AUDIENCES- Mentalist met 9 millions de Français dans sa poche sur TF1

Mentalist termine l’année (ou presque) en beauté! Le blond qui manipule a convaincu près de 9 millions de téléspectateurs de le suivre sur TF1 en cette soirée de mercredi!

Le Mentalist c’est la prise de tête permanente, comme on dit chez les bons coiffeurs. Parce que Simon Baker, alias Payrick Jane, a encore joué les Tarzan de l’audience sur TF1 pour laquelle il a réussi l’une de ses plus belles manipulations mentale en entraînant des cohortes de téléspectateurs comme un bon joueur de flûte.

En prime time de ce mercredi, donc, nouveau succès pour Mentalist. Et quel succès! La série a passionné près de 9 millions de téléspectateurs ! Plus excatement 8 942 000 téléspectateurs, ce qui représente la bagatelle de 32,3% de part d’audience ! Inutile de préciser que ce score a placé TF1 en tête des audiences, même si on le fait quand même…

France 2 et sa bonne série Fais Pas Ci, Fais Pas Ça, n’ont pas pu égaler une telle machine de guerre, même si 4 480 000 personnes, soit 16,2% de part d’audience, étaient au rendez-vous. Un score honorable, également, pour M6 et La France A Un Incroyable Talent qui ont attiré 3 255 000 téléspectateurs, à savoir 14% de part d’audience.?

France 3 nous proposait un beau numéro de son magazine Des Racines Et Des Ailes, même si la thématique- les hôtels de légende- était un « classique ». Résultats : 2 582 000 de téléspectateurs, soit 9,6% de part d’audience .Une bonne soirée télé dont Arte complétait la diversité de l’offre avec un édifiant Staline-Molotov, Le Tyran Et Son Double. Un cocktail apprécié par 616 000 téléspectateurs.

Jean-Frédéric Tronche

Jeudi 16 décembre 2010

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Indochine félicité du bout des lèvres

France Télévisions vient de faire savoir qu’Indochine recevrait une Victoire d’honneur lors de la prochaine cérémonie des Victoires de la musique. Ce sera lors de la soirée consacrée aux albums de l’année et… aux révélations. Une nouvelle incompréhension autour d’un groupe trentenaire et au public de plus en plus nombreux.

Comment d’un oubli incompréhensible on passe à une maladresse pas très glorieuse? Demandez à France Télévisions et aux responsables des Victoires de la musique. Alors que la liste des nominations a été dévoilée le 10 janvier, les organisateurs viennent de la compléter en annonçant qu’une Victoire d’honneur serait décernée à Indochine. Une Victoire d’honneur? Pourquoi pas, même si le procédé sert le plus souvent à corriger des oublis évidents. Sauf qu’il est précisé qu’Indochine recevra sa récompense lors de la cérémonie du 9 février, celle qui passe sur France 4, pas sur France 2, pourtant plus exposée. Pas la cérémonie qui célèbre les artistes ou les concerts, mais celle consacrée aux révélations et aux albums.

Indochine, révélation 2010? Comme le dit le communiqué de France Télévisions, «Après deux ans et demi de concerts à guichets fermés et plus de 800 000 spectateurs, Indochine a été le premier groupe de rock français à avoir joué pour un Stade de France complet en juin 2010». Pour une révélation, c’est plutôt pas mal. Ces chiffres,

, M,

et

, les nommés officiels dans la catégorie spectacle musical, tournée ou concert, rêveraient de les avoir.

L’incompréhension demeure donc autour d’Indochine. Depuis trente ans, Nicola Sirkis et sa bande vendent des millions d’albums, donnent des concerts à guichets fermés, séduisent chaque année un nouveau public qui vient grossir les rangs des fans de la première heure, ceux nés dans les années 60 ou 70. Qu’on aime ou pas leur musique, force est de constater qu’il y a un phénomène Indochine (les sceptiques peuvent se faire une idée en visionnant le DVD Putain de Stade qui vient de sortir). On ne peut pas leur ôter cet incroyable succès public qui lui vaut le titre de plus grand groupe de rock français, que seul pouvaient leur disputer les regrettés Noir Désir.

Pourtant depuis trente ans, Indochine a toujours été boudé par la profession et les récompenses (à part en 2003 et Paradize, album rock de l’année), creusant encore un peu plus le fossé entre le public et les critiques.

Les Victoires auraient pu pousser leur geste de clémence jusqu’au bout et convier Indochine à la soirée des artistes confirmés. Mais non. Nicola Sirkis devra peut-être remplir dix Stades de France pour y parvenir. En attendant, il est prévu que le groupe interprète un titre en live, au début de la cérémonie. Indochine ne boudera donc pas cette récompense. Par respect pour le public. Encore une fois.

Jean-Christian Hay

Mardi 25 janvier 2011

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Britney Spears: elle dévoile ses reins beaux et montre tout vers l’aine

Dans un magazine, montre ses fesses et des tatouages qui ornent le haut de ses cuisses, à la limite de l’échancrure de son body et de la décence. Et puis, elle parle. Mais pour dire quoi?

Ses tatouages étant situés dans cette zone, Britney Spears a dû avoir mal, vers l’aine, comme l’aurait dit Rimbaud s’il avait eu le malheur de connaître notre époque et ses airs du temps. C’est du moins ce qu’il ressort d’un shooting où la turbulente enfant de la pop s’est découverte, contorsionnée, bref offerte à l’objectif du de Ruven Afanador. Le résultat, grâce au talent de l’artiste, est en fin de compte moins voyeur que révélateur d’une personnalité fragile qui se cache derrière des poses outrancières, que ce soit en studio ou à la ville.

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C’est dans le magazine gay Out: Britney Spears nous fait donc une séance de « popnographie » en noir et blanc et ça lui va plutôt bien. Même si les images sont crues, l’ambiance est chaude, parti pris de l’esthétique voulue pour cette production. Et si « vous pensiez tout savoir » à propos de la chanteuse, reconsidérez vos certitudes, annonce en substance le mag’ qui nous livre aussi une interview de Britney Spears. Parce qu’en plus, elle cause.

Bouche sinon pulpeuse du moins bien dessinée dont sortent des vérités personnelles concernant son idée de l’enfer (« Suivre un régime »), du paradis (« Un voyage avec mes enfants ») et de qui elle fut dans une vie antérieure (« Audrey Hepburn, parce qu’elle traquait les tendances. »). Sans parler de la première fois qu’elle a rencontré un drag queen-Britney: « A la Nouvelle Orléans, chantant Slave 4 U. J’ai failli en mourir. » Tout ça pour rappeler que son disque va sortir. Mais à part ça, le plus intéressant, c’est elle, non? Dommage, parce qu’à en montrer beaucoup, elle cache tout.

Jean-Frédéric Tronche

Jeudi 10 mars 2011

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“Des hommes sans loi” et une infographie ! [PHOTO]

A plus d’un mois de sa sortie en salles, découvrez une infographie autour des “Hommes sans loi” de John Hillcoat, histoire d’en savoir un peu plus sur le contexte du film.

Après les spectateurs cannois en mai dernier, ce sera bientôt à ceux de Deauville et de toutes les salles françaises de plonger dans l’enfer de la Prohibition, grâce à Des hommes sans loi. Attendu le 12 septembre sur nos écrans, le film de John Hillcoat s’affiche aujourd’hui à travers une infographie qui nous renseigne sur le contexte du récit, et plus particulièrement le trafic d’alcool. Une façon plutôt ludique de bosser ses cours d’Histoire et d’attendre le long métrage.

Maximilien Pierrette


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Un film ET un comic book pour Wes Craven !

Alors que “My Soul to Take” débarque enfin dans nos salles, Wes Craven va collaborer avec Steve Niles (“30 jours de nuit”) pour écrire une série de comic books intitulés “Coming of Rage”, et ensuite l’adapter sur grand écran.

Tourné (et distribué aux Etats-Unis) bien avant Scream 4, My Soul To Take sort aujourd’hui dans nos salles, alors que l’avenir cinématographique de Wes Craven est flou. Ou était. Car Deadline annonce que le papa de Freddy Krueger va collaborer avec celui de 30 jours de nuit (la version papier), Steve Niles, sur un projet appelé Coming of Rage, série de comic books dont le premier volume paraîtra en 2013 et qu’il compte bien transposer sur grand écran par la suite. Aucun détail n’a, pour le moment, filtré sur l’histoire, mais le titre laisse supposer que Wes Craven ne va pas profiter de l’occasion pour s’éloigner de l’horreur.

Maximilien Pierrette avec Deadline

Shania Twain, une étoile country à Hollywood

a inauguré son étoile sur Hollywood Boulevard jeudi après-midi. Une belle revanche pour la star.

«Pour être honnête, c’est un petit miracle pour moi d’être là». Shania Twain a effectivement de quoi être impressionnée de se retrouver en si bonne place sur Hollywood Boulevard. La chanteuse dont le parcours n’a pas toujours été facile s’est vue, jeudi 2 juin, honorée sur l’avenue la plus select des Etats-Unis. À 45 ans, elle entre dans l’Histoire en recevant sa célèbre étoile.

La comédienne Bo Dereck a rendu hommage à sa bonne copine dans un discours d’introduction très émouvant. Shania Twain a écouté ces douces phrases entre les bras de son nouveau compagnon Frédéric Thiebaud. La sœur de la chanteuse était elle aussi présente pour accompagner Shania.

L’interprète de Man! I Feel Like A Woman! a su se hisser au rang de star mondiale. Même si en France ses albums suivants se sont faits plus discrets, Shania Twain est considérée aux Etats-Unis comme une immense star. En marge de la chanson, son autobiographie poignante From This Moment On est devenu un best-seller. Elle y raconte son enfance difficile sous les coups d’un père violent et ses nombreux combats pour arriver au succès.

Robert Lange, l’ex-mari de Shania Twain, ne s’est pas privé d’ajouter à ces années de galère une nouvelle déception. Celui qui était également son agent s’est accordé une aventure extra-conjugale avec sa propre assistante, qui n’était autre que l’épouse de Frédéric Thiebaud. Preuve que l’adversité rapproche: Shania semble très heureuse avec son nouveau boyfriend.

Pour la chanteuse, cette étoile sur Hollywood Boulevard marque donc une belle revanche sur la vie.

Laure Costey

Vendredi 3 juin 2011

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Naomi Campbell fiancée?

On savait la panthère Naomi rangée des affres des runways depuis quelques années, et sa rencontre avec le milliardaire russe Vladislav Doronin a sûrement joué un rôle clé. Lors de la Fashion Week londonienne, la belle a paradé avec une somptueuse bague à l’annuaire. Love is in the air?

Toutes les stars ont le droit de faire des erreurs et de se racheter sans passer par le purgatoire. Et notre diva Naomi semble elle aussi opérer un changement radical de vie. En couple depuis 2008 avec son richissime homme d’affaire russe, l’amour semble donner des ailes à Miss Campbell, qui ne quitte plus un éblouissant brillant à l’annulaire. Tout sourire sur les front rows des défilés de la semaine de la mode londonienne, le top arborait une mine splendide, dont l’éclat faisait écho à sa bague tout en diamants.

Il en faut peu pour que les rumeurs se déchainent sur un éventuel mariage entre la diva des années 1990 et Vladislav Doronin, et les inconditionnels de Naomi ont tôt fait de prendre ce bijou pour un aveu d’engagement. Une nouvelle qui officialiserait de la plus belle manière la relation entre le top et son russe, pour lequel elle a déménagé à Moscou l’an passé. En attendant une confirmation officielle de ses fiançailles, la belle poursuit ses œuvres humanitaires, et sera récompensée en octobre prochain lors de l’Angel Ball à New York pour ses défilés Fashion For Relief et son engagement dans les causes qui lui tiennent à cœur, d’Haïti au tsunami japonais. Naomi Campbell, sans aucun doute une femme en or… et en diamants.Pauline GallardLundi 19 septembre 2011

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An ungainly banking revolution

An ungainly banking revolution

The EU’s new system to deal with troubled banks leaves many problems unresolved, but may still prove its strength

Late last year, eurozone finance ministers reached a compromise on the basic elements of the single resolution mechanism (SRM) – that is, how to deal with banks in difficulty. It looks ugly, but it also appears likely to work.

The main ingredient of the compromise is to use, at least initially, separate national funds in case a bank needs to be saved, while also creating a common single resolution fund (SRF) of up to €55 billion over the next ten years, which is to be financed by contributions from the banks themselves. The entire SRM would be run by a collection of national supervisors and representatives from the European Central Bank (ECB) and the European Commission.

The defects of this compromise are apparent. For starters, the SRM will not, at least at the beginning, be a ‘single’ mechanism at all. National funds – and thus national authorities – will continue to be responsible for ‘their’ banks’ problems, with the SRF’s contribution to any rescue operation rising only gradually. It will be at least a decade from now – roughly 2025 – before the SRM is really ‘single’, with the use of separate national funds ending.

That is, of course, a long transition period. But, because the ECB is in the process of conducting an asset-quality review of bank balance-sheets, there is little danger that too many skeletons will remain in banks’ closets. Moreover, after five years (by 2020), the SRF could already have close to €30bn available, more than most national funds, thus providing an important backstop should any national fund be insufficient.

It is not ideal that the SRM will cover only those banks – around 120 in total – that will come under the ECB’s direct supervision at the end of this year. But this makes sense at the beginning, when the ECB will have its hands full getting a grip on the banks under its direct control (which constitute about four-fifths of the eurozone’s banking system). Theoretically, the ECB is also the indirect supervisor of all of the thousand or so smaller banks in the eurozone, but it will take some time before this becomes effective.

Another inelegant part of the proposed arrangement is that the SRF will not be part of the EU machinery; instead, it will be established by an inter-governmental treaty. But this agreement is likely to be only a transitory solution. There have been other cases of major initiatives that started outside the legal framework set by the EU treaties, but that were later incorporated into the body of EU law. This is what happened to the Schengen free-travel area, for example.

The highly complicated decision-making process that has been proposed for the SRM, which, on paper at least, would involve more than 100 individual officials and many committees, is also unlikely to represent a real obstacle, as bank restructuring usually has to happen in a matter of days. The few who know the details of a particular case will make the key decisions, while the rest will be politely asked to go along. When the SRM and the SRF are brought back into the EU system, the decision-making mechanism will need to be revisited.

The size of the SRF has often been criticised as being insufficient. But this is wrong: €55bn would be enough to deal with all but the very largest banks in Europe. It would also be sufficient to deal with a systemic crisis in small to medium-size countries like Ireland or Portugal. Even Spain needed ‘only’ €60bn from the European Stability Mechanism at the peak of its crisis.

In any event, a restructuring fund can be only a first-aid kit to deal with an isolated accident (or two). Systemic crises always require a fiscal backstop. On this account, the SRM proposal is also incomplete.

But at least the eurozone now has a permanent mechanism to support governments facing difficulties. While there is no explicit agreement, there can be little doubt that if a major crisis threatens to overwhelm the SRF, the funds needed to save the eurozone’s banking system from collapse will be found, because all of the member states participating in the SRM will have an incentive to back up their common investment.

The plan for the gradual constitution of a common resolution fund constitutes an awkward step in the right direction. But the end result is likely to be quite strong, because it establishes a key innovation: a common fund that effectively mutualises much of the risk resulting from bank failures.

Daniel Gros is director of the Centre for European Policy Studies. © Project Syndicate, 2014.

Authors:
Daniel Gros 

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director of the Centre for European Policy Studies 

MEPs back stricter scrutiny of medical implants

MEPs back stricter scrutiny of medical implants

Compromise should increase safety.

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The European Parliament today (22 October) approved tougher scrutiny procedures for the approval of medical devices which are implanted into the human body. MEPs voted to give central European Union authorities more power to monitor procedures than proposed by the European Commission.

Under current rules, dating from 1990, medical devices such as implants and pacemakers are given pre-market authorisation by accredited independent assessment bodies – known as ‘notified bodies’. There are roughly 80 of these bodies in the EU, some public and some private.   

The Commission proposed that an EU-level supervisory co-ordination group be created to share information across member states. The Parliament’s position would make this EU authority stronger, giving the EU scrutiny over notified bodies which handle the most complicated devices. This was a compromise between the centre-left, which wanted full EU authorisation for all devices, and the centre-right, who did not want central EU control.  

Under the Parliament position, high risk devices could not be approved by subcontractors to the assessment bodies, they would have to be approved by in-house experts. MEPs added amendments discouraging the re-use of devices labelled as ‘single use’, such as syringes, catheters or forceps.

MEPs also passed related legislation on diagnostics testing. They called for an ethics committee to be set up to deal with the ethical issues of things like genetic tests and HIV tests, and introduced provisions for the informed consent of patients and genetic counselling.

Monique Goyens, director general of the European Consumer Organisation (BEUC), said that while she was disappointed that MEPs chose not to increase scrutiny for all devices in the pre-market phase, she believes the compromise adopted will increase safety. 

“Today’s vote finally enhances both consumers’ information and involvement in the monitoring of such devices, “ she said. “We now urge the Council to push for stricter pre-market assessment to truly protect European consumers. Moreover, The EU should say ‘never again’ to unfortunate episodes like the faulty breast implants fiasco and act accordingly.”

Eucomed, the organisation representing the medical devices industry, also welcomed the outcome, saying the compromise on the approval system is “a more manageable process without compromising the shared goal of improving patient safety.” However they added that the Parliament position still leaves open the possibility that single-use devices will be mistakenly re-used.

MEPs voted to give German MEPs Dagmar Roth-Behrendt and Peter Liese, who are responsible for the two files, authorisation to begin negotiations with member states in the coming weeks. However member states are far behind on the file and a vote on the Council position has not been scheduled.

Authors:
Dave Keating 

Reding, writing and arithmetic

Reding, writing and arithmetic

12/11/13, 8:15 PM CET

Updated 4/23/14, 9:38 PM CET

Viviane Reding is getting bad press for her decision to cut off funding for PressEurop, a website that translates and summarises press coverage of the European Union, publishing in ten languages.

The Commission initiated the project, which was launched in 2009. Only a few months ago Reding launched a tender for a new contract. However, the way the tender was framed prompted accusations that Reding was seeking more control over PressEurop’s content. The tender has been scrapped and now questions are being asked about whether those accusations prompted her decision to stop the funding, which means that PressEurop will cease publication on 20 December. Reding’s spokeswoman insisted that the project had been dropped for budgetary reasons.

Martin Schulz, for one, is unconvinced. He wrote for the PressEurop website this week: “As President of the European Parliament, it is not in my power to amend the European Commission’s decision not to renew funding for Presseurop. It is, however, my duty to thoroughly condemn it.” Schulz seems to have understood better than Reding the first rule of modern politics: get the media on your side.