérapeutiques”.Le grand plan national d’action se centre donc sur les repérages des risques, le soutien et l’aide mentale aux victimes et la prévention avec la publication d’un livre d’un guide  à destination des professionnels de santé. Des soutiens aux associations sont également prévus avec : une hausse de 300% de la subvention accordée à l’association Excision Parlons en, une hausse de 95% de la subvention pour la fédération Gams qui lutte contre les violences faites aux femme et aux filles, et un soutien financier aux expériences de chirurgies réparatrices.

Soan, une chimère?

Mardi, c’est le rebelle «torturé» qui a remporté la victoire. Soan, doué pour incarné nos pires cauchemars, a envouté son auditoire. Pas question, maintenant, pour le sombre héros de se répandre dans les médias, ou d’exprimer un semblant de joie.

Chanteur en galère dans les rames du métro, devenu maître dans l’art grâce à Baltard, le gagnant du télécrochet de M6 a tranché: il sera revanchard, incisif et méprisant.

Depuis deux mois, les prestations de Soan nous faisaient vibrer, souffrir, pleurer. C’est sur une corde sensible que tirait cet écorché vif. Qu’il s’attaque aux monstres sacrés: Bashung, Gainsbourgh et Brel, aux ténébreux Noir Désir ou à la new-wave tourmentée de Depeche Mode, le jeune homme aux yeux ourlés de khôl et aux robes camisoles insufflait avec grâce, sa douleur, sa fumée de cigarettes et ses vapeurs d’alcool.

Mais voilà, le soir de la finale ce marginal labellisé RATP a assuré le service minimum. Désinvolte, désabusé, distancié de l’enjeu qui avait fait le sel des éditions précédentes, le martyr à la voix éraillée a misé sur la noirceur ambiante, mais ne s’est pas imposé. Ses couplets déprimés, sa figure torturée et sa silhouette efflanquée ont suffit à faire passer pour une godiche, la douce et callipyge Leïla.

Depuis, notre chat de gouttière efflanqué se tapit dans l’ombre…

Hier, on pouvait lire dans France-Soir que le bougre de 28 ans avait purement et simplement annulé toutes les interviews prévues, trop «fatigué». Contraint et forcé de l’excuser, son manager, Fabrice Martinez (de chez Nineteen), avait plaidé l’humilité: «Soan ne parlera à la presse que lorsqu’il aura quelque chose à dire».

Apparemment, Premiere.fr a sorti notre amateur des Doors de sa torpeur. Mais pas de son aigreur. Au sujet de Leïla, sa pétulante concurrente, le macabre lauréat raconte: «On avait un peu de mal à se supporter elle et moi. Artistiquement, on a fait notre taf pour la dernière émission, mais on l’a fait sans passion.» Interrogé également sur les critiques formulées par les autres candidats, Soan, amer, rétorque : «Damien, c’est quelqu’un avec qui je ne m’entends pas. Il aurait voulu être le plus torturé d’entre nous mais je l’étais plus… J’en ai un peu rien à foutre de tout ça! Damien a dit ça parce qu’il sait qu’il fera rien après… »

Craintif, effarouché, blessé notre anti-Susan Boyle? Désillusionné et cynique, plutôt. Quand il ne revendique pas sa «liberté de penser», Soan invite les journaux «à devenir intelligents». Plus bégueule que Florent Pagny, il justifie son lapin à Morandini: «je reviendrai quand il aura plus de 120 mots de vocabulaire…»

Mais comment être une star quand on refuse à se point de briller?

«Laissez-le tranquille», supplient ses fans. «Soan est un mec de la tribu des punks à chiens», le défend André Manoukian, un anarchiste, un «pur rockeur», clame Philippe Manœuvre. Et puis, rappelez-vous, il y a deux ans, Julien Doré se jouait déjà des journalistes…

Débarqué sur le plateau de M6 avec une connaissance parfaite des rouages de la téléréalité et la panoplie complète du dandy, le Lolito a joué de son image. Barrettes, serre-têtes et ukulélé, le Blondinet a toujours affiché une personnalité décalée. It-boy déjanté mais «sous contrôle», il a parlé de l’art abstrait dans Libé, s’est exhibé avec une jolie pépée… Et, Ersatz bien inspiré, le sémillant Doré a vendu des centaines de milliers d’albums!

Alors, Soan serait-il un animal de la même trempe, mi-imposteur, mi-génie? Lui aussi a pris possession de la scène avec un attirail total: yeux charbonneux, piercings outranciers et tatouages morbides. Fin connaisseur des Bérus, et jolie souris déglinguée, il nous a enchantés avec son grain de folie et son regard habité.

Avec son style destroy, son look ravageur (ravagé?) et son coffre d’outre-tombe, le charmant gothique a assuré le show. Mais si, dans sa désolation, Soan considère que se livrer c’est se compromettre, que damné, il s’évertue à broyer du noir loin des strass et des paillettes, il n’aura bientôt plus d’adeptes pour écouter ses cantiques funestes.

Justine Boivin

Vendredi 12 juin 2009

Des niveaux élevés d’œstrogènes chez la femme enceinte pourraient être liés à l'autisme

Une nouvelle étude anglo-danoise suggère qu’un taux élevé d’hormones pendant la grossesse pourrait être lié à la naissance d’enfants autistes. Ces résultats s’avèrent similaires à une précédente recherche réalisée en 2015 sur le lien entre autisme et hormones sexuelles mâles.

Sommaire

  1. Un taux élevé d’œstrogènes pendant la grossesse
  2. L’origine de ces taux élevés d’hormones reste à déterminer

En France, les troubles du spectre de l’autisme (TSA) touchent environ 700.000 personnes, dont 100.000 âgées de moins de 20 ans, estime l

‘Inserm. Bien que ces troubles neuro-développementaux soient en grande partie génétiques, les scientifiques continuent d’explorer des pistes afin de déterminer les autres causes éventuelles de TSA.Un taux élevé d’œstrogènes pendant la grossesseC’est précisément l’objectif d’une équipe de chercheurs de l’université de Cambridge (Angleterre) et du Statens Serum Institut (Copenhague, Danemark), qui publie une nouvelle étude dans le journal 

Molecular Psychiatry.En 2015, ces mêmes chercheurs avaient réalisé des travaux montrant que les androgènes, hormones stéroïdiennes qui favorisent le développement sexuel des mâles, étaient plus élevés au stade foetal chez les enfants qui ont développé de l’autisme à la naissance. Pour cette nouvelle étude, les scientifiques ont réitéré leur expérience, mais en étudiant cette fois la présence d’oestrogènes, hormones naturellement sécrétées par les ovaires.L’origine de ces taux élevés d’hormones reste à déterminer
Leurs recherches ont porté sur l’analyse du

liquide amniotique de 98 femmes enceintes dont l’enfant à naître était

autiste, tout en les comparant à 177 autres grossesses qui ont donné naissance à des enfants non autistes. L’objectif était d’évaluer les niveaux de quatre types d’oestrogènes (oestriol prénatal, œstradiol, œstrone et sulfate d’œstrone).
Au fil des recherches, les auteurs de l’étude ont constaté que le lien entre taux élevés d’œstrogènes avant la naissance et probabilité d’autisme était encore plus important que celui des taux élevés d’androgènes observés dans 

l’étude réalisée en 2015.
Cette nouvelle donnée appuie l’idée que l’augmentation des hormones stéroïdes sexuelles prénatales est l’une des causes possibles de l’autisme. La génétique en est une autre et ces hormones interagissent probablement avec des facteurs génétiques qui affectent le développement du cerveau fœtal”, explique le professeur Simon Baron-Cohen, directeur du Centre de recherche sur l’autisme de l’Université de Cambridge et auteur principal de l’étude.
Les recherches n’ont toutefois pas pu déterminer si ces taux élevés d’hormones provenaient de la femme enceinte, du foetus ou encore du placenta. “La prochaine étape devrait consister à étudier toutes ces sources éventuelles et la manière dont elles interagissent pendant la grossesse“, précise Alex Tsompanidis, doctorant à l’université de Cambridge qui a participé à l’étude.

Les hommes qui souffrent de dysfonction érectile seraient moins productifs au travail

Une étude réalisée sur 52.000 hommes issus de huit pays différents montre que les troubles de l’érection affectent le mental de ceux qui en souffrent. Selon la recherche, ce phénomène entraînerait une perte de productivité au travail et une baisse de la qualité de vie liée à la santé.

Les hommes qui s'estiment touchés par le dysfonctionnement érectile ont déclaré des taux significativement plus élevés d'absentéisme au travail (7,1% contre 3,2%).

La dysfonction érectile se définit par une difficulté pour un individu de sexe masculin à avoir ou à conserver une érection dans le cadre d’une activité sexuelle pendant une période d’au moins trois mois consécutifs.Parue dans l’

International Journal of Clinical Practice, cette étude d’observation transversale a utilisé des données provenant de plus de 52.000 hommes âgés de 40 à 70 ans originaires de France, d’Italie, du Brésil, de Chine, d’Allemagne, d’Espagne, du Royaume-Uni et des États-Unis, en se basant sur des enquêtes nationales sur la santé et le bien-être 2015-2016. 

Les chercheurs se sont basés sur des auto-déclarations des patients et ont évalué leurs difficultés à atteindre ou à maintenir une érection sur une période de six mois. La prévalence globale des troubles s’élevait, tous pays confondus, à 49,7% avec l’Italie en tête de liste (54,7%).Comparés aux hommes sans troubles de ce genre, les hommes qui s’estiment touchés par le dysfonctionnement érectile ont déclaré des taux significativement plus élevés d’absentéisme au travail (7,1% contre 3,2%), de baisse de productivité au travail (24,8% contre 11,2%) et d’une implication moindre dans les activités extra-professionnelles (28,6% contre 14,5%). “Le dysfonctionnement érectile représente un fardeau important en ce qui concerne la productivité au travail et la qualité de vie liée à la santé. Une meilleure prise en charge et un dépistage plus précoce peuvent contribuer à réduire ce fardeau“, concluent les auteurs de l’étude.Cette étude comporte toutefois quelques limites dans la mesure où elle se base principalement sur les auto-déclarations des participants.Click Here: All Blacks Rugby Jersey

Le cancer devient la première cause de décès dans les pays riches

Les maladies cardiovasculaires demeurent la principale cause de mortalité dans le monde chez les adultes d’âge moyen, mais le cancer devient la principale cause de décès dans les pays riches, selon deux enquêtes publiées mardi.

Il est même “probable que le cancer deviendra la cause la plus courante de décès dans le monde dans quelques décennies“, selon les chercheurs.Les

maladies cardiaques représentent plus de 40% des décès, soit environ 17,7 millions de décès en 2017. Les auteurs, dont les travaux sont présentés au Congrès de la Société Européenne de Cardiologie (ESC) à Paris, pointent le lourd tribut payé par les pays pauvres à ces pathologies.Le cancer, deuxième cause de décès la plus fréquente dans le monde en 2017, représente un peu plus du quart (26 %) de tous les décès.Mais dans les pays riches, le cancer tue maintenant plus de gens que les maladies cardiaques, d’après ces recherches, limitées à 21 pays, parues dans la revue médicale The Lancet.Les quatre pays à revenu élevé pris en compte sont le Canada, l’Arabie saoudite, la Suède et les Émirats Arabes Unis.”Le monde assiste à une nouvelle transition épidémiologique (…), les maladies cardiovasculaires n’étant plus la principale cause de décès dans les pays à revenu élevé“, selon Gilles Deganais, professeur émérite à l’Université Laval, au Québec et co-auteur des deux publications.Mais à mesure que les taux de maladies cardiaques diminuent à l’échelle mondiale, le cancer pourrait devenir la principale cause de décès dans le monde “d’ici quelques décennies seulement”, avance-t-il.L’étude porte sur plus de 160.000 adultes suivis sur une décennie (entre 2005 et 2016), dans des pays à revenu élevé, moyen et faible.D’après ce travail, les gens des pays pauvres sont en moyenne 2,5 fois plus susceptibles de mourir d’une maladie cardiaque que ceux des pays riches.Selon le deuxième volet de l’étude, sur les mêmes 21 pays, 70% des cas de maladies cardiovasculaires sont dus à des “facteurs de risque modifiables”.Les facteurs de risque métaboliques – cholestérol élevé, obésité ou diabète – sont en cause dans plus de 40% des maladies cardiaques et sont le principal déterminant des maladies dans les pays riches.Dans les pays en développement, les chercheurs relèvent aussi le rôle de la pollution de l’air intérieur, de l’alimentation et du faible niveau d’éducation.”Un changement de cap s’impose pour atténuer l’impact disproportionné des maladies cardiovasculaires dans les pays à revenu faible et moyen“, souligne Salim Yusuf, professeur de médecine à l’Université McMaster.”Ces pays doivent investir une plus grande part de leur produit intérieur brut dans la prévention et la gestion des maladies non transmissibles, y compris les maladies cardiovasculaires, plutôt que de se concentrer sur les maladies infectieuses“, ajoute-t-il.Faisaient partie de l’étude douze pays à revenus intermédiaire selon une classification de 2006 (Argentine, Brésil, Chili, Chine, Colombie, Iran, Malaisie, Palestine, Philippines, Pologne, Turquie et Afrique du Sud) et cinq pays à faible revenu (Bangladesh, Inde, Pakistan, Tanzanie et Zimbabwe).Click Here: NRL Telstra Premiership

Flirter à l'adolescence ne serait pas gage de bien-être, au contraire

Des chercheurs américains ont montré que bien que l’on pensait que les rendez-vous galants entre adolescents aidaient ces derniers à développer leurs aptitudes sociales, il semblerait que les ados qui ne flirtent pas soient en fait moins déprimés que leurs pairs.

Cette nouvelle étude, menée par une équipe de l’University of Georgia, a pris en compte 594 étudiants suivis  de la sixième à la terminale. Chaque année, on leur demandait de rapporter s’ils avaient eu des rendez-vous et aussi leurs relations positives avec des amis, à la maison ou à l’école, et de noter s’ils avaient eu des idées suicidaires ou perçu des symptômes de dépression.Leurs professeurs devaient aussi remplir des questionnaires sur le comportement des jeunes, leurs aptitudes sociales, leurs qualités de meneurs ou meneuses et leur niveau de dépression.Leurs résultats, repris par la version digitale de 

The Journal of School Health, ont montré qu’en classe de seconde, les professeurs des sujets qui ne flirtaient pas enregistraient de meilleurs résultats concernant leurs aptitudes sociales et leurs qualités de meneurs en comparaison avec leurs camarades habituées aux relations amoureuses. Bien que les auto-évaluations des étudiants concernant leurs relations positives ne différaient pas chez les personnes qui flirtaient et les autres, l’auto-évaluation de dépression était bien plus basse chez les jeunes qui avaient rarement ou jamais de rendez-vous galants.Du côté des enseignants, leurs évaluations des symptômes de dépression des jeunes étaient aussi considérablement plus basses chez les personnes qui rapportaient ne pas flirter. “La majorité des ados ont eu quelques expériences romantiques entre 15 et 17 ans“, a noté Brooke Douglas, en charge de l’étude. “Cette forte fréquence a entraîné certains chercheurs à avancer que le flirt au cours de l’adolescence était un comportement normatif. Autrement dit, les adolescents qui ont des relations romantiques sont considérés comme à un stade normal de leur développement psychologique“, a continué la professeure Douglas.”Cela signifie-t-il que les ados qui ne flirtent pas soient inadaptés d’une manière ou d’une autre ? Qu’ils soient marginaux ? Peu d’études ont examiné les caractéristiques des jeunes qui ne flirtent pas au cours de l’adolescence, nous avons donc décidé d’en apprendre plus“.

Cependant, bien que les relations amoureuses soient considérées comme un comportement normal, et même essentiel au comportement des ados, leurs conclusions vont dans un sens différent.”En résumé, nous avons trouvé que les étudiants qui ne flirtaient pas allaient bien et suivaient simplement une trajectoire de développement différente et saine par rapport à leurs pairs“, a noté la co-auteure Pamela Orpinas.La professeure Douglas précise que leur étude encourage aussi à envisager le fait de ne pas flirter comme un comportement normal et sain à l’adolescence.

VIDEO. Ksar Tafilelt, une ville aux portes du Sahara modèle d’écocitoyenneté

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Il y a 20 ans, Ksar Tafilelt n’existait pas. Aujourd’hui, cette ville algérienne est considérée comme avant-gardiste. Et pour cause. Ksar Tafilelt est un véritable modèle d’écocitoyenneté. En arrivant dans la ville, ses habitants doivent signer une charte dans laquelle ils s’engagent à respecter les règles de savoir-vivre, de propreté et promettent de prêter main forte pour certains travaux collectifs.Un modèle ancestralAdaptée à la vie du désert, l’architecture ksourienne – sur laquelle est basée Ksar Tafilelt – est inspirée de techniques ancestrales comme l’explique Ahmed Nouh, l’initiateur du projet. “Il ne faut pas oublier que nous sommes en plein Sahara donc il faut qu’il y ait des ruelles étroites pour casser les vents dominants et les vents de sable.” Ici, pas de béton mais de la pierre, du plâtre et de la chaux. Des matériaux locaux bon marché mais surtout d’excellents isolants. Les bâtiments ne peuvent pas dépasser les 7,60 mètres et ne doivent pas faire d’ombre aux habitants voisins.…et écoloL’architecture prend également en compte la gestion des ressources naturelles depuis plusieurs siècles. “On ne fait que perpétuer la vision de nos ancêtres”, explique Seddik Karim. “Donc respecter la nature et lui donner son droit.” Ici, 50 % des eaux usées sont traitées par épuration biologique, les déchets sont triés et une partie de l’éclairage provient de l’énergie solaire. Dans un écoparc, situé à l’extérieur de la ville, chaque habitant doit planter 3 arbres et l’entretenir selon les règles de l’agriculture biologique. Ce parc abrite plusieurs espèces d’animaux comme des chèvres, des paons et des singes, nourris aux déchets organiques. L’objectif : sensibiliser les plus jeunes aux enjeux de l’écologie. En 2016, la ville a remporté le premier prix dans la catégorie ville durable lors de la COP22.Click Here: Putters

12% des étudiants pensent que le VIH peut se transmettre par un baiser

Le VIH transmis par un baiser ou une piqûre de moustique ? Une enquête menée par HEYME, alliance de 7 mutuelles révèlent d’inquiétants résultats concernant la santé des étudiants et leur manque d’information notamment concernant les idées reçues sur la transmission du SIDA.

En 1994, l’actrice Clémentine Célarié avait fait le buzz en embrassant Patrice Janiaud, un homme séropositif sur le plateau du Sidaction afin de montrer que le SIDA ne s’attrape pas avec un simple baiser. 24 ans après, il serait peut-être bon de recommencer, car les idées reçues sur la maladie perdurent encore. Une étude menée par HEYME, alliance de 7 mutuelles révèle que 19% des étudiants pensent que le virus du SIDA/VIH peut se transmettre par une

piqûre de moustique, 17% en étant simplement en contact avec une personne séropositive, 12% un simple baiser avec une personne malade, 6% en buvant dans son verre et 3% en lui serrant la main.

44% des étudiants seulement utilisent un préservatifDes idées reçues principalement véhiculées par manque d’informations. Pourtant, cela ne semblent pas inquiéter les étudiants plus que ça, car le sondage nous apprend également que paradoxalement, seul 44% d’entre-eux avouent utiliser un préservatif à chaque rapport. Plus inquiétant encore, 1 étudiant sur 2 seulement se ferait dépister à chaque changement de partenaire. Pour 70% d’entre-eux, le recours au préservatif sert principalement à éviter une

grossesse et se protéger des MST. Il serait peut être bon pour les jeunes de l’Hexagone de réviser le sujet car la protection est le principal moyen d’éviter d’être contaminé. Les relations sexuelles non protégées étant le principal facteurs de risque, contrairement aux baisers, piqûres de moustiques qui ne le sont pas. Un autre facteur contaminant dangereux : l’échange de seringues ou de pailles dans le cadre d’usage de drogue, la muqueuse nasale étant facilement abîmée.Click Here: cheap INTERNATIONAL jersey

VIDEO. Tests de virginité : une atteinte aux droits des femmes

“Une pratique médicalement inutile, souvent douloureuse, humiliante et traumatisante”, souligne le communiqué publié en octobre 2018 par l’Organisation mondiale de la santé, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme et ONU-Femmes. Le test de virginité est un examen gynécologique censé permettre de déterminer si une fille ou une femme ont eu un rapport vaginal. Il est encore largement pratiqué dans une vingtaine de pays, majoritairement en Asie, au Moyen-Orient et en Afrique.En Afghanistan, les femmes accusées de crimes dits moraux, notamment des relations hors mariage, sont soumises à des tests de virginité. De même, ces derniers sont imposés aux jeunes filles et aux femmes qui veulent intégrer l’armée ou la police en Indonésie.Des milliers de jeunes filles se prêtent à ces tests pour participer à la “danse des roseaux”, une cérémonie qui se déroule chaque année en pays zoulou, en Afrique du Sud. Devant le roi, les jeunes femmes peuvent ainsi clamer leur virginité.Au Maghreb, les jeunes femmes les plus modernes se soumettent à la tradition quitte à donner l’illusion que leur hymen est resté intact grâce à une opération chirurgicale. Le test s’effectue de deux manières. L’hymen, cette membrane qui sépare le vagin de la vulve, est inspecté pour savoir s’il est déchiré ou pour évaluer son degré d’ouverture. Des doigts peuvent être également introduits dans le vagin (“le test des deux doigts”). L’examen est réalisé par des médecins, des agents de police ou encore des leaders communautaires.Ce test constitue une violation des droits des femmes et des filles et cause des dommages physiques et psychologiques aux personnes qui le subissent.Comme le rappellent les Nations Unies, “le mot ‘virginité’ n’est un terme ni médical, ni scientifique”. Il renvoie plutôt à “une notion qui reflète la discrimination dont les femmes et les filles font l’objet”.

Beauty Decoded Live : Vivez une soirée sous le signe de la beauté

Allergan vous invite le 29 octobre à une soirée inédite au sein de l’hôtel particulier Salomon de Rothschild à Paris. Au programme, des ateliers beauté et des talks pour gagner confiance en soi.

L’événement Beauty Decoded arrive à Paris. RDV le 29 octobre à l’hôtel particulier Salomon de Rothschild. Au programme : des ateliers beauté pour booster sa confiance en soi et la découverte des différentes techniques esthétiques.A travers un parcours, découvrez les différents traitements esthétiques, analysez votre visage, ou encore bénéficiez des meilleurs tips d’une maquilleuse professionnelle.Cette soirée sera également marquée par une conférence du Dr De Maio, chirurgien plasticien brésilien. Le moment idéal pour répondre à toutes vos questions sur la médecine esthétique.Pour remporter votre invitation pour 2 personnes, inscrivez-vous :

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