Des patchs anti-tabac remboursés par la Sécu à partir de dimanche

L’Assurance maladie va rembourser à compter du 20 avril des patchs anti-tabac, comme le prévoit le plan "Priorité prévention" présenté fin mars par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, qui a salué mercredi cette "nouvelle étape" de la lutte contre le tabagisme.

Deux traitements de substitution nicotinique sont désormais remboursables“, indique Mme Buzyn dans un communiqué.Après la gomme à mâcher Nicotine EG (fabriqué par EG Labo), prise en charge par la Sécu depuis le 28 mars, le patch NicoretteSkin (de Johnson & Johnson) a été inscrit au remboursement par un arrêté paru mardi au Journal officiel et qui prendra effet “au quatrième jour suivant (sa) date de publication“.Un prix unique a été fixé pour chaque produit, quels que soient les dosages ou les parfums : 14,14 euros pour Nicotine EG et 28,55 euros pour NicoretteSkin, remboursés à 65% par l’Assurance maladie.”Cette prise en charge permet à tous les patients l’accès à ces traitements de substitution, y compris aux plus modestes“, affirme la ministre.D’autres substituts nicotiniques ont vocation à compléter la liste, au gré des négociations avec les laboratoires.En attendant, le forfait d’aide au sevrage de 150 euros par an, dont l’extinction était actée, “sera maintenu jusqu’à la fin de l’année“, annonce-t-elle.”Mon engagement dans la lutte contre le tabac est entier et ne faiblira pas“, ajoute Mme Buzyn, farouche partisane de la forte hausse du prix du paquet de cigarettes promise par Emmanuel Macron et déjà en partie réalisée.La France compte plus de 13 millions de fumeurs quotidiens et le tabac est une source majeure de cancers, maladies cardiovasculaires et d’insuffisance respiratoire.Click Here: State of Origin Jerseys

Moquée par le Samu, une jeune Strasbourgeoise décède peu après son appel

Une jeune femme de 22 ans est décédée le 29 décembre 2017 quelques heures après avoir appelé le Samu. L’enregistrement de ses échanges avec le SAMU révèle qu’elle n’a pas été prise au sérieux et n’a essuyé que moquerie et hostilité. La famille veut comprendre, la ministre de la Santé s’est dite "" etdemande une enquête. L’opératrice évoque une surcharge de travail.

Sommaire

  1. Moquée par le Samu, elle décède quelques heures après son appel
  2. La ministre de la Santé demande une enquête de l’Igas
  3. Les organisations de médecins urgentistes demandent un rendez-vous avec la ministre
  4. L’opératrice invoque une surcharge de travail

Moquée par le Samu, elle décède quelques heures après son appelLe 29 décembre 2017, la jeune Naomi Musenga, jeune maman de 22 ans, contacte le SAMU pour des douleurs insupportables. Son appel n’est pas pris au sérieux par les opératrices, qui se moquent de son état et lui demandent d’appeler son médecin traitant ou SOS médecin. La jeune femme est décédée quelques heures après son appel au Nouvel Hôpital Civil de Strasbourg. Elle avait contacté entre temps SOS Médecin qui l’avait réorientée vers le SAMU.L’enregistrement de la conversation entre Naomi et les opératrices du Samu demandé par la famille vient seulement d’être rendu public le  8 mai 2018. Diffusé par le

magazine alsacien Heb’di, ce document permet d’entre la jeune femme supplier : “J’ai mal au ventre“, “J’ai mal partout“, “Je vais mourir…” et ne recevoir en retour que “Vous allez mourir, certainement un jour comme tout le monde” par l’opératrice qui la renvoie vers SOS Médecins. Les échanges en aparté entre l’opératrice qui régule les appels du SAMU et une femme du Centre de traitement des alertes (CTA) des pompiers du Bas-Rhin montrent que les deux femmes se moquent de Naomi Musenga.

Le Monde a pu consulter le rapport d’autopsie, qui révèle que Naomi a succombé des suites d’une “défaillance multiviscérale sur choc hémorragique” (plusieurs de ses organes se sont arrêtés de fonctionner).On ne sait pas si la jeune femme aurait survécu si son appel avait été pris au sérieux, mais ce drame souligne un réel dysfonctionnement, une prise en charge déshumanisée liée à un manque d’affect et de compétence et/ou un manque de moyens qui se traduit par des drames.La ministre de la Santé demande une enquête de l’IgasFace à ces révélations et la vague d’indignation qui a suivi la révélation des échanges téléphoniques entre Naomi et le Samu, la ministre de la Santé Agnès Buzyn s’est dite “profondément indignée” et tient “à assurer sa famille de (son) entier soutien“. Elle a annoncé avoir demandé une enquête à l’Inspection générale des affaires sociales “sur ces graves dysfonctionnements” et s’est engagée à ce que sa famille obtienne toutes les informations.

De son côté, les Hôpitaux de Strasbourg ont qu’ils allaient diligenté une enquête administrative pour “faire toute la lumière“.Les organisations de médecins urgentistes demandent un rendez-vous avec la ministreDeux organisations de médecins urgentistes l’Association des médecins urgentistes de France (AMUF) et Samu urgences de France (SUDF) se disent “profondément attristées par ce qui s’est passé à Strasbourg“. Elles ont demandé un rendez-vous avec la ministre de la Santé “pour trouver des solutions aux problèmes de régulation médicale afin qu’un tel drame ne se reproduise pas“, soulignant que “Les moyens doivent être mis en place pour avoir des régulations médicales modernes et répondant à des critères de qualité” et que “La prise en charge des appels relevant tant de la santé (Samu) que des secours (Pompiers) doit être moderne et traitée de façon rigoureuse par les professionnels dont c’est le métier“.L’opératrice invoque une surcharge de travailContactée par M6 dans le cadre d’un sujet pour le

magazine 66 minutes, l’opératrice du Samu impliquée déclare qu’elle vit cloîtrée chez elle, se plaignant d’être “lynchée sur la place publique“. Comme son avocat, cette ancienne ambulancière passée au Samu depuis 4 ans évoque la surcharge de travail “On est sous pression en permanence. On travaille en douze heures (…) c’est des conditions de travail qui sont pénibles. Je peux rester deux ou trois heures accrochée à mon téléphone, parce que je n’ai pas le temps de me lever tellement ça déborde de partout (…) On n’y arrive pas, on raccroche et on décroche, on raccroche et on décroche”.

Une version contestée dans la même émission par le directeur des hôpitaux universitaires de Strasbourg, Christophe Gautier, qui juge que le 29 décembre était une journée ordinaire. “Ce jour-là, les conditions n’étaient pas exceptionnelles. Cette opératrice en était à son deuxième jour de travail. Elle avait pris son poste à 7h30, alors que l’appel intervient vers 11h30. Et puis, elle avait bénéficié d’une quinzaine de jours de congés dans la période qui précède cet appel. Nous sommes bien sur l’hypothèse d’une faute individuelle“. Le 23 mai, l’enquête de l’hôpital devrait apporter les premiers éléments.Click Here: nrl league jerseys

UFC-Que choisir dénonce "l'explosion" des tarifs des complémentaires

Les cotisations aux complémentaires santé ont "explosé" ces dix dernières années, dénonce l’UFC-Que choisir, pointant notamment une "dérive des frais de gestion" et une concurrence affaiblie par le manque de "lisibilité des offres", dans une enquête publiée mardi.

Les cotisations aux complémentaires santé ont "explosé" ces dix dernières années, dénonce l'UFC-Que choisir.

Selon cette enquête de l’association de consommateurs, présentée à la presse, les cotisations versées par les assurés sont passées de “468 euros par personne et par an en moyenne en 2006 à 688 euros en 2017“, soit une inflation de 47%, contre 14% pour l’économie en général.En 2017, elles disposaient de 40,5 milliards d’euros de cotisations.En outre, les complémentaires “vont voir leur rôle se renforcer” ces prochaines années, avec la mise en place du “reste à charge zéro” (remboursement intégral de certaines lunettes, prothèses dentaires et auditives), qui “va se répercuter” sur les tarifs, prévient l’UFC-Que choisir.Les hausses de la fiscalité ne justifient “que moins du tiers de la progression“, assure l’UFC, pointant une “grave dérive” des frais de gestion. Ils ont représenté “7,2 milliards d’euros” de dépenses en 2016, dont 2,8 milliards en frais d’acquisition de clients (publicité, communication) et ont augmenté de 30% depuis 2010, soit “deux fois plus que celle des prestations remboursées aux assurés” (+15%).Ils s’élèvent pour les contrats individuels à 21,5% de la cotisation, les taux pouvant grimper à 42% pour certains contrats, selon des calculs basés sur l’analyse de documents commerciaux et de 207 avis d’échéance.En revanche, le taux de redistribution, c’est-à-dire la part des cotisations revenant aux assurés sous forme de prestations, “s’effondre“, regrette l’UFC, estimant que “seulement 66% des cotisations en moyenne“, et “moins de 50% pour certains contrats, reviennent aux assurés individuels, contre 76% pour les contrats collectifs“.”Ces dérives” s’expliquent notamment “par l’illisibilité” des garanties santé, qui “empêche largement la comparaison et atténue la concurrence“, explique l’UFC.L’association demande donc aux pouvoirs publics “d’encadrer la comparabilité des offres” et de “publier enfin l’arrêté prévu par la loi Hamon de 2014, pour une liste standardisée d’exemples de remboursements en euros” dans les brochures.Elle souhaite enfin contraindre les complémentaires à publier leur “taux de redistribution” avant toute souscription, par exemple sur internet.Click Here: nrl league jerseys

Le diabète augmenterait-il le risque de maladie de Parkinson ?

Des chercheurs britanniques ont montré que les personnes atteintes de diabète de type 2 enregistraient un risque accru de développer la maladie de Parkinson plus tard dans la vie, un risque d’autant plus important chez les personnes souffrant de complications en lien avec leur diabète.

Les personnes atteintes de diabète de type 2 enregistraient un risque accru de développer la maladie de Parkinson.

Cette étude de grande ampleur a été menée par des chercheurs de l’University College de Londres (UCL), à partir de données hospitalières émanant de toute l’Angleterre sur 12 ans. 
Pendant cette période, l’équipe de chercheurs a identifié plus de 2 millions de patients admis à l’hôpital pour la première fois à cause de leur

diabète  de type 2.
Les scientifiques ont ensuite comparé ce groupe avec plus de 6 millions de personnes ne souffrant pas de diabète mais admises à l’hôpital pour différents types d’interventions mineures comme des entorses, des varices, des appendicites et des opérations de la hanche.Ils ont trouvé que 14.252 des 2 millions de patients atteints de diabète de type 2 avaient été aussi diagnostiqués positifs à la maladie de

Parkinson lors d’une admission ultérieure à l’hôpital et que 20.878 des 6 millions de patients admis pour des causes non liées au diabète développaient la maladie de Parkinson par la suite.
Après avoir analysé les données et avoir pris en compte d’autres facteurs susceptibles d’influencer les résultats comme l’âge, le genre, la fréquence des admissions à l’hôpital et les maladies qui ressemblent à la maladie de Parkinson, les chercheurs ont trouvé que les personnes atteintes de diabète de type 2 affichaient un risque supérieur (+31%) de développer la maladie de Parkinson plus tard dans la vie par rapport aux autres patients.
Il est intéressant de noter que le risque d’un diagnostic positif à la maladie de Parkinson était encore plus élevé chez les jeunes diabétiques. Les chercheurs ont montré que les patients atteints de diabète entre 25 et 44 ans voyaient leur risque quadrupler par rapport aux personnes du même groupe d’âge non diabétiques.Les patients qui enregistraient des complications en lien avec leur diabète entraient aussi dans un groupe à plus fort risque, ils affichaient un plus grand risque (+49%) de développer la maladie de Parkinson par apport aux non-diabétiques. “Notre étude a examiné des données concernant une vaste portion de la population anglaise et a trouvé un fort lien entre ces deux maladies à premières vues très différentes“, a expliqué l’auteur de l’étude, Thomas T. Warner.”Restaurer les capacités cérébrales d’utilisation de l’insuline pourrait potentiellement avoir un effet protecteur sur le cerveau“, a ajouté le professeur Warner.Click Here: nrl league jerseys

Les secrets du fantasme enfin dévoilés

Une étude montre que nos fantasmes diffèrent selon notre personnalité, notre sexe et surtout notre âge.

Et vous, quel est votre fantasme ?

L’univers du fantasme reste un territoire difficile à percer. Pourtant,

 le Dr. Lehmiller  dans son livre “

Tell me what you want :the science of sexual desire and how it can help you improve your sex life” (en français “Dis moi ce que tu veux : la science du désir sexuel et comment cela peut aider à améliorer la vie sexuelle“) lève le voile sur le désir humain. Lors de son étude, 4 000 américains âgés entre 18 et 87 ans se sont prêtés au jeu d’un test regroupant 369 questions basées sur leurs fantasmes sexuels.Première information : 97% des sondés avouent avoir des fantasmes. Le professeur de psychologie vient ensuite à identifier sept thématiques majeures du fantasme :Le sexe en groupeLe pouvoirLe contrôle ou le sexe brut (incluant le bondage et tout ce qui ressemble de près ou de loin à du sado-masochisme)Les nouvelles expériences taboues (le voyeurisme, le fétichisme et l’exhibitionnisme)La polygamieLa passionLa romanceLa flexibilité érotique, comme l’homo-érotisme (le désir entre personnes du même sexe, sans passage à l’acte sexuel).Autre axe à ne pas négliger, les hommes et les femmes n’auraient pas les mêmes fantasmes. La gent masculine aurait déclaré avoir besoin d’un élément affectif. Ils ont ainsi besoin de se sentir désiré, de se sentir compétent sexuellement, voire même irrésistible pour fantasmer. Alors que l’imagination des femmes se base plus sur du bondage, du sadomasochisme et de la contrainte (en tant que dominatrice ou soumise).La personnalité influerait sur les fantasmes, les personnes extraverties auraient tendance à apprécier le sexe de groupe et la polygamie. Au contraire, les plus timides fantasmeraient sur tout ce qui est tabou. Enfin, l’âge aiguillerait les plaisirs de l’inconscient. Les plus jeunes auraient tendance à construire des scénarii impliquant passion et romance. Les plus âgés, eux, familiers de la monogamie et des relations de couple, s’intéresseraient à l’échangisme (plus on est de fous, plus on rit).À noter que les hommes d’un certain âge seraient de plus en plus excités par des relations homo-érotiques.

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L'odeur du café est-elle suffisante pour stimuler notre cerveau ?

Souvent loué pour ses nombreux atouts pour la santé, le café, selon deux nouvelles études américaines, apporte des bienfaits rien qu’à son odeur. Les chercheurs ont en effet découvert que le parfum d’une bonne tasse de café pouvait améliorer les performances cognitives lors de l’accomplissement de certaines tâches.

Le parfum d'une bonne tasse de café pourrait améliorer les performances cognitives.

Conduites par la Stevens School of Business, la Temple University et le Baruch College, ces deux études consistaient à déterminer si l’odeur du café pouvait à elle seule être assez puissante pour stimuler les performances cognitives, alors même qu’elle ne contient pas de caféine.Dans la première étude, les chercheurs ont examiné les performances d’environ 100 étudiants en école de commerce lors du Graduate Management Aptitude Test (GMAT), un test adaptatif sur ordinateur requis par de nombreuses écoles de commerce, et qui consiste en dix questions d’algèbre, auxquelles répondre dans un laboratoire d’informatique.Les participants à l’étude ont été divisés en deux groupes.Les membres du premier groupe devaient passer le test dans une atmosphère parfumée au café, tandis que ceux du groupe de contrôle passaient la même épreuve dans une atmosphère sans odeur.Les chercheurs ont pu constater que les membres du groupe “odeur de café” avaient eu de bien meilleures notes.Pour en savoir plus, et notamment pour déterminer si c’était bien l’odeur de café qui avait augmenté la concentration des étudiants, et par conséquent leurs performances, l’équipe de chercheurs a conçu un questionnaire de suivi, qu’elle a fait passer à 200 autres participants.Les questions posées concernaient la croyance des participants à l’idée selon laquelle différentes odeurs pouvaient affecter les performances humaines. Les participants ont rapporté qu’ils croyaient qu’ils se sentiraient plus concentrés et pleins d’énergie, et que leurs performances lors de tâches mentales s’amélioreraient, en sentant l’odeur du café, plutôt que le parfum d’une fleur, ou aucune odeur particulière.Ces résultats suggèrent que sentir une odeur de café, bien que la caféine n’y joue aucun rôle, a un effet similaire à la consommation de la boisson. Ceci serait dû en partie aux attentes des participants, c’est-à-dire à un éventuel effet placebo de l’odeur de café.Les chercheurs se penchent désormais sur l’exploration des effets de l’odeur du café sur d’autres types de performances, comme le raisonnement verbal.Le café a déjà été reconnu comme disposant d’atouts nombreux pour la santé, notamment une réduction du risque de maladie cardiaque, de diabète et de démence ; certains scientifiques suggèrent également qu’il pourrait allonger l’espérance de vie.Click Here: Golf Equipment Online

Le dépistage sanguin de la trisomie 21 ne provoque pas plus de fausse-couche que l’amniocentèse

Une étude réalisée à l’hôpital Necker-Enfants Malades à Paris, et publiée le 14 août dans la revue

, a permis de préciser l’intérêt et les limites du dépistage sanguin de la trisomie 21 chez les patientes à risques.

La trisomie 21 est une maladie chromosomique dont la prévalence augmente avec l’âge de la mère. Son dépistage, vivement recommandé à partir de 38 ans, repose sur le dosage des marqueurs sériques maternels et une échographie permettant de mesurer la clarté nucale du fœtus (épaisseur d’une petite zone de la nuque). A l’issu de ces examens, une ponction de liquide amniotique (amniocentèse) ou de villosités choriales (choriocentèse) est proposé aux femmes dont le risque d’accoucher d’un enfant atteint de trisomie 21 est supérieur à 1/250 afin d’établir un caryotype fœtal.Des test sanguins, basés sur la recherche d’anomalies de l’ADN fœtal dans le sang maternel, peuvent maintenant permettre un dépistage non invasif de la trisomie 21. Fiable à près de 99%, cette méthode est complétée par une amniocentèse, fiable à 100%, uniquement si les résultats sont anomaux. Recommandé par la

Haute Autorité de Santé, l’intérêt de ce « dépistage prénatal non invasif » ou DPNI,  serait de réduire les potentiels risques de fausse-couche induits par les méthodes invasives (amniocentèse et choriocentèse), estimés à moins de 1%.Pourtant, l’étude réalisée à l’hôpital Necker semble infirmer cette théorie.Intérêts et limites des tests ADN fœtalRéalisée sur plus de 2100 femmes considérées comme « à risque » de trisomie 21 pour leur fœtus, l’étude a réparti les patientes en deux groupes. Le groupe « diagnostic prénatal » s’est vu proposé un traitement « invasif », tandis que les patientes du groupe « ADN » ont bénéficié d’une prise de sang pour la réalisation du test basé sur l’ADN fœtal circulant.Résultat : « Nous n’avons pas observé de différence significative entre les deux groupes, qui avaient exactement le même nombre de fausses-couches avant la 24ème semaine », a observé le Pr Laurent J. Salomon, obstétricien à l’hôpital Necker et coordinateur de l’étude. De plus, bien que les résultats montrent que les tests DPNI ont identifié 100% des cas de trisomie 21, le caryotype de confirmation demeure toujours nécessaire du fait du risque de faux-positif des tests ADN. Enfin le test DPNI ne permet de détecter que les trisomies 21, 18 et 13, contrairement à l’amniocentèse qui détecte toutes les anomalies chromosomiques.Sans remettre en question les bénéfices du test sanguin, plus simple à réaliser et non invasif, cette étude souligne la nécessité pour chaque femme de prendre en compte les limites de chacun de ces tests pour choisir, en collaboration avec son médecin, ce qui lui convient le mieux.Click Here: st kilda saints guernsey 2019

Harry Roselmack retrouve ses premières amours sur RTL

La voix d’Harry Roselmack va de nouveau résonner dans les studios de radio. Le présentateur de Sept à Huit sur TF1 vient d’être recruté par RTL pour présenter à la rentrée le Journal Inattendu les samedis midis.

Joker de Laurence Ferrari pour le 20h, Harry Roselmack marche également sur ses traces. Il va présenter à partir de septembre Le Journal Inattendu sur RTL, émission qu’avait également présenté la blonde du JT de TF1.

Dans les colonnes du Parisien, le présentateur de Sept à Huit s’est dit «ravi» de revenir à la radio. Il avait en effet débuté sa carrière derrière les micros de France Bleu et France Info: «la radio est le média de l’immédiateté», et Le Journal Inattendu est une «émission emblématique d’RTL», ce qui ne gâche rien pour le journaliste très populaire auprès des Français.

Le principe de l’émission du samedi midi est de proposer à une personnalité d’être co-rédacteur en chef, et de choisir les sujets d’actualité à traiter, et les invités. Le Journal Inattendu a été présenté par Laurence Ferrari, puis par Christophe Hondelatte. Harry Roselmack ne cache pas que cette nouvelle mission radiophonique ne l’empêchera pas de s’acquitter de ses autres tâches télévisuelles: «La périodicité hebdomadaire et le jour de programmation sont compatibles avec mes activités à TF1».

Résumons-nous. A 36 ans, le journaliste tient les rênes d’une émission d’actualité hebdomadaire en access prime time, est le joker de la présentatrice du journalle plus regardé d’Europe, et va désormais présenter une émission radio dont l’audience dépasse les 500 000 auditeurs. Plutôt pas mal…

Jeudi 4 juin 2009

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Gastro-entérite : Elle fait déjà son grand retour

Tout comme les écoliers, la gastro-entérite a fait sa rentrée scolaire ! Estimée "faible à modérée" en France, certaines régions comme la Bretagne ou Hauts-de-France, ont déjà dépassé le seuil épidémique.

La gastro est de retour !

Sommaire

  1. Gastro : Trois régions ont dépassé le seuil épidémique
  2. Comment éviter la gastro-entérite ?

Les températures baissent, les amours de vacances s’évaporent, le moral est en berne et la gastro pointe le bout de son nez. C’est effectivement bien la rentrée !

Le Réseau Sentinelles (réseau de recherche et de veille en soins de premiers recours en France) annonce l’arrivée de ce virus tant redouté dans son bulletin du 5 septembre 2018. Entre le 27 août et le 2 septembre, le nombre de cas de diarrhée aiguë, recensé en consultation, a été estimé à 92 cas pour 100 000 habitants, en hausse par rapport à la semaine précédente qui comptabilisait 78 cas pour 100 000 habitants.Gastro : Trois régions ont dépassé le seuil épidémiqueLes régions françaises ne sont pas logées à la même enseigne face à la gastro. Trois territoires sont particulièrement touchés. Il s’agit des Hauts-de-France avec 132 cas pour 100 000 habitants, de la Bretagne avec 118 cas pour 100 000 habitants et de la région Grand-Est avec 111 cas pour 100 000 habitants. Et ce sont les jeunes adultes, âgés de 20 à 45 ans, qui sont en majorité concernés par cette maladie.

Comment éviter la gastro-entérite ?

  • Essayez de ne pas toucher les poignées de portes, les barres de métro et de bus.
  • Lavez-vous les mains plusieurs fois par jour au savon et à l’eau ou à l’aide d’un gel hydroalcoolique.
  • Dormez convenablement : une nuit réparatrice renforcera votre système immunitaire pour lutter contre les bactéries et les virus.

Si les diarrhées, les douleurs au ventre et les nausées sont quand même au rendez-vous, voici les recommandations à suivre :

  • Buvez beaucoup d’eau car les diarrhées et les vomissements entraînent des pertes hydriques qu’il faut compenser. Bouillons et tisanes sont les bienvenues.
  • Privilégiez les yaourts en petite quantité, le riz blanc, les pâtes, les carottes cuites, les viandes maigres, les bananes bien mûres et les compotes. Évitez les aliments gras, les légumes verts, les fruits frais et les aliments riches en fibres.

Si les symptômes persistent et s’aggravent même, un tour chez votre médecin est impératif. Depuis 2006, deux vaccins ont été mis sur le marché en France. La vaccination des nourrissons contre le rotavirus n’est cependant pas recommandée dans le calendrier vaccinal français.


En dehors des cas de diarrhées profuses avec de signes d’envahissement bactérien (fièvre, altération de l’état général), de vomissements importants empêchant la réhydratation par voie orale et des personnes fragiles ou à risque (

enfants en bas âge, surtout avant 2 ans, personnes âgées, patients atteints de certaines maladies chroniques), trois mesures thérapeutiques suffisent en général à

traiter la gastro-entérite : la protection du malade et de son entourage en évitant les contaminations et re-contaminations, la compensation des pertes d’eau et de sel grâce à une hydratation et une

alimentation adaptées et la réduction de l’intensité et de la durée de la diarrhée grâce à des mesures diététiques voire à des médicaments.Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

Bébés nés sans bras: le gouvernement lance une nouvelle enquête

La ministre de la santé Agnès Buzyn a décidé de lancer une nouvelle enquête, avec l’aide de l’ANSES et de Santé Publique France,pour élucider le mystère des bébés nés sans bras entre 2009 et 2014 dans les régions de l’Ain, de Bretagne et de Loire-Atlantique.

Le gouvernement a décidé de lancer une nouvelle enquête sur

 les bébés sans bras nés dans plusieurs départements, a déclaré dimanche la ministre de la Santé Agnès Buzyn en jugeant “insupportable” que ces cas groupés restent sans explication. “Avec le ministre de la Transition écologique François de Rugy, nous avons décidé de relancer une enquête avec l’

Anses et

Santé Publique France pour avoir des “regards croisés” de médecins et d’experts de l’environnement“, a-t-elle déclaré lors du “Grand jury” RTL-Le Figaro-LCI. “On ne peut pas se satisfaire de dire qu’on n’a pas trouvé de causes, c’est insupportable“.”Bébés nés sans bras : s’en remettre à la fatalité n’est pas acceptable !“, a pour sa part tweeté François de Rugy, au sujet de cette “nouvelle enquête”,  destinée à “faire toute la lumière sur l’origine de ces malformations“.En effet, ces cas groupés ont été observés dans l’Ain (7 naissances entre 2009 et 2014), en Loire Atlantique (3 naissances entre 2007 et 2008) et en Bretagne (4 naissances entre 2011 et 2013), à chaque fois dans un périmètre restreint. Ils ont suscité des inquiétudes dans les zones concernées.Après une première enquête, l’agence sanitaire Santé publique France avait conclu début octobre que le nombre de cas de l’Ain n’était pas statistiquement supérieur à la moyenne nationale. A l’inverse, il y a bien, selon elle, un excès de cas en Loire-Atlantique et en Bretagne, mais qui restent sans explications.Selon Mme Buzyn, il y a “entre 80 et 100 naissance par an avec des malformations de membres” en France. Les causes peuvent être génétiques, liées à des contraintes physiques ou dues à des substances toxiques (alimentation, environnement, voire médicaments dans le cas du thalidomide, anti-nauséeux qui avait fait naître des milliers d’enfants sans bras entre 1957 et 1962). Plusieurs facteurs entrent sans doute en ligne de compte.La ministre a par ailleurs assuré qu’il était “hors de question d’arrêter la subvention des registres” y compris du

Remera dirigé par Emmanuelle Amar, le plus ancien des six registres des malformations congénitales de France basée à Lyon qui est au centre d’une polémique scientifique après avoir révélé les cas de l’Ain. “Quand il y a un registre qui cumule des cas pendant 20 ans 30 ans, si à un moment vous l’arrêtez, on ne peut plus le démarrer, vous perdez l’information. Quand on a un registre qui fonctionne, il ne faut surtout pas l’arrêter“, a souligné la ministre.Click Here: Maori All Blacks Store