Heidi Klum, radieuse pour les cosmétiques Astor

La marque de cosmétiques a fait appel au top célébrissime pour incarner ses deux nouvelles campagnes make-up : l’une consacrée à l’eye liner 24H Perfect Stay Thick & Thin, l’autre au Mascara Big & Beautiful BFLY.

Heidi Klum prend à nouveau la pose pour Astor.

La dernière collaboration en date entre Heidi Klum et Astor ne date que des fêtes de fin d’année, pour lesquelles le mannequin de renommée mondiale a imaginé toute une ligne de rouges à lèvres.Pour ce nouveau partenariat, la blonde longiligne incarnera deux produits : le nouvel eye liner feutre signé Astor (24H Perfect Stay Thick & Thin) et le nouveau mascara (Big & Beautiful BFLY), notamment inspiré du regard d’Heidi Klum.“J’aime créer des effets différents sur mes yeux en modulant et en façonnant mon regard avec l’eye liner. Le nouveau feutre Eye liner d’Astor 24H Perfect Stay Thick & Thin facilite le travail grâce à sa mine en biseau. (…) L’effet est glamourissime, ultra-professionnel“, explique le top, ambassadrice et consultante artistique de la marque de cosmétiques.Ces deux nouveautés seront disponibles dès mars prochain, dans les instituts de beauté, les nails bar et les salons de coiffure agréés. Prix : 10,90€ chacun.Source : RelaxnewsClick Here: NRL Telstra Premiership

Les annonces de Marisol Touraine déçoivent le Collectif des Sages-Femmes

Marisol Touraine, ministre de la Santé, a annoncé la création d’un statut médical de sages-femmes des hôpitaux, en réponse à la grogne de cette profession en grève depuis le 16 octobre2013. Une annonce qui ne satisfait pas Caroline Raquin, présidente de l’Organisation nationale des syndicats de sages-femmes(ONSSF), qui réclamait le statut de personnel médical, afin de plus être sous la tutelle des médecins.

Le nouveau statut des sages-femmes annoncé par Marisol Touraine ne satisfait pas la profession.

Je ressens une grosse déception, et même de la colère“¹, confie à Doctissimo Caroline Raquin, membre du Collectif des Sages-Femmes, quelques heures après que Marisol Touraine a fait part de la “création d’un statut médical de sages-femmes des hôpitaux“, dont la gestion quotidienne restera cependant “sous la responsabilité de la direction en charge du personnel médical“². Autrement dit, les médecins. Une annonce qui ne répond pas du tout aux attentes exprimées depuis plusieurs mois par les

sages-femmes.Les sages-femmes revendiquent leur autonomieA l’heure actuelle, le statut des sages-femmes travaillant à l’hôpital est défini dans le titre IV, qui regroupe les professions non médicales de la fonction publique hospitalière. Elles ne disposent donc pas du même statut que leurs collègues en médecine, odontologie et pharmacie, bien qu’au regard du Code de la Santé Publique elles exercent une profession médicale au même titre que les médecins et les dentistes (mais pas les pharmaciens). Dénonçant depuis des années cette absurdité, les sages-femmes ont décidé en octobre dernier d’entamer un mouvement de grève afin d’obtenir satisfaction. “Il faut croire qu’on n’a toujours pas été entendues“, déplore Caroline Raquin.Derrière cette revendication, c’est la création de filières physiologiques (salles d’accouchements et services de suites de couches) sous la seule responsabilité des sages-femmes, l’alignement de leurs grilles de salaires sur celles des autres professions médicales, l’accession à tous les grades du statut de personnel médical – du praticien attaché au praticien hospitalier -, et, in fine, l’autonomie et l’indépendance que les sages-femmes réclament à corps et à cris.“Sans cela, nous n’avons pas la possibilité de réfléchir à de nouvelles façons de prendre en charge les femmes qui accouchent. Or, nous souhaitons faire en sorte que les femmes puissent décider de leur maternité, que leur choix ne soit pas restreint à la clinique ou à l’hôpital, véritable usine à bébés ! Si nous restons dans le titre IV, nous serons toujours sous la responsabilité d’un médecin PH“, explique la présidente de l’ONSSF.Une campagne de communication sur les compétences des sages-femmesMarisol Touraine a par ailleurs indiqué qu’une large communication  sur les compétences des sages-femmes sera faite auprès des autres professionnels de santé et du grand public, afin de faire savoir qu’elles ne se limitent pas aux soins liés aux grossesses et aux accouchements mais recouvrent aussi des consultations de contraception et de suivi gynécologique de prévention.Le statut des étudiants en maïeutique de 4ème et 5ème années sera amélioré, avec un alignement de leur niveau de rémunération sur celui des étudiants en médecine. Concernant la revalorisation des rémunérations des sages-femmes*, la ministre de la Santé s’est engagée à ce qu’elle “intervienne rapidement et tienne compte du niveau de responsabilité des sages-femmes“, mais n’a pas donné de chiffres.Le mouvement de grève entamé le 16 octobre dernier par les sages-femmes – qui n’était pas suspendu – pourrait se poursuivre. Des assemblées générales à Paris et en province sont prévues demain et dans les jours qui suivent.Amélie Pelletier
Sources
1.Entretien avec Caroline Raquin, présidente de l’Organisation nationale des syndicats de sages-femmes (ONSSF), et membre du Collectif des Sages-Femmes.
2. “Des avancées sans précédent pour la profession de sages-femmes : Marisol Touraine annonce la création d’un statut médical de sages-femmes des hôpitaux“ – Communiqué de presse du ministère de la Santé, 4 mars 2014.*Les sages-femmes gagnent en moyenne 1 600 € bruts en début de carrière et 2 800 € bruts en fin de carrière, laquelle dure 33 ans.

Près d'un conducteur sur dix s'est endormi au volant sur le trajet du travail

La somnolence, provoquée par des nuits trop courtes, guette près d’un conducteur sur dix qui avoue s’être endormi au moins une fois au volant dans l’année en allant ou en revenant du travail, selon une enquête sur “sommeil et transports“ auprès des actifs.

Selon une nouvelle enquête, un actif sur 10 s'est déjà endormi au volant, sur son trajet de travail.

Heureusement, il ouvre l’oeil à temps dans la plupart des cas avant l’accident, indique l’enquête. Et le risque de se laisser à aller un petit endormissement sur le trajet pour aller ou revenir du travail est plus élevé parmi les 18-24 ans : ils sont près d’un sur cinq (18%) à s’être endormi en conduisant une fois au moins dans l’année, selon l’enquête InSV/MGEN 2014 rendue publique mardi.En semaine, si la majorité (62%) des actifs dort en moyenne 7 à 8h, un actif sur trois (36%) souffre de privation de sommeil avec des nuits de moins de 6 heures. “Bien en deçà du temps de sommeil recommandé pour éviter des troubles de santé“, relève le Pr Damien Léger, président de l’Institut national du sommeil et de la vigilance (InSV), commanditaire avec la mutuelle MGEN de cette enquête d’Opinionway auprès d’un millier d’adultes (salariés, artisans et professions libérales…) représentatifs de la population, publiée à l’occasion de la Journée du Sommeil du 28 mars.Le mode de transport principal reste la voiture : 77% des actifs conduisent pour aller travailler. Pour l’immense majorité d’entre eux, il s’agit d’une voiture (91%). Mais une minorité (4%) utilise un véhicule utilitaire (camionnette, etc.), une moto, un scooter, une mobylette. D’autres (5%), plus courageux ou habitant moins loin, vont en vélo, ou marchent (8%).Les conducteurs sont plus nombreux en province (84% contre 50% en région parisienne) et résident plus souvent dans des agglomérations inférieures à 100.000 habitants (87%), tandis que les usagers de transport en commun dominent en région parisienne (50%).La grasse matinée permet de compenser le manque de sommeil avec un réveil vers 9h pour près de 9 actifs sur dix se levant habituellement à 7h ou plus tôt en semaine. Le transport en commun (ou covoiturage) est aussi pour plus d’un passager sur trois (39%) l’occasion de piquer un petit roupillon (en moyenne 23 minutes) à l’aller et/ou au retour. Une tendance, plus marquée au retour, qui croît avec la distance domicile-travail.AFP/RelaxnewsSource : Communiqué de la MGEN – mars 2014Photo : ©Bernd Leitner Fotodesign/shutterstock.comClick Here: camisetas de futbol baratas

Après le séisme et le tsunami, l’Indonésie toujours sans nouvelles des 5 000 disparus

Par dizaines, par centaines, des rescapés se précipitent sur l’un des rares hélicoptères de l’armée indonésienne, afin de grappiller quelques bouteilles d’eau et des caisses de vivres. Près de 1 700 décès ont été comptabilisés depuis le tsunami et le tremblement de terre sur l’île des Célèbes, en Indonésie, un chiffre qui pourrait augmenter de manière vertigineuse. “Selon les rapports des chefs de village, 5 000 personnes sont portées disparues. Nos secouristes sur le terrain tentent de confirmer cette estimation”, confirment les autorités indonésiennes.Fin des recherches jeudiDes zones entières ont été rayées de la carte. Certains quartiers ont été comme aspirés par la terre, des torrents de boue ayant tout emporté sur leur passage. Le phénomène géologique est appelé liquéfaction du sol : la terre gorgée d’eau qui se transforme en sable mouvant. Le bras de mer a amplifié la force du tsunami, qui s’est abattu sur Palu, ville située au fond de la baie. Des milliers d’habitants n’avaient pas fui les côtes. Les autorités indonésiennes se donnent jusqu’à jeudi 11 octobre pour retrouver encore des survivants. Les 5 000 disparus seront ensuite présumés morts.Le JT

  • Soir 3 du dimanche 7 octobre 2018 L’intégrale

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Bon plan : L’Oréal Professionnel vous coiffe gratuitement

Les 14 et 15 mai prochains, L’Oréal Professionnel organise sa première Nuit de la Coiffure à Paris et dans toute la France. L’occasion de s’essayer gratuitement aux dernières tendances coiffure.

L’Oréal Professionnel lance la première Nuit de la Coiffure.

Envie d’un look à la Kirsten Dunst,

la porte-parole internationale de L’Oréal Professionnel ? La marque spécialiste des cheveux vous invite à sa première Nuit de la Coiffure les 14 et 15 mai prochains à Paris et en province.

Après vous être inscrites sur le site

www.lorealprofessionnel.fr/nuitdelacoiffure, rendez-vous le mercredi 14 mai à Paris au Pavillon Champs Elysées pour réaliser gratuitement toutes vos envies. Qu’il s’agisse d’un look sauvage et messy avec les Wild Stylers, d’un wavy hollywoodien, ou encore de mèches de couleur avec le make-up pour cheveux Hairchal, plus de 100 coiffeurs seront mobilisés pour vous chouchouter et vous conseiller.Le lendemain, le jeudi 15 mai, l’opération se déclinera à travers toute la France à Paris et en province dans plus de 2000 salons partenaires.Toutes les infos à partir du 30 avril sur

www.lorealprofessionnel.fr/nuitdelacoiffureAmandine GarciaSource : Communiqué de presse L’Oréal Professionnel – avril 2014Click Here: cheap sydney roosters jersey

Durée des prothèses mammaires: l'ANSM pour une information claire des femmes

Plus de 300000femmes sont porteuses de prothèses mammaires en silicone en France. Pour l’agence de sécurité du médicament (ANSM), elles doivent être clairement informées que les implants devront être changés au cours de leur vie, après 7 à 10 ans en moyenne.

L'ANSM pour une information claire des femmes concernant la durée de vie des prothèses mammaires.

En France, huit sociétés commercialisent des implants mammaires emplis de gel de silicone. Ceux-ci appartiennent aux dispositifs médicaux implantables qui font l’objet d’une surveillance particulière de la part de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).Dans son rapport rendu public le 6 mai 2014 (qui ne porte pas sur les

prothèses frauduleuses PIP), l’ANSM recense les incidents, les inspections chez les fabricants et le contrôle des échantillons prélevés.Aucune situation frauduleuse, comme celle de la société PIP, n’a été constatée. “Les fabricants ne mettent pas des gels frelatés dans leur implants“, précise Brigitte Heuls, directrice des dispositifs médicaux thérapeutiques à l’ANSM. “Les inspections ont relevé quelques erreurs, des problèmes de conformité chez quelques fabricants, mais qui n’étaient pas susceptibles d’engendrer un risque pour la santé des patients“, ajoute-t-elle.Néanmoins, pour ne pas s’être mise en conformité pour des processus de fabrication et de stérilisation, l’une d’elle, la société Cereplas, a vu ses produits retirés du marché temporairement.Depuis 2001, plus de 610 000 implants mammaires emplis de gel de silicone ont été vendus en France, indique le rapport qui évalue à “environ 340 000 femmes porteuses de (ou ayant porté) ces implants dans le pays“.

Une durée de vie des implants plus courte que l’on croyaitContrairement à ce que l’on croyait jusqu’à présent, la durée de vie des implants n’excède pas 10 ans. “La durée de vie des implants est en moyenne de 7 à 10 ans, et non pas au-delà de 10 ans comme c’était envisagé auparavant“, précise Mme Heuls.Par conséquent, les femmes qui envisagent une implantation “doivent être clairement informées par leur chirurgien de la durée de vie limitée des implants“, qu’“ils ne sont pas éternels, avant de se lancer dans une série de ré-interventions car il faudra les changer. Elles doivent en outre être averties du risque anesthésique et savoir qu’elles devront être régulièrement suivies sur le plan médical pour s’assurer de l’intégrité de la prothèse (voir questions/réponses sur le site de l’ANSM).“Elles doivent également savoir qu’“en cas d’incident avec la prothèse et de reprise chirurgicale, le résultat esthétique risque d’être moins bon“, ajoute Mme Heuls.Un document écrit, qui sera remis à la femme par le chirurgien, est en cours d’élaboration afin de s’assurer qu’elle recevra l’information la plus complète possible.Entre 2010 et 2012, la majorité des signalements d’incidents de matériovigilance déclarés à l’ANSM sont des ruptures d’implants (1 148 cas, soit 65 % des signalements). Les autres incidents concernent la formation d’une coque, de plis, de vagues ou une rotation de la prothèse, des inflammations, des infections, ou encore le suintement (“perspiration“) de silicone.Le taux de ruptures rapportées à l’ANSM est très faible (de 0,01 à 0,30 % en fonction de la durée d’implantation).Aucun sur-risque de

cancer du sein (adénocarcinomes) par rapport à la population générale de femmes non porteuses de prothèses n’a été constaté par l’agence.AFP/RelaxnewsSource :

Rapport sur l’évaluation de l’utilisation des implants mammaires en silicone (hors PIP) en France sur la période 2010-2013, ANSM, 6 mai 2014.Click Here: camiseta river plate

Penélope Cruz prête son regard au dernier mascara Lancôme

La marque de cosmétiques de luxe a fait appel à l’actrice espagnole pour incarner son tout nouveau mascara “Grandiôse“, qui sera lancé fin août prochain.

Lancôme fait appel à l'une de ses ambassadrices phares, Penélope Cruz, pour incarner son nouveau mascara “Grandiôse“.

Ambassadrice Lancôme depuis plusieurs années, notamment pour la fragrance “Trésor“, Penélope Cruz a été choisie pour apparaître dans la campagne du mascara “Grandiôse“, réalisée par le célèbre duo de photographes de mode Mert Alas & Marcus Piggott.Sur le premier cliché dévoilé par Lancôme, on peut voir la quadragénaire en gros plan, fixant l’objectif de son regard incendiaire, presque charbonneux.Un mascara d’un nouveau genreAvec ce nouvel opus, Lancôme tente de réinventer le mascara avec un design inédit. “Grandiôse“ est pourvu d’une tige spécifique brevetée, “Col de Cygne“, à la fois courte et twistée. L’objectif ? Permettre aux utilisatrices une application simple, rapide et sans effort, pour chaque oeil.

Le mascara se compose également d’une brosse dotée de picots high-tech, déclinés en deux tailles, arborant une forme spéciale, pour accrocher facilement les cils supérieurs et inférieurs.Conçu à partir d’une formule ultra-black, pour un regard intense, le mascara “Grandiôse“ sera disponible à compter du 25 août prochain, au prix de 31,50€.Source : RelaxnewsClick Here: camiseta rosario central

Cancer du sein : mieux préserver la fertilité des femmes sous chimiothérapie

Dans le cadre de la prise en charge du cancer du sein, la chimiothérapie peut mettre en péril la fertilité des patientes et ainsi compromettre leurs possibilités futures d’avoir un enfant. Selon une étude présentée lors du congrès mondial sur le cancer (ASCO2014), un traitement hormonal pourrait aider certaines femmes sous chimiothérapie à préserver leur fertilité et même à améliorer l’efficacité de leur traitement.

Un traitement hormonal, la goséréline, pourrait améliorer la préservation de la fertilité des femmes durant une chimiothérapie mais aussi prolonger leur vie.

La chimiothérapie compromet la fertilité des femmesLa

chimiothérapie peut altérer la fonction de reproduction (en agissant sur la production et la qualité des gamètes, la sexualité, la fonction endocrine…). Les femmes traitées par

chimiothérapie ont un risque de souffrir d’insuffisance ovarienne. Ce traitement qui tue les cellules cancéreuses peut également avoir sur les follicules ovariens, plus sensibles1. Résultat : il diminue la quantité et la qualité des ovules. Pour les femmes qui souhaitent avoir un enfant après leur traitement, il est possible de stocker et congeler des ovules ou des embryons ou depuis peu du tissu ovarien, avant d’initier la chimiothérapie.Au-delà de ces techniques éprouvées, plusieurs études ont suggéré qu’une protection hormonale ou chimique des ovaires serait possible avant l’induction d’une chimiothérapie. L’idée est de mettre au repos les ovaires avec des agonistes de la GnRH2 afin de réduire leur sensibilité aux agents destructeurs de la chimiothérapie. Une étude3 conduite en 1996 avait mis en évidence un effet protecteur, mais les résultats contradictoires des études publiées4,5 ensuite n’ont pas permis d’avoir une réponse définitive. Actuellement, l’administration préventive d’agonistes de la LH-RH (ou GnRH) n’est donc pas recommandée en France, en dehors des protocoles de recherche.La goséréline préserve la fertilité des femmes sous chimiothérapieUne étude publique américaine6 présentée lors du congrès de la société américaine d’oncologie clinique (ASCO 2014) rapporte des résultats intéressants avec un agoniste de la GnRH, la goséréline. Au total, 257 femmes pré-ménopausées atteinte d’un cancer non hormonodépendant7 ont reçu un traitement par chimiothérapie contenant de la cyclophosphamide seule ou cette même chimiothérapie associée à la goséréline. Ce composé a été initié via des injections mensuelles une semaine avant le premier cycle de chimiothérapie. Résultats :-       Deux ans après le début de la chimiothérapie, 8 % des femmes ayant reçu de la goséréline ont souffert d’une insuffisance ovarienne contre 22 % pour les autres.-       Si le nombre de femmes qui ont déclaré essayer d’avoir un enfant était identique dans les deux groupes, 21 %des femmes (22 personnes) recevant de la goséréline en plus de la chimiothérapie sont tombées enceintes (avec 15 % – 16 femmes – ayant au moins un enfant), contre seulement 11 % (12 femmes) de l’autre groupe (avec 7 % – 8 femmes – ayant au moins un enfant). Trois patientes ayant reçu le traitement combiné et 2 n’ayant reçu que la chimiothérapie étaient enceintes lors de la fin de l’étude.-       La goséréline n’était pas associée à un risque accru de fausse couche ou d’interruption de la grossesse.Pour Halle Moore de Cleveland Clinic dans l’Ohio, principale auteur de l’étude, “La goséréline semble être non seulement très sûre, mais aussi efficace, car il a augmenté les chances de tomber enceinte et d’accoucher d’un bébé en bonne santé après la chimiothérapie“.Un effet inattendu sur la survieAutre résultat surprenant, la goséréline a augmenté la période durant laquelle la maladie n’est pas réapparue et la survie globale des femmes. En prenant en compte le stade de la maladie, il apparaît que les femmes ayant reçu de la goséréline étaient 50 % plus susceptibles d’être en vie 4 ans après le début du traitement par rapport à celles n’ayant reçu que de la chimiothérapie ! Des résultats très encourageants qui restent cependant difficiles à expliquer… De plus amples recherches devront être menées pour confirmer cet effet et tenter de l’expliquer.Concernant la préservation de la fertilité, le Pr. Patricia Ganz de l’UCLA Jonsson Comprehensive Cancer Centre (Californie) et experte à l’ASCO, s’enthousiasme :“Cette étude fournit des preuves solides d’une stratégie sûre et efficace pour les jeunes femmes atteintes du cancer du sein afin de préserver la fonction ovarienne et la possibilité d’une grossesse“.Vers un changement de la prise en charge ?Cette étude va-t-elle changer la prise en charge des femmes traitées par chimiothérapie ? Ces résultats peuvent-ils être extrapolés aux autres médicaments de la même classe ? A quel niveau se place cette nouvelle option par rapport aux autres méthodes éprouvées ?… Interrogée, Halle Moore s’est refusée à toute extrapolation aux autres agonistes de la LHRH mais elle juge que la goséréline offre une option supplémentaire permettant aux femmes atteintes de cancers du sein non hormonodépendants de préserver leur fertilité.Attention cependant, il ne faudrait pas que cette option remplace les autres stratégies éprouvées. D’autant plus que dans un rapport de l’Institut national du Cancer datant de février 2013, les auteurs regrettaient que, malgré le manque de preuves, “de nombreux praticiens continuent à prescrire un traitement par agoniste, excluant de fait, le recours à une autre méthode validée de préservation de la fertilité7. Ce même rapport révélait d’importantes différences de prise en charge. Manque de temps, défaut de connaissances, insuffisance de données sur la toxicité… concourent à une mauvaise information des patients concernant les risques des traitements sur la fertilité mais aussi des solutions disponibles pour y remédier.Le plan cancer 2014-2019 prévoit d’améliorer cette situation en systématisation l’information des patients sur ce sujet dès la consultation d’annonce, en développant de nouvelles recommandations professionnelles pour les médecins, en assurant un égal accès des patients aux différentes techniques de préservation de la fertilité et en favorisant la recherche dans ce domaine8. David Bême 1 – Dans les ovaires, les ovocytes sont entourés de cellules folliculaires qui se transforment également. L’ensemble forme un follicule. De la puberté à la ménopause, au cours de chaque cycle ovulatoire, un follicule mature se rompt et libère un ovocyte qui contient encore 46 chromosomes. La moitié sera expulsée lors du contact avec un spermatozoïde, rendant possible la fécondation.2 – Ces médicaments sont largement utilisés pour commander la stimulation ovarienne dans le cadre d’une prise en charge d’infertilité (insémination artificielle, fécondation in vitro…). Ces médicaments sont également largement utilisés comme traitements hormonaux pour traiter le cancer de la prostate et le cancer du sein hormonodépendants avancés.3 – Blumenfeld Z, Avivi I, Linn S, Epelbaum R, Ben-Shahar M, Haim N. Prévention of irreversible chemotherapy-induced ovarian damage in young women with lymphoma by a gonadotrophin-releasing hormone agonist in parallel to chemotherapy. Hum Reprod 1996, 11, 1620-6 (

étude accessible en ligne)4 – Oktay K, Sönmezer M, Oktem O, Fox K, Emons G, Bang H. Absence of conclusive evidence for the safety and efficacy of gonadotropinreleasing hormone analogue treatment in protecting against chemotherapy-induced gonadal injury. Oncologist 2007, 12, 1055-66 (

étude accessible en ligne)5 – Badaway A Elnashar A, El-Ashry M, Shahat M. Gonadotropin-releasing hormone agonists for prevention of chemotherapy-induced ovarian damage: prospective randomized study. Fertil Steril 2009, 91, 3, 694-7 (

abstract accessible en ligne)6 – Phase III trial (Prevention of Early Menopause Study [POEMS]-SWOG S0230) of LHRH analog during chemotherapy (CT) to reduce ovarian failure in early-stage, hormone receptor-negative breast cancer: An international Intergroup trial of SWOG, IBCSG, ECOG, and CALGB (Alliance). – J Clin Oncol 32:5s, 2014 (suppl; abstr LBA505) – ASCO 2014 (

abstract accessible en ligne) Cette recherche a été financée par les National Institutes of Health .7 – Conséquences des traitements des cancers et préservation de la fertilité, INCa et Agence de la biomédecine, 19 février 2013 (

téléchargeable sur Internet)8 – Action 8.1 : Assurer l’accès à la préservation de la fertilité – Plan Cancer 2014-2019 p. 70 – (

accessible en ligne)Click Here: New Zealand rugby store

Pour rester en bonne santé, 5 fruits et légumes par jour suffisent

Point trop n’en faut, même pour les fruits et légumes! Cela pourrait être la conclusion d’une étude britannique publiée aujourd’hui. Selon les chercheurs, cinq portions par jour suffisent pour diminuer sensiblement le risque de décès toutes causes confondues et plus spécialement d’une maladie cardiovasculaire.

Selon une étude britannique, consommer quotidiennement 5 fruits et légumes par jour suffit pour éloigner les risques de maladies cardiovasculaires.

Alors qu’une précédente étude britannique publiée en avril estimait qu’il fallait sept portions ou plus de

fruits et légumes pour atteindre cet objectif, des chercheurs américains ont montré qu’aller au-delà de cinq portions par jour n’avait pas d’effet bénéfique supplémentaire.Pas de bénéfice santé au-delà de 5 fruits et légumes
Les chercheurs dirigés par le Professeur Frank B. Hu de l’Ecole de la santé publique de Harvard ont passé en revue 16 études portant au total sur plus de 830 000 personnes.
Selon leurs résultats publiés sur le site bmj.com, la version en ligne de la revue médicale British Medical Journal, chaque portion de fruits et légumes réduit le risque de décéder, toutes causes confondues, de 5% en moyenne et de 4% si l’on s’en tient uniquement aux

maladies cardiovasculaires. En revanche, au-delà de cinq portions, le risque ne baisse plus pour des raisons que les chercheurs n’ont pas clairement identifiées. Contrairement à d’autres études, ils n’ont pas non plus trouvé d’association significative entre une consommation accrue de fruits et légumes et un risque réduit de mortalité par

cancer.Une recommandation peu suivie par la Français“Il est possible cependant que la consommation de fruits et légumes puisse avoir des effets sur certains types de cancers“ reconnaissent les chercheurs américains qui n’excluent pas que certains fruits et légumes puissent avoir des effets protecteurs différents. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) préconise depuis 2003 de consommer cinq fruits et légumes par jour, une recommandation qui figure notamment dans le Programme national nutrition santé (PNNS) français. Mais elle reste globalement peu respectée : selon une étude de l’organisme de recherche et d’études Credoc, seulement 27% des Français déclaraient la suivre en 2011, principalement les personnes les plus âgées, contre seulement 9% des enfants de 3 à 14 ans.En avril dernier, des chercheurs de l’Universiy College de Londres avaient montré que sept portions ou plus de fruits et légumes pouvaient réduire le risque de cancer de 25% et celui de maladies cardiovasculaires de 31%. Mais les chercheurs avaient averti que ces résultats, obtenus en étudiant les habitudes alimentaires de 65.000 Britanniques, n’étaient pas forcément transposables dans d’autres pays. L’OMS recommande de manger 400g de fruits et légumes par jour, soit 5 portions de 80 grammes en moyenne. Une portion correspond à un fruit de taille moyenne, un bol de légumes verts crus ou un demi-bol de légumes cuits.AFP-RelaxnewsSource :

 Fruit and vegetable consumption and mortality from all causes, cardiovascular disease, and cancer: systematic review and dose-response meta-analysis of prospective cohort studies, Frank Hu and al, BMJ, 30 juillet 2014Click Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers

Plus de 800 000 bébés naissent chaque année en France

Les Françaises mettent au monde plus de bébés que leurs aînées dans les années 90 ou au début des années 2000, mais toujours moins qu’au cours du baby-boom, d’après une étude de l’Insee, publiée mercredi 3 septembre.

La natalité en France reste forte, avec plus de 800 000 naissances par an.

En 2013, 811 510 bébés sont venus au monde en France, confirmant la tendance des 800 000 bébés nés sur le territoire depuis 2005. C’est un peu moins qu’en 2012, de l’ordre de 1,2 %. À noter toutefois que malgré cette fécondité, les niveaux atteints durant la période de baby-boom restent une référence, avec environ 850 000 naissances en moyenne entre 1946 et 1974, rien que pour la métropole. Autre tendance forte qui se confirme : l’âge des mamans continue de progresser. Tous rangs de naissance confondus, il s’établit en moyenne à 30,3 ans. Dans les années 1970, les mères accouchaient à l’âge de 26 ans. Aujourd’hui, 5 % des naissances concernent une maman âgée de 40 ans ou plus, soit le même niveau qu’en 1946.Du côté des papas, le constat est semblable, puisque 71 % des enfants nés en 2013 ont un père âgé d’au moins 30 ans, contre 16 % pour un père âgé de 40 ans ou plus. RelaxnewsSource :

Insee, 3 septembre 2014.Click Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers