Africités: «Le développement durable est l’unique option pour l’Afrique»

La préoccupation centrale du sommet Africités sera le développement durable. Pourquoi les collectivités locales africaines doivent-elles s’engager dans cette voie?
C’est toute l’Afrique, et pas seulement les collectivités locales, qui doit se tourner vers le durable. Le chemin que les pays développés et les pays émergents ont suivi ne peut pas être celui de l’Afrique. En 2100, le continent sera le plus grand foyer humain du monde. Par conséquent, les Etats africains ne peuvent pas se permettre de faire les mêmes erreurs que les autres. Le développement durable et inclusif est l’unique option possible pour l’Afrique d’autant qu’elle sera salutaire pour le monde entier.

Quelle sera la teneur des échanges à Africités?
La transition vers le développement durable est d’abord portée par un débat sur la transition démographique. Il faut que, pour une fois, la question de la femme africaine, des jeunes dans le développement soit sérieusement posée. Il faut aussi que la question de la migration soit réellement débattue. Quelques jours après Africités, le Maroc et l’Allemagne présideront la conférence des Nations Unies en vue de la mise en place d’un pacte mondial de la migration.

Ensuite, nous avons le problème du climat. Les Africains doivent se prendre en main et ne rien attendre de personne. Le dernier rapport du GIEC indique que les engagements des Etats dans les contributions nationales dans le cadre de l’accord de Paris aboutissent à plus de 3 degrés de réchauffement de la planète à l’horizon 2100. Or, les experts nous disent qu’au-delà de 2 degrés, on ne peut plus rien prévoir en matière de climat et les phénomènes extrêmes devraient se multiplier. Si les Etats développés qui ont créé le problème – l’Afrique ne contribue au réchauffement climatique qu’à hauteur de 4% maximum – sont inconscients… 

L’économiste égyptien Samir Amin disait que le monde ne change qu’à partir de sa périphérie, jamais en son centre. L’Afrique a la responsabilité de bifurquer. Quand elle l’aura fait, le monde suivra. Il y a déjà des germes de ce changement. L’exemple le plus accompli d’économie circulaire à partir du secteur agricole est au Bénin, c’est le projet Songhaï. Les Chinois, les Sud-Américains, tout le monde vient voir comment ils ont procédé. 

La sécurité et la souveraineté alimentaires sont à notre portée. Les Etats africains ne peuvent pas se permettre de laisser leurs terres aux Chinois, aux Turcs ou encore aux Saoudiens, alors même qu’ils doivent nourrir leurs populations. C’est incroyable que l’on dépense autant en produits d’importation pour subvenir aux besoins alimentaires des populations sur un continent qui dispose du plus important contingent de terres agricoles saines au monde. A partir de l’agriculture, il est possible de bâtir une économie circulaire.

Enfin, dernier point: la planification urbaine. Les villes constituent des opportunités extraordinaires de développement, mais seulement si elles sont bien gérées. Dans cette optique, nous demandons à l’Union africaine d’organiser un sommet sur l’urbanisation. 

(CGLU Afrique)

Où en est la décentralisation en Afrique?
L’Afrique compte 13.889 communes qui rassemblent 350 millions d’habitants. En somme, le tiers de la population africaine relève d’une collectivité locale contre pratiquement 90% en Europe et en Amérique du Sud. En d’autres termes, deux tiers des Africains n’ont pas encore le bénéfice d’être représentés par des élus locaux. Les populations sont gérées en direct par les autorités nationales. La décentralisation n’a pas encore atteint le régime de croisière que nous espérons même si les Etats poussent déjà des cris d’orfraie. 

Quel est le principal obstacle à ce processus?
L’incompréhension de ce qu’est un Etat ! Nos Etats ont été essentiellement mimétiques. Ils ont la couleur d’un Etat, un drapeau, une armée, une équipe nationale de football… Mais les Etats africains n’en sont pas vraiment parce qu’ils ne sont pas le produit d’une négociation avec les populations. Les colonisateurs sont partis et ils ont été remplacés. Résultat: la logique coloniale n’a jamais quitté nos Etats alors qu’elle était une logique d’extraction et non de développement.

La décentralisation constitue ainsi une seconde chance et une seconde indépendance parce qu’elle permet de négocier le rapport des populations au pouvoir public. Pendant la colonisation, les populations africaines se sont vu imposer des pouvoirs politiques externes et les modes d’organisation préexistants ont été mis de côté. Ce fonctionnement n’a pas été remis en cause par les indépendances. La décentralisation a le mérite de remettre, à chaque fois, cette problématique à l’ordre du jour. A savoir comment concilier la quête de l’unité nationale et la diversité des composantes nationales. Une équation que la plupart des pays africains n’ont pas encore su résoudre. Personne ne peut y échapper: c’est l’histoire de l’Amérique, de l’Europe, de l’Asie… et de l’Afrique.

Les collectivités locales trouvent des solutions qui ne semblent pas être prises en compte par l’Etat central. Comment peuvent-elles être plus persuasives pour le bien de l’ensemble des citoyens?
«Tout ce qui t’arrive est de ta faute», affirmait mon père. Il est temps de prendre nos responsabilités pour que les choses changent. Les collectivités locales sont les institutions publiques les plus proches des citoyens. Ce qu’on leur demande, c’est de savoir bâtir des coalitions locales pour se faire entendre. Pourquoi les Etats ont-ils voulu la décentralisation? Tout simplement parce que l’ouverture du marché politique vers les collectivités locales était un moyen de faire baisser une pression trop forte sur certains postes nationaux. Il appartient aux collectivités locales de transformer cette ouverture en outil d’influence. Aucun pouvoir ne se donne, il se prend!

Les collectivités locales africaines sont-elles aujourd’hui capables de prendre le pouvoir, du moins de se faire entendre des Etats?
Absolument ! Et il a y a déjà un exemple. Lorsque nous avons entamé les discussions sur une charte africaine de la décentralisation, beaucoup d’Etats nous ont demandé pourquoi nous voulions faire de la décentralisation, une problématique nationale selon eux, une question panafricaine. Mais en 2014, les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine ont adopté la Charte africaine des valeurs et principes de la décentralisation. Ce résultat a été obtenu parce que nous avons créé un rapport de force tel qu’il était impossible de refuser aux collectivités locales le droit d’interpeller leurs gouvernements quant à la mise en œuvre de la décentralisation. Nous sommes même parvenus à faire établir un Haut conseil des collectivités locales comme organe consultatif de l’Union africaine pour porter la voix des autorités locales au sein de l’organisation panafricaine. On gagne quand on fait jouer les rapports de force, pas quand on passe son temps à se plaindre.

Et en matière de financement?
C’est la pression que les collectivités locales feront sur les Etats qui va permettre qu’une grande partie des ressources financières disponibles leur soient redistribuées. Notre philosophie est la suivante: ce n’est pas la peine que l’argent monte au niveau national pour redescendre ensuite à l’échelon local. En Suisse, il n’y a aucune relation entre les citoyens d’un canton suisse et l’Etat. Les citoyens paient leurs impôts à leur canton qui reverse, à son tour, un impôt à l’Etat. Cette identification des Suisses à leur canton donne une citoyenneté plus solide et un Etat tout aussi solide. Le principe de subsidiarité (le fait de résoudre les problèmes au plus près des populations concernées) est probablement celui qui porte le mieux la perspective d’une démocratie solide. Les Etats les plus solides et les plus stables sont ceux qui sont les plus fortement décentralisés. Cela se vérifie partout dans le monde.
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Chine : une voiture fonce dans un groupe d’élèves et tue au moins cinq enfants

Une voiture a foncé sur un groupe d’élèves, jeudi 22 novembre dans le nord-est de la Chine, faisant cinq morts et 18 blessés, selon les médias officiels. Le drame s’est produit à la mi-journée devant une école élémentaire de la ville de Huludao, dans la province du Liaoning, a indiqué la télévision officielle CCTV sur le site de microblog Weibo, en précisant que le chauffeur avait été arrêté. On ignore les raisons de son geste.Des images, non authentifiées, diffusées sur les réseaux sociaux montrent un groupe important d’enfants en train de traverser une rue quand, à mi-chemin, une voiture circulant à gauche, dans le mauvais sens de circulation, les percute de plein fouet. Certaines vidéos montrent des corps d’enfants gisant sur la chaussée.Click Here: new zealand rugby team jerseys

Crise des opiacés aux Etats-Unis : une étude souligne le rôle crucial des pharmaciens hospitaliers

Un sondage mené auprès des dirigeants de pharmacie aux Etats-Unis explore le rôle croissant des pharmaciens hospitaliers pour prévenir l’usage abusif des opioïdes.

En 2017, plus de 70.000 décès seraient liés à la surdose d'opioïdes aux Etats-Unis.

La consommation d’opiacés, notamment d’analgésiques prescrits sur ordonnance, d’héroïne et de drogues synthétiques comme le fentanyl, a monté en flèche aux États-Unis. En 2017, plus de 70.000 décès seraient liés à la surdose d’opioïdes, selon les estimations des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis.Cette nouvelle étude, dont les résultats sont publiés dans le journal de l’American Society of Health-System Pharmacists, comprend les réponses des directeurs de pharmacie de 811 hôpitaux généraux et hôpitaux pour enfants des États-Unis, récoltées entre juillet et septembre 2018. Les résultats font partie de l’Enquête nationale sur la pratique de la pharmacie en milieu hospitalier.Les stratégies les plus courantes utilisées par les systèmes de santé pour prévenir l’abus d’opiacés comprennent la formation des cliniciens et l’élaboration de lignes directrices (71,4%), suivies de recherches dans les bases de données de surveillance des médicaments d’ordonnance pour suivre les pratiques de prescription et les comportements des patients qui peuvent mener à des abus (65,3%), et de programmes de détection des détournements d’opioïdes (55,6%).Naloxone : un antidote contre les overdoses d’opioïdesD’autres stratégies employées sont mentionnées pour endiguer la crise, telles que la limitation de l’approvisionnement en ordonnances d’opioïdes à la sortie de l’hôpital, le bilan comparatif des médicaments opiacés pendant la transition des soins, les programmes de reprise des opiacés sur ordonnance et la gestion des toxicomanies aux opiacés médicamenteux.Une plus large prescription de

Naloxone et une information plus importante sur ce traitement sont également citées comme une stratégie efficace dans la lutte contre la crise des opioïdes. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, ce médicament peu onéreux “peut complètement inverser les effets de l’overdose d’opioïdes et prévenir les décès qui y sont liés“.En France, la crise des opiacés se révèle également préoccupante. Le 23 juin dernier, une centaine de médecins et de professionnels de santé ont signé une tribune dans le Journal du Dimanche pour prévenir d’une éventuelle crise similaire à celle observée aux Etats-Unis.Selon les signataires de cette tribune, 12 millions de Français sont concernés par l’usage abusif de ces médicaments, “sans être alertés sur leur potentiel addictif et sur les risques d’overdose“. Toujours selon ces professionnels de santé, la prise d’opiacés aurait doublé le nombre d’hospitalisations pour ce motif et triplé le nombre de décès.Click Here: Rugby league Jerseys

Rappel d'un coffret repas en fibres de bambou de la marque Noukie's

En raison d’un risque de migration de mélamine au delà des seuils autorisés, le coffret repas 5 pièces pour Bébé de la marque Noukies’s fait l’objet d’un rappel. Il ne doit plus être utilisé.

Le coffret repas 5 pièces pour Bébé, modèle “Moris et Sacha écru”, de la marque Noukies’s est rappelé en raison d’un risque de migration de mélamine vers les aliments au delà des seuils autorisés. La mélamine est une substance – dérivée du plastique – qui peut être toxique. Il est donc demandé aux personnes ayant acheté ce produit (code barre : 5413042047127, numéro de lots : CAM 180360 et CAM 180363) de cesser de l’utiliser et de le rapporter en magasin pour remboursement.Pour toute question contacter Noukie’s :  

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DIRECT. COP24 : “Le monde ne va pas du tout dans la bonne direction”, dénonce l’ONU

Retrouvez ici l'intégralité de notre live #COP2423h56 : En marge de la conférence de l’ONU sur le climat, le président nigérian a dû démentir des rumeurs sur sa mort à la suite de graves problèmes de santé. “C’est le vrai moi, je vous assure”, a déclaré Muhammadu Buhari, répondant à des messages sur les réseaux sociaux selon lesquels il avait été remplacé par un imposteur venu du Soudan.23h52 : Envie d’un dernier conseil lecture avant d’éteindre la lumière ? Voici une sélection de nos meilleurs articles du jour :13h41 : Le vice-président de France nature environnement redoute que cette absence d’Emmanuel Macron et Edouard Philippe à la COP24 préfigure un recul sur la fiscalité écologique. Qu’ils fassent un geste momentané sur le diesel, pour calmer les esprits, on peut le comprendre”. “Mais s’ils enterrent un certain nombre d’objectifs fiscaux, c’est problématique”, ajoute Jean-David Abel auprès de franceinfo.13h35 : “Le sommet de l’Etat français ne sera pas présent à la COP 24 et c’est très dommageable. Ce n’est pas comme si la Pologne était à 12 heures d’avion.” 12h35 : A l’occasion de la , nous lançons #AlertePollution, une enquête participative. Grâce à vos signalements, nos journalistes vont enquêter. Si vous souhaitez nous aider, rendez-vous sur l’adresse franceinfo.fr/AlertePollution.10h58 : Vous en avez assez de voir votre environnement pollué ? Un liquide coloré dans la rivière du coin ? Une déchetterie sauvage à quelques kilomètres ? Franceinfo a lancé #AlertePollution, une enquête participative. Aidez-nous en remplissant ce formulaire ou en nous contactant via les applications chiffrées WhatsApp ou Signal, au 06 13 76 73 41.

09h53 : Dans l’Aube, la compagnie SPPE a par exemple obtenu en mars le droit de continuer à extraire du pétrole jusqu’en 2040 sur sa concession de Saint-Lupien. A La Conquillie (Seine-et-Marne), le canadien Vermilion a obtenu en février la concession qu’il attendait depuis plusieurs années. La même entreprise pourra continuer à chercher de l’or noir au large du Cap Ferret (Gironde) puisque son permis Aquila a été renouvelé en janvier. La liste complète des projets prolongés est disponible dans notre article.09h53 : “La loi Hulot ne sert pas à grand-chose, c’est une posture”

Pour les militants spécialisés, cette loi ne sert à rien. Elle autorise la poursuite des projets en cours et ouvre même la porte à leur prolongation après 2040.09h52 : C’est le totem vert du gouvernement, celui qu’il brandit à chaque critique sur son bilan écologique. Grâce à la loi Hulot, votée en décembre 2017, nous serions en train de vivre “la fin de l’exploitation pétrolière en France”. Pourtant, depuis son entrée en vigueur il y a un an, la France a autorisé la poursuite de 18 projets hydrocarbures. Notre journaliste Thomas Baïetto vous explique comment dans cet article.Click Here: Maori All Blacks Store

Loi Alimentation : un “échec”, selon l’UFC-Que Choisir et la Confédération Paysanne

L’augmentation du seuil de revente à perte (SRP), entrée en vigueur le 1er février 2019 dans le cadre de la loi Alimentation, avait pour but de “rendre les prix d’achat des produits agricoles plus rémunérateurs pour les agriculteurs”. L’UFC-Que Choisir et la Confédération Paysanne affirment au contraire que les marges de l’industrie et de la distribution ont progressé, et réclament “l’abandon immédiat” de cette mesure.

Sommaire

  1. “Un chèque en blanc de 1,6 milliard d’euros à la distribution” 
  2. Les prix agricoles toujours en-dessous des prix de revient
  3. Une transparence totale sur les marges souhaitée

La loi Alimentation serait loin d’avoir tenu toutes ses promesses. Votée l’année dernière, elle avait pour objectif d’assurer “l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole” notamment via l’entrée en vigueur en février dernier de la hausse de 10% du seuil de revente à perte (SRP), limite de prix en-dessous de laquelle un distributeur ne peut revendre un produit. Selon l’association UFC-Que Choisir et la Confédération Paysanne, non seulement cette mesure a entraîné une inflation des prix alimentaires, mais en plus n’a fait qu’augmenter les marges de l’industrie et de l’alimentation.

“Un chèque en blanc de 1,6 milliard d’euros à la distribution” En effet, selon les deux organisations, une étude a montré que les prix des produits alimentaires ont subi “une brutale augmentation de + 0,83 % en un mois seulement, plus particulièrement marquée dans les hypermarchés et sur les produits de grandes marques”. Une inflation qui se traduirait par “un chèque en blanc de 1,6 milliard d’euros à la distribution” sur deux ans.Les prix agricoles toujours en-dessous des prix de revientPar ailleurs, les marges dans l’industrie et de la distribution auraient “encore progressé plus fortement que les prix agricoles, entraînant une inflation supplémentaire injustifiée pour les consommateurs”. Par exemple, le prix du lait UHT revenant à l’éleveur a diminué de 5%, mais la marge des distributeurs a elle augmenté de 8%, ce qui fait que “les consommateurs paient maintenant le lait 4% plus cher”.“La grande distribution et l’industrie continuent d’imposer des prix agricoles en-dessous des prix de revient à de nombreuses filières, dénonce l’UFC-Que Choisir. Le lait de vache est acheté 15 % en dessous du prix de production et la viande 14 %”. Une transparence totale sur les marges souhaitéeAfin de véritablement “garantir des prix rémunérateurs aux agriculteurs tout en permettant une amélioration de la qualité de l’offre alimentaire au prix juste”, les organisations demandent “l’abandon immédiat du relèvement du seuil de revente à perte”. Mais aussi “la transparence totale sur les marges des industriels et des enseignes de la grande distribution, la mise en œuvre effective du rééquilibrage des négociations commerciales, ainsi qu’un dispositif pour déterminer des prix agricoles rémunérateurs”.Click Here: All Blacks Rugby Jersey

Festival de Monte Carlo Jour 2: les Américains débarquent

C’est sûr, l’ambiance bon enfant de lundi a été quelque peu perturbée par l’arrivée des stars de la télé US: la sublime Kate Walsh, le charmant Matthew Fox de Lost, le raffiné Kyle Malachlan de Desperate Housewives et la sexy Jennifer Love Hewitt de Ghost Whisperer, venue avec son amoureux Jamie Kennedy… ont créé l’effervescence en salle de presse.

Perchée sur des talons d’au moins quinze centimètres, et vêtue d’une mini-robe noire très sexy, Jennifer Love Hewitt n’est pas passée par le salon de coiffure improvisé du forum Grimaldi. Non, elle est venue avec son staff! Et était donc parfaite en arrivant… Là, elle a croisé les acteurs de la série mythique Les Feux de l’Amour, Michelle Stafford, et Doug Davidson, avant de se rendre aux TV Junkets sur la terrasse ensoleillée avec vue sur mer.

C’est parti pour une dizaine d’interviews, au moins. (L’équipe de Gala.fr aura droit à son petit entretien avec elle ce mercredi!) Mais c’est surtout son couple qui a attiré les photographes. En effet, la belle de Ghost Whisperer est venue avec son boyfriend rencontré sur la série, Jamie Kennedy. Et de lui donner du «baby» à tout va, devant les fans et la presse, à qui elle n’a refusé aucune question sur sa relation.

Quant à Kate Walsh, elle était également perchée sur talons hauts, mais version stilettos. Elle arborait en revanche un look plus décontracté: jean et top flottant à strass. La sublime rousse était là pour promouvoir sa série Private Practise, où elle joue le Dr Addison Montgomery, dans un autre contexte que celui de Grey’s Anatomy, et semblait très relax… Rien ne semblait pouvoir la perturber.

Même pas le beau Matthew Fox, Jack dans Lost, difficile à dérider selon les journalistes qui l’ont interviewé ce mardi. Il affirme être l’un des seuls à connaître la toute fin de sa série, et en tire une certaine fierté qui lui permet de mener la presse en bateau!

Le moins disponible était certainement Rob Estes, de la série bientôt diffusée en France 90210, de Darren Star – ça ne vous rappelle rien ? Mais si, bien sûr, un remake de Beverly Hills…

Arrivé en retard à son premier rendez-vous, il a eu du mal à se lancer dans les interviews, et à peine a-t-il eu fini, qu’il a chaussé ses sunglasses pour repartir se planquer dans sa chambre d’hôtel.

Pour finir la journée en beauté, nous avons assisté à la conférence de presse donnée par Kyle McLachlan qui joue Orson dans Desperate Housewives.Charmant! Il est revenu sur le changement qu’a provoqué la naissance de son petit garçon, Callum, dans sa vie. Il a également fait rire à plusieurs reprises les journalistes –c’est un métier- surtout quand il a fait allusion aux «nombreuses choses qu’il a apprises sur les femmes en gravitant autour d’elles»… Sans détailler davantage la teneur de ses découvertes…

Camille Choteau

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Mercredi 10 juin 2009

Participez à “On ramasse les copies” ! [VIDEO]

Envie d’un ciné sur les Champs ce mercredi 15 février ? Et pourquoi ne pas aussi participer à “On ramasses les copies à la sortie” ?

Vous souhaitez participer à une émission d’Allociné, et vous êtes tentés par une séance de ciné sur les Champs-Elysées ce mercredi 15 février ? “On ramasse les copies” a la solution ! Dans le cadre de notre prochaine émission, nous serons à la sortie du Gaumont Marignan, pour vous interroger sur les films suivants : Voyage au centre de la Terre 2 (séance de 14h10) et La Dame de fer (séance de 15h). Envie de tester votre mémoire et votre compréhension d’un film, et de donner votre avis dans la foulée ? A vous de jouer et soyez attentifs !

Maximilien Pierrette, Maud Lorgeray & Rémy Golinelli

Jamais entendu parler de l’émisison ? Découvrez le dernier numéro !

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EU budget won’t be corona-era Marshall Plan

Don’t count on a new Marshall Plan to save the EU.

In recent days, European Commission President Ursula von der Leyen has repeatedly said Europe needs a new Marshall Plan to tackle the coronavirus crisis, with the EU’s next long-term budget at its heart.

But while invoking the massive U.S.-financed program to lift Europe from the ashes of World War II may help von der Leyen convey the scale of the challenge she believes the Continent now faces, comparisons between the Marshall Plan and the EU budget are otherwise misplaced, according to experts and officials.

For one thing, the cash for any new “Marshall Plan” would have to come from European governments themselves. For another, the EU budget is much smaller as a proportion of the European economy than the post-war aid provided by the United States. And the bulk of EU budget funds are allocated to existing programs, such as agricultural subsidies and regional development spending.

To turn the EU’s Multiannual Financial Framework into a true Marshall Plan 2.0, the Commission would have to propose — and the EU’s national leaders would have to accept — a far bigger budget than anything previously suggested, along with a radical reworking of how the money is shared out. So far, there is no indication that anything that dramatic is being proposed or that it would be accepted.

It’s clear the EU budget will play some role in the economic strategy to tackle the crisis. But it’s also clear that the response will come above all from massive spending by national governments and a €750 billion asset-buying program from the European Central Bank, as well as other EU programs, possibly including the eurozone’s bailout fund and an unemployment reinsurance scheme proposed by the Commission last week.

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Still, however, politicians can’t resist reaching for the comparison with the European Recovery Program — popularly known as the Marshall Plan, after U.S. Secretary of State George C. Marshall.

European Council President Charles Michel talked just a couple of weeks back about “what I call a Marshall Plan-like stimulus strategy.”

Question of scale

The original Marshall Plan used grants to help revive production in Western European economies that had been devastated by World War II.

The assistance was to be accomplished by “promoting industrial and agricultural production,” as well as “furthering the restoration or maintenance of the soundness of European currencies, budgets, and finances” and “facilitating and stimulating the growth of international trade of participating countries with one another and with other countries by appropriate measures including reduction of barriers which may hamper such trade,” according the 1948 U.S. Economic Cooperation Act.

The Marshall Plan came with some strings attached. “European integration was a primary requirement,” said Benn Steil, a senior fellow and director of international economics at the Council on Foreign Relations think tank, who wrote a book on the Marshall Plan. A key condition was that Communist parties could not take part in coalition governments in recipient countries. “The U.S. made clear that they would cut Marshall aid if the Communists were ever allowed back in power,” Steil said.

That’s one difference between the Marshall Plan and any attempt to revive the European economy via the EU budget. But there’s also a significant difference between the scope of the original Marshall Plan, which provided assistance to 16 countries between 1948 and 1952, and the next long-term EU financial framework, which is set to run between 2021 and 2027.

American assistance in 1948-1952 amounted on average to 2.6 percent of the economic output of recipient countries, according to Steil. In nominal terms, grants totalled $13.2 billion — 1.1 percent of U.S. output at the time, he noted.

The European Commission’s original proposal for the 2021-2027 EU budget, by contrast, was the equivalent of merely 1.11 percent of the bloc’s Gross National Income (GNI), a measure of the size of the economy that includes output and other elements. And when EU leaders failed to agree on the budget at a summit in February, they were looking at a compromise of around 1.07 percent of GNI.

“The EU budget definitely is not big enough and won’t be big enough to be the main tool to tackle the economic crisis,” one national official, who spoke on condition of anonymity, said in a text message. “National fiscal stimulus (backed by actions from European Central Bank) is going to be key.”

Politicians in Brussels are also skeptical.

“Of course, there is a need for a significant stronger EU response to the corona pandemic and its economic fall out,” Johan Van Overtveldt, chair of the European Parliament’s Committee on Budgets, wrote in a text message. “How can you do that with a budget amounting to more or less 1% of GDP??”

Experts agree that on its own, the EU budget won’t be enough to address Europe’s economic challenges.

“If the budget remains at its current order of magnitude, at 1 percent of GNI — and it is very hard to see how that would alter — and the traditional demands continue to be imposed, particularly for agriculture and cohesion policy, the margin for launching something massive is going to be pretty limited,” Iain Begg, a professorial research fellow at the London School of Economics, said in a phone interview.

National priorities

Another major obstacle to von der Leyen’s ambition is the willingness — and ability — of member countries to pay for a lot of new spending at EU level.

The bulk of EU budget spending comes from contributions from national treasuries, based on the size of their economies. French President Emmanuel Macron last month floated the idea of a bigger EU budget to address the crisis — but did not directly offer to pay more into the bloc’s coffers. Other leaders have also thus far tiptoed around the politically charged question of how much money national capitals would have to transfer to the EU if the bloc opts for more ambitious recovery spending.

Many national leaders will also be wary of fueling anti-EU populism if they are accused of spending too much at a EU level at a time of acute need at home. Hélène Laporte, a member of the European Parliament from Marine Le Pen’s National Rally, described a possible increase in the French contributions to the EU budget to help address the crisis as “madness.”

At the same time, many EU governments are unlikely to agree to cuts to traditionally major areas of EU spending that benefit them, like subsidies for farmers, in order to pay for the recovery.

“Every euro that is taken from a national finance ministry or a national tax base to give to the European level, is a euro that’s no longer available to be spent on domestic recovery plans,” said Begg. “And that’s where I see a considerable risk of saying, ‘why bother with the European level, because we’re all dealing with our domestic levels.'”

The European Commission says it will present a revised budget proposal soon. But there’s no sign it will include radical changes to the existing structure.

“There won’t be a completely new draft that will be changed from A to Z. Rather, there will be readjustments, especially in the area of investments,” Michael Hager, chief of cabinet for Commission Executive Vice President and economic policy chief Valdis Dombrovskis, said last week.

New plan 

Experts say that what Europe needs in the age of coronavirus is not the equivalent of the grants-based Marshall Plan, but rather a blueprint that would ensure a Marshall Plan won’t be needed in the future.

Leaders today are “using the Marshall Plan really as shorthand for a lot of government spending,” Steil said. “A lot of government spending will certainly be necessary, but the contours of that spending should be very different, because the circumstances are entirely different.”

“In my view, the priority should be right now to stop a collapse in output capacity, both in the United States and Europe. I think it’s critical to keep companies that are basically good and solvent alive … so when the pandemic is finally wound down, we can revive production quickly,” Steil said.

“We don’t want to be in the position we were after World War II, when these economies were destroyed and we had to rebuild them. We want to make sure that these economies are not destroyed, that they are kept alive in the interim, and in many cases that means lending, not grants,” he added.

The EU budget could play a role in generating some lending, following the model of its proposed InvestEU program, which brings together public and private investment by using cash from the budget as guarantees.

“Where I think there is scope for something a bit more imaginative is in a variation on the InvestEU,” Begg said, adding that “you could see that there is a way to mobilize the conjunction of further quantitative easing [from the ECB], a new role for the European Stability Mechanism, the guarantees from the EU budget, to provide quite a substantial amount of loan finance, as opposed to grants.”

That won’t amount to a new Marshall Plan but that may not stop EU officials using the phrase.

One senior diplomat said he does not expect the next long-term budget to be “radical and revolutionary, but of course somebody can always label it ‘Marshall.'”

Hans von der Burchard contributed reporting.