Profitant de la publicité qui va être faite cette année autour du nom de Claude François, avec la sortie du biopic qui lui est consacré, les Clodettes se mobilisent pour faire valoir leurs droits. Les célèbres danseuses de Cloclo s’estiment lésées et saisissent la justice.

Les Clodettes veulent leur part de gâteau. Depuis 34 ans que leur image est exploitée à longueur de rétrospectives, d’émissions spéciales et autres commémorations, les danseuses de Claude François en ont marre et estiment qu’elles doivent toucher de l’argent au nom de leur droit à l’image. Elles profitent de l’écho médiatique qui va retentir autour de la sortie du film Cloclo avec Jérémie Renier.

Selon M6, une douzaine d’entre elles ont mandaté un avocat, Daniel Richard, pour assigner devant le Tribunal de Grande Instance la Spedidam (Société de Perception et de Distribution des Droits des Artistes-interprètes de la Musique et de la danse). Cette société a pour but de rémunérer les personnes (choristes, musiciens, danseurs) qui apparaissent sur des séquences vidéos en calculant les sommes à partir des droits de diffusion.

Lydia Naval, qui a été Clodette de 1970 à 1976, et Slim Pezin, ancien chef d’orchestre de Claude François, ont pris la tête de la fronde pour aider ces femmes à défendre leurs droits. Le musicien, après un travail de recherche important, a dénombré 25 Clodettes. Au bout de deux ans, certaines ont reçu un chèque de la Spedidam, qu’elles jugent ridiculement bas. Lydia Naval affirme en avoir reçu un de 149,52 euros alors que selon l’avocat, les plaignantes devraient toucher 1000 euros par an sur 16 ans d’exploitation. La désignation d’un expert a été demandée pour éplucher les comptes de la Spedidam et calculer les droits que devraient percevoir les Clodettes.

Le président de la société déclare que les danseuses n’ont pas été lésées et surtout qu’elles ne peuvent espérer toucher des fortunes. Il explique: «Elles ont été rétribuées à la hauteur de leur droit. Nous sommes ouverts au dialogue et nous sommes prêts à les rencontrer. Mais malheureusement, elles ne doivent pas se faire d’illusion. Elles ne gagneront pas des centaines de milliers d’euros». Une histoire qui se règlera devant les tribunaux, donc.

Trois jours après l’enterrement de Whitney Houston, la maison de vente Julien’s a annoncé dans un communiqué à l’Associated Press qu’elle mettrait en vente fin mars plusieurs vêtements et accessoires ayant appartenu à la chanteuse.

« Le hasard a voulu que cette vente ait été planifiée avant la disparition tragique de Whitney…Comme si la légende de la pop était déterminée à maintenir son souvenir en vie ». Pour se justifier de surfer sur la mort de la star aux 170 millions de disques vendus, la maison de vente Julien’s s’est expliquée en ces termes.

Intitulée Hollywood Legends, cette vente aux enchères se déroulera du 31 mars au 1er avril prochain à Beverly Hills. Outre les objets ayant été portés par Whitney (une robe en velours noir ornée d’un ruban d’argent, des boucles d’oreille portées dans le film Bodyguard), les collectionneurs pourront aussi acheter la canne de Charlie Chaplin, la veste portée par Clark Gable dans Autant en emporte le vent ou des effets personnels de Charlton Heston période Dix commandements. « La mort de Whitney rend ces objets historiques, explique Darren Julien, le directeur de la maison d’enchères. Ils deviennent une part de notre Histoire. Ils devraient être placés dans des musées. Elle a eu une vie et une carrière que personne d’autre ne pourra jamais avoir. Pour ceux qui ne l’ont jamais rencontrée, il s’agit d’une chance d’acquérir des pièces qui ont fait partie de sa vie ». Accessoirement, cette vente permettra aussi de rapporter plusieurs milliers de dollars à la maison de vente Julien’s…

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Alors que le tournage du long métrage “Jack Ryan”, mis en scène par Kenneth Branagh a débuté la semaine dernière, Paramount Pictures annonce déjà la date de sortie du thriller : le 1er janvier 2014.

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Alors que le tournage de Jack Ryan, mis en scène par Kenneth Branagh, a débuté la semaine dernière, (voir notre article) Paramount Pictures annonce déjà la date de sortie du thriller : le 1er janvier 2014.

Dans le long métrage, Jack Ryan sera interprété par Chris Pine, Keira Knightley tiendra le rôle de Cathy sa petite amie, Kevin Costner prêtera ses trais à William Harper le mentor de Jack Ryan, tandis que le réalisateur Kenneth Branagh prêtera ses traits à Viktor Cherevin, un oligarque russe. Le film racontera la jeunesse de Jack Ryan, le personnage créé par l’auteur de best-sellers Tom Clancy.

Laëtitia Forhan

C’est sous le soleil du Mexique que les deux amies ont trouvé le moyen de briser la quiétude qui régnait jusqu’alors. Une sombre histoire de jogging, de temps qui passe et de chips…

Kate Moss et Gwyneth Paltrow sont ce qu’on peut appeler de vieilles copines. Entre l’icône british et l’actrice oscarisée, tout semblait aussi limpide et miroitant que la collection Printemps-Été de Chanel. Invitées toutes les deux au Mexique par Sir Philip Green, l’homme d’affaires anglais qui règne sur Topshop, pour fêter en grande pompe ses soixante ans, Kate et Gwyneth sont devenues bien malgré elle le centre de l’attention…

Alors que Gwyneth courait le long de la plage mexicaine sous un soleil de plomb, elle croise son amie la brindille en train de croquer quelques chips. Selon un proche du groupe qui l’a révélé au Sun, Kate aurait alors demandé à Gwyneth pourquoi elle courait. «C’est pour ne pas te ressembler quand je serais vieille», aurait rétorqué la blonde sculpturale, pourtant de deux ans plus âgée que sa copine. Miss Moss, après être restée bouche-bée quelques instants lui aurait alors jeté quelques chips au visage.

Une « altercation » au second degré, sans doute, qui aurait eu lieu peu avant le big birthday de Sir Philip Green, devenant ainsi la blague leitmotiv de la soirée. Kate Moss, bien qu’elle soit la queen incontestée du red carpet –de son passage dans la série Absolutely Fabulousaux séries de photos shootées pour Vogue dans le Ritz– peut de temps à autre se faire bousculer gentiment sur le haut de son piédestal. Ah, les stars…

Héroïne d’un nouvel épisode de Victoire Bonnot diffusé ce soir sur M6, Valérie Damidot a trouvé le temps dans son emploi du temps surchargé pour répondre à la twinterview de Gala.fr. L’animatrice/actrice s’est prêté au jeu avec la bonne humeur et l’énergie qu’on lui connaît.

C’est tôt dans la matinée que Valérie Damidot nous a donné rendez-vous pour notre twinterview. Une heure matinale car «dans la maroufle on se lève à 7h» comme elle nous l’a affirmé. Pour les non-initiés au langage imagé de l’animatrice de M6, la maroufle c’est «la Way of life. A la base, c’est chasser les bulles d’air du papier peint, mais c’est devenu l’ensemble de la déco! on maroufle tout! » nous a-t-elle expliqué. Quoi qu’il en soit, Valérie Damidot était ponctuelle, démentant sa réputation de femme «ingérable». Un qualificatif qu’elle n’apprécie que moyennement. «Je me sens pas ingérable, a-t-elle déclaré. Je suis à l’heure, je tiens mes engagements, je suis surtout cash, c’est différent».

Cash, elle nous l’a prouvé lorsqu’on lui a demandé si chez elle, tous les murs étaient fuchsia comme les moqueurs aiment le raconter depuis qu’elle présente D&cO. «Bien sûr que non, ce n’est pas fuchsia!Faut arrêter avec ces clichés» s’est-elle emportée. «C’est saoulant à force, on décore selon le goût des gens et on ne met pas que du rose, m****!».

En revanche, lorsqu’on a parlé du nouvel épisode de Victoire Bonnot, diffusé ce soir à 20h45 sur M6, Valérie Damidot s’est montrée plus posée. Il faut dire que le thème de l’histoire, intitulé Un enfant sur les bras, est sérieux. La Conseillère Principale d’Education vient en effet en aide à Zoé, une lycéenne qui après un déni de grossesse accouche dans son établissement. L’occasion d’aborder le problème de la sexualité chez les jeunes, des moyens de contraception et de la maternité précoce. Valérie Damidot se dit plutôt contente d’amener de tels sujets en prime, sur M6, d’autant que c’est elle qui les choisit, avec les producteurs. «Ce sont des thèmes d’actualité, c’est bien d’en parler, la fiction apporte des trucs différents, on peut essayer de faire passer des messages» explique-t-elle. Elle se dit effarée de l’ignorance de certains ados sur ces sujets. «Beaucoup pensent savoir, mais au final ils n’y connaissent rien!! D’où une augmentation des mères ados». A la maison, avec ses enfants, Valérie Damidot se dit «plutôt cool». «On se dit tout, on parle beaucoup» mais nuance tout de suite: «je peux être autoritaire si ça dérape, genre devoirs pas faits».

Dans le Victoire Bonnot diffusé ce soir, l’actrice a proposé à «son amie» Chantal Lauby de venir jouer un rôle «parce que c’est une comédienne géniale» et qu’elle «l’adore». Quand on lui demande quels guests elle aimerait inviter dans de prochains épisodes, elle répond avec son habituel sens de l’humour: «Je viens de signer avec Clive Owen et Jason Statham, j’attends un « oui » de De Niro».

Un sens de la dérision qu’elle utilise à nouveau pour commenter son récent statut d’animatrice «qui incarne le mieux M6» selon Stratégies. «Je suis contente, c’était pas gagné. Âgée, dodue, grande gueule! Ça faisait beaucoup!».

Pour promouvoir son dernier album, Music saved my life, Jean-Roch a décidé de mettre en images son titre Saint-Tropez.

Quand Snoop Dog rencontre Karl Lagerfeld, c’est qu’un entremetteur de choix les a mis sur la piste. L’auteur de ce meeting au sommet du style n’est autre que Jean-Roch. L’empereur des nuits endiablées n’a cependant pas réuni ses deux amis sur une piste de danse mais dans un clip, le sien.

Le patron du VIP Room fait danser les nuits parisiennes et tropéziennes depuis des années grâce à son sens inné de la fête. Mais depuis quelques années, Jean-Roch a décidé de passer de l’autre côté des platines. Le voilà chanteur. Depuis 2003 et le succès international de Can you feel it, le Toulonnais a donc pris son temps pour peaufiner un album entier à son image.

Jean-Roch a d’ores et déjà des fans de qualité. Snoop Dog et Lagerfeld qui étaient clients de ses établissements avant de l’être de sa musique ont donc filé un petit coup de main à leur ami devenu chanteur. Pour le clip, le rappeur américain a imposé son flow devant la célèbre gendarmerie de Saint-Tropez avant de s’essayer à pétanque, tandis que le styliste de Chanel a accepté de jouer l’ange blanc, maître des portes de la station balnéaire. Une rencontre du troisième type où même Louis de Funès aurait pu tenir son rôle.

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Quand on aime Saint-Tropez…

Comme l’avait fait son prédécesseur après quelques petits ennuis de santé, François Hollande a choisi de diffuser régulièrement ses résultats médicaux. Ses premiers résultats indiquent qu’il est bon pour le service… Ouf!

Le stress de la campagne, les températures fraîches du printemps et le changement total de vie, rien de tout ça n’a atteint la santé de François Hollande. L’Elysée vient de publier un communiqué de deux paragraphes faisant état de la bonne santé du président.

François Hollande a été reçu par le service médical de l’Elysée pour un examen complet, clinique et para-clinique. Ironie de la langue française, le président normal a une «santé normale». Pas de maladies rares ou de microbes cachés donc, pour le nouveau chef de l’état qui se doit effectivement d’être au mieux de sa forme en ce début de mandat. Il avait d’ailleurs lui même estimé logique que «les Français aient confiance en la capacité de leur président à gouverner». Une forme olympique qu’il préservait déjà lors de la campagne en faisant appel aux conseils d’amis coach et médecins. En début de semaine, c’est même un président sprinteur que les photographes ont pu shooter dans les marches de l’Elysée.

François Hollande devrait ainsi publier les bilans de ses check-up dès qu’il en aura l’envie. Cette initiative a été instaurée par Nicolas Sarkozy lors de son entrée en fonction en 2006. Trois ans plus tard et malgré un bilan santé des plus normaux, l’ancien président a été victime d’un petit malaise lors d’un jogging.

Une mauvaise nouvelle qui avait rappelé aux Français l’épisode de l’accident vasculaire cérébral de Jacques Chirac en 2005, d’abord resté secret.

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Iconoclaste, la chanteuse-violoniste explore l’âme Yiddish avec un nouvel album. Mais sa plus belle partition elle l’écrit avec Samantha.

Toujours cachée sous ses lunettes, Catherine Lara aime cultiver le mystère. Mais pour Gala, la violoniste de génie a accepté d’ouvrir les portes de sa vie privée qu’elle partage depuis dix-neuf ans avec Samantha.

Dans une suite de l’hôtel de Vendôme, les deux femmes se sont amusées à se regarder et se découvrir comme au premier jour. Un univers féerique pour Catherine Lara et celle qui continue de la faire rêver chaque jour. La rockeuse de diamant raconte à quel point «la froideur de Samantha» l’a fascinée. La chanteuse retrace sa fascination pour celle qu’elle décrit comme «grande, blonde et féminine» quand elle se voit «petite chose, androgyne avec des cheveux blanc depuis l’âge de trente-cinq ans».

Découvrez dans Gala n°1017 cette semaine celle qui fait battre le cœur de Catherine Lara…

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Moscovici struggles to shake off French past

MEPs question Moscovici’s decisions as France’s finance minister in light of the country’s economic problems.

The last two questions at the hearing of Pierre Moscovici, the French commissioner-designate for economic and financial affairs, taxation and customs union, spoke volumes about the whole hearing.

Gunnar Hökmark, a leading Swedish centre-right MEP, said that he liked Moscovici and thought he was an “impressive politician”. But as France’s minister for finance, said Hökmark, you increased public spending and lowered the retirement age. “Are you happy with the outcome with this approach of yours? Are you today a different Moscovici?” The next question, which came from Sophie in ’t Veld, started: “It is not about you being French, but about your political convictions.”

Moscovici’s track record as France’s finance minister when the country needed to seek an extension from the European Commission to comply with European Union budget rules – and the implications of that track record for a commissioner responsible for enforcing EU budget rules – dogged the hearing.

Questions about the track record gave rise to increasingly angry responses from the socialist benches. As for Moscovici, he re-stated the same formula. He said that France under his leadership has complied with its EU engagements: “France has not broken the rules. Everything was done within the rules.” He refused under pressure from the centre-right to disown his past as French finance minister, insisting that he was not “schizophrenic”. Finally, he insisted again and again that his priority as European commissioner would be to apply the rules: “Only the rules. Nothing but the rules. I am there to ensure the credibility of the rules.”

So does France, which announced that it would need two extra years to reduce its deficit to EU-mandate levels, comply with the rules, asked one MEP. “I cannot say or judge the budget from yesterday as I do not have the material,” replied Moscovici.

In any case, he replied, exasperated after the umpteenth question about France, “it is up to the European Commission and not a single commissioner to decide whether a delay [in EU budget rules] should be given”.

On the subject of the partition of responsibilities within the Commission, which led some MEPs to accuse him of being a second-class commissioner, Moscovici said he was happy to have a “large portfolio” that would see him contribute to seven large work-streams within the Commission. As for his relationship with the vice-presidents, there was “no hierarchy”. He explained: “the spirit of the Commission is collegiality, not supervision”.

Moscovici was an engaging speaker. Sipping a Coke, he spoke passionately and elegantly in French, and fluently in English. He presented a convincing vision of what the European Union is and what it should be. He demonstrated his prior commitment to the European project, flagging up his time as a vice-president of the European Parliament or his experience as minister for the European Union in France. Furthermore, Moscovici manifestly knew his dossiers and his brief (although given he was France’s finance minister until recently, these were easier for him to master than, say, Jonathan Hill, the British commissioner-designate for financial services).

On customs, he said his priority was “to put in place a new code” and to make sure the EU’s customs authorities become more efficient.

At the end of the hearing, Moscovici made a point of shaking the hands of most of his inquisitors from the centre-right. Hökmark told European Voice that he thought that Moscovici had not done enough to distance his future role as a commissioner in charge of budget rules from his time as finance minister in France.

 

Read the live blog from the hearing – as it happened

 

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Ministers close in on Baltic fishing deal

Under the new Common Fisheries Policy (CFP), a plan that for the first time covers cod, herring and sprat stocks in the Baltic Sea is discussed.

Fisheries ministers from the European Union’s member states are expected to reach agreement on the amount and type of fish that can be caught in the Baltic Sea in 2015.

If they do strike a deal on Monday and Tuesday (13-14 October), it will be the first plan to apply to cod, herring and sprat stocks in the Baltic Sea since the EU’s revised Common Fisheries Policy came into force in January.

The European Commission in September came up with proposals to increase the total allowable catch in the Baltic by 12% compared to 2014 levels, as some of the stocks are now at sustainable levels. If the limits are approved, the number of different fish stocks that can be landed in the Baltic in 2015 could double from three to six, with a total catch set at approximately 629,000 tonnes.

On Tuesday, EU agriculture ministers will discuss African swine fever, cases of which were reported in Lithuania in January. It has also been discovered in Poland, Latvia and Estonia. Trade in pigs and pigmeat has fallen sharply since Russia banned imports after the disease was detected.

The European Commission has updated control measures to prevent the spread of the disease. The member states affected are expected to ask for more
support.

As European Voice went to press, there had been no decision on whether the consequences of Russia’s ban on food from the EU would be discussed. Ministers will, however, discuss the impact of the restrictions on fisheries.