Arrêtez les colorations capillaires sur les chiens !

Une petite chienne a bien failli perdre sa vie suite à une coloration capillaire qui a mal tourné.

Une petite chienne a été grièvement brûlée suite à une coloration capillaire.

Effrayant, c’est le mot approprié pour légender une photo qui a été partagée par la

S.P.A du Comté de Pinellas, en Floride. Sur le cliché, une chienne répondant au nom de Violet, et pesant à peine quelques kilos est allongée, dans un état de souffrance. Sa fourrure a pris feu après une coloration qui aurait pu lui être fatale. Les propriétaires de l’animal ont eu l’idée de teindre les poils de Violet en violet, afin que son nom colle à son pelage. Mais pour cela, ils ont utilisé de la teinture normalement destinée aux humains et non des animaux. Une action fortement dangereuse qu’il ne faut pas faire.Les produits chimiques qui sont présents dans les colorants capillaires sont toxiques. Ces derniers causent nombre de maux tels que des blessures externes : brûlures, perte de la vue et empoisonnement (dû à l’instinct de léchage des animaux).Des suites des brûlures, Violet était devenue totalement apathique avec des yeux tout enflés. Pour sauver la vie du petit bichon maltais, les vétérinaires ont dû lui raser tous les poils qui avaient reçu de la coloration. Mauvaise surprise, sous la fourrure de la chienne, la peau n’arrêtait pas de se décoller.Pendant 3 mois, Violet a reçu une multitude de soins afin de la remettre sur pattes. Et aujourd’hui, elle va de mieux en mieux même s’il reste encore des traces de ses brûlures. Malheureusement, la petite victime gardera à vie les séquelles de cet accident. Mais bonne nouvelle, Violet a été placée dans une famille qui prendra cette fois-ci bien soin d’elle.Click Here: liverpool mens jersey

Jours heureux à la Maison-Blanche

Ils baignent dans l’état de grâce des 100 premiers jours. Au cœur de la White House, le Président et Michelle manifestent une cool attitude qui rassure l’Amérique en pleine crise.

Neuf heures. Chaque matin, immuablement, Barack Obama rejoint le bureau ovale.

Il est sur le pont depuis 5 heures 30, une deuxième journée commence pour lui. Le président américain et son épouse ont en effet mis à profit les premières lueurs de l’aube pour faire de l’exercice dans la salle de sport du deuxième étage de leurs appartements privés. Avant cette séance d’entraînement, c’est le plus souvent Michelle qui se porte volontaire pour sortirBo, l’animal de compagnie offert il y a quelques semaines à leurs filles, Malia et Sasha. Ce chien d’eau portugais fut baptisé ainsi en hommage à leur grand-père maternel, dont c’était le surnom.

Les Obama ne sacrifient que rarement leur petit déjeuner en famille. Un moment d’échange. Une bulle de bonne humeur, avant les déferlantes politiques.

Dès que les fillettes rejoignent l’enceinte de Sidwell Friends School – l’école privée, «où elles ont déjà des amis, et obtiennent de bonnes notes», se félicite leur maman – le rythme s’accélère pour Barack Obama.

Il a beau pousser le chauffage à fond dans son bureau pour retrouver la torpeur hawaïenne de ses jeunes années, le Président sait qu’un vent mauvais souffle sur l’économie américaine.En cent jours, il a fait adopter par le Congrès un plan de redressement économique de 600 milliards d’euros et proposé d’autres orientations pour sauver plusieurs banques et redresser le secteur automobile.

Un volontarisme dont 71 % de ses administrés lui savent gré, selon un sondage de l’institut Pew Research Center. Pour ne jamais se couper du terrain, le chef de l’Etat demande à ses collaborateurs de lui apporter chaque jour dans son bureau dix lettres, piochées au hasard, qui lui sont adressées par des citoyens.

Michelle croise son époux entre deux portes dans la journée, mais s’interdit de lui envoyer des SMS. Elle est animée du même désir d’être en prise avec l’Amérique. Les quatre-vingt-dix employés à leur service à la Maison-Blanche pourraient leur faire perdre le sens du réel même si les repas non-officiels et le pressing leur sont facturés! Michelle Obama ouvre souvent grand les portes de ce bunker de luxe et reçoit les enfants des écoles publiques alentour.

Elle s’entretient parfois de longues minutes avec ces jeunes hôtes. Il y a quelques jours, la première dame racontait à quelques-uns d’entre eux comment le chien Bo avait réveillé un soir toute la famille, à force de faire le fou dans les appartements privés!

Manches retroussées, équipée d’un tablier de cuisine, la First Lady est aussi apparue le 5 mars en train de servir des repas aux plus démunis de Washington. Même si elle assure qu’elle a hérité de «la partie la plus sympa du job», Mme Obama mène discrètement une action politique complémentaire de celle de son époux.

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Si elle n’assiste pas directement aux réunions des collaborateurs du Président, sa directrice de cabinet, oui! Depuis l’investiture de janvier, Michelle reste peu dans son bureau de l’aile Est, préférant arpenter les antichambres du Congrès pour défendre le budget du programme Americorps. Ce dernier permet à des étudiants de payer une part de leurs études grâce à des actions dans le milieu associatif ou dans des services sociaux. Elle a aussi lutté pour la mise en place d’une commission sur les droits des femmes.

Experte en communication et pour ne pas braquer l’opinion, l’ex-avocate fait de la soft politique, mais médiatise avec force chacune de ses innovations… domestiques.

Comme l’installation d’un potager bio dans les jardins de la résidence présidentielle. Désormais, une maquilleuse est à demeure à la Maison-blanche et les photographes sont les bienvenus pour immortaliser quelques scènes de la vie de cette famille si à l’aise dans ses baskets.

Le Président n’apparaît-il pas sur certains clichés en train de travailler dans son bureau, un ballon calé sous le pied? Une cool attitude prisée en ces temps de crises anxiogènes. Le couple se met, certes, volontiers en scène, mais ne transige jamais sur l’essentiel: l’équilibre et la protection de ses enfants.

Michelle a tapé du poing sur la table lorsqu’une firme de jouets a souhaité commercialiser des poupées appelées «Malia» et «Sasha», trouvant cela «déplacé», l’entreprise a dû rebaptiser ses figurines.

Marian Robinson, la mère de Michelle, s’est installée, elle, au troisième étage de l’édifice présidentiel pour veiller sur les fillettes, les Obama étant de sortie trois soirs par semaine au moins. Le reste du temps, toutefois, le chef de l’Etat dîne en famille.

L’occasion pour les uns et les autres de raconter le meilleur et le pire moment de leur journée – une tradition Obama – et de se régaler des mets préparés par le jeune chef de Chicago, Sam Kass. Embauché à la demande de Michelle, il sera chargé de mitonner, dès qu’ils seront à maturité, les laitues, épinards, ou carottes, désormais cultivés à domicile.

Tout est fait pour que les petites filles se sentent complètement chez elles au 1600 Pennsylvannia Avenue. Elles sont, comme par le passé, contraintes de faire leur lit et de regarder la télévision avec modération. Ne peuvent pas abuser non plus de la salle de cinéma ultramoderne installée en sous-sol.

Elles ont eu leur mot à dire sur la décoration de leurs chambres aiguillées par Michael S. Smith, le décorateur d’Hollywood dont les clients sont Steven Spielberg ou Michelle Pfeiffer.

Pour autant, crise oblige, le couple a choisi des matériaux peu coûteux et se refuse à utiliser les 100 000 dollars de fonds publics alloués à chaque nouveau locataire pour rénover les lieux. Malia et Sasha sont enfin autorisées à déambuler dans n’importe quelle pièce de l’immense demeure, à condition d’en prévenir les adultes.

Malgré deux guerres à gérer, le Président a pris un moment, le 6 mars, pour se rendre à Sidwell Friends School pour rencontrer l’institutrice de son aînée.

Il s’offre aussi quelques instants d’intimité avec sa douce. Le soir de la Saint-Valentin, les Obama se sont éclipsés dans leur ancien fief de Chicago, pour dîner chez Spiaggia, leur restaurant italien favori.

Autre petit plaisir volé à un emploi du temps surchargé, fin février, ils recevaient le chanteur Steevie Wonder à l’occasion d’un concert donné en son hommage dans la East Room (salle de réception) de la Maison-Blanche. «Sans lui, nous ne serions peut-être pas mariés, a confessé, sourire aux lèvres, le président américain aux invités présents. Que nous soyons d’accord sur Steevie a été à la base de notre relation».

Alors que Michelle confiait quelques instants plus tard qu’ils avaient choisi le titre You and I comme chanson de mariage.

Un air qui a porté bonheur au couple, de leur nid de Chicago jusqu’à la Maison-Blanche. Dont ils ne sont pas décidés à faire une tour d’ivoire.

Candice Nedelec

La chanteuse Halsey nouvelle collaboratrice YSL Beauté

Elle a rapidement conquis l’industrie musicale grâce aux réseaux sociaux, mais les ambitions de la chanteuse américaine Halsey ne s’arrêtent pas là, elle voudrait aussi montrer sa propre marque de cosmétiques.

Halsey a été recrutée par Yves Saint Laurent Beauté pour créer des mises en beauté pour la marque, comme le rapporte 

Allure. A en croire le site, la star présentera chaque mois différents looks à ses 6,5 millions de followers sur Instagram.”L’interprète, Halsey, connue pour sa musique et ses poèmes, va bientôt travailler avec YSL Beauté pour créer des maquillages qui parlent directement aux consommatrices de la génération Y”, a confié la marque à Allure. “Bien que tout le monde connaisse ses tubes, son talent en tant que maquilleuse reste un secret pour de nombreuses personnes.”A en croire le site, la collaboration a débuté le 7 février à l’occasion du gala de l’AmfAR de New York, pour lequel Halsey arborait des lèvres rouge vif et un smoky eye, un look à la fois glamour vintage et très moderne.La chanteuse rejoint d’autres célébrités qui travaillent actuellement avec le géant des cosmétiques, notamment Zoë Kravitz et Adam Levine.(AFP/Relaxnews)Click Here: liverpool mens jersey

Une femme transgenre peut allaiter, selon une étude américaine

Une étude scientifique américaine publiée en janvier – la première sur ce sujet – décrit comment une femme transgenre américaine a pu allaiter son enfant adopté, grâce à la prise d’hormones provoquant la montée de lait.

Une femme transgenre américaine a pu allaiter son enfant adopté, grâce à la prise d'hormones provoquant la montée de lait.

Mais les experts affirment que d’autres recherches doivent être conduites afin de déterminer si le lait est nourrissant et sûr pour les bébés.L’étude, publiée dans la publication Transgender Health, expose le cas d’une femme transgenre de 30 ans, assignée homme à la naissance, qui prend des hormones féminines depuis six ans, mais n’a pas subi d’opérations chirurgicales de la poitrine ou de l’appareil génital.Elle avait sollicité une équipe médicale car sa compagne enceinte ne voulait pas allaiter, “et elle espérait pouvoir endosser le rôle nourricier principal de son nourrisson“, indique le rapport de l’étude, menée par une équipe de l’école de médecine Icahn de l’hôpital Mount Sinai de New York.La patiente a suivi un régime qui avait précédemment déclenché la lactation chez les femmes, et qui comprend une augmentation de l’estradiol et de la progestérone, hormones féminines.Son traitement incluait également la prise d’un médicament anti-nausée, le dompéridone, qu’elle devait se procurer au Canada, le médicament n’étant pas autorisé aux Etats-Unis. Cette molécule est utilisée en seconde intention pour renforcer la lactation.Elle devait également utiliser un tire-lait, pendant cinq minutes sur chaque sein, trois fois par jour.La jeune femme a suivi ce régime pendant trois mois et demi: au bout de ce terme, le bébé était né, décrivent les scientifiques.”La patiente a pu allaiter en exclusivité pendant six semaines“, puis a commencé à compléter avec du lait maternisé, en raison d'”inquiétudes sur une insuffisance de son volume de lait“.La croissance du nourrisson, ainsi que ses habitudes alimentaires étaient dans la normale d’après la publicationClick Here: liverpool mens jersey

Côte d’Ivoire: «Les “microbes” sont les enfants de la précarité et de l’oubli»

A 17 ans, Alex Ogou va encore au lycée quand il est repéré à Marseille pour jouer dans le film de Robert Guédiguian, «A la place du cœur» (1998)
L’adolescent devient comédien alors qu’il rêve plutôt de tenir une caméra. Cinéphile, il multiplie les ateliers de cinéma durant son cursus scolaire. Cependant, à l’université, il se tourne vers la sociologie et l’anthropologie. Il n’en délaisse pas pour autant sa passion pour le septième art. «Je suis un amoureux du cinéma et de toutes ces constituantes», explique Alex Ogou. Sa carrière de comédien et de réalisateur vont de pair. Avant «Invisibles», le cinéaste a réalisé une autre série, «Top Radio», pour la télévision publique ivoirienne (RTI). 

Comment est né votre intérêt pour les «microbes», ces bandes d’enfants qui terrorisent aujourd’hui les Abidjanais? 
J’ai tendance à penser que le sujet est venu à moi. Avant d’arriver à Abidjan (Alex Ogou vit en France et c’est en se rendant en 2015 dans la capitale ivoirienne qu’il a eu l’idée de ce projet audiovisuel), j’avais entendu parler du phénomène par des amis, sans compter les rumeurs sur le sujet qui vont bon train. Le déclic s’est produit en moi parce qu’on parle d’enfants criminels et que la réponse de nous autres, adultes, est de vouloir les tuer, les exterminer.

Je me suis documenté sur la question et j’ai passé beaucoup de temps à Abobo et à Yopoungon (quartiers populaires de la ville d’Abidjan). J’ai posé des questions et surtout rencontré des «microbes» qui sont aidés par des femmes formidables qui leur donnent, entre autres, à manger. Je me suis ainsi rapproché de ces gamins pour comprendre ce qu’ils vivaient. J’ai choisi d’en faire une série plutôt qu’un film pour avoir un temps de narration plus long, celui que j’estime nécessaire pour creuser le sujet.  

Qu’avez-vous appris sur ces enfants délinquants? 
Ces enfants sont issus des classes les plus défavorisées de la société dans leur grande majorité. Mais il y a aussi, parmi eux, des gamins qui appartiennent à des foyers stables et qui, la nuit tombée, rejoignent les rangs des microbes. Conclusion: que vous soyez riche ou pauvre, le regard ou le non-regard porté sur les enfants reste déterminant. Leur dénominateur commun est d’être des enfants délaissés, abandonnés par leurs parents ou livrés à eux-mêmes.  

Votre personnage principal, Chaka, devient un «microbe» parce que sa structure familiale explose. Le parti pris de votre série est de souligner que le problème est avant tout social… 
Les «microbes», comme on les appelle, sont les enfants de la précarité et de l’oubli. Ce sont ceux qu’on ne voit pas, qu’on ne regarde pas. Beaucoup d’enfants et de jeunes en Afrique n’ont qu’une option qui pourrait se résumer à ça: «Marche ou crève !». Or, un enfant doit vivre son enfance. Quand ils sont obligés de subvenir aux besoins de leurs parents et de leur famille, ils vivent ce que j’appelle une maturité indécente. 

Chaka (en tee-shirt rayé blanc et bleu), le personnage principal de la série «Invisibles», porté en triomphe par les membres de sa bande de «microbes» dans une scène de la fiction.  (TSK Studios – «Invisibles»)

Dans votre série télévision, il y a une division de la police qui est en charge des enquêtes impliquant des microbes. C’est une structure qui existe réellement? 
A ma connaissance, la brigade anti-microbes est fictive. Je tiens à souligner que je n’ai pas voulu orienter ma dramaturgie sur le travail de la police. Mon propos est ailleurs. S’appesantir sur le rôle de l’Etat ou de la police, c’est une façon de nous déresponsabiliser. Car j’aimerais, qu’au sortir de ces 10 épisodes, chacun de nous se demande ce qu’il fait et ce qu’il peut faire pour lutter contre ce phénomène qui est, encore une fois, social. 

Votre propos est social, donc politique…
J’ai fait des études de sociologie et d’anthropologie. J’ai commencé à faire du cinéma avec Robert Guédiguian (cinéaste français originaire de la ville de Marseille où a grandi Alex Ogou, NDLR) qui est un cinéaste engagé. A partir du moment où l’on s’intéresse à la vie de la cité, au vivre-ensemble, on fait nécessairement de la politique. 

Vos acteurs sont des enfants. Ce n’est pas facile de diriger des enfants. Comment s’est déroulé le tournage?
La plupart d’entre eux ne sont pas des acteurs professionnels. Nous les avons formés tout au long du processus. Deux mois avant le début du tournage, nous avons démarré des ateliers avec eux. La production avait loué une grande maison pour l’équipe afin de leur permettre de s’imprégner de cinéma, de l’ambiance d’un tournage qui s’est, in fine, avéré facile. Toute l’équipe a été épatée par le fait qu’ils rentrent aisément dans la peau de leurs différents personnages. Le bonheur qu’a été ce tournage nous a permis de prendre de la distance par rapport à la gravité du sujet et à la dureté des scènes de la série. Cette ambiance joyeuse a été salvatrice.  

Comment avez-vous géré les conséquences psychologiques de la violence de cette série sur vos jeunes comédiens? 
Malheureusement, pour ces enfants qui vivent dans l’Abidjan d’aujourd’hui et pour les Ivoiriens qui ont vécu la crise (crise post-électorale de 2011), la violence ne constitue plus une source de traumatismes parce qu’ils la connaissent.  Elle est partie prenante de notre quotidien à tous. 

Votre série a décroché le prix de la meilleure fiction francophone étrangère au Festival de la fiction TV de La Rochelle en septembre 2018. Une première pour la Côte d’Ivoire où vous êtes né. Qu’avez-vous ressenti?
La fierté de porter l’espérance. Avec ce trophée, «Invisibles» va peut-être ouvrir des portes à d’autres productions africaines.  

«Invisibles» (10 épisodes de 52 minutes), un série créée par Alex Ogou
A partir du 29 octobre 2018 sur Canal + Afrique

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Rapport du WWF sur la biodiversité : “On peut encore inverser la tendance si on s’en donne les moyens”

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Click Here: liverpool mens jerseyCliquez ici pour nous alerter !La planète a perdu 60% des populations d’animaux sauvages en 44 ans, selon le dernier rapport du WWF publié mardi 30 octobre. Pour le biologiste Sébastien Moncorps, directeur du Comité français de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature), invité de franceinfo mardi, “on peut encore inverser la tendance quand on s’en donne les moyens et qu’une véritable volonté politique existe”.franceinfo : La disparition des espèces touche à des activités humaines, cela rend-il les choses plus compliquées ? Sébastien Moncorps : Tout à fait. Ce sont tous les types de pression que l’on fait subir à travers l’activité humaine qui nous servent à des besoins quotidiens, comme l’alimentation. L’agriculture de plus en plus intensive est devenue une source majeure de pression sur la biodiversité. La construction d’infrastructures aussi, avec le besoin de logements qu’il y a derrière. Tout le développement économique entraîne des pressions sur la biodiversité. On peut conjuguer ce développement économique pour qu’il soit beaucoup plus durable et beaucoup plus respectueux de la biodiversité. On peut encore inverser la tendance quand on s’en donne les moyens et qu’une véritable volonté politique existe. La clé est de réussir l’effort de tous les acteurs : pouvoirs publics, associations, collectivités locales et entreprises, pour qu’on ait un effort conjoint.Y a-t-il des exemples de pays où l’on arrive à préserver des espèces ?Le premier pays dont on peut parler, c’est la France. Le rapport du WWF met en lumière un certain nombre d’espèces comme le gorille, le panda ou l’éléphant. On a l’impression que la crise de la biodiversité, c’est dans des pays tropicaux, en Afrique, en Asie ou en Amérique. Mais la crise de la biodiversité, c’est aussi sur le territoire français. Grâce à l’action d’associations, on voit que les succès peuvent être au rendez-vous. Par exemple, la première réserve naturelle créée en France l’a été à l’initiative de la Ligue pour la protection des oiseaux. Les associations ont aussi été à l’origine de la création d’autres espaces protégés, comme les parcs nationaux, comme celui de la Vanoise ou des Ecrins, qui ont permis le retour du bouquetin.Est-ce que ce que l’on fait depuis 20 ou 30 ans suffit ?Clairement non, cela ne suffit pas. On voit aussi qu’en France, les tendances de déclin sont prononcées sur l’ensemble du vivant, que ce soit les oiseaux, les mammifères, les reptiles, les amphibiens. La France a perdu 50% de ses zones humides qui sont des lieux à la fois extrêmement riches en biodiversité et qui nous sont aussi très utiles. C’est la ressource en eau qui est protégée. Ce sont des nappes phréatiques, des cours d’eau, des ruisseaux, des fleuves qui permettent de lutter contre des épisodes de sécheresse et aussi de jouer un rôle d’éponge lors des inondations.

#AcnePositivity : Quand l’acné ne fait plus peur aux ados

L’air est au "positivisme corporel" sur les réseaux sociaux. De plus en plus de jeunes s’affichent sans maquillage sur leurs photos. Acné, rougeurs, cernes, rien n’est caché. Le but est d’envoyer un message fort : l’acceptation de soi et des problèmes de peau.

Quand l'acné n'est plus un tabou.

#AcnePositivity déferle sur les réseaux sociaux, et clame qu’il est important de s’aimer tel que l’on est. Dans un monde régit par Photoshop, virant même à la surconsommation de la part de certains magazines, un mouvement vient bousculer les codes de ces visages et corps retouchés à l’excès. Comme d’autres actions coups de poings, tout est parti des réseaux sociaux. Après le #LoveYourLines (qui prône l’amour de son corps malgré les imperfections), le nouvel hashtag à la mode est le #AcnePositivity (ou #SkinPositivity). La jeunesse s’expose aux yeux du monde sans artifice, les photos montrent des jeunes femmes sans aucun maquillage et sans filtres. Le visage est à nu avec tous les problèmes qu’il peut rencontrer pendant la dure période qu’est l’adolescence, l’acné en premier lieu.

Une publication partagée par PJ DeVito (@peterdevito) le

Des influenceuses porte-paroleBon nombre de comptes Instagram et de blogs ont vu le jour, centrés sur une idée : l’acceptation de son image même si elle diffère des dictats de la beauté actuelle. Citons

Accutanee Babe,

Acne Positivity,

My Face Story ou encore

Roaccutane Diaries qui comptabilise près de 22 000 followers.S’il fallait retenir une personnalité médiatique qui résume bien l’état d’esprit de ce combat anticonformiste, ce serait celle de l’instagrameuse

Hailey Wait. À seulement 18 ans, cette américaine réunit 135 000 abonnés, qui likent abondamment les selfies de la miss qui n’hésite pas à montrer son acné tel qu’il est, sans concession. Depuis ses onze ans, Hailey souffre d’acné sévère qu’elle a, pendant des années, essayé de camoufler sous des tonnes de fond de teint, ne sortant jamais dehors sans son masque de crème et de poudre. Au tout début de son compte Insta, l’adolescente partageait simplement des photos de ses divers maquillages. Avec le temps elle a ressenti une certaine pression autour de son acné. Trouvant absurde la quête de la peau parfaite, l’influenceuse a décidé de laisser tomber pour de bon les fonds de teint.”J’avais très peu confiance en moi, mais n’oubliez pas que ce n’est pas la fin du monde si vous n’avez pas une peau parfaite. (…) Depuis que je me suis confiée à vous, beaucoup de personnes se sont ouvertes à moi, en me parlant de leurs combats, et j’ai envie de vous dire que je suis réellement touchée et incroyablement reconnaissante d’être soutenue par autant de personnes gentilles. J’entends vos histoires et je vous vois vous accepter de plus en plus, pour ce que vous êtes, et selon moi, c’est la chose la plus belle au monde“, s’est expliquée Hailey au journal

The Independent.

Une publication partagée par Hailey Wait (@pigss) le

Une publication partagée par Em Ford (@mypaleskinblog) le

D’autres youtubeuses donnent quant à elles des astuces pour se maquiller sans dissimuler l’acné telle l’anglaise

Em Ford. L’Art s’est aussi fait une place dans cette cause.

Peter DeVito, un étudiant new-yorkais à l’institut technologique de la mode, a récemment réalisé une série d’images mettant l’acné en exergue, pour donner suite à un constat : il avait du mal à publier une image de lui sur les réseaux sociaux, sans l’avoir retouchée au préalable.

Une publication partagée par PJ DeVito (@peterdevito) le

Une révolution des mœurs s’opère ou la honte passée laisse place à une véritable célébration des imperfections. Il ne faut pas oublier que près de

80% des jeunes sont touchés par l’acné.Click Here: liverpool mens jersey

QuelCosmetic, l'appli pour détecter les mauvais ingrédients beauté

L’UFC-Que Choisir vient de lancer son application "QuelCosmetic" pour détecter les substances néfastes dans les produits cosmétiques.

Envie de mieux comprendre l’étiquette de votre produit de beauté ? L’UFC-Que Choisir vient de lancer son application “QuelCosmetic”. Objectif : repérer les substances nuisibles au sein de la formule. Plus de 6 000 cosmétiques sont d’ores et déjà répertoriés sur l’application, très simple d’utilisation. Il suffit de scanner le code barre du produit ou de le rechercher en tapant son nom. QuelCosmetic informe ensuite le consommateur sur la présence ou non de produits indésirables selon le profil (femme enceinte, bébé, enfant…)”Parmi les produits signalés à ce jour, près d’un sur deux (46 %) contient un ou plusieurs ingrédients indésirables tels que des perturbateurs endocriniens présents dans 55 % des maquillages, des allergènes trouvés dans 42 % des produits de soin des cheveux ou encore des substances irritantes relevées dans 72 % des dentifrices”, explique

 l’UFC-Que Choisir sur son site internet.L’appli propose une liste de produits qui ne contiennent aucune substance néfaste. Sachez également que cette appli, gratuite, est participative. Vous pouvez solliciter QuelCosmetic pour ajouter votre produit. QuelCosmetic, appli disponible gratuitement sur AppStore et GooglePlay.Click Here: cheap south sydney rabbitohs jersey

En Grande-Bretagne, le surpoids pourrait devenir la première cause évitable de cancer

Le surpoids et l’obésité pourraient devenir les premières causes évitables de cancer au Royaume-Uni devant le tabagisme, selon une étude publiée vendredi par un institut de recherche britannique.

Le surpoids et l'obésité pourraient devenir les premières causes évitables de cancer au Royaume-Uni devant le tabagisme.

L’étude montre que le tabac était responsable de plus de 54.000 cas de cancer au Royaume-Uni en 2015 (derniers chiffres disponibles), soit 15% des cas, suivi par le surpoids, à l’origine de 22.800 cancers, soit 6,3% des cas. L’obésité et le surpoids peuvent causer des types de

cancers  variés, dont celui de l’intestin,

du sein,

de l’utérus ou

des reins.”Si l’on n’y prend pas garde, l’obésité pourrait supplanter le

tabac“, juge Harpal Kumar, le directeur général de Cancer Research UK, le plus grand institut indépendant de recherche sur le cancer au Royaume-Uni.”Je pense qu’on observera ce changement au cours des vingt prochaines années“, soutient-il.


L’obésité pose une énorme menace à la santé publique, et les choses vont empirer si rien n’est fait“, s’alarme Linda Bauld, chercheuse au sein de l’institut. “Le gouvernement doit s’inspirer du succès des campagnes de prévention contre le tabagisme pour réduire le nombre de cancers liés au surpoids“.Pour Katrina Brown, l’auteure de l’étude, il est nécessaire de “faire changer les attitudes à l’égard de l’obésité“. “Les gens perçoivent le fait d’être gros comme de plus en plus normal“, explique-t-elle. “C’est un changement de norme culturelle, et nous devons transmettre le message sur les dangers que cela pose pour la santé“.Au total, Cancer Research UK estime que près de 4 cancers sur 10 (37,7% des cancers, soient 135.500 cas en 2015) pourraient être évités en faisant évoluer les comportements.

Après le tabagisme et le surpoids, l’institut pointe notamment comme causes évitables de cancer l’exposition au soleil (13.600 cas en 2015), la consommation d’alcool (11.900 cas), les régimes pauvres en fibres (11.700 cas), et la pollution atmosphérique (3.600 cas).Click Here: cheap warriors rugby jersey

Les liens d'amitié dans l'enfance font des adultes en meilleure santé

Nourrir des liens d’amitié dans l’enfance et l’adolescence améliore la santé à l’âge adulte, suggère une étude américaine.

Les liens sociaux développés tôt dans la vie auraient un effet protecteur sur la santé à l'âge adulte.

Les liens sociaux développés tôt dans la vie auraient un effet protecteur sur la santé à l’âge adulte, selon des  des chercheurs américains qui publient leurs 

travaux dans la revue médicale Psychological Science.L’étude a suivi 267 jeunes garçons entre l’âge de 6 et 16 ans et a constaté plusieurs bénéfices du temps passé avec leurs amis une fois l’âge de 32 ans atteint.Les garçons qui ont été en interactions plus fréquemment avec leurs copains pendant l’enfance et l’adolescence avaient une tension artérielle et un

indice de masse corporelle (IMC) inférieurs à l’âge adulte, comparativement aux hommes qui avaient noué moins de liens amicaux, indique l’étude.Ces bénéfices de l’amitié sur la santé s’avèrent indépendants d’autres facteurs tels que la personnalité, le poids, la santé et le statut social de la famille pris en compte dans le cadre de l’étude.A tout âge de la vie, avoir une vie sociale riche est important pour le bien-être mental mais aussi pour la santé. De précédentes études ont montré que

l’isolement social ou la solitude à l’âge adulte- notamment chez les seniors- était un risque de maladie cardiovasculaire : une personne seule présente un risque accru de 29% de souffrir d’une crise cardiaque ou d’une angine de poitrine, et de 32% de subir un

accident vasculaire cérébral (AVC), selon une 

étude britannique publiée en 2016 dans le British Medical Journal.