Elephant Delivers Tyson-Worthy Jab To U.S. Tourist Taking Photo

Humans in general have a love affair going on with elephants, in part because pachyderms are intelligent, emotional and develop deep social bonds not unlike our own. That hasn’t changed for a Pennsylvania teen, who was on the receiving end of a Mike Tyson-worthy jab when a female elephant raised her trunk and put an end to the teen’s photo shoot.

The unnamed teen was in Zambia on a 12-day mission trip with other students from her high school, Grace Prep in State College, Pennsylvania, when she and others encountered the elephant that roams freely in a 10,000-acre preserve.

She seemed friendly enough, allowing other students to gently stroke her trunk.

But when the teen whipped out her phone to take a photo, the elephant suddenly slapped the teen with terrific force.

“I felt like 10 people had punched me at once as I was catapulted backward and my phone flew forward to the ground,” the teen wrote in a letter obtained by Fox News. A boy behind her caught her before she fell.

The blow “knocked the wind out of me,” the teen wrote, but she’s otherwise OK and laughing about the incident, which was captured on video and widely shared after Twitter user Ernie Ley posted it.

The teen wrote that the encounter was “a very shocking, interesting, and somewhat funny start to an amazing life-changing team experience.” The teens had teamed with the Heart of the Bride ministry group, which works with orphaned children in five countries, including Zambia.

The experience was transformative “not just because I was hit by an elephant, but because I had the privilege of working with such amazing people and built relationships I will remember forever,” she wrote. “If I had to get whacked by an elephant to partner with this amazing ministry again, I would do it all over the same exact way!”

She added: “And, yes, I still love elephants.

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French's Debuts Mustard Ice Cream, Blending Tastes Of Summer

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CULVER CITY, CA — Certain smells evoke nostalgic memories of childhood summers: freshly cut grass, hamburgers on a grill and that distinct ice cream shop scent. But will mustard-flavored ice cream have the same effect? The only way to know is to try it yourself.

Ice cream company Coolhaus is teaming up with French’s Mustard to make mustard ice cream in honor of National Mustard Day on August 3.

“After 115 years of using mustard to add something bold and unique to standard fare, we thought, ‘What about ice cream?'” French’s Mustard said.

I could think of a million reasons as to why mustard ice cream is a bad idea. But alas, the mustard company says although the limited-run flavor “might sound crazy,” it tastes “damn good.”

Coolhaus’s Culver City location will have the ice cream available on Aug. 2 through 4, and Aug. 9 through 11. On the East Coast, New Yorkers can look for the French’s Mustard Ice Cream truck on August 1 and 2 before making its way out to teh Hamptons on August 3.

Stops include:

For those that don’t live near the metropolitan cities, no worries — you can make the mustard ice cream at home with a recipe provided by French’s Mustard below:

Appli de rencontres : Des hôpitaux saturés à cause des IST et MST

Le Conseil de la Santé en Angleterre s’alarme du nombre de visites dans les hôpitaux pour des questions sexuelles. Une augmentation due, selon eux, à la multiplication des partenaires via des applications de rencontres comme Tinder et Grindr.

MST en hausse et hôpitaux au bord de l'explosion.

“Poussés à l’extrême”, c’est l’expression utilisée par les spécialistes de la santé pour décrire le nombre de rendez-vous pris en vénéréologie. En 2017, près de 3,3 millions de personnes ont rendu visite à des médecins pour des questions sur leur libido. Un signal d’alarme pour les dirigeants du Conseil de la Santé qui pointent du doigt les applications de rencontres. Ces dernières (telles que Tinder ou Grindr) seraient, selon eux, les acteurs majeurs de l’augmentation de l’activité sexuelle de la population d’Outre-Manche.Depuis 2013, il y a eu une hausse de 13% des consultations concernant les maladies et infections sexuellement transmissibles (MST et IST), ce qui équivaut à 210 visites supplémentaires par jour. Le nombre total de dépistages des IST/MST, comprenant la chlamydia, la gonorrhée, la syphilis et le VIH, a augmenté de près d’un cinquième au cours de cette période, passant de 1 513 000 à 1 778 000. Un gros problème pour les autorités sanitaires car si la demande est en croissance, les services sont, eux, amputés de budgets. Un manque qui se chiffre à des centaines de millions de livres sterlings, selon l’Association des Gouvernements Locaux (AGL).”Avec une capacité et des ressources limitées, les cliniques sont en proie à de longs retards et des patients sont même refoulés lorsque les rendez-vous sont au complets”, déclare Ian Hudspeth, un des conseillers de l’AGL.Pour stopper la crise, l’association demande d’annuler, tout simplement, la coupure annoncée par le gouvernement de 600 millions de livres sterlings (669 millions d’euro) dans le domaine de la santé.

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Fausses-couches : L’acteur James Van Der Beek (Dawson) partage son expérience

Les fausses-couches touchent beaucoup de femmes et c’est souvent dans le silence que la douleur se fait sentir. C’est pourquoi l’acteur James Van Der Beek, le personnage emblématique de Dawson dans la série éponyme, a décidé de s’exprimer sur le sujet, qu’il a malheureusement bien connu.

La star des séries-télé  James Van Der Beek, plus connu sous le nom de Dawson, a partagé sur Instagram son plus gros chagrin : vivre

les fausses-couches à répétition de sa femme. Elle en aurait fait 3 au cours des années précédentes. Le 8 septembre dernier, l’acteur a voulu témoigner ô combien il était difficile de traverser ce genre d’épreuves pour un couple. Sous une photo où l’on voit son bébé né en juin, dans les bras de sa femme, il écrit : “Je voulais dire une ou deux choses à propos des fausses-couches… nous en avons fait trois au cours des ans (notamment juste avant d’accueillir cette petite beauté)… Cette expérience vous détruira plus qu’aucune autre. C’est une douleur et un déchirement tellement profonds, quelque chose que vous n’avez jamais ressenti. Alors ne jugez pas votre deuil et n’essayez pas de le rationaliser. Laissez-le vous submerger, accordez-lui la place qui lui est due”.


C’est un message plein d’espoir que l’acteur américain a voulu livrer : “Lorsque vous sentez que vous en êtes capables, essayez d’accepter qu’il y a une certaine beauté dans la façon dont vous vous êtes reconstruit, dont vous avez recollé les morceaux mais différemment d’avant. Parfois, nous décidons de changer. Et puis, parfois, nous y sommes obligés car l’univers nous a brisés. Ces changements peuvent êtres des dons du ciel. Beaucoup de couples deviennent bien plus soudés qu’avant. Beaucoup de parents réalisent que leur désir d’enfant est bien plus fort qu’ils ne le pensaient. Et beaucoup, beaucoup, beaucoup de couples ont de beaux, en bonne santé et heureux bébés après (et bien souvent, très peu de temps après…)”Ce qu’il faut retenir : c’est qu’il est aujourd’hui l’heureux papa de 5 enfants, et qu’après les orages il y a toujours du soleil.

Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par James Van Der Beek (@vanderjames) le

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Cancer : un médecin rappelle la dangerosité de certaines prothèses mammaires

Docteur Christian Marinetti, qui avait lancé l’alerte sur les prothèses PIP, s’est exprimé au micro de France Info jeudi 27 septembre pour rappeler le risque de cancer lié à certaines prothèses mammaires. Ce risque, connu depuis 2011, reste tout de même extrêmement faible.

Sommaire

  1. 50 cas de lymphomes liés à des prothèses mammaires
  2. Inutile de s’affoler, il suffit de surveiller

50 cas de lymphomes liés à des prothèses mammairesDepuis 2011, 50 cas de lymphomes liés à des prothèses mammaires ont été recensés en France, selon les chiffres de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM). Ces cancers (également appelés lymphomes anaplasiques à grandes cellules associés aux implants mammaires ou LAGC-AIM) sont donc extrêmement rares. Au micro de France Info, Dr Marinetti a lancé un appel jeudi 27 septembre pour rappeler la dangerosité de certaines prothèses.En effet, selon le rapport de l’ANSM, la majorité des cas de cancers sont liés à des prothèses fabriquées par le leader mondial du marché : l’américain Allergan. Sur les 50 cas de lymphomes, 36 ont été développés par des patientes porteuses de prothèses fabriquées par Allergan. Les modèles les plus “à risque” sont les modèles texturés, qui sont impliqués dans 85 % des cas de lymphomes. Leur aspect granuleux pourrait provoquer des irritations et être à l’origine des évolutions cancéreuses.Inutile de s’affoler, il suffit de surveillerLe chirurgien-plasticien, qui était à l’origine de l’alerte sur le scandale des

prothèses PIP, pointe du doigt les prothèses Biocell texturées d’Allergan, tout en rappelant qu’il est inutile de s’affoler au vu de la rareté des cas de cancer : “Comme pour un médicament, les prothèses ont des effets secondaires. Celui-là est grave, mais rare.” “Le risque est faible, mais maintenant que nous le connaissons, nous sommes obligés d’en tenir compte”, poursuit-il.Les femmes concernées ne doivent pas s’inquiéter ni chercher à se faire retirer leurs implants mammaires.Dr Marinetti a d’ailleurs précisé qu’il continuerait lui-même de poser ces implants, très efficaces pour redonner un aspect naturel aux reconstructions mammaires après amputation du sein. Il conseille tout de même une surveillance accrue pour les patientes porteuses de prothèses Biocell.Click Here: gws giants guernsey 2019

Nourriture pour animaux : Internet casse les codes !

Les français achètent de plus en plus la nourriture de leurs animaux de compagnie en ligne. Une tendance qui s’explique par la multiplication des prix réduits sur les sites spécialisés.

Internet et les animaux de compagnie.

En cette Journée mondiale des animaux, idealo,

1er comparateur de prix en Europe, s’est intéressé au mode d’achat des français en ce qui concerne l’alimentation de leurs animaux de compagnie.En se basant sur la répartition de la demande sur tous les produits d’animalerie, idealo a réussi à dresser un classement des pages les plus consultées sur Internet. L’univers canin reste en première place avec 44% des recherches, viennent ensuite les chats avec 37%.Le reste du classement est le suivant :
– L’aquariophilie avec 9 % de la demande totale. 
– Les produits pour petits animaux avec 5 %. 
– Les produits pour oiseaux avec 4 %.
– Les produits pour reptiles avec 1 %.Au niveau des prix, la nourriture pour chat a baissé depuis un an. En octobre 2017, le prix moyen le plus élevé relevé par idealo était de 38,77 € le paquet, alors qu’en août 2018 il était de 29,32 €. Quant à la nourriture pour chien, le prix est resté stable : 45,35 € en juillet dernier contre 40,59 € en novembre 2017.

L’étude conclut qu’acheter ce genre de produits (croquettes, pâté…) est synonyme de belles économies. En moyenne, un consommateur peut réaliser 28% d’économie en surfant sur différents sites Internet pour l’alimentation de son toutou (soit un peu plus de 20 euros de marge). De même, l’économie faite sur les croquettes pour chat s’élève à 26% (soit plus de 18 euros).

Movember : le mois de la moustache pour soutenir la santé masculine

A quelques jours du début du mois de novembre, les partisans de Movember se préparent à se faire pousser la moustache pour la bonne cause.

Les adeptes des réseaux sociaux le savent déjà, chaque mois de novembre est désormais dédié à une association militant pour la moustache, or elle ne le fait pas pour des raisons esthétiques, mais pour la santé de ces Messieurs.Les hommes sont encouragés à se raser le visage en tout début de mois et de se laisser pousser la moustache, 30 jours durant, pour sensibiliser le public aux maladies comme le cancer de la prostate, des testicules et le suicide. On notera que seule la moustache est encouragée, on rasera donc sa barbe et son bouc pendant cette période. Le but est aussi d’encourager les amis et la famille à sponsoriser les efforts des moustachus afin de lever des fonds pour plus de 1.200 projets concernant la santé masculine à travers le monde.Cet événement, organisé par l’association internationale The Movember Foundation, dont le maître mot est “Grow a Mo, save a Bro” (Fais-toi pousser la moustache pour sauver un pote) vise avant tout à mettre un coup de projecteur sur la santé au masculin.Les personnes moins poilues ou moustachues peuvent aussi prendre part à l’événement en se lançant un autre défi physique ou en organisant un événement pour lever des fonds pour les mêmes causes.Le mouvement Movember a débuté en 2003 en Australie, il est devenu l’année suivant une association caritative officielle qui a reversé ses fonds à la fondation australienne de lutte contre le cancer de la prostate. En 2007, l’association s’est étendue à la Nouvelle-Zélande, au Canada, à l’Espagne, aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, en se rapprochant d’associations de lutte contre le même cancer dans chaque pays. L’événement est désormais devenu mondial.Cette fondation, qui s’est engagée à réduire le nombre de décès prématurés d’hommes de 25% d’ici 2030, se classe cette année 45ème de la liste “NGO Advisor Top 500”. “C’est un honneur de se classer 45ème parmi de très grandes ONG mondiales”, a commenté Owen Sharp, PDG de la Movember Foundation, au moment de l’annonce du classement. “L’innovation, la transparence et la mesure d’impact autour des programmes que nous finançons sont de la plus haute importance pour nous et pour notre communauté.”Plus d’informations sur 

Movember.com.Click Here: gold coast suns 2019 guernsey

Pesticides : le métam-sodium indésirable dans les champs de l'Hexagone

Le métam-sodium banni des exploitations maraîchères : le gouvernement a suspendu pour trois mois l’utilisation de ce pesticide, utilisé notamment dans la production de mâche et pointé du doigt après plusieurs intoxications dans l’Ouest de la France, en attendant un avis de l’agence de sécurité sanitaire.

L’utilisation des produits phytopharmaceutiques contenant la substance active +métam+ ou +métam-sodium+ est suspendue jusqu’au 31 janvier 2019“, indique un arrêté pris jeudi par le gouvernement et publié vendredi au Journal officiel.Son utilisation pour stériliser les sols avant d’y semer des fruits et légumes était déjà interdite en Maine-et-Loire où des dizaines de personnes ont récemment été intoxiquées par ce produit. Cinq personnes ont également été “incommodées” la semaine dernière dans le Finistère sans que leur état nécessite une hospitalisation, selon la préfecture.La décision n’a pas manqué de faire réagir les maraîchers, qui s’exprimaient pour la première fois depuis le début de la crise et ont fait part de leur vive inquiétude. Ils craignent que la décision des autorités ne jette la suspicion sur une production qui fait vivre des milliers d’agriculteurs dans l’Ouest de la France.”Il y aura beaucoup moins de mâche, de radis ou de poireaux” sur les étals à la saison prochaine, a ainsi alerté Philippe Retière, président de la Fédération des maraîchers nantais.Le maraîchage représente 60% des emplois agricoles de Loire-Atlantique, soit 4.600 emplois qui permettent de produire d’importantes quantités de poireaux, concombres, tomates ou encore de la mâche, selon les chiffres de la Fédération. Plus de la moitié de la mâche produite dans l’Union européenne (35.000 tonnes par an) est ainsi produite dans la région nantaise.”On ne dit pas que le métam-sodium est un produit anodin“, a souligné M. Retière, mais “il n’y a aucune dangerosité pour les consommateurs“, a-t-il insisté.Un point que confirme Dominique Deniaud, porte-parole de la Confédération paysanne, hostile par ailleurs à l’utilisation de ce produit, qui précise que cette substance, très volatile, ne laisse de traces ni dans le végétal, ni dans le sol.Seuls les agriculteurs qui appliquent le produit et les riverains des exploitations sont donc susceptibles d’être intoxiqués.”Des problèmes avec ce produit-là, il y en a de très nombreux, c’est assez fréquent, mais c’est toujours tu“, a néanmoins déclaré à l’AFP M. Deniaud. Il a évoqué “un vrai chantage à l’emploi des maraîchers“.Plus de 70 intoxicationsLe métam-sodium “est une molécule qui ne laisse pas de résidus dans le sol. C’est une molécule intéressante, sauf lorsqu’il y a un incident“, a encore expliqué M. Retière.Ce sont effectivement des manquements à la stricte réglementation qui encadre le produit, couplés à un climat inhabituellement chaud et sec, qui auraient causé les plus de 70 intoxications signalées dernièrement dans le département du Maine-et-Loire.”Le métam-sodium fait partie des substances actives les plus préoccupantes pour la santé et l’environnement identifiée dans le plan d’actions national sur +les produits phytopharmaceutiques et une agriculture moins dépendante aux pesticides+, pour lesquelles le gouvernement a demandé une revue scientifique par l’Anses“, soulignent toutefois les ministères de la Santé, de la Transition énergétique et de l’Agriculture dans un communiqué conjoint.La suspension au niveau national est “une sage décision pour la santé des agriculteurs et des citoyens“, ont réagi des députés LREM des Pays de la Loire, dont Matthieu Orphelin, dans un communiqué. “Il faut maintenant accompagner les acteurs dans le déploiement rapide des alternatives existantes“.L’Anses doit se prononcer sur l’utilisation de ce produit fin novembre, soulignent-ils.En cas d’interdiction définitive, comme le réclament les ONG France Nature environnement et Génération futures, Christian Durlin, vice-président de la commission environnement de la FNSEA et agriculteur dans le Pas-de-Calais, craint une nouvelle “distorsion” de concurrence avec les agricultures des pays voisins de la France.”La Coordination Rurale juge cette suspension nationale hâtive, d’autant plus que le produit est utilisé depuis plusieurs années sans incidence“, indique dans un communiqué le syndicat.”Nous demandons au gouvernement de faire toute la lumière sur ces intoxications“, déclare son président Bernard Lannes, qui souhaite une étude d’impacts économiques et agronomiques des conséquences de cette suspension et “une liste exhaustive de solutions alternatives proposant la même efficacité“.Des alternatives existent et sont déjà largement utilisées par les agriculteurs, mais les maraîchers ont insisté sur leurs contraintes. La solarisation, qui consiste à utiliser la chaleur du soleil pour désinfecter les sols, est ainsi limitée en raison du climat en Loire-Atlantique, tandis que la désinfection à la vapeur est très gourmande en temps et en carburant.

La gastro revient : 4 régions fortement touchées

Entre le 5 et le 11novembre, plus de 100000Français ont consulté leur médecin généraliste pour des symptômes s’approchant de ceux de la gastro-entérite. Quatre régions sont déjà au-dessus du seuil épidémique. Nos conseils pour se protéger et se traiter.

Sommaire

  1. Quatre régions au-dessus du seuil épidémique
  2. Causes et symptômes de la gastro-entérite
  3. Comment éviter la gastro-entérite ?

Quatre régions au-dessus du seuil épidémiqueEn France métropolitaine, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé à 154 cas pour 100 000 habitants, ce qui est en dessous du seuil épidémique (158 cas pour 100 000 habitants).Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Hauts-de-France (251 cas pour 100 000 habitants), Ile-de-France (242) et Pays de la Loire (218).Causes et symptômes de la gastro-entériteLa gastro-entérite est le plus souvent due à un virus : le rotavirus. Mais parfois il peut s’agir de bactéries comme la salmonelle par exemple. Elle provoque

diarrhées et vomissements pendant 2 à 3 jours chez la plupart des malades et reste très désagréable mais sans danger pour la plupart d’entre nous. On y associe également des maux de tête, des courbatures, de la

fièvre et de la fatigue.

Les personnes âgées et les enfants sont plus fragiles, car la gastro-entérite peut provoquer chez eux des déshydratations intenses beaucoup plus rapidement.Comment éviter la gastro-entérite ?On attrape la gastro-entérite en mangeant des aliments contaminés ou en buvant de l’eau souillée mais aussi par contact direct avec les malades. Ainsi, pour éviter d’être infecté, il faut :

  • Veiller à l’hygiène des mains et des surfaces. Se laver les mains avec du savon le plus souvent et le plus soigneusement possible, ne pas partager les verres d’eau ou les couverts à table…
  • Veiller à la préparation des repas. Lors de la préparation des repas (en particulier en collectivité), les règles d’hygiène strictes (lavage des mains, ports de gants à usage unique) doivent être respectées. Les personnes malades ne doivent évidemment pas participer à l’élaboration des repas.
  • Se protéger contre la maladie. En 2006,

    deux vaccins ont été mis sur le marché en France. Leur efficacité a été démontrée contre les souches les plus répandues en Europe et aux Etats-Unis. Saisi sur l’éventualité d’une vaccination de masse, le Conseil supérieur d’hygiène publique a décidé de différer pour le moment la recommandation pour les nourrissons de moins de 6 mois en raison du coût actuel du vaccin (environ 150 euros).

  • Prévenir la complication des diarrhées grâce aux solutés de réhydratation. Ces composés constituent la meilleure prévention des complications des diarrhées. Permettant une réhydratation précoce, ces produits sont remboursés par la sécurité sociale.

Les personnes déjà malades doivent bien sûr adopter toutes ces précautions. Une maman malade veillera à se laver les mains systématiquement avant de toucher ses enfants et de faire la cuisine. Elle limitera d’ailleurs les contacts au strict nécessaire. Pour les nourrissons, à la moindre inquiétude, on file chez le médecin ou aux urgences. Chez les enfants et les personnes plus âgées on veille à les faire boire une grande quantité d’eau ou des solutions de réhydratation spéciales vendues en pharmacie. Pour tout le monde, l’hydratation est la principale recommandation.

Les probiotiques pas efficaces après une gastro chez les enfants, selon deux études

Les probiotiques ne permettent pas d’atténuer les symptômes d’une gastro-entérite chez les jeunes enfants, selon deux études menées dans plusieurs hôpitaux américains et canadiens et publiées mercredi.

Les médecins prescrivent souvent des probiotiques pour rétablir la flore intestinale de jeunes patients victimes d'une gastro-entérite, mais les études rigoureuses confirmant leur efficacité manquaient.

Les médecins prescrivent souvent des probiotiques pour rétablir la flore intestinale de jeunes patients victimes d’une gastro-entérite, mais les études rigoureuses confirmant leur efficacité manquaient.Les deux nouvelles études, publiées dans la revue médicale américaine New England Journal of Medicine, ont utilisé la méthode la plus rigoureuse pour tester l’effet réel du traitement. En outre, elles portent sur un grand nombre de patients, plus de 1.800.Le principe a consisté à répartir les enfants se présentant aux urgences avec des symptômes de gastro-entérite en deux groupes : le premier se voyait prescrire des probiotiques pendant cinq jours, tandis que les autres recevaient un placebo d’apparence identique, sans que les parents sachent à quel groupe ils appartenaient. Les enfants avaient entre 3 mois et 4 ans. Dix hôpitaux américains et six canadiens ont participé dans chaque étude, respectivement.

Les résultats des deux essais sont similaires : dans les jours suivants, il n’y avait pas de différence entre les enfants ayant reçu des probiotiques et ceux ayant reçu un placebo. La durée des vomissements, de la diarrhée, l’absentéisme à la crèche et la persistance de symptômes de gastro-entérite n’étaient pas réduits.Cela ne signifie pas que les probiotiques sont inutiles en général. Des milliers d’études ont montré leur efficacité contre la diarrhée, comme le note le médecin Thomas LaMont dans un

éditorial publié dans la même revue.La

gastro-entérite reste un problème de santé publique majeur dans les pays en développement, où elle peut conduire à la mort, contrairement à la situation dans les pays développés où le système de soins est meilleur.Ces deux études s’intéressent au seul cas particulier des gastro-entérites. Mais elles montrent, avec un haut degré de certitude, que prescrire des probiotiques, en tout cas ceux utilisés dans les deux études, n’aide pas les enfants à récupérer.Click Here: essendon bombers guernsey 2019