Le yoga Bikram plus tendance que jamais

Le yoga à 40°C ou “yoga Bikram“ est en vogue. Imaginé par le “gourou“ Bikram Choudhury, venu de Los Angeles et dénué de spiritualité, ce sport essaime partout en France et rend accros ceux qui l’essayent.

Le yoga Bikram plus tendance que jamais

Une fois qu’on a commencé, c’est comme une drogue“, affirme Felixe. A 60 ans, elle pratique parfois deux fois par jour ce sport qui lui donne le sentiment d’avoir “à nouveau 40 ans“.Short-brassière pour les filles et maillot de bain pour les garçons sont la tenue de rigueur de ces nouveaux “yogis“. Pendant les 90 minutes de la séance, ils transpirent dans une salle chauffée à 40 degrés et humide à 40% tout en enchaînant, dans un ordre précis et immuable, 26 postures (“asanas“) et deux exercices de respiration profonde.Face à un grand miroir, qu’ils soient novices ou expérimentés, âgés de 17 ou de 75 ans, tous se contorsionnent avec plus ou moins de bonheur pour tenter de reproduire les postures aux noms évocateurs de “demi-lune“, “lapin“ ou bien encore de “cobra“. La chaleur est là pour renforcer la capacité d’étirement des plus raides.“La première fois, j’ai vraiment cru mourir“, se souvient Alain Cadet, qui a découvert cette pratique en 2004. Très vite devenu accro à ce sport, en 2010, il a quitté son poste dans le marketing des produits de luxe pour devenir enseignant de ce yoga avant d’ouvrir en 2012 un studio à Bordeaux.En deux ans, une dizaine de salles se sont ouvertes à travers la France, un phénomène qui avait touché les Etats-Unis, dans les années 90. Les articles de la presse people sur Madonna, Lady Gaga ou Jennifer Aniston devenues adeptes de yoga Bikram ont largement contribué à populariser cette méthode mise au point par le professeur Bikram Choudhury.A 67 ans, il est milliardaire grâce aux contrats de franchise d’exploitation signés avec le millier de salles qu’il compte à travers la planète.“La même méthode““L’une des forces du concept est que partout dans le monde, on retrouve exactement la même méthode“, estime Alain Cadet, qui propose chaque semaine un cours en anglais, destiné aux Américains installés à Bordeaux.C’est ce côté “marketing“ et “occidentalisé“ qui, au départ, a rendu sceptique Florence Delmas, professeur à Bordeaux de yoga swasthya, le plus ancien des 108 types de yogas répertoriés.Après avoir poussé les portes du studio bordelais, comme quelque 1.300 personnes depuis son ouverture il y a onze mois, elle dit avoir “compris les effets bénéfiques“ à tirer de cette méthode. A l’automne, elle est partie à Los Angeles où, moyennant 10.000 euros, elle a suivi durant 9 semaines une formation pour devenir à son tour professeur de yoga Bikram.“La magie du Bikram c’est qu’à travers cet enchaînement des postures, qui est toujours le même, on peut voir les améliorations“, souligne Florence Delmas, qui dispense désormais 25 à 30 cours par mois.Marie-Hélène Bralerait, professeur de yoga d’adaptation, appelé “viniyoga“, aime également le yoga chaud, qui lui permet notamment de “travailler la conscience du corps et du souffle“ et dit apprécier “le fait de transpirer et d’éliminer les toxines“.Pour sa part, Audrey Coutreras, 27 ans, hôtesse au sol à Biarritz, vient deux fois par semaine à Bordeaux suivre des cours qui “lui apportent un bien être physique et mental, grâce à un renforcement musculaire et l’amélioration de sa capacité respiratoire“.Un enthousiasme que ne partage pas entièrement Alain Rouvillois, cadre de santé à l’institut de formation en masso-kinésithérapie à Bordeaux et entraîneur national. Si ce concept de yoga est intéressant, notamment pour les 26 postures qui “font appel à la concentration et l’équilibration“, il estime que “tout le monde ne peut pas y accéder“.“Il y a des précautions à prendre car faire des exercices intensifs sous la chaleur demande un minimum d’entraînement“, souligne M. Rouvillois, tout en relevant les risques d”“hyperthermie“ et d’“accidents cardiaques“ liés à la forte chaleur.Source : Relaxnews

Un nouvel outil pour faciliter la vie des dyslexiques en France

Les personnes dyslexiques disposent d’une nouvelle aide pour faire face à leurs difficultés de lecture, sous la forme d’une police informatique. Elle a été mise au point par un graphiste néerlandais, lui-même atteint de dyslexie et est disponible à présent en français.

Une nouvelle police informatique pour faciliter la vie des dyslexiques.

C’est une nouvelle police qui pourrait rendre service aux Français qui rencontrent des difficultés de lecture. Un graphiste néerlandais atteint de

dyslexie a mis au point un outil d’aide visant à “améliorer la qualité et le confort de lecture des personnes“ souffrant de ce trouble. Dans cette police, appelée Dyslexie©, les lettres ont été redessinées pour donner un aspect unique et différent à chacune, afin qu’il y ait “moins d’erreurs de retournement, d’inversion et d’effet miroir“ pour le lecteur. Après avoir été

lancée dans les pays anglophones, elle est à présent disponible en France et

téléchargeable sur Internet.Pour une personne dyslexique, certaines lettres sont  difficiles à distinguer. Un dyslexique aura tendance à “retourner“ les lettres (le “b“ devient un “q“, le “n“ devient un “u“) ou à les “échanger“ comme s’il les lisait dans un miroir (le “p“ devient un “d“). La police Dyslexie © joue sur la forme des lettres afin de les lecteurs puissent les reconnaître plus facilement.

D’autres polices du même style existent déjà sur le marché (

Read Regular,

Lexia Readable,

Tiresias,

Sassoon). Les concepteurs de la police Dyslexie© insistent sur les résultats de leur outil.  Ils ont mené une étude en février dernier auprès de 26 orthophonistes en France, Belgique et au Canada, afin de constater l’effet de cette police sur la lecture de 183 enfants dyslexiques. Selon leurs résultats, elle “donne plus de plaisir à lire“ pour 65 % des enfants qui  l’ont testée et “diminue la sensation de fatigue“ pour 48 % d’entre eux. Quant aux résultats concrets sur la lecture, cette nouvelle police “réduit les erreurs“ de 16 % et “diminue (le nombre de) mots non-lus“ de 33 %.

La police Dyslexie© peut être utilisée avec les logiciels de traitement de texte, mais aussi  pour les courriers électroniques et les pages internet. Elle est déjà utilisée par certaines entreprises comme Nintendo ou les studios Pixar.En France, près de 5 % des enfants sont dyslexiques. Près de trois millions de Français souffrent de ce trouble de la lecture.Violaine BadieSource : AuxiliDys : informations et essai de la police sur

leur site internetClick Here: cheap INTERNATIONAL jersey

Indonésie : “Nous n’avons pas vu de distribution de vivres ou de médicaments”

Nicolas Bertrand, en direct de Palu, sur l’Île de Célèbes en Indonésie, fait le point sur l’arrivée prochaine des secours français et internationaux. “Plus de trois jours après cette double catastrophe, on a l’impression, [au soir du lundi 1er octobre] que les autorités indonésiennes n’ont pas pris à sa juste mesure tous les besoins dont font face la population. À Palu, et dans les environs, nous n’avons pas vu de distributions de vivres ou de médicaments. Les personnes affectées sont très peu prises en charge, mais ça devrait changer, ‘enfin’ me direz-vous, car les autorités ont annoncé que 1 300 secouristes vont être, dans les prochaines heures, déployés dans toute la zone et qu’un bateau militaire chargé de nourritures et d’eau potable va arriver également”, explique Nicolas Bertrand, en direct de Palu, sur l’île de Célèbes.Une aide humanitaire efficace dans plusieurs jours ou plusieurs semainesConcernant l’aide internationale, elle “devrait arriver prochainement, elle devrait attendre plusieurs jours ou plusieurs semaines avant d’être efficace sur le terrain”, conclut le journaliste Nicolas Bertrand.Le JT

  • JT de 19/20 du lundi 1 octobre 2018 L’intégrale

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Les femmes biologiquement programmées pour aimer les hommes drôles

Des chercheurs de l’université de Stanford (Californie) viennent de révéler que les femmes sont plus sensibles à l’humour que les hommes, et ce dès le plus jeune âge. Le choix de leur partenaire pourrait donc se faire en fonction de son sens de l’humour.

Des chercheurs américains affirment que l'humour est une vraie arme de séduction.

Femme qui rit, à moitié dans ton lit“. L’adage populaire est rarement pris au sérieux. Pourtant, il vient d’être scientifiquement prouvé. Pour la première fois, des chercheurs viennent de se pencher sur l’influence de l’humour sur le cerveau et sur les choix amoureux. Selon eux, les

femmes sont biologiquement programmées pour préférer des partenaires drôles. Une préférence qui s’exprime dès le plus jeune âge.Des scientifiques de l’université de Stanford en Californie ont étudié l’activité cérébrale de 22 enfants (13 filles et 9 garçons), âgés de 6 à 13 ans. Les sujets de l’étude ont visionné des vidéos humoristiques, positives (snowboard, gymnastique…) ou neutres. L’imagerie médicale a révélé que le

cerveau des filles (en particulier la partie associée à la récompense) avait une activité plus intense lors du visionnage des vidéos drôles. Celui des garçons était davantage stimulé par les vidéos positives, de sport.La même expérience a ensuite été menée chez des frères et sœurs, menant aux mêmes résultats. “Nos données, pour la première fois, révèlent que les différences sexuelles dans l’appréciation de l’humour existent déjà chez les jeunes enfant“, expliquent les auteurs de l’étude.Le fait que les femmes soit biologiquement réceptives à l’humour a mené les chercheurs à se demander quelle influence cela pouvait avoir dans leurs choix amoureux. Selon eux, elles auraient tendance à choisir un partenaire qui les fasse rire. Le sens de l’humour serait donc une vraie arme de

séduction.Violaine BadieSource : Patrick Vrticka, Michelle Neely, Elizabeth Walter Shelly, Jessica M. Black, Allan L. Reiss : “Sex differences during humor appreciation in child-sibling pairs“, étude publiée dans la revue Social Neuroscience, mai 2013 (

étude en ligne)Click Here: cheap nrl jerseys

Eye-Phone propose un diagnostic oculaire dans les pays pauvres

Une équipe de la Faculté de Médecine tropicale de Londres teste dans la région de Nakuru, au Kenya, une technique de diagnostic oculaire simple et bon marché grâce à un smartphone. Un espoir important pour des pays dans lesquels des appareils de diagnostic traditionnels restent inaccessibles… à condition que les traitements soient disponibles. 90% des cas de cécité concernent des pays pauvres.

L'“Eye-Phone“, outil prometteur de diagnostic oculaire dans les pays pauvres – ©AFP PHOTO / TONY KARUMBA

Des diagnostics grâce à un smart-phone“Le Kenya était un lieu de test évident“, explique à l’AFP le chef du projet, le Dr Andrew Bastawrous. “Dans ce pays de plus de 40 millions d’habitants, il n’y a que 86 ophtalmologistes, dont 43 exercent à Nairobi“.

La technologie, en cours d’élaboration depuis cinq ans et désormais dans sa phase finale, utilise un smartphone doté d’un objectif additionnel qui scanne la rétine et d’un logiciel qui enregistre les données. Chaque “Eye-Phone“, comme aime l’appeler le Dr Bastawrous en faisant un jeu de mots avec le téléphone-star d’Apple, ne coûte que quelques centaines d’euros et peut, dit-il, assurer des examens nécessitant habituellement des appareils professionnels valant plusieurs dizaines de milliers d’euros et pesant plus de cent kilos.Une efficacité comparable à des équipements lourdsAu cours de l’étude menée par les médecins du projet dans la région de Nakuru, 5 000 patients ont été examinés, à la fois avec le “Eye-Phone“ et avec un appareil professionnel afin de comparer les résultats. Selon le Dr Bastawrous, l’invention s’est avérée fonctionner et a permis de détecter diverses pathologies telles que le

glaucome, la

cataracte, la

myopie ou

l’hypermétropie.Le médecin espère que cette technologie révolutionnera un jour l’accès au traitement de millions d’Africains à faible revenu qui souffrent de maladie ophtalmologique ou de cécité. Un enjeu important, 80 % des cas de cécité étant évitables ou curables au Kenya, selon lui.Relais vers une structure de soinsAprès l’examen, les données sont envoyées en ligne à une équipe de spécialistes qui peuvent en tirer un diagnostic et conseiller un traitement, allant des collyres et lunettes de vue aux opérations chirurgicales complexes menées une fois par quinzaine à l’hôpital de Nakuru, à environ 150 km au nord-ouest de Nairobi.Jusqu’ici 200 patients de l’étude ont bénéficié d’une chirurgie ayant permis de corriger divers affections de l’oeil.Déjà de belles histoiresQuand en 1990, bambin de trois ans, Simon Kamau s’est crevé un oeil en jouant avec un objet pointu, sa famille d’une région rurale de la Vallée du Rift au Kenya, n’avait pas les moyens de payer les 80 km de trajet jusqu’au premier spécialiste à Nairobi. Aujourd’hui âgé de 26 ans et borgne, il fait partie de ceux attendant d’être opéré. Les médecins estiment improbable que son oeil abîmé recouvre sa pleine vision en raison de l’ancienneté de la blessure, mais disent pouvoir mettre un terme à la douleur incessante qui mine le jeune homme et au gonflement de son oeil sain, dus aux efforts de celui-ci pour compenser l’oeil aveugle. “Je peux difficilement accomplir un travail manuel à la ferme. Dès que le soleil brille, mon oeil coule et je ressens une vive douleur“, explique Simon Kamau, qui vit avec six membres de sa famille dans une petite ferme près de Naivasha, à une centaine de km au nord-ouest de Nairobi.Mary Wambui, 50 ans, a des problèmes oculaires depuis 36 ans mais a abandonné l’idée de se soigner, car les traitements existants étaient totalement hors de ses moyens. A la place, elle fait avec les moyens du bord, comme placer un linge humide sur ses yeux quand la douleur se fait insupportable. “J‘ai été traitée à (…) l’hôpital, mais les consultations de suivi étaient trop chères. Je devais payer le ticket de bus, puis patienter toute la journée dans la salle d’attente et rentrer sans avoir vu un médecin“, raconte-t-elle. Elle a accueilli le projet du Dr Bastawrous comme une bénédiction, car désormais le personnel médical se rend à son domicile, “avec leur matériel dans le creux de la main“.David Bême, d’après AFP/RelaxnewsClick Here: cheap Cowboys jersey

Blake Lively, nouveau visage L'Oréal Paris

Après Julianne Moore, Freida Pinto, Jennifer Lopez, Eva Longoria, Beyoncé Knowles, Laetitia Casta ou encore Jane Fonda, l’actrice de 26 ans ajoute son nom à la prestigieuse liste des ambassadrices du géant français des cosmétiques L’Oréal Paris.

Blake Lively pour L'Oréal Paris

“Je suis ravie et très honorée de rejoindre toutes ces femmes incroyables qui représentent L’Oréal Paris“, déclare Lively. Elle ajoute : “J’ai grandi en m’inspirant de leur message “Nous le valons bien“. C’est une valeur qu’il est important d’inculquer aux femmes : la beauté est ancrée dans la confiance en soi, c’est primordial. C’est pourquoi je suis si fière d’être une femme L’Oréal Paris“.Lively s’est surtout fait connaître en interprétant l’un des rôles principaux de la série “Gossip Girl“. Au cinéma, on l’a notamment vue dans le thriller “Savages“ d’Oliver Stone (2012).La jeune femme, qui est également le visage de la fragrance Gucci Premiere, a été choisie par Karl Lagerfeld pour apparaitre dans des campagnes Chanel Mademoiselle.Source : RelaxnewsClick Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Vincent Peillon s’attaque au harcèlement à l’école

D’après les enquêtes effectuées, on peut estimer que 10% des écoliers et des collégiens rencontrent des problèmes de harcèlement et que 6 % d’entre eux subissent un harcèlement que l’on peut qualifier de sévère à très sévère. Pour lutter contre ce problème, Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale, a lancé la campagne “Agir contre le harcèlement à l’École“. Découvrez les principales mesures annoncées par le ministre et Éric Debarbieux, délégué ministériel chargé de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire.

Aux côtés de la chanteuse Chimène Badi et du champion d’Europe d’athlétisme Christophe Lemaitre, Vincent Peillon lance une campagne contre le harcèlement à l'école.

Lutter contre le harcèlement : un enjeu éducatif majeurLe fait d’être victime ou auteur de harcèlement entre élèves peut être à l’origine de difficultés scolaires, d’absentéisme, voire de décrochage, et peut aussi engendrer, chez les élèves, de la violence ou des troubles de l’équilibre psychologique et émotionnel. C’est notamment le cas du cyberharcèlement, dont le développement est aujourd’hui un sujet de préoccupation important. D’après les enquêtes effectuées, on estime que 10 % des écoliers et des collégiens rencontrent des problèmes de harcèlement et que 6 % d’entre eux subissent un “harcèlement sévère à très sévère“.Mais pour lutter efficacement contre ce harcèlement, encore faut-il l’identifier… Dans les écoles et les établissements scolaires, chacun doit connaître la réalité du phénomène. “Parce qu’il est souvent dissimulé ou insidieux, le harcèlement n’est pas facilement détecté par les adultes, qu’il s’agisse des parents, des enseignants ou de l’ensemble des personnels de l’éducation. Le harcèlement est source d’humiliations, si bien que les victimes osent rarement évoquer les souffrances qu’elles traversent. Et, dans bien des cas, des élèves, témoins de ces faits, préfèrent se taire. Nous ne lutterons efficacement contre le harcèlement à l’École qu’en brisant cette loi du silence. Pour y parvenir, nous engageons une action résolue, qui passe par la sensibilisation du grand public aux multiples formes de ce phénomène“ déclare le ministre de l’Education.Parce que la lutte contre le harcèlement est l’affaire de tous, une campagne de sensibilisation est lancée et une politique précise est avancée par le ministre autour de trois axes principaux.1 – Sensibiliser chacun aux dangers du harcèlement

  • Une nouvelle campagne de sensibilisation prend pour ambassadeurs des personnalités qui ont elles-mêmes subi des faits de harcèlement et qui sont désormais nationalement reconnues. Le but est de montrer aux jeunes victimes de harcèlement qu’ils n’ont aucune raison de se laisser intimider ou rabaisser. 

Grâce aux témoignages de Chimène Badi et de Christophe Lemaitre, l’objectif est d’encourager ces jeunes à ne plus se laisser faire et à briser la loi du silence en parlant, autour d’eux, de ce qu’ils vivent et de ce qu’ils subissent.

  • Le site rénové

    agircontreleharcelementalecole. gouv.fr rassemble de nombreux outils pédagogiques à destination des équipes, mais aussi des informations précieuses pour les parents et pour les élèves, témoins ou victimes de harcèlement.

  • 6 fiches pour savoir quoi faire. Pour les élèves victimes ou témoins d’actes de harcèlement, pour des parents inquiets pour leurs enfants, le ministère propose des fiches répondant à leurs questions les plus fréquentes et les accompagnant dans leurs démarches.

    Elles sont accessibles en ligne.

  • Le prix “Mobilisons-nous contre le harcèlement“ est organisé pour susciter les initiatives d’élèves en matière de prévention du harcèlement (affiches, vidéo, etc.). Les récompenses (entre 1 000 et 2 000 euros) serviront à financer des projets de sensibilisation et de formation. Le concours est ouvert aux écoles, établissements et structures périscolaires et extrascolaires pour les jeunes de 8 à 18 ans ; la participation à ce prix est obligatoirement collective.
  • 10 dessins animés pour sensibiliser les écoliers. “Et si on s’parlait du harcèlement“ est une série de 10 dessins animés thématiques, accompagnés de guides pédagogiques permettant d’engager la discussion avec les élèves des écoles primaires sur les sujets liés au harcèlement. Tous sont visibles sur dailymotion et youtube :

    définition du harcèlement : “Le harcèlement qu’est-ce que c’est ?“ ;

    la loi du silence : “Stop au silence !“ ;

    le rejet, l’importance de la sociabilité juvénile : “Non à l’exclusion“ ;

    la place du rire : «Ce n’est pas drôle !“ ;

    le phénomène de groupe: “Mauvaise influence“ ;

    la cyberviolence : “Internet et pas net !“ ;

    les différences, notamment vestimentaires : “Des apparences trompeuses“ ;

    le racket : “Le racket c’est pas du jeu“ ;

    la violence ne résout pas les conflits : “Ça va trop loin !“ ;

    le voyeurisme, le sexisme : “Laisse les filles“.

2 – Prendre en charge les cas de harcèlementPrendre en charge les cas de harcèlement de façon appropriée est le second objectif de ce plan. Cela passe par différentes actions.

  • 31 référents académiques à l’écoute des victimes et des témoins. Dans chaque académie, le traitement des cas de harcèlement est piloté par un acteur identifié, garant du respect du droit et des procédures permettant de trouver des solutions. C’est également ce “référent harcèlement“ qui coordonne les actions de formation et de sensibilisation au niveau de l’académie.
  • Un protocole de traitement des situations de harcèlement destiné aux professionnels. Diffusé sur

    le site “Éduscol“, un protocole-type de traitement des situations de harcèlement dans les écoles et les établissements publics locaux d’enseignement est mis à la disposition des responsables de ces écoles et de ces établissements.

  • Un guide pour lutter contre la cyberviolence.

    Diffusé sur le site education.gouv.fr, ce guide est destiné à aider les personnels à mieux prévenir, identifier et traiter le phénomène de la cyberviolence, via une plus grande sensibilisation des élèves aux risques liés aux technologies de l’information et de la communication, et par une meilleure formation de leur esprit critique.

3 – Mieux former les personnelsPour mieux identifier et mieux traiter les situations de harcèlement entre élèves, il convient également de renforcer la formation des adultes qui interviennent en milieu scolaire. C’est le troisième chantier de cette campagne. Un effort sera donc engagé en faveur d’une formation spécifiquement dédiée aux enjeux du harcèlement : formation des formateurs par la délégation ministérielle chargée de la prévention et de la lutte contre la violence en milieu scolaire à l’École supérieure de l’éducation nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche (Esen), sessions de formation pour les personnels impliqués mais également pour des équipes d’établissement, formations et conférences à l’attention du grand public, implication et sensibilisation des élèves, notamment des délégués de classe et des élus représentant les élèves dans les différentes instances… L’UNICEF France s’associe à cette campagne et travaille notamment, avec le délégué ministériel en charge de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire, à l’élaboration d’outils en lien avec le climat scolaire ou sur la formation des enseignants. Ce travail commun va également se concrétiser sous une forme innovante puisque les Jeunes ambassadeurs de l’UNICEF en Ile-de-France vont être formés, pour mener des actions de prévention de pair à pair dans leurs lycées. David Bême Sources :Agir contre le Harcèlement à l’école – Ministère de l’éducation nationale – Dossier de presse – novembre 2013L’UNICEF France plus que jamais mobilisé pour la lutte contre le harcèlement scolaire – Communiqué de presse – novembre 2013Click Here: Cheap FIJI Rugby Jersey

“Shame” rencontre avec Michael Fassbender et Steve McQueen [VIDEO]

Trois ans après “Hunger”, le tandem Steve Mc Queen-Michael Fassbender brosse le portrait d’un sex addict dans “Shame”, en salles le 7 décembre. L’acteur et le réalisateur évoquent ce film fascinant au micro d’AlloCiné.

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Shame de Steve McQueen, avec Michael Fassbender, Carey Mulligan, James Badge Dale… Sortie le 7 décembre

Synopsis : Le film aborde de manière très frontale la question d’une addiction sexuelle, celle de Brandon, trentenaire new-yorkais, vivant seul et travaillant beaucoup. Quand sa sœur Sissy arrive sans prévenir à New York et s’installe dans son appartement, Brandon aura de plus en plus de mal à dissimuler sa vraie vie…

Bande-annonce : “What to Expect When You’re Expecting”! [VIDEO]

La bande-annonce de la comédie “What to Expect When You’re Expecting” avec Cameron Diaz, Jennifer Lopez, Anna Kendrick et Chase Crawford vient d’être dévoilée!

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La bande-annonce de la comédie What To Expect When You’re Expecting de Kirk Jones a été dévoilée. Le long métrage, adapté du best-seller d’Heidi Murkoff, suit les relations de 7 couples se préparant à devenir parents. Cameron Diaz,Jennifer Lopez, Anna Kendrick, Elizabeth Banks,Chace Crawford, Brooklyn Decker, Matthew Morrison et Dennis Quaid se partagent l’affiche de ce long métrage qui sortira sur les écrans américains le 11 mai 2012.

Laëtitia Forhan

Norris eager to tackle ‘raw’ IndyCar tracks in the future

McLaren driver and sim racer extraordinaire Lando Norris says his win last weekend in IndyCar’s virtual race at COTA has sparked his interest for the US series and its selection of interesting tracks.

Norris won on his debut in IndyCar’s iRacing Challenge at the Circuit of the Americas, the young Briton driving for McLaren’s US affiliate, Arrow McLaren SP, and beating an entire field of real-life IndyCar stars.

While Austin’s COTA – the home of F1’s US Grand Prix – is a familiar track for Norris, the 20-year-old is less acquainted with IndyCar’s other venues that include a blend of street circuits, road tracks and ovals.

    Norris spins and wins at COTA on IndyCar iRacing debut!

But the McLaren charger likes the “pure” approach of the rougher more basic layouts and isn’t dismissing giving them a go later on in his career.

“A lot of them are on iRacing and are super fun to drive and very different to what we’re used to,” said the McLaren charger. “A lot more pure bumps and walls. It’s a bit more raw.

“In F1 I would say [there’s] a bit more TecPro barriers everywhere and more run-offs everywhere and so on. But in IndyCar it’s more pure in terms of it’s literally just a track on the streets.

“And then you’ve got to go for it in a very difficult car to drive, one with no power steering. I would love to do it in the future. This has pushed me towards it more.”

©IndyCar