À 75 ans, Laurent Terzieff s’est offert un doublé dimanche soir aux Molières, dont le trophée de meilleur comédien. , qui a décroché celui de meilleure comédienne, en a profité pour lui rendre un bel hommage. Découvrez tout le palmarès de cette 24e Nuit des Molières.
«C’est pour des gens comme ça qu’on choisit de faire ce métier», a déclaré dimanche soir Dominique Blanc, rendant hommage à Laurent Terzieff. La comédienne de 54 ans a tenu à honorer l’acteur, et l’a même qualifié «d’être de lumière».
À 75 ans, celui qui a débuté avec Marcel Carné a reçu hier deux Molières du meilleur acteur, pour L’Habilleur, dont il signe la mise en scène, et pour Philoctète. Déjà distingué 3 fois au cours de sa carrière, le comédien engagé (autrefois pour l’indépendance de l’Algérie et plus récemment contre la guerre en Irak) affirme «refuser l’imposture intellectuelle et la facilité». Dominique Blanc a pour sa part obtenu le Molière de la meilleure actrice pour sa prestation dans La Douleur, sous la direction de son metteur en scène fétiche,
. Le réalisateur l’avait déjà dirigée sur les planches dans Phèdre, mais aussi dans Ceux Qui M’Aiment Prendront Le Train, film pour lequel elle a obtenu un César en 1999.
Entre l’émotion des lauréats, le cafouillage des animateurs à cause d’enveloppes perdues, les huées à l’encontre de
et l’intervention majestueuse de Michel Galabru, cette 24e Nuit des Molières, présentée par les Drucker oncle et nièce, n’a pas manqué de moments forts.
Le bruit courait ce lundi matin qu’il y aurait de la tension entre et France Télévisions. L’animateur de Panique Dans L’Oreillette et de Rendez-Vous En Terre Inconnue. L’animateur dément totalement ces informations.
Le chuchotement a dû semer une certaine panique dans l’oreillette sur la deux… Selon une indiscrétion recueillie par nos confrères du Parisien, Frédéric Lopez aurait poussé « un coup de gueule » contre France Télévisions. L’animateur de l’émission où les petits secrets de stars sont révélés par leurs proches estimant qu’on ne lui réservait pas la place et la fréquence qu’il méritait dans la grille de France 2. Mais, très vite, Frédéric Lopez a voulu rectifier le tir et démentir en direct sur les ondes.
Actuellement, on retrouve Panique Dans L’Oreillette un mercredi toutes les deux semaines, en deuxième partie de soirée et en alternance avec L’Objet Du Scandale. Mais, précise le quotidien « en septembre l’émission de Guillaume Durand va glisser au mardi… » Du coup, Frédéric Lopez aurait compté profiter du créneau horaire vacant pour y glisser son émission qui aurait pu devenir hebdomadaire. Mais les responsables des divertissements ne l’auraient pas entendu de cette oreille, « un autre projet » étant prévu ces mercredis soirs-là.
Or, ce lundi matin sur Europe 1, dans Le Grand Direct Des Médias, l’émission de
sur Europe 1, Frédéric Lopez a tenu à préciser qu’il n’y avait « pas de coup de gueule (…). C’est faux, et c’est même le contraire de la vérité. » Et d’expliquer qu’il avait même refusé une quotidienne de soin émission et l’augmentation du nombre de Rendez-Vous En Terre Inconnue tout en louant les dirigeants de France Télévisions pour avoir eu l’audace de croire en ses concepts: « Je suis très-très fier de ce qu’ils font », dit-il avant de souligner le succès remporté après ce pari.
Du coup, Frédéric Lopez dément également avoir menacée d’aller sur TF1 en ces termes: « Est-ce que vous m’imaginez faire du chantage? » Même s’il reconnaît que sa société de production propose des projets à la Une. En revanche, il confirme qu’en cette période de mercato télé, il réclame plus de moyens pour ses émissions au diffuseur. Bref, hors de question de se brouiller avec France Télévisions. Alors, Frédéric Lopez se demande « de qui ce serait l’intérêt de faire circuler une telle rumeur. »
Nouvelle animatrice de l’émission L’Amour Est Dans Le Pré sur M6, a eu a bien mauvaise surprise d’essuyer des injures raciales, provenant du père d’un des candidats, qui, lundi soir, avait disparu du télé-crochet. Voilà qui ne fleure pas bon.
L’herbe n’est pas si verte qu’on le croit dans les campagnes. Et la pétillante Karine Le Marchand, qui s’est aventurée dans les campagnes françaises le temps d’un tournage, a dû le regretter. Lundi soir, il manquait un candidat à l’appel, lors de la diffusion du premier épisode de L’Amour Est Dans Le Pré. Alors qu’ils étaient 12 à chercher l’amour en janvier, lors de leur présentation aux téléspectateurs de M6, ils n’étaient plus que 11 lundi. Alors pourquoi Paul a-t-il été évincé du programme? Plusieurs versions sont avancées, mais la certitude demeure quant à la mésentente entre l’équipe de tournage et le candidat.
Selon Karine Le Marchand, le père de Paul , originaire du Finistère, aurait fait des remarques racistes lors du tournage destiné à réaliser le portrait de son fils.
«Le père d’un agriculteur m’appelait ‘la teintée’. Et quand il marchait et que j’étais sur son chemin, il me donnait un grand coup de coude et me poussait. Ca m’a fait rire, c’est mon quotidien. Je ne lui en veux pas car c’est un monsieur qui ne sort pas de chez lui, qui ne boit pas que de l’eau, et qui était déjà saoul à 9 heures du matin. Je pense que l’équipe de l’émission était plus choquée que je ne l’ai été, car ils ne sont pas habitués, alors que moi oui», expliquait, blasée, la charmante animatrice à Coulisse Médias.
Eh oui, les mesquineries racistes, c’est son lot quotidien depuis l’enfance.
Mais si le candidat manquait à l’appel lundi lors de la diffusion de l’épisode, ce serait à cause d’une autre affaire, opposant Paul à l’équipe de production. Selon le breton, l’un des membres du staff aurait fait une remarque déplacé alors que le filleul du candidat pleurait «Il va nous faire chier le gamin». Une remarque que n’a pas du tout appréciée le candidat, qui s’est trouvé lésé par la présentation qu’on a faite de lui dans l’émission du 14 janvier. Eh oui, il déplore être «passé pour un c**». Selon lui, la chaîne n’a eu que faire de ses doléances, et l’aurait même empêché d’ouvrir le courrier de ses prétendantes. Seulement selon Freemantle, il n’en aurait tout bonnement pas reçu! D’après la boîte de prod’, cinq lettres provenaient de l’étranger «pour obtenir des papiers français», et une dernière avait été écrite par une amie de l’agriculteur, histoire de vérifier que le courrier était correctement distribué.
Du coup, ça faisait un peu tâche de présenter Paul lundi en remarquant qu’il n’avait reçu aucun courrier. Une thèse que réfute l’intéressé.
Quoi qu’il en soit, et quelle que soit la raison officielle, la tension est montée ente Paul et M6, disqualifiant le candidat du reste de l’aventure.
Et avec une attitude pareille, du père comme du fils, on comprend que Paul soit encore célibataire…
Click:tapered roller bearing Luc Besson va écrire et réaliser une adaptation live de la BD “Valérian et Laureline” de Mézières et Christin. Le cinéaste planche par ailleurs sur deux autres films, le thriller “Malavita” et un film d’action avec Angelina Jolie.
C’est confirmé ! Luc Besson prépare une adaptation live de Valérian et Laureline. On savait depuis quelques temps que Luc Besson détenait les droits de la BD de Pierre Christin et Jean-Claude Mézières, mais aucun calendrier précis n’avait été établi. Selon Variety, Christophe Lambert (le producteur, pas l’acteur !), DG d’EuropaCorp, a confirmé hier que le projet était effectivement en cours et il sera tourné en anglais.
Le projet n’a pas de titre pour l’heure, tout comme l’un des autres longs métrages sur lequel planche actuellement Luc Besson et dans lequel Angelina Jolie a été annoncée (voir notre article). Il s’agira d’un thriller de science-fiction, dont le tournage devrait commencer le 1er trimestre 2013 à la Cité du Cinéma de Saint Denis.
Le prochain film de Luc Besson à sortir sur nos écrans ne sera cependant ni Valerian, ni celui avec Angelina Jolie, mais Malavita, un thriller dont le tournage commencera en août. Le nom de Tommy Lee Jonesones vient d’être ajouté au casting, déjà composé de Robert De Niro et Michelle Pfeiffer ! Cette adaptation du roman homonyme de Tonino Benacquista est centrée sur ancien gangster américain bénéficiant, avec sa famille, du système de protection des témoins, en Normandie.
Découvrez les premières images de “Ce que le jour doit à la nuit”, une fresque romantique d’Alexandre Arcady ayant pour toile de fond la Guerre d’Algérie et dont la sortie est prévue le 12 septembre prochain… Avec Fu’ad Ait Aattou et Nora Arnezeder dans les rôles principaux.
Le 12 septembre prochain sort le nouveau film d’Alexandre Arcady, Ce que le jour doit à la nuit. Interprétée par Fu’ad Ait Aattou et Nora Arnezeder, cette fresque romantique raconte comme une grande histoire d’amour se voit bouleversée par le déclenchement des hostilités en Algérie dans les années 50… Tout de suite la bande-annonce…
Le photographe américain Herman Leonard, célèbre pour ses clichés en noir et blanc de géants du jazz, s’est éteint, samedi, à Los Angeles.
L’an dernier, encore, il avait exercé ses talents lors du Festival de Jazz de Montréal, immortalisant des légendes comme Tony Bennett et Dave Brubeck. Le photographe Herman Leonard, qui s’était installé dans la cité des Anges après l’inondation de sa maison à la Nouvelle-Orléans, est décédé, à l’âge de 87 ans, au Centre médical Cedars-Sinai.
Doué pour capté l’émotion du chant, la mélodie d’un instant, la magie des volutes de fumée, il était considéré comme l’un des grands «preneur de vues» de la scène jazz du milieu du XXe siècle. Au cours de sa carrière, il a livré la véritable chronique d’une ère musicale, entre New York, Paris et Londres…
Né en 1923 en Pennsylvanie, de parents roumains, Herman Leonard obtient son diplôme de photographe peu après la Seconde guerre mondiale, avant d’ouvrir son premier studio en 1948 à Big Apple. C’est alors qu’il fréquente les clubs de jazz, avec lesquels il passe des accords pour saisir des clichés des musiciens qui le font rêver. Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Billie Holiday, Louis Armstrong, Duke Ellington et Miles Davis passeront devant son objectif. De ces rencontres, restent des épreuves en noir et blanc à l’esthétique léchée et de nombreuses pochettes de disques.
En 1956, il est choisi par
pour devenir ses yeux pendnat un voyage en Extrême-Orient. De retour d’expédition, l’homme au regard perçant et au profil d’aigle s’installe dans la Ville Lumières où il continue à travailler sur les jazzmen, tout en se diversifiant dans la mode, les voyages, et la publicité…
En 1980, Leonard quitte Paris pour l’île d’Ibiza, où il vit sept ans et prépare la publication de son premier livre. Sa première exposition est organisée Londres en 1988, où il pose ses sacoches.
Au début des années 1990, c’est en Louisiane qu’il décide de traîner ses guêtres et ses flashes, devant les trompettistes. En 2005, l’ouragan Katrina détruit une grande partie de sa maison et de son studio, et emporte 8.000 photos d’archives. Par bonheur, des pellicules étaient conservés au musée de l’art du sud des Etats-Unis d’Ogden.
La fondation Grammy, à L.A, propose de numériser son œuvre et d’organiser la conservation de sa collection (plus 60.000 négatifs), exposée dans de nombreux musées aux Etats-Unis, notamment à la Smithsonian Institution de Washington. Caché, des années, derrière son appareil, Herman Leonard entre aujourd’hui, dans la lumière…
a tenu à profiter de la promo d’Arthur et les Minimoys pour réagir aux attaques incessantes dont il se dit la victime depuis plusieurs années.
Cette semaine, Luc Besson est doublement à la Une de l’actualité. Tout d’abord, à la page Culture, pour la sortie d’Arthur 3: la guerre des deux mondes, mercredi au cinéma, mais aussi à la page Economie, pour les rumeurs de difficultés financières de sa société EuropaCorp dont les journaux spécialisés s’étaient fait l’écho depuis quelques jours. Et pour répondre à tout cela, et faire la promo de son nouveau long-métrage, Luc Besson était ce matin invité de la Matinale de
sur Europe 1.
Un entretien au cours duquel le réalisateur a réagi longuement aux critiques incessantes dont il est l’objet, un phénomène dont il ne s’accommode pas, bien au contraire, et qui a commencé il y a plus de vingt ans maintenant, lors de la sortie du Grand Bleu. Luc Besson explique que «C’est pas toujours facile d’être attaqué tout le temps, tout le temps parce qu’on ne fait pas les films pour ça. Parfois, on bosse deux, trois ou quatre ans pour que les gens aient envie de se divertir, c’est un geste assez sympathique, du coup, cette espèce d’attaque qui est permanente et assez insidieuse vous oblige à vous caparaçonner, à vous fermer un peu et ça m’embête en fait parce que ce qui m’intéresse avant tout dans le film, c’est l’émotion et l’échange».
Le réalisateur de Léon et Nikita raconte qu’il aurait pu partir travailler aux Etats-Unis depuis vingt ans car il reçoit une proposition de film par semaine émanant d’Hollywood. Mais dans une tirade un peu lyrique il explique: «j’aime mon pays, j’aime les gens qui sont là, je suis resté là». Avant de préciser «j’ai monté une boite, je fais travailler beaucoup de gens toute l’année, j’essaye de faire des films, ils sont pas tout le temps bons (…) mais on est là, on avance, y a une énergie. Elle est tellement plus belle la vie quand on est positifs».
Luc Besson en a profité pour préciser qu’Europacorp n’était pas en faillite, mais juste que l’année dernière avait été un peu difficile à cause de la crise, comme de nombreuses entreprises, avant d’évoquer son projet de science-fiction. Visiblement, l’interview était en boîte depuis la semaine dernière…
Encore une rupture à Hollywood. Et ce n’est pas l’automne qui a fait mourir cette romance.
Scream 4 pourrait être sous-titré «La Malédiction». Les amours des protagonistes de la saga n’ont pas survécu au tournage de ce dernier opus (en salles le 13 avril 2011).
Après la séparation inattendue du tandem glamour formé par
et
(alias la journaliste Gail Weathers et l’agent Dewey, à l’écran), c’est au tour de la belle Neve Campbell, qui incarne l’héroïne Sidney Prescott, de mettre un terme à son mariage.
C’est dans le secret le plus total que la star de Sexcrime a déposé, en juin dernier, une demande de divorce du comédien britannique John Light, devant la Cour supérieure de Los Angeles. Dans le dossier, qu’a pu consulter TMZ, la Canadienne invoque des «différends irréconciliables» et demande «à bloquer toute attribution de pension».
Le duo (qui s’était rencontré en 2005 et avait convolé à Malibu en mai 2007) reste, malgré tout, en très bons termes, précisent des sources proches.
La jolie brunette, 37 ans, avait épousé, en premières noces, l’interprète canadien Jeff Colt. Ils avaient divorcé en juin 1998 après… trois ans de bonheur!
FIA president Jean Todt has robustly defended his decision to reach a ‘secret deal’ with Ferrari over the legality of the team’s 2019 power unit.
The governing body revealed at the end of February that it had “reached a settlement” with the team over issues surrounding the fuel-flow rate in last year’s Ferrari engines used by the works team, Alfa Romeo and Haas.
But rival teams were upset that the details have been kept confidential, and that there has been no public confirmation that Ferrari actually broke the rules. A letter from all seven non-Ferrari affiliated teams demanded more details and answers.
Ecclestone: FIA leaves teams ‘no choice but to sue’
The teams raised a number of questions in a lengthy submission that gave Todt and Formula 1 CEO Chase Carey five days to respond, which they have now done.
“Three options were available,” Todt explained, according to the Daily Mail newspaper. “Closing the case, bringing the matter before the International Tribunal, or entering into a settlement.
“Such decisions fall to the president of the FIA, in accordance with the FIA judicial and disciplinary rules.
“The president informed and consulted with several other key FIA officials as well as the Formula 1 CEO with the objective of building a consensus on how best to address the case.
“He solicited and received recommendations from the FIA technical, legal and financial teams and also took advice from an external experienced attorney.”
For his part, Carey himself somewhat distanced himself from the decision, saying that neither he nor his colleagues at Liberty Media had played any part in the investigation. However he stated he was broadly in support of the FIA’s approach to the issue
A former Ferrari team principal during the Schumacher championship years, Todt agreed that the FIA was “not fully satisfied” that the Scuderia’s engine had been legal “at all times” last season.
But he said that the complexity of the systems involved had made it impossible to prove beyond doubt that Ferrari had transgressed the rules. He added that the terms of the settlement with Ferrari meant the FIA could not release further details with the team’s permission.
A new sealed fuel-flow sensor has been added to this year’s technical regulations in an attempt to ensure the same potential loophole cannot be exploited again in the future.
But that has done little to assuage the anger of the other teams in the paddock. The newspaper reports one anonymous team member as demanding: “If they can’t regulate the sport technically, is the FIA fit for purpose?”
Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers
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From the first moment of his premiership in March 2010, Mykola Azarov made clear how bleakly he saw Ukraine’s predicament. “Even the prime minister’s official automobile doesn’t work,” Azarov said, seated in front of ministers and a group of reporters at his cabinet’s first meeting. “A small example, but how can there be any order in Ukraine if the prime minister’s automobile doesn’t work?”
The rhetoric may have been awkward – ordinary Ukrainians may not much care for the ruling elite’s limousines – and his language, Ukrainian, may have been faulty, but the message was clear: even a banana republic can take better care of its leader’s Mercedes than Ukraine.
Factoring in Ukraine’s size, the ethnic-Russian Nikolai Azarov – or Mykola in the Ukrainian version of his name – probably has a tougher task than any European prime minister. Ukraine is arguably the worst country in Europe for businessmen, its population has fallen by 15% in two decades, and it suffers from a schism between its Ukrainian-speaking west and Russian-speaking east so calcified that some believe it is doomed to remain in a split-state purgatory à la Belge.
Perhaps an olive branch to the opposition would ease those problems, but Azarov is no conciliator. Three years after taking up his post, he continues to rail against his predecessors, particularly Yulia Tymoshenko’s crimes and incompetence, as if to say: “See what a mess she left me? She even sabotaged the office car!”
Three years on, the party he leads – the Party of Regions – returned to power in October. But his government’s challenges remain daunting, most notably corruption, bureaucracy, and the judiciary – all are so rotten that Ukraine ranked 137th last year in a World Bank ranking of countries for ease of doing business.
Azarov’s path to power, and Ukraine, was circuitous. Born out of wedlock just after the war in Kaluga, a town 150 kilometres south-west of Moscow, Azarov took his mother’s maiden surname rather than that of his half-Estonian, half-Russian father. It was with his wife, Lyudmila, who is of Ukrainian descent, that he first travelled to Ukraine in the early 1970s. It was only in 1984, at the age of 36, that Azarov moved to Ukraine, taking up a post at a geological research centre in Donetsk, one of the Soviet Union’s coal-rich regions.
The Gorbachev era began soon after and, seeing Moscow as incapable of managing the economy and wanting desperately to sustain the industry to which he had dedicated two decades, Azarov entered public life. When Ukraine gained independence, a period marked by catastrophic economic decline (output contracted some 70%), Azarov, by now a professor of geology specialising in gold-bearing veins, plunged into politics. In the years after 1994, when he became a member of parliament, Azarov acquired a range of experience – of taxes, budget policy, national security – that moulded him into the statistics-loving technocrat he is today. Along the way, he entered the inner circle of the then president Leonid Kuchma and another Donetsk native, Viktor Yanukovych.
When Yanukovych became prime minister in 2002, he brought Azarov along as finance minister. Two years later the Orange Revolution – which Azarov damns as a huge step backwards in economic development – pulled the rug of power from beneath their feet, but the pendulum of Ukrainian politics returned both men back to power in 2006, then once again to the opposition, and then – in early 2010 – to the country’s two highest posts after Yanukovych won the presidency in a campaign managed by Azarov.
Fact File
Curriculum vitae
1947: Born, Kaluga, Soviet Union
1971: Graduated in geology from Moscow State University
1971-84: Managerial positions in coal industry
1984-95: Ukraine State Research Institute for Mining
1986: Doctorate in geology
1994-98: Member of parliament
1996-
2002: Head of State Tax Inspectorate
2001: Leader of the Party of Regions
2002-05: First deputy prime minister, finance minister (under President Leonid Kuchma)
2006-07: First deputy prime minister, finance minister (under President Viktor Yushchenko)
2007-10: Member of parliament
2010-: Prime minister
Azarov, in short, is beholden to Yanukovych, and has limited room to shape government policy. But Yanukovych also relies on Azarov for the nitty-gritty of statecraft. Nor should Azarov’s role in shaping Yanukovych’s thinking be underestimated as the president considers the major crossroads at which Ukraine stands – a choice between a Russia-led customs club or a trade agreement with the EU.
Judged by his statements, Azarov dreams of seeing Ukraine join the European family, but understands that this will not happen soon. “The technical backwardness can be overcome rather quickly,” Azarov, who often points to the South Korean and Singaporean economic miracles, said last year, “but the transformation of mentality, traditions, customs….it’s a very lengthy process. Society resists. Society wants to remain the way it is. Changing anything is very difficult.” He then defined his government’s mission unambiguously: “Ukraine’s task is to modernise its society, economy, and step-by-step approach those standards that we see in Europe.”
It is all very noble-sounding from a man who professes a fondness for books and paintings, but Azarov cannot escape blame for the slowness of the transformation of Ukraine’s mentality or politics. He has been one of Ukraine’s leading politicians for nearly two decades and, for example, was from 1996 to 2002 head of the tax inspectorate, a body criticised for arbitrary and politicised harassment. Nor is Azarov helping himself now. His son, for instance, won a parliamentary seat in October for the Party of Regions. Perhaps 41-year-old Aleksei was the best qualified individual in that district, and perhaps he won fairly, but the perception of nepotism lingers damagingly.
Azarov’s difficulty in managing perceptions applies, more importantly, to the case of Tymoshenko. She may very well be guilty of having abused her power as prime minister in 2007-10, but the methods used against her, and several of her ministers, created the perception of a witch-hunt mandated by Yanukovych and Azarov. If the country’s two most powerful men cannot guarantee “European standards” in this high-profile case, as well as Tymoshenko’s subsequent imprisonment, what hope can there be for all cases not under the international spotlight?
Perhaps Ukraine’s leaders fail to understand or choose to ignore the extremely important subtleties of good governance raised by these cases, and by the European Commission. That failure of understanding or will is why the weathervane of Ukraine’s destiny currently appears to point eastward, for, if Brussels cares about human rights, fair elections, and the rule of law, Moscow has no such concerns. Azarov may complain now about how much Ukraine pays for Russia’s gas, but he may conclude that it is easier to pay Moscow a premium rather than to swallow the EU’s medicine.
Both Ukraine and the European Union say they want to sign an association agreement by this November. That gives Azarov, who is in the twilight of his career, just months to decide whether he wants history to portray him as a true reformer, or as the vassal of a president who turned his back on Europe and embraced the opaque world of ‘Eastern standards’.
Gary Peach
Correction: This article originally indicated that Azarov took his surname from his wife, rather than from his mother.