Coronavirus Impact Bigger Because Of 'Interconnected' World Economy: OECD

 

PARIS ― A global agency says the spreading new virus could make the world economy shrink this quarter for the first time since the international financial crisis more than a decade ago.

In a special report on the impact of the virus, the Organization for Economic Cooperation and Development said Monday that the world economy is still expected to grow overall this year and rebound next year.

But the OECD lowered its forecasts for global growth in 2020 by half a percentage point, to 2.4 per cent ― and said the figure could go as low as 1.5 per cent if the virus lasts long and spreads widely.

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In addition to the “considerable human suffering” the virus has wrought, with more than 3,000 deaths worldwide, the OECD said “global economic prospects remain subdued and very uncertain.”

The last time the world economy shrank on a quarter-on-quarter basis was at the end of 2008, when a shock to the financial sector caused turmoil for businesses around the world and mass layoffs. On a full-year basis, it last shrank in 2009.

The OECD said China’s reduced production is hitting Asia particularly hard but also companies around the world that depend on its goods.

It urged governments to act fast to prevent contagion and restore consumer confidence.

‘Substantially more interconnected’

The Paris-based OECD, which advises developed economies on policy, said the impact of this virus is much higher than past outbreaks because “the global economy has become substantially more interconnected, and China plays a far greater role in global output, trade, tourism and commodity markets.”

China’s viral outbreak has already disrupted global supply chains and cut business profits. And as the disease spreads, economists now worry about a graver scenario: That quarantines and greater caution among consumers will lead people to cancel travel plans, skip restaurant meals, avoid stores or stay home from work.

Already the European Union’s markets commissioner, Thierry Breton, estimated Monday that the virus has cost Europe 2 billion euros (C$2.98 billion) this year in tourism revenue alone, mainly because of the drop in number of Chinese tourists. Things are expected to get worse for Europe with the eruption of cases in northern Italy and the cancellation of events like the Venice Carnival.

Interest rate cuts probably won’t help

Investors seem to expect central banks to come to the rescue by cutting interest rates, particularly in the U.S. But experts note that lower rates cannot fix the problem.

Lower rates can lead people and businesses to borrow and spend, which can boost economic activity. But they can’t make sick people healthy, reopen factories whose workers are kept home because of quarantines or restart supply chains in areas of the world struck by the outbreak.

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Coronavirus Impact On Economy Could Erase 10 Million Jobs

As the global risk of the coronavirus outbreak is upgraded to “very high” by the World Health Organization, the fallout has already been widespread.

Many flights to China have been suspended. Countries have areas in lockdown. Trade has slowed. All of these things will have an impact on the economy.

In the above video, see what this slowdown could mean, and what will happen when the outbreak ends.

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Melanie Brown, une Spice Girl dans la détresse

Danielle et Melanie Brown sont sœurs mais loin d’être fusionnelles. Ce weekend, c’est par le biais de Twitter qu’elles se sont disputées.

Elle exige une réunion de famille privée. Et Danielle Brown insiste bien sur le caractère particulier qu’elle souhaite pour cette rencontre. La jeune femme, qui cumule les fonctions d’actrice, danseuse, mannequin, présentatrice et j’en passe, n’est autre que la petite sœur de l’ex Spice Girl, Mel B. Samedi après midi, les deux sœurs au sang chaud se sont pris le bec sur Twitter au point d’inquiéter sérieusement la plus jeune d’entre elles.

Dans un premier temps, Melanie Brown a laissé entendre que son profil avait été piraté. Des messages aussi surprenant que «Mort à Mel B!» se sont répétés sur le profil de la chanteuse. Inquiète, Danielle a donc essayé de rentrer en contact avec sa sœur. S’en est suivi un dialogue étrange entre les deux femmes, au cours duquel Danielle cherche à savoir si son aînée est saine et sauve. Mais celle-ci, ou son hacker, préfère parler de leurs rapports familiaux à l’argent. Un sujet qui énerve beaucoup la sœur de la star, qui confie immédiatement n’avoir jamais demandé ni reçu «un seul penny» de Mel B.

Les messages étranges de l’ex meilleure amie de Victoria Beckham se multipliant, Danielle a appelé à une «réunion de famille privée. Avec seulement toi, maman et moi, sans cameras et sans Stephen» (le compagnon de la star). Ce tweet au secours reste pour l’instant sans réponse. Tandis que la jeune mamansemble passer du bon temps à New York, sa connexion aux réseaux familiaux est en berne…

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Elisabeth II, Camilla et Kate révèlent leur union sacrée

Une reine et deux duchesses, c’était la belle affiche de cette journée de la St. David, à Londres. Trois royal ladies solidaires et complices: une démonstration d’unité moins innocente qu’il n’y paraît…

Quelle arrivée, mes aïeux! Pour sa première apparition publique, le girls’band de la Couronne – rien de moins qu’une majesté de légende et deux reines en devenir – s’est offert une standing ovation sur Piccadilly. Venues inaugurer une plaque commémorant la fin des travaux de rénovation du quartier (l’un des plus renommés de la capitale), visiter l’épicerie de luxe Fortnum & Mason (une institution so british trois fois centenaire) et soutenir le travail de plusieurs associations caritatives, ces dames ont fait sensation en émergeant l’une après l’autre de la Bentley royale… vêtues toutes les trois de bleu!

Elisabeth II avait fait le choix du pastel (un tailleur à boutons dorés d’inspiration militaire créé par l’une de ses couturières attitrées, Angela Kelly, avec chapeau à brandebourgs assorti), Camilla pour un manteau marine à rayures blanches griffé Bruce Oldfield, et Kate pour un manteau M Missoni couleur azulejos de la collection automne-hiver 2010, nettement au-dessus du genou, accessoirisé d’escarpins gris Rupert Sanderson. En ce jour de la St. David – le saint patron du pays de Galles –, rien n’a été oublié, ni les jonquilles, la fleur représentative de la principauté, arborée par la duchesse de Cambridge, ni le poireau, l’emblème de la province depuis le XVIe siècle, présent sous la forme d’une broche scintillante à l’épaule de l’épouse du prince Charles.

Un événement… Le trio – les belles-filles et les belles-mères les plus célèbres de la planète – s’est montré tel qu’il est, solidaire, infiniment complice, prêt à attaquer les festivités du jubilé de diamant comme un seul homme. Une démonstration de force qui n’a rien d’innocent. Alors qu’outre-Manche on s’apprête à fêter avec éclat le soixantième anniversaire du règne, la présence aux côtés d’Elisabeth II des deux prochaines reines de Grande-Bretagne est en effet là pour souligner la pérennité de la monarchie, témoigner de sa santé et de sa popularité insolentes. Leurs parcours respectifs ne se ressemblent en rien, naissance, éducation, responsabilités, tout paraît les séparer, pourtant leur alliance est le signe que le clan Windsor est bien à l’aube d’une ère nouvelle, prêt pour un nouveau départ.

L’institution s’incarne aujourd’hui dans une famille unie, dont les femmes, quoi qu’on en dise, ont toujours été les inspiratrices et les piliers. La souveraine et Camilla entretiennent maintenant les meilleures relations du monde, cette dernière a résolument pris Kate sous son aile et entrepris de lui montrer les ficelles du métier. Ce 1er mars, chez Fortnum & Mason, on la voit à plusieurs reprises échanger des apartés pleins d’humour avec la reine comme avec sa bru. La grande enseigne de Piccadilly, dont le restaurant vient d’être rebaptisé The Diamond Jubilee Tea Station en l’honneur de sa Majesté, a souhaité offrir à chacune de ses illustres invitées l’un de ses très chics (et onéreux) hampers, de larges malles en osier aux initiales de la maison remplies de victuailles gourmandes – parmi lesquelles des truffes au champagne… et des biscuits pour toutous. Celles-ci n’ont pu s’empêcher de rire en découvrant les friandises. Soudées par des objectifs communs, Elisabeth II, la duchesse de Cornouailles et la jolie Catherine le sont en effet aussi par un même amour des chiens. William et son épouse ont d’ailleurs récemment adopté un petit épagneul cocker noir répondant au nom de Lupo. Oh, my dog…

> Découvrez notre rubrique spéciale consacrée au jubilé d’Elisabeth II

François Bayrou dans l’école de son enfance

En exclusivité pour Gala, le patron du Modem a accepté d’égrèner ses souvenirs d’élève et d’ancien professeur de lettres…

Gala : En cette rentrée scolaire le malaise dans l’éducation nationale semble encore plus palpable que les autres années…
François Bayrou : Malaise des enseignants et malaise des parents. Je n’ai jamais vu autant de familles qui songeaient à retirer leurs enfants de l’enseignement public. Elles disent « c’est le bazar à l’école », ou « les élèves n’apprennent plus rien ». Les enseignants sont quant à eux découragés comme jamais. Ils sont humiliés par la manière dont on parle d’eux, en insinuant qu’ils ne travaillent pas. Et toutes leurs valeurs sont remises en cause. Ils ne croient même plus à la contestation. Ils ont l’impression que l’on charge toujours plus le sac qu’ils ont sur leurs épaules.

Gala : Quels remèdes préconisez-vous?

F.B. : Nous avons eu, par le passé, la meilleure école du monde, nous devons la retrouver. Et il faut obtenir ce résultat en cinq ans. En s’appuyant sur les maîtres expérimentés, il faut rendre à chaque niveau sa mission. Ce qu’on doit apprendre à l’école primaire, il faut cesser de le reporter au collège: la lecture, le calcul, un minimum de concentration. Aux élèves en difficulté, il faut très tôt une scolarisation spéciale. À côté du collège, il faut créer une scolarisation adaptée pour les trois-quatre élèves qui perturbent les classes, qu’ils puissent ensuite retrouver le cursus normal. Il faut former les élèves à l’autonomie du savoir dès le collège et le lycée. Les devoirs doivent être faits dans l’établissement, avec l’aide d’étudiants dotés de bourses pour encadrer le travail personnel des élèves. Car combien de familles se ruinent, aujourd’hui, en cours particuliers ? A l’université, enfin, nous devons systématiquement articuler les diplômes d’enseignement général et de vraies formations professionnelles.

Gala : Vous parlez des bienfaits de la discipline, mais, vous-même, quel élève étiez-vous? Jouiez-vous les quatre cents coups?

F.B. : Je ne faisais pas souvent mes devoirs, heureusement des copines au grand cœur me laissaient recopier. Je passais mon temps à lire, tout ce qui me passait sous la main. J’ai lu à cette époque des centaines de livres. Je me réfugiais pour lire sur le toit de la maison. Je lisais en marchant, je lisais en gardant les vaches. Un jour, j’avais onze ans, je me gondolais tellement à la lecture du chef d’œuvre de l’humoriste anglais Jerome K. Jerome, « Trois hommes dans un bateau » que, dans le pré, je me suis roulé sur un nid de guêpes. Je garde encore le souvenir cuisant de leurs piqûres!

Gala : A 8 ans, vous disiez déjà vouloir être président de la République…

F.B. : C’est ce que dit la légende. Mais je n’en crois rien. Ce qui est vrai c’est qu’à 14 ans, j’ai suivi avec passion la première campagne présidentielle. Je me rêvais déjà en défenseur des pauvres, genre Robin des Bois. L’idée qu’il y avait des gens qui n’étaient ni écoutés ni respectés comme ils devaient l’être me serrait la gorge. Sans doute parce que j’avais le sentiment que mes parents étaient de ceux-là. Dans la cour de l’école, je défendais les plus faibles, quitte à me faire casser la figure car je n’étais pas le plus costaud!

Gala : Vous avez toutefois d’abord choisi d’être professeur de lettres. Qu’est-ce qui vous a attiré dans ce métier?

F.B. : Nous nous étions mariés à 20 ans, j’étais inscrit au conservatoire, je faisais de la radio… Il fallait donc très vite gagner sa vie. Et les lettres, c’était le plus naturel. J’ai beaucoup aimé être dans une classe. Quand le silence se fait, quand tous les yeux se rejoignent, que tout le monde est suspendu à la voix du prof, à l’émotion de comprendre qu’il transmet, ça devient magique. J’ai aimé montrer aux élèves qui avaient peur que c’était facile. Qu’ils pouvaient très vite écrire directement en latin, ou argumenter en Français.

Gala : L’enseignement est un virus familial, votre épouse a été professeure de Lettres et trois de vos six enfants sont enseignants. Tous ont fait de brillantes études. Quels conseils donneriez-vous aux parents démunis?

F.B. : Quitte à paraître réac: faire passer les livres avant la télé, avant les jeux vidéo. Et s’ils s’ennuient, il reste le foot, le volley… et ils reviennent à la lecture. Aux parents inquiets que je rencontre, je pose toujours la même question : « Est-ce que votre enfant lit? » Si la réponse est oui, c’est gagné, il est sauvé.

Gala : Vous écrivez aussi… Dans votre dernier livre, « 2012 Etat d’urgence » (Plon), vous êtes moins sévère avec Nicolas Sarkozy que dans votre précédent ouvrage. Le président a-t-il à ce point changé?

F.B. : Au début du quinquennat, ce qui était mis en avant c’était tout ce qui est à mes yeux, fausses valeurs : le luxe, l’argent, la fausse gloire. Ces derniers temps, Nicolas Sarkozy a une attitude plus retenue. Mais ces premières années ont fait beaucoup de mal. Et il y a encore tant d’abus de pouvoir… Or pour servir l’intérêt général, il faut savoir mettre à l’écart les intérêts particuliers.

Gala : Comment jugez-vous l’élève Borloo? Est-ce à vos yeux un simple « apprenti » centriste?

F.B. : Il a été le pilier central du gouvernement au temps des erreurs les plus honteuses, sans protester une seule fois. Il a fait des pieds et des mains pour devenir premier ministre de Sarkozy. Où est la cohérence ?

Gala : Une campagne présidentielle implique des sacrifices. Vous avez raconté vous être retrouvé seul au milieu de votre famille après 2007. Ce furent des heures difficiles. Pourquoi replonger en 2012?

F.B. : Cela s’appelle une vocation. C’est quelque chose de mystérieux en vous qui fait que vous n’acceptez pas les dérives. En 2007, j’annonçais les malheurs qui viendraient de la dette. Quand la vie vous donne la possibilité de vous adresser à tout un pays pour changer les choses, vous y allez. C’est votre devoir et au moins autant c’est réaliser votre vie. C’est un moment de formidable émotion. Ça ressemble à l’amour.

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Mélanie Doutey et Alexandra Lamy nous refont une scène

Parce qu’elles ne sont pas que «femmes de», Mélanie Doutey et Alexandra Lamy nous rappellent qu’elles sont actrices en montant ensemble sur les planches. Elles partageront bientôt l’affiche de la pièce de théâtre Festen, la suite…

Les femmes reprennent le pouvoir. Alors que ces derniers temps ce sont leurs amoureux Jean Dujardin et Gilles Lellouche qui ont occupé le devant de la scène, avec la sortie des Infidèles et bien évidemment la moisson d’Oscars du film The Artist, Alexandra Lamy et Mélanie Doutey quittent leurs costumes de «femmes de» pour revenir à leur métier d’actrice. Et toutes les deux ensemble puisqu’elles seront bientôt à l’affiche d’une pièce de théâtre, Festen… la suite.

Elles se donneront en effet la réplique dans cette suite de Festen, le film du Danois Thomas Vinterberg. C’est la troisième fois que Mélanie Doutey et Alexandra Lamy se retrouvent associées sur un même projet. En 2006, les deux jeunes femmes étaient déjà au générique de On va s’aimer d’Ivan Calbérac, et en 2010 elles foulaient ensemble une scène de théâtre pour jouer Le rattachement avec Samuel Labarthe. Cette fois, pour Festen… la suite, c’est Samuel Lebihan qui aura la chance d’être entouré des deux jolies comédiennes. La pièce devrait se jouer à l’automne prochain dans un théâtre parisien.

D’ici là, les fans d’Alexandra Lamy peuvent la voir au cinéma où deux de ses films sont à l’affiche en ce moment: l’oubliable L’oncles Charles, d’Etienne Chatiliez, dans lequel l’épouse de Jean Dujardin tire plutôt bien son épingle du jeu, et Possessions, avec Jérémie Renier. Les admirateurs de Mélanie Doutey devront quant à eux être un peu plus patients puisque son nouveau film ne sort que mercredi prochain, l’excellent et surprenant Aux yeux de tous, de Cédric Jimenez, dont nous vous reparlerons très vite sur gala.fr.

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Photos- Jean-Vincent Placé, sur les traces de son enfance en Corée

« A 43 ans, j’ai accompli une sorte de quête stendhalienne » clame le numéro 2 d’Europe-Ecologie-Les Verts. Adopté par une famille française à l’âge de 7 ans et demi, le conseiller politique de Cécile Duflot, qui vient d’être élu sénateur est retourné pour la première fois dans le pays où il est né, en novembre. Récit.

Il a attendu d’avoir quarante-trois ans pour remettre un pied dans son pays natal. «Je n’étais pas prêt», glisse-t-il, avec pudeur. Jean-Vincent Placé a quitté la Corée à sept ans et demi. Adopté par une famille normande, qui comptait déjà quatre enfants, il a occulté ses premières années de vie pour se fondre dans son nouveau décor hexagonal. Jusqu’à oublier sa langue natale, dont il ne comprend plus un mot. Mais voilà, il y a quelques années, l’ambassadeur de Corée a contacté le conseiller politique de Cécile Duflot, et il l’a aidé à renouer en douceur avec son pays d’origine, «il m’a notamment initié à la gastronomie coréenne», sourit le sénateur d’Europe écologie les verts.

Alors qu’il avait refusé de retourner en Corée, lorsque ses parents adoptifs le lui avaient proposé – à l’âge de 20 ans – Jean-Vincent Placé a finalement accepté l’invitation des autorités locales et s’est rendu à Séoul, début novembre. Rencontre avec le patron des patrons, par ailleurs p-dg de Korean Air, réunion avec le ministre des affaires étrangères, l’élu écologiste a parlé… croissance verte. Puis il s’est rendu dans l’orphelinat de son enfance, à Suwon, à 40 km au sud de la capitale sud-coréenne – «moins spartiate qu’à l’époque», se réjouit-il, – où il a retrouvé avec émotion la directrice des lieux, une dame de quatre-vingt-quatre ans: «qui y travaille toujours, ce qui laisse songeur par rapport à nos rythmes de vies européens». «Elle a beaucoup pleuré en me voyant», raconte-t-il.

Jean-Vincent Placé a lui tendance à fuir le pathos. «Je reviens de loin» concède toutefois celui qui dès le plus jeune âge a choisi «l’assimilation». Passionné d’Histoire, à 10 ans, il utilisait son argent de poche pour s’offrir l’histoire de France en bandes dessinées, quand ses copains l’investissaient… en bonbons. Plus tard, lorsqu’il lit dans une biographie que Mitterrand a dit dans sa jeunesse vouloir devenir «président ou pape», il clame qu’il sera lui «ministre ou cardinal»! Jean-Vincent Placé vient d’être élu sénateur de l’Essonne, un début pour cet ambitieux assumé. Pas peu fier d’avoir lu dans sa fiche d’adoption qu’il était le leader des jeux enfantins à l’orphelinat.

Lui qui se dit «français un point c’est tout» et se vante d’avoir deux drapeaux tricolores dans son bureau a été meurtri, tout comme sa mère, ancienne institutrice qui a arrêté de travailler après l’avoir adopté, et son père avocat… des «gaullistes» de tradition, lorsque le député UMP Alain Marleix l’a qualifié de «Coréen national». «J’ai reçu plus de 400 courriers de soutien émanant d’adoptés ou de familles adoptantes».

Mais l’élu vert refuse de jouer les icônes de l’adoption. «Ça ne fonctionne pas toujours. J’ai eu la chance de tomber sur une famille exceptionnelle.» Avant son arrivée en Corée, un journal local a lancé, sans le prévenir, un appel à témoin pour retrouver sa famille biologique. Un oncle s’est manifesté. Il serait le fruit d’une relation adultérine. Sa mère serait décédée et son père biologique l’aurait alors placé à l’orphelinat. Jean-Vincent Placé n’a pas voulu rencontrer cet oncle. «Ma mère c’est ma mère (adoptive)! Et je n’ai déjà pas assez de temps pour la voir, dit-il. On verra plus tard…» Peut-être lors d’un prochain déplacement, au «pays du matin calme». Pour l’heure, Jean-Vincent Placé se focalise sur la campagne présidentielle des Verts qui n’a rien de tranquille.

Patrick Sébastien relativise les audiences de The Voice

Victime collatérale des très bonnes audiences de The Voice sur TF1, Patrick Sébastien, ne manie pas la langue du bois quand il s’agit d’expliquer le succès du télé-crochet en vogue. Une habitude chez lui.

Avec 7, 3 millions de téléspectateurs et 34,1% de parts de marché, TF1 est une nouvelle fois arrivée largement en tête des audiences samedi dernier pour sa première soirée en direct.

Après sept prime-time, le succès du programme ne faiblit pas. Ce qui ne fait pas les affaires de Patrick Sébastien qui se retrouve très régulièrement confronté au rouleau-compresseur de TF1. « Les audiences sont toujours relatives, explique le présentateur du Plus Grand Cabaret du Monde au magazine Télé-Star. Je ne me suis jamais emballé quand elles étaient fortes et ne me suis jamais découragé quand elles étaient moins bonnes. On rassemble encore trois millions de personnes, ça me va! On a vu passer la Star Ac’. Si ça se trouve, Le grand cabaret continuera encore bien après The Voice!”. Patrick Sébastien y va même de son explication pour justifier les très bons scores de TF1. »Ils rajeunissent les panels de gens qui utilisent les boîtiers Médiamétrie à une période donnée, croit-il savoir. Cela explique que The Voice atteigne près de 9 millions de téléspectateurs alors qu’elle doit tourner, en réalité, autour des 7 millions”. Patrick Sébastien qui révèle aussi qu’il pourrait bientôt être à la présentation d’un programme très ressemblant à l’autre succès de TF1: Danse avec les Stars. « Il est possible que je présente bientôt une émission façon Danse avec les stars avec des déguisements, avoue la grande-gueule du PAF. Le concept existe en Espagne et au Portugal. Endemol est venu me proposer de le présenter. Ça peut être pour moi. Ce n’est pas fait. A France 2 de décider ». Pour se faire entendre, Patrick Sébastien est toujours prêt à élever… the voice!

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Beyoncé déclare son amour à sa First lady

Plus qu’un soutien, Beyoncé est une militante pleine de ferveur pour les Obama. Michelle est d’ailleurs beaucoup plus qu’une simple première dame pour elle.

Elle est habituée à recevoir des lettres enflammées de fans et s’en inspire pour écrire les siennes. Nous savions déjà que Beyoncé était toute acquise à la cause de Michelle Obama mais là, l’admiration vire à la fascination un peu excessive. Sur son site internet, qui sert désormais à la chanteuse pour communiquer quotidiennement avec son public, elle a posté une lettre manuscrite destinée à la résidente de la Maison Blanche.

Be s’adresse à Michelle Obama comme une adolescente le ferait à sa star préférée. Pour l’interprète de Run the world, l’épouse du président américain est «l’ultime exemple de la femme forte afro-américaine». Un modèle que Beyoncé décrit comme «une mère attentionnée, une femme aimante en plus d’être la première dame». Madame Barack Obama est donc, dans l’imaginaire de la chanteuse, une sorte de superwoman pouvant endosser tous les costumes à la fois. «Humble, aimante et sincère, même face à la pression d’être constamment observée au microscope»… La femme de Jay-Z ne tarit vraiment pas d’éloge au sujet de son amie Michelle.

Beyoncé, depuis son petit nuage 2.0 se dit même particulièrement fière d’élever sa fille dans un monde où existent des gens comme sa First lady adorée.

Et l’amour ne s’arrête pas là entre les deux couples stars. Barack Obama a récemment redit toute son admiration pour le «talentueux» rappeur. Il faut dire que Jay-Z a participé à une levée de fonds d’environ un million de dollars destinée à financer une partie de la campagne de réélection du président.

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Jennifer Hudson revit le meurtre de ses proches

Quatre ans après avoir perdu sa mère, son frère et son neveu, Jennifer Hudson se trouve une nouvelle fois confrontée à ce drame familial lors du jugement de William Balfour, l’accusé.

Elle qui maîtrise aussi bien sa voix que sa prestance a, là, perdu tous pendant quelques instants ses moyens. En arrivant au tribunal de Chicago, Jennifer Hudson n’a pas pu se reposer sur son Oscar. L’actrice n’était pas sur le tournage d’un nouveau long-métrage aux Etats-Unis mais face à sa terrible destinée. Jennifer Hudson était convoquée lundi à témoigner à la barre du procès de William Balfour, l’homme inculpé pour le triple meurtre des membres de sa famille.

En 2008, un an seulement après avoir récompensée pour sa performance dans Dreamgirls, la jeune femme est plongée dans l’obscurité. Alors qu’elle travaille sur son dernier clip, Neither One of us en Floride, Jennifer Hudson est informée de la terrible nouvelle: sa mère Darnelle, son frère Jason et son neveu Julian, ont été retrouvés mort d’une balle dans la tête. Le premier accusé de ce triple meurtre est William Balfour, l’ex-mari de sa sœur, Julia Hudson.

Jalousie, règlement de compte dû à la drogue? Le mobile de ce drame est aujourd’hui encore inconnu. Jennifer Hudson ainsi que deux cents autres témoins sont attendus au tribunal de Chicago. Lundi, l’actrice et chanteuse a fait sa première déclaration d’une voix chancelante. Peu avant le drame, Jennifer Hudson avait convaincu sa sœur de ne pas épouser William Balfour, qu’elle trouvait déjà suspect à l’époque. Celle qui est devenue l’amie de Beyoncé, a retracé ces quelques jours qui ont changé sa vie pour toujours.

Pas de tapis rouge pour le moment. Jennifer Hudson veut se consacrer pleinement à ce procès.

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