Le Sénat retoque le paquet neutre, mais la ministre ne désarme pas

“Casser“ l’attrait du tabac avec le paquet neutre est une des mesures phares de la loi antitabac portée par la ministre de la Santé, Marisol Touraine. Mais aujourd’hui,le Sénat asupprimé, en commission des affaires sociales, cette dispositionquiprovoque la colère des buralistes et du lobby du tabac. La ministre a déjà déclaré qu’elle déposerait un amendement pour la rétablir.

La ministre de la Santé dévoilait lundi le paquet de cigarettes neutre qui devait être mis en place en mai 2016.

Le Sénat supprime le projet de paquet neutre… la ministre se battra pour le rétablirLa ministre de la Santé Marisol Touraine a organisé il y a deux jours la première conférence internationale en soutien à la mise en place des paquets neutres pour les produits du tabac. Les ministres de la Santé de neuf pays, qui se sont déjà engagés ou vont s’engager dans cette mesure, se sont réunis pour promouvoir l’initiative au niveau international et contrer le lobby du tabac. Pour le Comité national contre le tabagisme (CNCT), “les paquets neutres permettent bien de casser l’univers glamour de l’objet, notamment auprès des 

jeunes, et de renforcer le poids dissuasif des mises en garde sanitaires“.

Adopté par l’Assemblée nationale en avril dernier, le paquet de cigarettes neutre était examiné aujourd’hui au Sénat. Le texte qui lui est présenté prévoit sa mise ne place en mai 2016. Le nouveau paquet supprimerait toute référence graphique publicitaire et attrayante de la marque et ne garderait que son nom accompagné d’informations sanitaires. Mais aujourd’hui alors que des manifestations de buralistes se déroulaient devant le Palais du Luxembourg, le Sénat a supprimé, en commission des affaires sociales, ce projet de paquet de cigarettes neutre défendu par le gouvernement. La commission des affaires sociales a adopté à la place un amendement qui suit la directive européenne qui prévoit d’accroître la taille des avertissements sanitaires sur les paquets.La ministre a annoncé

sur France Info qu’elle comptait déposer un amendement au Sénat pour réintroduire le paquet neutre. Cette disposition phare de la loi antitabac pourrait également être rétablie lors d’une nouvelle lecture à l’Assemblée, qui aura finalement le dernier mot. L’objectif est de réduire l’attractivité du produit auprès des jeunesPendant la conférence initiée par Marisol Touraine le 20 juillet, les participants ont globalement discuté des différentes mesures pour réduire le tabagisme et empêcher les jeunes de commencer à fumer. Ils se sont, par ailleurs, appuyés, sur des données scientifiques de la Convention Cadre pour la Lutte Antitabac (CCLAT) pour justifier la mise en place du paquet neutre. Selon eux , cette nouvelle mesure :- réduirait l’attractivité du produit surtout auprès des jeunes et des femmes- augmenterait l’efficacité et la visibilité des avertissements sanitaires- réduirait la possibilité induite par le conditionnement de minimiser les effets néfastes du tabac.Marisol Touraine explique les motifs de l’organisation d’une conférence internationale pour la mise en place du paquet neutre (Vidéo Public Sénat)

“Combattre les attaques de ceux qui veulent nous faire reculer““Nous voulons unir nos forces pour montrer que nous ne sommes pas isolés et pour mieux combattre les attaques de ceux qui veulent nous faire reculer“, a déclaré Marisol Touraine après la réunion avec ses homologues internationaux. La ministre désigne clairement les lobbies du tabac qui soutiennent les buralistes en colère depuis quelques jours. Ce matin, ces derniers ont déversé quatre tonnes de carottes (en référence à l’enseigne sur les bureaux de tabac) devant les grilles du Parti socialiste. Selon eux, le paquet neutre favorisera le marché de contrebande et les achats de cigarettes à l’étranger.Le paquet neutre a réduit la consommation de tabac en AustralieEn Australie, le paquet neutre est en place depuis décembre 2012, ce qui a permis de réduire de 2,5 % la consommation de tabac dans le pays. Cette mesure entrera en vigueur en mai 2016 au Royaume-Uni et en mai 2017 en Irlande.“Le nombre annuel des décès liés au tabac pourrait atteindre 8 millions d’ici 2030, si de nouvelles mesures efficaces ne sont pas mises en œuvre“, prévient l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En France, le tabagisme est responsable de 60 000 morts, soit plus d’un décès sur dix, et un jeune de 17 ans sur trois est un fumeur régulier.Annabelle IglesiasSources :– Première réunion ministérielle internationale sur le paquet neutre, communiqué du ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, le 20 juillet 2015.- Paquet neutre : de plus en plus de pays s’engagent, communiqué de presse du Comité national contre le tabagisme (CNCT), juillet 2015.- Europe 1Click Here: NRL Telstra Premiership

“JC comme Jésus Christ” : les teasers !

Découvrez les 4 teasers du premier long métrage réalisé par Jonathan Zaccaï, “JC comme Jésus Christ”, avec Vincent Lacoste. Sortie le 8 février 2012.

Premier long métrage pour Jonathan Zaccaï ! Après avoir réalisé plusieurs courts (Comme James Dean, Y’a pas de quoi…), le cinéaste passe au long, avec une comédie sur le milieu du cinéma, et en vedette Vincent Lacoste, l’un des Beaux gosses de Riad Sattouf. Jonathan Zaccaï joue dans son propre film et est également le scénariste et le producteur de JC Comme Jésus Christ, qui sortira au cinéma le 8 février prochain.

 

Synopsis : Une Palme d’Or à 15 ans, un César à 16 ans et cette année JC passe le BAC… Jean-Christophe Kern, dit JC, n’est pas un adolescent comme les autres. Mélange de Jean-Luc Godard et Justin Bieber, à 17 ans il navigue entre ses miel-pops devant la télé après l’école et une vie professionnelle digne d’un Stanley Kubrick.


JC Comme Jésus Christ

BB

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52% des femmes pensent que la barbe et la moustache sont tendance

Le site de rencontre généraliste Mec à Croquer a réalisé un sondage auprès de ses membres afin de voir ce que pense les femmes du poil chez les hommes et inversement. Le poil, symbole de virilité et de féminité…ou véritable tue l’amour ? Mec à Croquer a mené l’enquête.

Les barbes et moustaches des hipsters ont conquis 52% des femmes sondées.

“Etes-vous au poil ?“. C’est la question qu’a posé le site de rencontre

Mec à Croquer à 1000 de ses membres, entre le 1er juin et le 25 juillet 2015. Apprécié par les uns et malmené par les autres, le poil ne laisse pas indifférent, surtout lorsque l’on entame une nouvelle relation.Les poils de plus en plus appréciés chez les hommes…Les femmes apprécient les hommes virils, certes, mais qui savent prendre soin d’eux. Ainsi, 87% d’entre elles préfèrent un torse poilu mais coupé court à un torse imberbe.Le look faussement négligé avec une barbe mal rasée séduit également puisque 67% de la gente féminine interrogée trouvent que la barbe de 3 jours est sexy, alors que 33% considèrent que ce look fait vraiment négligé.Le grand gagnant de ce sondage est le style hipster. En effet, 52% des femmes trouvent la moustache et/ou la barbe réellement tendance !Sans surprise, les poils dans le dos ne sont pas encore sur le point de devenir un atout pour séduire : 73% des femmes considèrent la toison dorsale comme éliminatoire à toute relation. 

…mais pas forcément chez les femmesLes hommes sont des juges beaucoup plus exigeants.56% d’entre eux se disent carrément “dégoutés“ par le poil chez une partenaire et ils passent à 76% lorsqu’il s’agit d’ une épilation du maillot qui laisse à désirer. Ils sont 63% à juger rédhibitoire à toute libido une fille qui ne s’épilerait pas les jambes.Pour celles qui ont un petit duvet, ces dernières ont du souci à se faire puisque 57% de la gente masculine le considèrent comme un vrai repoussoir, pire que les aisselles poilues, qui ne recueillent que 43% des suffrages.Tout n’est cependant pas perdu pour les femmes : 52% des hommes fantasment en voyant leur compagne s’épiler ! 

Aurélie SognySource : communiqué de presse mecacroquer.com

Plus de 3 élèves par classe sautent le petit-déjeuner

Les écoliers qui arrivent le ventre vide le matin en classe sont de plus en plus nombreux. Ce phénomène, mis en lumière par la première étude menée en milieu scolaire par le CREDOC, a été constaté par près de 47% des enseignants interrogés.

D’après l’étude, les enfants qui sautent cette première étape essentielle de la journée sont plus fatigués à 82%.

Une enquête du Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (CRÉDOC) menée auprès d’enseignants du CP au CM2 entre mai et juin 2015 révèle qu’un grand nombre d’enfants partent en négligeant le premier repas de la journée.L’absence de petit-déjeuner fortement liée au contexte familialEn moyenne, ils seraient ainsi 3,4 élèves par classe à sauter le premier repas de la journée. Un chiffre qui s’élève à 5,2 élèves par classe dans les réseaux d’éducation prioritaire renforcée.Or, sans petit déjeuner, il est difficile d’être en forme à l’école comme le confirment ces chiffres. D’après l’étude, les enfants qui sautent cette première étape essentielle de la journée sont plus fatigués à 82%, moins concentrés à 83%, moins attentifs à 83% également et moins participatifs à 61%.Les raisons sont multiples et s’expliquent d’abord par le contexte familial à 68%, le lever tardif à 47%, le manque d’appétit à 17% ou encore par les conditions socio-économiques de la famille (17%), selon les professeurs.Les spécialistes de l’étude rappellent avec justesse qu’un petit déjeuner doit représenter 20 à 25% des besoins énergétiques de la journée de l’enfant. Pour un enfant de 7 à 11 ans, cela représente entre 350 et 450 kcal.Aborder avec les élèves les fondamentaux de la nutritionLes nutritionnistes qui ont participé à l’étude rappellent qu’un petit déjeuner complet et équilibré se compose idéalement d’un aliment céréalier, d’un produit laitier, d’un fruit et d’une boisson chaude ou froide.Inquiets face à ce problème, les enseignants veulent désormais s’engager davantage dans la sensibilisation de leurs élèves à l’importance de ce repas crucial pour le reste de la journée.Ils sont ainsi 86% à penser qu’il faudrait aborder, à l’école, les fondamentaux du modèle alimentaire et souligner l’importance des trois repas équilibrés quotidiens et du goûter comme 4e repas. D’autant plus que les bonnes habitudes se prennent, dans ce domaine, dès le plus jeune âge.

AFP/RelaxnewsSource : Etude menée en milieu scolaire par le CREDOC – août 2015Méthodologie : enquête réalisée par le CRÉDOC auprès de 500 enseignants du CP au CM2 aux mois de mai et juin 2015, pour le Syndicat français des céréales du petit déjeuner, pour le Syndicat des fabricants de biscuits et gâteaux de France et pour le Syndicat de la panification croustillante et moelleuse. Résultats basés sur une classe moyenne de 23 élèves.Click Here: cheap INTERNATIONAL jersey

Australie : sera-t-il bientôt possible de choisir le sexe de son bébé ?

Les Australiens ont jusqu’au 17 septembre 2015 pour s’exprimer: veulent-ils ou non la possibilité de choisir le sexe de leur enfant? Un projet de recommandation éthique envisage en effet d’autoriser les couples à avoir recours à des procréations médicalement assistées, sans aucune raison médicale, et de décider s’ils veulent avoir une fille ou un garçon.

Le projet de recommandation éthique australien propose d'ouvrir le diagnostic préimplantatoire à des cas non médicaux, pour choisir le sexe des embryons.

Fécondation in vitro et diagnostic préimplantatoire pour des couples fertilesLe sujet fait débat. Si l’on commence à

choisir le sexe de son enfant,  qu’est-ce qui nous empêchera aussi à l’avenir de choisir la couleur de ses yeux, sa taille ou encore ses facultés intellectuelles ? Les autorités australiennes ont décidé de demander l’avis de la population sur la question, qui peut s’exprimer par écrit sur un projet de recommandation éthique1 jusqu’au 17 septembre 2015.Dans ce projet, le Conseil national sur la santé et la recherche médicale (NHMRC) propose la mise en place d’une “sélection du sexe pour motifs non médicaux“, en d’autres termes la possibilité pour les couples n’ayant aucun problème pour procréer naturellement d’avoir tout de même recours à une fécondation in vitro (à partir des gamètes prélevées chez les deux parents) et un diagnostic préimplantatoire (DPI). Habituellement utilisé pour détecter d’éventuelles anomalies génétiques et donc des risques de pathologies graves, le DPI aurait ici pour seul but de

choisir des embryons filles ou garçons, qui seraient ensuite ré-implantés de manière sélective dans l’utérus de la mère.Beaucoup d’Australiens vont aux à l’étranger pour choisir le sexe de leur bébéLa pratique est déjà autorisée dans certains pays comme aux Etats-Unis, en Nouvelle-Zélande ou dans plusieurs pays d’Asie. De plus en plus de couples australiens font donc le voyage pour bénéficier de cette procédure. Ce qui soulève un double problème : seuls les plus aisés peuvent se permettre de partir à l’étranger et les cliniques dans lesquelles ils se rendent “n’offrent pas la même qualité de soin que celle proposée en Australie“, ce qui présente des “risques“ pour les parents et l’enfant à naître selon le NHMRC.Au-delà du simple caprice, cette technique permettrait  selon les autorités américaines un “rééquilibrage“ dans les familles qui ont déjà eu plusieurs enfants du même sexe. Le texte du NHMCR met toutefois en garde les futurs parents sur les dangers que peut présenter cette sélection, notamment la possibilité que la sélection du sexe pour des raisons non médicales renforce les stéréotypes de genre et crée une pression sur la personne née pour qu’elle se conforme aux attentes parentales concernant le genre“.Quid de la sélection du sexe du bébé en France ?Dans un avis sur le diagnostic anténatal datant de 20092, le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a statué contre le recours au DPI pour sélectionner le sexe des enfants. Les experts ont jugé que “le recours au DPI au motif que la qualité de la vie de la famille serait augmentée par la possibilité de choisir le sexe d’un futur enfant (“family balancing“) n’est pas recevable“, précisant que “ces pratiques suscitent malaise et réticence parce qu’elles réduisent la gravité à une question de perception subjective, sans substrat biologique“. Le CCNE estime enfin que lors du recours au DPI pour sélectionner le sexe du bébé “seul l’intérêt (supposé) des couples est pris en compte. L’enfant est traité comme un objet qui obéit à la commande et à la programmation“. Avant de conclure assez fermement : “Ces usages du DPI constituent des formes de dévoiement de la médecine, sa réduction à une ingénierie biologique.“Violaine Badie
Sources :
1. Ethical guidelines on the use of assisted reproductive technology in clinical practice and research ; National Health and Medical Research Council ; 2015 (

texte provisoire consultable en ligne)
2. Avis sur les problèmes éthiques liés aux diagnostics anténatals : le diagnostic prénatal (DPN) et le diagnostic préimplantatoire (DPI) ; Comité Consultatif National d’Ethique pour les Sciences de la Vie et de la Santé ; 15 octobre 2009 (

avis complet consultable en ligne)

L'étiquetage nutritionnel simplifié permettrait de réduire les risques de cancer

L’étiquetage simplifié des aliments sous la forme de score nutritionnel (traduit par des pastilles de couleur) serait prédictif du risque de cancer, selon une étude menée sur 13 ans. Plus de score est élevé et plus le risque de cancer est important.

Un risque a été établi entre mauvaise alimentation et cancers digestifs.

Plus l’alimentation est mauvaise, plus le risque de cancer augmentePour arriver à cette conclusion, les chercheurs de l’étude SU.VI.MAX ont suivi pus de 6 400 personnes pendant 13 ans. Les sujets, recrutés entre 1994 et 1994, étaient invités à répondre à une enquête tous les deux mois, en détaillant ce qu’ils avaient mangé pendant les dernières 24 heures. Les scientifiques ont ensuite calculé le score nutritionnel (score FSA-NSP pour Food Standart Agency Nutient Profiling System) de chaque aliment déclaré, et plus globalement le score que qualité nutritionnelle de l’alimentation de chaque participant (FSA-NSP DI).Les auteurs de l’étude ont ensuite réparti les individus en cinq catégories selon leur score et analysé des cas de

cancers survenus dans chacun de ces groupes pendant les 13 ans de surveillance. Ils ont constaté une augmentation de 34 % du risque de cancer dans le groupe au score nutritionnel le plus bas (qui mange le moins bien), par rapport au groupe au score nutritionnel le plus élevé (dont l’alimentation est de meilleure qualité). Le lien entre alimentation et cancer semble “linéaire“, c’est à dire que plus l’alimentation se détériore et plus le risque de cancer augmente.Un étiquetage à 5 couleurs pertinent pour orienter les choix alimentairesLe score nutrionnel FSA-NSP correspond au code de l’étiquetage simplifié : les pastilles de couleur qui indiquent la qualité nutritionnelle des aliments. Ce score calculé pour chaque aliment prend en compte sa teneur en

calories, en

sucres simples, en

acides gras saturés, en

sodium, en

fibres et son pourcentage de

fruits et légumes.“Simple à calculer, ce score prend en compte les éléments nutritionnels pertinents du point de vue de la santé publique et présents sur l’étiquetage nutritionnel“, explique Dr Mathilde Touvier, qui a dirigé cette étude. “Il sert de base au système à 5 couleurs baptisé 5-C (vert, jaune, orange, rose fuschia, rouge) proposé par les scientifiques et considéré par le Haut conseil de la santé publique comme la signalétique nutritionnelle la plus pertinente pour orienter les choix alimentaires des consommateurs (…).“

Le risque établi pour les cancers digestifs, l’obésité et le syndrome métaboliqueLe risque de cancer relevé dans cette étude concerne un risque “global“. Les auteurs n’ont pas pu établir de lien significatif entre alimentation et

cancer du sein et

cancer de la prostate par exemple. “Le lien avec les cancers digestifs et notamment le

cancer colorectal pourrait, à l’inverse, être plus fort“, explique Dr Mathilde Touvier.Un étude précédente menée à partir des données de la cohorte SU.VI.MAX avait déjà prouvé que les “mauvais“ scores nutritionnels pouvaient être associés à un risque accru de surpoids, un doublement du risque d’

obésité chez lez hommes et un risque plus important de développer un

syndrome métabolique.Violaine Badie
Sources :
1 – Prospective association between cancer risk and an individual dietary index based on the British Food Standards Agency Nutrient Profiling System ; M Donnenfeld  & ass ; Br J Nut sept 2015 (

abstract en ligne) 
2 – L’étiquetage simplifié, un atout pour la santé ; Communiqué de l’Inserm 21/10/2015 (

consultable en ligne)

Flora Coquerel représentera la France au concours de Miss Univers 2015

Miss France 2014, Flora Coquerel va représenter la France lors du prochain concours de Miss Univers, qui aura lieu le 20 décembre à Las Vegas.

Flora Coquerel arborera les couleurs tricolores lors du prochain concours de Miss Univers, qui aura lieu le 20 décembre à Las Vegas.

Élue Miss France 2014, Flora Coquerel arborera les couleurs tricolores lors du prochain concours de Miss Univers, qui aura lieu le 20 décembre à Las Vegas.La jolie franco-béninoise n’avait pas pu concourir à Miss Univers lors de son “règne“ puisque l’édition avait été différée d’une année. Flora Coquerel avait passé le relais à Camille Cerf, Miss France 2015, en décembre dernier. La belle lilloise avait pour sa part eu la chance de participer au concours de beauté international en tout début d’année.Le concours de Miss Univers sera retransmis en direct sur Paris Première. Camille Cerf s’installera derrière le micro pour commenter l’événement.RelaxnewsClick Here: cheap nrl jerseys

Trop dormir et rester assis augmentent le risque de mort prématurée

Une étude rendue publique cette semaine est porteuse de bien mauvaises nouvelles pour celles et ceux qui aiment faire la grasse matinée. Dormir plus de neuf heures par nuit et rester assis plus de sept heures pendant la journée sont deux activités qui augmentent le risque de mort prématurée, selon le Sax Institute, en Australie.

Dormir en excès et rester assis trop longtemps multiplient par 4 le risque de mort prématuré chez l'adulte.

Même si les effets du

sommeil et de la position assise ont déjà été analysés, cette étude est la première à démontrer comment la combinaison de ces deux facteurs agit sur la vie quotidienne.Le comportement de plus de 230 000 personnes évaluéPour évaluer leurs effets, l’équipe de recherche s’est penchée sur les comportements de plus de 230.000 Australiens participant à l’enquête “45 and Up“, la plus grande étude réalisée en Australie sur la santé de la population adulte du pays alors qu’elle vieillit.Les chercheurs ont examiné des habitudes déjà connues pour augmenter le risque de décès prématuré  et de maladie comme

le tabagisme ,

l’alcoolisme, le déséquilibre alimentaire et le manque d’exercice physique, et ils y ont ajouté le fait de rester assis trop longtemps et de dormir trop ou trop peu. L’objectif était de déterminer la manière dont les différentes combinaisons de ces deux comportements peuvent augmenter le risque de mort prématurée.Un risque de mort prématurée multiplié par 4Les résultats de l’étude publiés dans la revue PLOS Medicine du 8 décembre 2015 montrent que dormir excessivement et rester trop longtemps en position assise est encore plus risqué pour la santé lorsque s’y ajoute le manque d’exercice. Se crée alors un “effet compte triple“ qui rend l’individu quatre fois plus susceptible de mourir prématurément qu’une personne n’ayant pas ces comportements.Un autre “effet compte triple“ est notable : le mélange de tabagisme, d’une consommation élevée d’alcool et de manque de sommeil (moins de 7 heures par nuit) augmente également le risque de décès prématuré d’un facteur 4.La combinaison d’autres facteurs, néfaste pour la santéEn outre, l’étude a aussi mis en évidence d’autres combinaisons néfastes, pouvant doubler le risque de mort prématurée, parmi lesquelles :- Être inactif physiquement + dormir trop- Être inactif physiquement + s’asseoir trop longtemps- Fumer + consommer beaucoup d’alcoolPrendre en compte tous les comportements à risqueLe professeur Adrian Bauman, co-auteur de cette étude, a commenté ces résultats en affirmant que “la morale à retenir de ces recherches – pour les médecins, les responsables de la santé et les chercheurs – est que si nous voulons concevoir des programmes de santé publique, capables de réduire le coût énorme des maladies liées au style de vie, nous devons nous concentrer sur la façon dont ces facteurs de risque fonctionnent ensemble, plutôt que de les prendre isolément“. Le docteur Melody Ding, directrice de l’étude, a ajouté : “Notre étude montre que nous devons vraiment prendre en compte ces comportements ensemble, aussi sérieusement que nous considérons d’autres facteurs de risque comme l’alcoolisme et le déséquilibre alimentaire.“AFP/RelaxnewsSource : Ding D, Rogers K, van der Ploeg H, Stamatakis E, Bauman AE. Traditional and emerging lifestyle risk behaviors and all-cause mortality in middle-aged and older adults: evidence from a large population-based Australian cohort. PLOS Medicine 2015, December 8. DOI: 10.1371 (

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Le smartphone, un outil pour lutter contre l'obésité ?

De nouvelles recherches montrent l’efficacité de l’utilisation des smartphones pour encourager les personnes à bouger. Ils permettraient de réduire efficacement les comportements trop sédentaires.

Au terme des sept jours, les données enregistrées par les accéléromètres ont montré que les participants encouragés par smartphone passaient moins de temps assis et étaient plus actifs.

Quand le smartphone devient un coach anti-sédentaritéCette étude pilote américaine a rassemblé des chercheurs du centre de santé de l’université d’Oklahoma, de l’American Cancer Society, et l’expertise technique du MD Anderson Cancer Center du Texas. Ils ont mesuré les mouvements de 215 participants en recourant à des accéléromètres pendant sept jours consécutifs. Les scientifiques ont aussi demandé aux participants de constamment garder sur eux leurs smartphones pendant cette semaine de tests.En plus du suivi par accéléromètre, pendant cette période de suivi, les participants qui restaient assis plus de deux heures par jour recevaient des messages sur leurs smartphones les encourageant à se lever et faire quelques pas. Ils recevaient aussi des informations leur expliquant que la station assise prolongée était néfaste pour leur santé.25 minutes d’activité physique supplémentairesAu terme des sept jours, les données enregistrées par les accéléromètres ont montré que les participants encouragés par smartphone (en comparaison avec un groupe témoin non coaché) passaient moins de temps assis et étaient plus actifs. Les accéléromètres ont enregistré une baisse de 3% du temps passé assis, par rapport au groupe témoin, soit l’équivalent de 25 minutes d’activité physique supplémentaires par jour.Des résultats un peu téléphonés ?…En tant qu’étude pilote, ses auteurs reconnaissent ses limites, de durée notamment. En effet, un laps de temps de suivi plus conséquent serait nécessaire, mais ces premiers résultats permettent déjà d’orienter la réflexion. L’un des auteurs commente ainsi que “de simples messages de rappel sur smartphone semblent offrir une stratégie prometteuse pour réduire les comportements sédentaires et accroître l’activité“, mais il va de soi que d’autres études plus poussées seront encore nécessaires pour confirmer ces premiers résultats.Avec AFP/RelaxnewsSource : Impact of a Mobile Phone Intervention to Reduce Sedentary Behavior in a Community Sample of Adults: A Quasi-Experimental Evaluation – Darla E Kenzor et al. – Journal of Medical Internet Research – Published on 25.01.16 in Vol 18, No 1 (2016): January (

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Sexualité et fertilité, les oubliés du traitement du cancer

Le retour à une sexualité épanouie et la préservation de la fertilité sont parfois les oubliés du traitement du cancer, a souligné mercredi l’Académie nationale de médecine, qui recommande une meilleure prise en charge.

Le retour à une sexualité épanouie et la préservation de la fertilité sont parfois les oubliés du traitement du cancer.

Le maintien d’une cohésion familiale est important et passe par le retour à une vie sexuelle normale et une proposition de préservation de la fertilité avec conservation des gamètes“, écrit l’Académie, dans un rapport intitulé “Retour à la vie ‘normale’ après traitement d’un cancer”.Concernant la fertilité, les manques sont encore criants. Une enquête de l’Institut national du cancer (INCa) en 2014 avait montré que seuls 16% des hommes potentiellement concernés avaient vu leur sperme préservé, et 2% des femmes leurs ovocytes. Rien n’avait été proposé à plus des deux tiers des patients (68%).L’Académie recommande de rendre plus systématique “une proposition de préservation de la fertilité adaptée au type de cancer, à l’âge et aux risques d’infertilité liés aux traitements et une évaluation en cancérologie des résultats en terme de grossesses des méthodes de préservation des gamètes“.Ce droit est prévu par la loi de bioéthique de 2004, modifiée en 2011. Il concerne “environ 55.000 patients par an”, d’après l’instance.Par ailleurs, “la sexualité après cancer est perturbée mais il n’existe pas de données épidémiologiques précises“, a déploré l’Académie. Et “la prise en charge des troubles de la sexualité est recommandée, mais il n’existe pas de prise en charge véritablement organisée“.L’étude de l’INCa en 2014 avait montré que 48% des hommes et 53% des femmes avaient fait état d’une détérioration “forte” ou “modérée” de leur santé sexuelle après un cancer.L’Académie recommande “une évaluation psychologique des patients dès leur prise en charge qui permettra de leur expliquer de façon éclairée les conséquences physiques et sexuelles des traitements et dirigera le suivi pendant et après le traitement“.Click Here: Cheap France Rugby Jersey