'She's So Precious': Video Shows Baby Found In Forsyth Woods

FORSYTH COUNTY, GA — As rescuers carefully opened a plastic grocery bag, one crooned, “I’m so sorry” to the crying newborn baby girl inside, left abandoned in the woods. The Forsyth County Sheriff’s Office continues to search for the baby’s mother and to follow leads regarding the newborn who was found in a wooded area earlier this month. As of June 25, authorities said they are still receiving tips from across the country on the possible identity of the girl they have named Baby India.

“We are happy to report that Baby India is thriving and is in the care of the Georgia Department of Family and Children Services,” the sheriff’s office said on its Facebook page.

Now, the department is releasing parts of the footage captured from the body camera worn by the first sheriff’s deputy on scene the night Baby India was discovered on June 6. As the newborn cries, responders talked to her in soothing tones. “Look how precious you are,” one officer says, with another cooing to the baby, “It’s alright, I got you.”

The department warns the video may be graphic.

“We release this footage in hopes to receive credible information on the identity of Baby India and to show how important it is to find closure in this case,” the department said.

At 10:08 p.m. on June 6, deputies were called to the 1900 block of Daves Creek Road on a report of a baby crying from residents who heard the noise, Sheriff Ron Freeman said. The area where the baby was found is small and isolated, but with several houses on it, he said. The family who heard the baby’s cries debated if it was a baby or an animal, and then discovered the infant.

Deputies soon found a white or Hispanic, newborn near full term, female baby who had been left in a wooded area.

The infant was found inside a plastic grocery store bag along the wood line off Daves Creek Road in southeast Forsyth County. The bag was somewhat open, Freeman said. The Sheriff’s Office Crime Scene Unit will continue the investigation and search the area.

Georgia has a law called Safe Haven (HB 391), which allows a child’s mother to leave her baby, up to 30 days old, with an employee of any medical facility including any hospital, institutional infirmary, health center or birthing center in Georgia without prosecution. This includes hospitals, fire stations and police stations.

If you have any information regarding Baby India, call the FCSO’s tip line at 770-888-7308. The caller can remain anonymous.

L'obésité continue à progresser aux Etats-Unis

Le taux d’obésité dans la population des Etats-Unis continue à progresser et a atteint un nouveau sommet, avec 39,6% des adultes concernés, indique un rapport gouvernemental publié vendredi.

Le taux d'obésité des adultes aux Etats-Unis augmente régulièrement depuis 1999, année où il se situait à 30,5%.

Les spécialistes sont préoccupés par l’obésité car elle est liée à des affections potentiellement mortelles comme les

maladies cardiaques, le

diabète et

certains types de cancers.


Le taux d’obésité des adultes aux Etats-Unis augmente régulièrement depuis 1999, année où il se situait à 30,5%.”De 1999-2000 à 2015-2016, une claire tendance croissante de l’obésité a été observée aussi bien chez les adultes que chez les jeunes“, déclare le rapport, fondé sur l’étude d’un échantillon représentatif de la population nationale et publié par le National Center for Health Statistics.Toutefois, le changement observé entre 2013-2014 et 2015-2016 “n’est pas significatif, que ce soit pour les adultes ou pour les jeunes“, précise cet organisme.


En effet, le rapport précédent indiquait que pour 2013-2014 le taux d’obésité chez les adultes était de 37,7%. Les spécialistes soulignent que la différence entre ce chiffre et le nouveau n’est pas statistiquement significative car elle est inférieure à la marge d’erreur.L’obésité chez l’adulte est définie par un

index de masse corporelle (IMC) de 30 ou plus.Parmi les jeunes Américains, âgés de deux à 19 ans, 18,5% sont obèses, selon le rapport. En 1999, le taux d’obésité chez les jeunes était de 13,9%.Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

Pollution de l'air : 90 pesticides doivent être mieux surveillés

L’exposition de la population aux pesticides présents dans l’air ambiant est "difficile à estimer" et devrait être mieux documentée, a estimé jeudi l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), recommandant la surveillance de 90 substances prioritaires.

Les expositions alimentaires à ces substances sont "de mieux en mieux connues", mais la contamination de l'air et ainsi les risques d'inhalation ou d'exposition par voie cutanée beaucoup moins.

La contamination aérienne par des pesticides reste mal connueLa connaissance des niveaux de contamination en pesticides dans l’air est “partielle et hétérogène“, alors que “des études épidémiologiques mettent en évidence des associations entre des expositions aux pesticides et différentes pathologies chroniques“, note l’Anses dans cet avis.Les expositions alimentaires à ces substances sont “de mieux en mieux connues“, mais la contamination de l’air et ainsi les risques d’inhalation ou d’exposition par voie cutanée beaucoup moins.L’Anses recommande donc de mettre en place “une surveillance nationale” pour évaluer “l’exposition chronique” de la population à ces produits (substances chimiques entrant dans la composition de produits phytopharmaceutiques, biocides, médicaments vétérinaires et antiparasitaires à usage humain).En croisant la probabilité de présence de ces substances dans l’air et leur danger potentiel, l’Agence a identifié 90 substances “hautement prioritaires” ou “prioritaires” et préconise qu’elles fassent l’objet d’une campagne de mesures pendant un an.Certains de ces produits sont considérés d’emblée comme présents dans l’air et devant être surveillés à plus long terme dans le cadre d’une “stratégie de surveillance nationale à mettre en oeuvre ultérieurement“.Parmi eux notamment le fipronil, à l’origine l’été dernier d’une crise liée à la découverte d’oeufs contaminés par l’insecticide dans plusieurs pays européens, ou encore le lindane, substance “persistante” pourtant interdite pour les usages agricoles en France depuis 1998.Le glyphosate est-il présent dans l’air ?La campagne de mesures doit en revanche permettre pour d’autres substances dont la présence dans l’air n’est pas aussi certaine, d’évaluer la pertinence de leur surveillance à plus long terme, comme le glyphosate. Cet herbicide, principe actif du produit phare de la firme américaine Monsanto, le Roundup, est au centre d’une controverse en Europe.L’Union européenne doit se prononcer prochainement sur le renouvellement pour dix ans de la licence du glyphosate, que le Centre international de recherche sur le cancer, un organe de l’OMS, a classé “cancérogène probable” en 2015, contrairement aux agences européennes, l’Efsa (sécurité des aliments) et l’Echa (produits chimiques).Cette campagne de mesures devrait être conduite par l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris) et les associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA), a précisé l’Anses.Les AASQA sont déjà chargées de mesurer la qualité de l’air et d’alerter en cas de pollution au dioxyde d’azote ou aux particules fines, mais les données relatives aux pesticides ont jusqu’à présent été collectées par le biais d’initiatives locales et ponctuelles. Des campagnes particulières pour les personnes les plus à risque d’expositionL’Agence recommande également de mettre en place des “campagnes particulières permettant notamment d’évaluer l’exposition des populations vivant à proximité des sources d’émissions de pesticides : riverains des zones agricoles, gares et aéroports, zones industrielles, silos, proximité de zones où la lutte anti-vectorielle est mise en œuvre, etc“.Toutes ces recommandations de l’Agence seront utilisées dans le cadre de l’étude menée par l’Anses et Santé Publique France sur l’exposition des riverains de zones agricoles (qui combinera des mesures environnementales à des “mesures d’imprégnation dans des milieux biologiques humains” (urine, cheveux…).L’Anses précise enfin que la liste des substances à surveiller “devra être complétée ultérieurement au regard du risque pour les écosystèmes et prise en considération pour mieux renseigner l’exposition humaine aux pesticides dans les environnements intérieurs“.

"Revenge porn": Facebook va taguer les photos compromettantes de ses utilisateurs

Facebook propose à ses abonnés de lui adresser leurs photos compromettantes, dans le cadre d’un programme testé en Australie pour lutter contre le "revenge porn", qui consiste à diffuser des clichés ou vidéos intimes de proches, sans leur consentement.

Facebook propose que les photos intimes soient "taguées" d'une empreinte électronique unique afin de bloquer préventivement leur distribution sur les réseaux sociaux.

Ce projet pilote s’adresse aux adultes ayant partagé des photos intimes, et qui s’inquiètent que certaines personnes mal intentionnées ne les fassent circuler par vengeance sur les réseaux sociaux.Le géant américain propose que ces images soient “taguées” d’une empreinte électronique unique afin de bloquer préventivement leur distribution sur Facebook, Instagram ou Messenger.Les utilisateurs adresseront d’abord ces clichés à la eSafety Commission, la Commission australienne pour la sécurité informatique. Ils se les enverront ensuite à eux-mêmes via Messenger, dans un processus qui permettra à Facebook de marquer le cliché.”Nous utilisons une technologie de reconnaissance d’images pour empêcher le partage non autorisé d’images intimes“, a déclaré Antigone Davis, responsable de la sécurité au sein de Facebook.”En raison de la portée mondiale de Facebook et Instagram, cette action préventive permet aux victimes de se protéger contre des violations futures“, a expliqué jeudi dans un communiqué Julie Inman, commissaire australienne à la Sécurité informatique.”Il prive de tout pouvoir les perpétrateurs qui cherchent ouvertement l’humiliation des victimes auprès des amis, de la famille et des collègues“, a-t-elle ajouté.Un porte-parole de Facebook a indiqué que la Grande-Bretagne, le Canada et les Etats-Unis devraient aussi participer à ce programme.L’Australie fait partie des pays à la pointe du combat contre le “revenge porn“, ou “vengeance pornographique“. La Commission a lancé le mois dernier un portail informatique permettant aux victimes de faire connaître des cas de diffusion en ligne d’images sans consentement.A en croire un récent sondage mené par la Commission, une Australienne sur cinq âgée de 18 à 45 ans a déjà été victime d’utilisation malveillante de leurs photos. Facebook et Messenger rassemblaient 53% des cas, Snapchat 11% et Instagram 4%.La “vengeance porno” ou le “porno vengeur” est un phénomène mondial. Pas moins de 2% des Américains utilisateurs d’internet en auraient été victimes, selon une étude.En France, la 

loi pour une République numérique promulgué en octobre 2016 contient un amendement concernant le “revenge porn”. Jusqu’alors puni au même titre que toute atteinte à l’intimité de la vie privée d’autrui (un an de prison et 45 000€ d’amende), ce délit qui porte sur “des paroles ou des images présentant un caractère sexuel dans un lieu public ou privé” est désormais passible de deux ans d’emprisonnement et de 60 000 € d’amende.

Hypertension artérielle : quand est-il vraiment utile de traiter les patients ?

Les cardiologues américains ont annoncé lundi un resserrement de la définition de l’hypertension qui commence quand la tension artérielle atteint 13/80, contre 14/90 auparavant. En 2013, l’Europe avait pris la décision inverse, assouplissant les seuils de 13/80 vers 14/90. Quand est-il alors utile de traiter l’hypertension ?

Les cardiologues estiment que des complications cardio-vasculaires peuvent se produire même avec une tension de 13/80.<br />

Sommaire

  1. Une définition plus stricte de l’hypertension aux Etats-Unis
  2. Pas de traitement médicamenteux systématique
  3. A l’inverse, l’Europe a assoupli les seuils en 2013

L’hypertension est la deuxième cause de 

maladies cardiaques et d’

accidents vasculaires cérébraux après le 

tabagisme.Une définition plus stricte de l’hypertension aux Etats-Unis”Une tension artérielle trop élevée est désormais définie par une pression systolique de 130 millimètres de mercure (mmHg) et une pression diastolique de 80 mmHg“, selon les nouvelles directives publiées dans “Hypertension”, revue de l’American College of Cardiology. Elles ont été présentées lors de la conférence annuelle de l’American Heart Association qui se tient cette semaine à Anaheim, en Californie (ouest).Les cardiologues estiment que des complications cardiovasculaires peuvent se produire même avec une tension de 13/80, ont-ils expliqué dans cette mise à jour du guide définissant l’hypertension et son traitement, la première révision depuis 2003.Cette nouvelle définition signifie que 46% des adultes américains sont considérés comme présentant une tension artérielle excessive, contre 32% actuellement.Pas de traitement médicamenteux systématiqueMais avoir une tension de 13/80 ne veut pas nécessairement dire que ces personnes ont besoin de prendre un traitement médicamenteux, a souligné le docteur Paul Whelton, professeur d’épidémiologie à la faculté d’hygiène et de santé publique Johns Hopkins à Baltimore.”C’est un peu comme le feu orange qui indique que vous devez réduire votre tension artérielle avant tout sans médicament, avec des changement dans le mode de vie“, a-t-il précisé.Il a notamment cité la perte de poids, davantage d’exercice physique, une alimentation plus saine et

éviter le sel et l’alcool ainsi que le stress. Les scientifiques estiment que relativement peu de personnes concernées par cette nouvelle définition de l’hypertension auront besoin d’un traitement. Mais ils s’attendent à ce qu’un grand nombre d’adultes de moins de 45 ans correspondent désormais à cette définition élargie.Les nouvelles directives ont également éliminé la catégorie dite de “pré-hypertension“, qui portait sur une pression systolique de 120 à 139 et une pression diastolique entre 80 et 89.A l’inverse, l’Europe a assoupli les seuils en 2013A l’inverse, les

recommandations de 2013 de la Société européenne d’hypertension (ESH) et de la Société européenne de cardiologie (ESC) avaient revu à la hausse les chiffres de tension artérielle à partir desquels il faut traiter ainsi que ceux définissant la cible thérapeutique, c’est-à-dire les chiffres de tension artérielle qu’il faut atteindre pour considérer un traitement comme efficace. Ces nouvelles recommandations ESH/ESC 2013 (suivies en France) préconisent de ne plus traiter avec des médicaments antihypertenseurs les patients ayant une tension artérielle jusque dans la limite supérieure de la normale (130 à 139 / 85 à 89) et ce, quel que soit leur degré de risque cardiovasculaire. Cependant, des modifications dans les habitudes d’hygiène de vie sont conseillées pour toute personne présentant un facteur de risque ou plus.

Les chiffres tensionnels à partir desquels il est recommandé de traiter par médicaments ont été revus à la hausse : 140 à 150 mmHg pour la pression systolique et 90 à 99 mmHg pour la pression diastolique. Le traitement médicamenteux peut être initié seulement après avoir essayé des mesures améliorant l’hygiène de vie pour les patients présentant de 0 à 3 facteurs de risque. Pour les autres, le traitement médicamenteux se fait d’emblée et doit toujours être associé à une amélioration de l’hygiène de vie des patients et au contrôle des maladies exposant à une augmentation du risque cardiovasculaire, comme le diabète.Click Here: NRL Telstra Premiership

Plus d'un enfant sur deux menacé d'obésité à l'âge adulte aux Etats-Unis

Plus de 57% des enfants vivant aux Etats-Unis courent le risque d’être obèses à l’âge de 35 ans si la tendance actuelle persiste, s’alarme une étude publiée mercredi dans la revue médicale New England Journal of Medicine.

Chez les enfants souffrant d'obésité sévère – au nombre de 4,5 millions aux Etats-Unis actuellement – les risques sont encore plus grands à l'âge adulte.

Cette étude indique également que les enfants avec un poids normal ont 50% de risque de devenir des adultes obèses. “Ces résultats mettent en lumière l’importance des efforts de prévention pour tous les enfants (…) et d’intervenir de façon précoce chez ceux qui sont obèses pour minimiser leur risque de futures maladies graves“, explique Zachary Ward, un chercheur de la faculté de santé publique de l’Université de Harvard et principal auteur de cette étude.Le

surpoids et l’obésité sont liés à un risque accru de diabète, de maladies cardiovasculaires et de cancers à l’âge adulte, précise-t-il.Ces chercheurs se sont appuyés sur des données sur la taille et le poids de quelque 41.567 enfants et adultes. A partir de ces statistiques, les chercheurs ont fait des projections sur l’évolution de la taille et du poids d’échantillons représentatifs de la population américaine jusqu’à l’âge de 35 ans.”Ces résultats montrent que l’obésité sera un sérieux problème pour la plupart des enfants grandissant aux Etats-Unis“, concluent les auteurs.Un excès de poids dans l’enfance devient difficile à corriger, écrivent les chercheurs. Leurs travaux montrent que 75% des enfants de deux ans atteints d’obésité le seront toujours à 35 ans.


Chez les enfants souffrant d’obésité sévère – au nombre de 4,5 millions aux Etats-Unis actuellement – les risques sont encore plus grands à l’âge adulte.Dans ce groupe particulier, les enfants de deux ans ont plus de 80% de chances d’être obèse à 35 ans. A l’âge de cinq ans, ce risque tombe toutefois à 10%.Même les enfants de poids normal courent le risque d’être obèses une fois adultes, selon cette étude. Ainsi, parmi les jeunes de deux à 19 ans en 2016, plus de la moitié risquent de souffrir d’obésité à 35 ans.L’étude montre également des disparités raciales et ethniques face à l’obésité. Les populations noires et hispaniques ont ainsi plus de risque d’être obèses que les Blancs, entre l’âge de deux ans et 35 ans.Click Here: NRL Telstra Premiership

Cancer de la peau : une prise de sang pour prévenir le risque de récidive

Grâce à une simple prise de sang, des chercheurs britanniques ont pu détecter les risques de récidive chez des patients victimes d’un mélanome, cancer agressif de la peau de stade 2 et 3. Ce test, qui analyse l’ADN de la tumeur, pourrait donner lieu à des traitements d’immunothérapie précoce et ainsi augmenter les chances de survie des patients.

Une simple prise de sang permet d'analyser l'ADN de la tumeur cutanée et pourrait donner lieu à des traitements d'immunothérapie précoce et augmenter les chances de survie des patients.

Cette découverte est porteuse d’espoir pour les patients victimes d’un mélanome de la peau les plus à risque de récidive, qui pourraient bénéficier de nouveaux traitements d’immunothérapie, conclut une étude britannique publiée ce mercredi 6 décembre dans la revue “Annals of Oncology”.Des chercheurs du Cancer Research UK (centre de recherche britannique et association caritative de lutte contre le cancer) et du centre de cancérologie Christie NHS Foundation Trust ont analysé le sang de 161 patients atteints d’un mélanome de stade 2 et 3 prélevé après avoir subi une opération.Ils ont notamment cherché des anomalies spécifiques à deux gènes (BRAF et NRAS) que l’on retrouve dans 70% des cancers de la peau.Cinq ans après, 33% des patients qui avaient une analyse de sang positive sur l’un des deux gènes était vivants, comparativement aux 65% qui n’avaient pas fait le test, rapporte l’étude.Les résultats montrent aussi que le cancer de la peau avait plus de risque de réapparaître l’année suivant la chirurgie chez les patients qui présentaient des anomalies sur n’importe quel gène.”Si ce test de l’ADN de la tumeur peut prédire précisément le moment de la récidive du cancer, il pourrait aider les médecins à cibler les patients susceptibles de recevoir de nouvelles immunothérapies, capables de réduire le risque de propagation du cancer“, s’enthousiasme le professeur Richard Marais, directeur du Cancer Research UK.La prochaine étape pour tester cette approche consiste à mener un essai clinique où les patients seront amenés à faire des analyses de sang régulières après la fin de leur traitement initial.Les traitements par

immunothérapie, cheval de bataille des chercheurs en oncologie pour traiter notamment les cancers les plus avancés, consistent à faire reconnaître les cellules cancéreuses par le système immunitaire qui peut ainsi les combattre, comme un vaccin. Pour l’heure, ils ont donné de bons résultats validés lors d’essais cliniques concernant le mélanome de la peau.Chaque année, 200.000 nouveaux cas de mélanome sont diagnostiqués dans le monde. Le chiffre atteint environ 80.000 en France. Détectés à temps, 90% des cancers cutanés peuvent être traités.À noter que 70% des cancers de la peau sont liés à des expositions excessives au soleil, principalement des expositions intermittentes et intenses pendant l’enfance.Click Here: cheap sydney roosters jersey

Bonnes résolutions 2018 : mincir pour mesdames, plus de sport pour messieurs

Près de sept Français sur dix (69%) ont l’intention de prendre des bonnes résolutions pour la nouvelle année. Maigrir (38%) ou faire du sport (35%) arrivent en tête des objectifs, selon une enquête Toluna/Newpharma.

Maigrir (38%) ou faire du sport (35%) sont les deux résolutions les plus avancées par les Français pour la nouvelle année.

Parmi les Français interrogés, 16% indiquent prendre “souvent” des bonnes résolutions au moment d’amorcer une nouvelle année, 6% en prendre “toujours ” et 47% en prendre “parfois”.Seuls 23% précisent les tenir “souvent” et 5% “toujours” tandis que 9% confient ne jamais respecter les bonnes résolutions prises pour la nouvelle année, selon une étude Toluna menée pour la pharmacie en ligne Newpharma.31% des Français ne se fixent quant à eux aucune résolution, selon l’enquête.Sans surprise, les résolutions 2018 ciblent en priorité le corps (21%), la santé (20%), le

stress  (19%) et le

tabac (15%).À titre comparatif, les Français souhaitaient avant tout début 2017 se réserver de vrais moments de détente (41%), passer plus de temps avec leurs amis ou leur famille (33%) et faire du sport (30%), d’après le baromètre “sport-santé” de la Fédération française d’éducation physique et de gymnastique volontaire (FFEPGV).En 2018, maigrir (38%) ou faire du sport (35%) sont les deux résolutions les plus avancées par les Français, “[qui considèrent] qu’ils ont quelques kilos à perdre après les fêtes de fin d’année“. 29% souhaitent positiver et avoir une alimentation plus saine (28%).Cependant, la perte de poids semble une priorité féminine : 41% des Françaises veulent avant tout perdre du poids (contre 34% des hommes) et 35% se fixent comme objectif de se remettre au sport ou d’en faire davantage.Ces messieurs privilégient, quant à eux, le fait de se (re)mettre au sport ou d’en faire davantage (35%).Chez les femmes, apprendre à positiver arrive en troisième position (31%) tandis que les hommes souhaitent avoir une alimentation plus saine (28%).Contrairement aux idées reçues, le souhait d’arrêter de fumer n’arrive qu’en huitième position (15%) et la diminution de la consommation d’alcool en 13e position (7%).Click Here: cheap nrl jerseys

Cancer : travailler de nuit associé à 11 types de cancer chez la femme

Une

méta-analyse, publiée ce lundi 8 janvier dans la revue Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention, établit un lien entre le travail de nuit à long terme et l’augmentation du risque de 11 types de cancers différents chez la femme, parmi lesquels le cancer du sein et le cancer de la peau.

De toutes les professions analysées, les infirmières ont le plus grand risque de développer un cancer du sein (58%) si elles travaillaient le quart de nuit.

Les résultats de ces nouveaux travaux montrent que les femmes qui travaillent de nuit, comme les infirmières, ont 19% de risques supplémentaires d’être touchées par le cancer que les autres.L’

étude, basée sur 61 études internationales incluant au total 3.909.152 femmes vivant en Europe, aux Etats-Unis, en Australie et en Asie, établit un lien significatif entre le travail de nuit à long terme et 11 types de cancer chez la femme, y compris le cancer du sein.Les chercheurs ont constaté que cette population présentait un risque accru de

cancer de la peau (41%),

du sein (32%), de cancers digestifs (18%) par rapport aux femmes qui ne travaillaient pas de nuit.A chaque tranche de cinq ans de travail de nuit supplémentaire, l’étude montre que le risque de cancer du sein augmente de 3,3%.Concernant le cancer du sein, seules les femmes travaillant de nuit en Amérique du Nord et en Europe avaient un risque plus important, constate l’étude qui explique ce phénomène par un possible niveau d’hormones sexuelles plus élevé ces femmes, associés aux cancers hormonaux tels que le cancer du sein.De toutes les professions analysées, les infirmières ont le plus grand risque de développer un cancer du sein (58%) si elles travaillent le quart de nuit. Le risque augmenté observé atteint 35% pour le cancer du système digestif (estomac, œsophage, foie, pancréas, côlon-rectum) et 28% pour le cancer du poumon chez ces soignantes.L’étude explique ces chiffres significativement plus élevés chez les infirmières du fait d’examens de dépistage susceptibles d’être plus fréquents au sein de la profession de santé ainsi que des exigences professionnelles plus importantes comme des rotations de nuit plus intenses. Le travail de nuit doit être considéré comme un facteur de risque du cancer chez la femme, conclut l’étude qui recommande des examens médicaux et dépistages plus réguliers chez les femmes effectuant des vacations de nuit.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Syndrome du choc toxique : le port prolongé du tampon jugé dangereux

Le tampon hygiénique ne doit pas être gardé plus de huit heures, sous peine de risquer un choc toxique dû au staphylocoque doré, ont rappelé mardi des chercheurs et médecins.

Sommaire

  1. Plusieurs victimes avaient mal utilisé les tampons
  2. Symptômes du syndrome du choc toxique
  3. Comment prévenir le syndrome du choc toxique ?

Changez de tampon toutes les quatre à huit heures et évitez d’en porter la nuit; n’utilisez un tampon que pendant une partie de la journée“, écrivent ces scientifiques et praticiens, dans une étude publiée par Santé publique France.Il est ainsi recommandé d’utiliser “par exemple des serviettes la nuit et des tampons le jour”.Plusieurs victimes avaient mal utilisé les tamponsL’agence sanitaire se penche sur “deux épisodes de cas groupés” dans la région Pays de la Loire en 2013 et 2016.Les cinq patientes “étaient âgées de 12 à 21 ans et toutes ont été hospitalisées en réanimation“, ont précisé les auteurs de l’étude.”L’investigation menée auprès des jeunes filles a mis en évidence une mauvaise utilisation de ces tampons“, selon eux.Ainsi quatre d’entre elles en avaient porté la nuit, plus de huit heures, l’une d’elles en portait même avant le début des règles, et “le lavage des mains avant et après la mise en place du tampon était variable selon les cas“.Symptômes du syndrome du choc toxiqueLe choc toxique staphylococcique menstruel reste une “affection rare”, avec une vingtaine de cas par an en France. Il se manifeste par :

  • une 

    fièvre élevée, de 39 ° à 40°5 ;

  • une

     tension artérielle faible ;

  • une éruption cutanée (

    érythrodermie) comme un coup de soleil et une desquamation ;

  • une atteinte des organes dits cibles : du tube digestif par exemple, avec des 

    vomissements, une

     diarrhée aqueuse et profuse ; ou des muqueuses (du pharynx, de l’œil, etc.) qui sont très enflammées ; ou encore du système nerveux central (confusion, obnubilation, etc.).

Le début est brutal et le syndrome peut évoluer rapidement, en 48 heures, vers le choc toxique, voire le décès, ce qui est le cas une fois sur 10 environ.


Comment prévenir le syndrome du choc toxique ?Les données publiées dans l’étude de Santé Publique France laissent à penser que le mésusage des tampons serait un facteur de risque de syndrome de choc toxique. Il est donc plus prudent d’éviter de s’en servir en continu pendant toute la durée des règles. Mieux vaut alterner avec des serviettes périodiques. Il est conseillé aussi de ne pas porter un tampon plus de 8 heures d’affilée, jamais la nuit et de le changer régulièrement, idéalement toutes les 4 heures.En 1980, les États-Unis avaient remarqué une augmentation très importante du nombre de cas à cause d’un modèle particulier de tampon, qui avait été retiré du marché et qui a permis de changer la réglementation.Click Here: liverpool mens jersey