Le passage du puissant typhon Faxai, qui a balayé Tokyo dans la nuit du dimanche 8 au lundi 9 septembre, deux morts, des dizaines de blessés, et provoqué des coupures de courant et de graves perturbations dans les transports, selon les autorités.Une quinquagénaire, emportée par la puissance du vent en traversant une rue, a été tuée après avoir heurté un mur, a annoncé la police de la mégapole. Un homme de 87 ans est aussi décédé lundi matin. Il a été retrouvé sous un arbre dans la préfecture de Chiba, selon un porte-parole de la police locale. Près de 60 personnes ont par ailleurs été blessées dans la région, selon les chiffres donnés en début de soirée par la chaîne publique NHK.Des dégâts matériels A Tokyo, ici et là, des bouts d’enseignes de magasins, des morceaux de toits ou de vérandas arrachés ainsi que des arbres, parapluies déchiquetés ou détritus jonchaient les rues. Les autorités maintenaient toujours, lundi, des recommandations d’évacuation, non obligatoires, pour près de 340 000 personnes. Des arrondissements de la capitale ont d’ailleurs décidé de fermer les écoles lundi en raison des dangers liés au vent.Quelques dégâts ont aussi été constatés sur des rails. Jusqu’à la mi-journée lundi, les transports ferroviaires étaient très fortement perturbés, à une échelle rare dans l’archipel. Les lignes qu’empruntent habituellement des millions de salariés japonais étaient totalement stoppées et les rares trains ou rames de métro circulant en début de journée pris d’assaut. Plusieurs centaines de vols ont aussi été annulés entre dimanche et lundi et des autoroutes côtières fermées à l’ouest de la capitale. L’équipe australienne de rugby retardée L’arrivée de Faxai sur Tokyo coïncide avec celle, prévue, des équipes devant participer à la Coupe du monde de rugby, qui débute le 20 septembre au Japon. L’équipe de France a atterri et a pu rejoindre son camp d’entraînement près du mont Fuji juste avant l’arrivée du typhon, mais les Australiens, qui devaient arriver lundi matin, n’ont pas eu cette chance.Click Here: Cardiff Blues Store
Month: March 2020
“Cosmopolis” : Robert Pattinson et David Cronenberg au micro ! [VIDEO]
L’idole des jeunes filles en fleurs prend un nouveau départ sous la direction du maître canadien. Rencontre cannoise avec les deux hommes, venus présenter “Cosmopolis” en compétition…
Cosmopolis, de David Cronenberg, avec Robert Pattinson, Paul Giamatti, Sarah Gadon…
Synopsis : Dans un New York en ébullition, l’ère du capitalisme touche à sa fin. Eric Packer, golden boy de la haute finance, s’engouffre dans sa limousine blanche. Alors que la visite du président des Etats-Unis paralyse Manhattan, Eric Packer n’a qu’une seule obsession : une coupe de cheveux chez son coiffeur à l’autre bout de la ville. Au fur et à mesure de la journée, le chaos s’installe, et il assiste, impuissant, à l’effondrement de son empire. Il est aussi certain qu’on va l’assassiner. Quand ? Où ? Il s’apprête à vivre les 24 heures les plus importantes de sa vie.
L’interview de David Cronenberg et Robert Pattinson :
Propos recueillis le 26 mai 2012 par Alexis Geng
“Boule & Bill” : les photos et la date de sortie! [PHOTOS]
Découvrez les premières photos officielles de “Boule & Bill” d’Alexandre Charlot & Franck Magnier, sur nos écrans le 6 février 2013.
Découvrez les premières photos officielles de Boule et Bill d’Alexandre Charlot & Franck Magnier ! Emmené par Franck Dubosc, Marina Foïs et le jeune Charles Crombez, le long métrage sortira sur nos écrans le 6 février 2013. Adapté des albums de Jean Roba, le film revient sur la rencontre à la SPA de Boule et Bill. Une fois Bill adopté, c’est le début d’une grande amitié entre le garçonnet et le chien. Pour les parents en revanche, c’est le début des ennuis… Et c’est parti pour une grande aventure en famille !
Franck Dubosc, Marina Foïs, Charles Crombez et Bill – ©LGM / Bruno Calvo
Bill – ©LGM / Bruno Calvo
Laêtitia Forhan
Le rideau est tombé sur la Cure salée, le Festival des Nomades au nord du Niger
Comme chaque année, les festivités ont duré trois jours, du 13 au 15 septembre dans la localité d’In’Gall au nord du pays. L’occasion d’inaugurer le marché de bétail moderne de la ville et de poser la première pierre pour la construction du laboratoire régional d’élevage dans la région d’Agadez.Mais la Cure salée, c’est beaucoup plus qu’une cérémonie protocolaire. C’est un grand rendez-vous du monde pastoral qui rassemble des milliers d’éleveurs touaregs, peuls et arabes venus du Niger et des pays de la sous-région. Chaque année, de nombreux troupeaux en transhumance se retrouvent regroupés dans la vallée d’Irhazer, une zone réputée pour ses pâturages riches en sel minéraux. L’Agence nigérienne de presse (ANP) explique que la Cure salée est née de l’expansion des pasteurs touaregs vers le sud nigérien, où se concentrent les principales zones agricoles. Dès les premières pluies et jusqu’à la fin de l’hivernage, les pasteurs nomades entament un grand mouvement de transhumance pastorale en direction des zones salées du Nord. Le cheptel y trouve non seulement les pâturages, mais aussi l’eau salée très précieuse pour la santé animale.Si la Cure salée permet de satisfaire les besoins des animaux, elle est aussi devenue, au fil des ans, l’occasion pour les Touaregs et les Peuls de renouer des liens d’amitiés et d’échanger des informations après une année de séparation.Ils profitent des célébrations pour vivre leurs traditions, célébrer des mariages, participer à des chants et des danses ou prendre part à diverses compétitionsAgence nigérienne de presseParmi les moments les plus forts, l’ANP cite les courses effrénées des Touaregs à dos de dromadaires ou les danses des hommes peuls, cherchant par leur beauté, leur maquillage et leurs parures excentriques, a obtenir la préférence des femmes. Autrefois, la Cure salée était pour les nomades l’occasion de préparer les transactions dans le cadre de la caravane du sel et de rencontrer d’autres caravaniers nord-africains. Elle avait aussi une dimension politique qui servait à régler les conflits, indique l’ANP.Cette dimension a été depuis la nuit des temps la plus importante. Elle permettait de régler les problèmes essentiels des populations nomades réunies autour du SultanAgence nigérienne de presseAujourd’hui, le Niger veut donner à ce rendez-vous annuel, une véritable dimension économique, sociale et culturelle. Un outil de développement et de consolidation de la paix dans le nord du pays.Click Here: All Blacks Rugby Jersey
Le Rwanda, nouvelle destination de safari en Afrique
C’est un pays du centre de l’Afrique qui, après avoir connu et vécu un génocide, est en train de devenir l’une des économies les plus solides du continent. Le Rwanda attire les investisseurs, mais il attire aussi les touristes. Ils sont des milliers prêts à dépenser des fortunes pour aller observer les gorilles de la forêt rwandaise. “On avait des rhinocéros noirs, ils ont tous été tués”, explique une guide aux touristes. Dans une réserve de l’est du pays, le territoire a été livré aux braconniers durant le génocide.Le tourisme de luxe mis en avantPour les rhinocéros, ils sont revenus d’Afrique du Sud. 17 ont été capturés afin d’être introduits au Rwanda. Une opération difficile, qui visait à faire du pays une destination de safari, à l’instar du Kenya et de la Tanzanie. Pour mettre en avant ses atouts, le gouvernement a sorti le grand jeu, avec notamment un contrat de trois ans avec le club de football anglais d’Arsenal. Un partenariat à plus de 30 millions d’euros. Une dépense colossale, défendue comme un investissement pour favoriser un tourisme de luxe, et non pas de masse.Le JT
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JT de 20h du mercredi 16 octobre 2019 L’intégrale
Les autres sujets du JT
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Ethiopie : Jawar Mohammed, l’ancien allié du Premier ministre Abiy Ahmed, accusé d’attiser les mécontentements
Pas d’état de grâce pour le Nobel de la paix 2019. Alors qu’il se trouvait à Sotchi le 23 octobre pour participer au sommet Russie-Afrique, le Premier ministre éthiopien, tout juste gratifié du prestigieux prix, apprenait que des affrontements étaient en cours à Addis Abeba entre forces de l’ordre et manifestants, mais aussi entre communautés ethniques. Selon la police, au moins 67 personnes ont trouvé la mort lors de ces violences qui se sont étendues à la région d’Oromia.Le feu couvait sous la cendreA son retour, Abiy Ahmed, artisan de la paix avec l’Erythrée voisine et auteur de nombreuses réformes, s’est alarmé d’une “tentative de transformer la crise actuelle en une crise ethnique et religieuse“, visant, sans le nommer, le fondateur du média d’opposition Oromia Media Network (OMN) Jawar Mohammed, qui a pris ses distances avec le Premier ministre.Longtemps livré à l’autoritarisme de la minorité tigréenne du Nord, le pays n’a-t-il pas vu la légalisation des groupes dissidents et l’amélioration de la liberté de la presse ? Mais cette ouverture a, en même temps, permis une expression plus libre des tensions intercommunautaires et des nationalismes ethniques. Or, ces tensions ne demandent qu’à s’embraser au moindre échauffement. L’Ethiopie, deuxième pays le plus peuplé d’Afrique avec 110 millions d’habitants, est composé de 80 ethnies, au bas mot. Dans cette mosaïque, le peuple oromo est le plus nombreux et le plus revendicatif.
Ses deux représentants les plus célèbres sont aujourd’hui aux antipodes l’un de l’autre. D’un côté, un Premier ministre réformateur, appelant à l’unité des Ethiopiens face à la tentation extrémiste, de l’autre, un militant survolté, controversé et peu sensible aux réformes engagées par Abiy Ahmed. Leur hostilité a éclaté au grand jour lorsque Jawar Mohammed a accusé le chef du gouvernement de vouloir “instaurer une dictature“. Une opposition qui illustre les divisions au sein même de l’ethnie oromo. Cette situation pourrait affaiblir le soutien à Abiy Ahmed à quelques mois d’élections législatives promises par son programme et prévues pour mai 2020.1,7 million d’abonnés sur FacebookJawar Mohammed n’a d’ailleurs pas exclu une éventuelle candidature contre le Premier ministre. “C’est une possibilité, a-t-il affirmé à l’AFP. Je veux avoir un rôle actif dans ces élections. Je ne sais pas encore à quel titre, mais je veux que l’influence que j’exerce dans le pays se concrétise positivement.“L’homme, qui réunit 1,7 million d’abonnés sur Facebook, est régulièrement accusé par ses détracteurs d’inciter à la haine ethnique. En août 2018, le quotidien Le Monde remarquait déjà à propos de Jawar Mohammed que “certains observateurs ne peuvent s’empêcher de craindre le réveil d’un ultranationalisme oromo et les agissements d’un personnage provocateur, fier d’avoir ‘créé une génération prête à mourir en masse’. Jawar est très dangereux, d’une ambition folle et démagogue.’“Click Here: Putters
Movers & Shakers
Movers & Shakers
Nataša Goršek Mencin has been appointed head of the European Commission’s representation in Slovenia. She was previously head of the European Parliament’s information office in Ljubljana.
Vladimir Drobnjak has been appointed Croatia’s ambassador to the European Union. Drobnjak, who was the chief negotiator during his country’s negotiations to join the EU, replaces Branko Baricevic.
Roch Doliveux has been appointed chairman of the governing board of the Innovative Medicines Initiative, a public-private partnership between the EU and the European Federation of Pharmaceutical Industries and Associations. He is chief executive of UCB, a bio-pharmaceutical company.
Alena Vlacihová has been appointed director of the Czech Business Representation to the EU in Brussels (CEBRE). Vlacihová previously worked for the Czech ministry of finance on preparations for the country’s presidency of the Council of Ministers. She replaces Michal Kadera.
Loïc Lespagnol has been appointed co-ordinator of Rolls-Royce’s EU affairs team in Brussels. He previously worked for Thales in Brussels. Peter Lochbihler has also joined the firm, as a senior manager for EU affairs. Lochbihler previously worked as an account director for Fipra International.
Wills Hughes-Wilson has been appointed vice-president of government affairs and policy in the Brussels office of Sobi, a Swedish bio-pharmaceutical company. She was previously vice-president for health and market access policy for Europe at Genzyme Corporation.
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National ministers increase fishing quotas
National ministers increase fishing quotas
Conservation groups criticise deal.
Ministers responsible for fisheries have attracted stinging criticism from conservation groups after increasing many of the fishing quotas for 2012 proposed by the European Commission during negotiations on Friday (16 December).
According to an analysis conducted by Oceana, an advocacy group, the approved fishing limits are more than 20% higher than the levels proposed by the Commission, which were already higher than the maximum sustainability yields recommended by scientists to sustain fish populations. Oceana said these recommendations would be exceeded by 41%. Ministers followed the Commission proposal for only 14 of the 75 fish stocks.
“Ministers made a mockery of stated ambitions to reform the Common Fisheries Policy [CFP],” said Monica Verbeek, executive director of Seas At Risk, a campaign group. “The CFP reform process must put an end to this yearly disgrace.” Ministers’ decisions have exceeded scientific recommendations by an average of 47% since 2003.
But ministers hailed the agreement as a balanced approach that would protect fishermen. Poland’s deputy agriculture minister Tedeusz Nalewajk, who led the talks, told a news conference that the limits “strike the right balance between the needs of the fisheries sector and the protection of stocks”.
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Cod-cut rejection
A Commission proposal to ban cod catches in the Irish Sea and the Kattegat Strait was rejected by the ministers, who opted instead for cuts of 25% and 30% respectively. But they agreed to the Commission’s proposal for a ban on catching cod in the seas west of Scotland.
In British and Irish waters, the increase in quotas was offset by stiffer restrictions on the number of days that vessels can fish. But the number of allowable fishing days was increased from the Commission’s original proposal. Richard Benyon, the UK’s fisheries minister, said he had secured the “best possible deal” for Britain.
The Commission’s proposal to set default quotas for fish stocks with poor data was also modified. A blanket quota of either 15% or 25% was set for stocks for which the available data are poor, but the bar was lowered for what type of scientific evidence qualifies as ‘good data’. Ministers had said the work of local organisations in providing data should be recognised.
Louize Hill, head of fisheries policy at conservation group WWF, said that the ministers’ agreement contradicted the goals of CFP reforms proposed this year. “We should be laying the foundation for the upcoming reform, but they are ignoring it,” she said. As an example, she pointed to the abandonment of long-term management plans such as that for North Sea herring, even though long-term management is a central pillar of the reform.
The big questions
The big questions
Barroso’s staff forum is sure to be a hit.
!Do not even think of trying to contact a European Commission official next Tuesday morning (20 March), for that is when José Manuel Barroso, the Commission president, will be holding his next staff forum.
Those who are not honoured to be selected to attend the event in person will surely be following live via webstreaming. Barroso has decided that the event will be about “delivering stability and growth for Europe” and has sent out a page of fascinating stuff about economic governance and growth-enhancing measures, claiming that “the European Commission is a driving force in all these issues”.
Maroš Šefcovic, the European commissioner for administration, will also be in attendance, just in case any ill-trained official should attempt to raise issues that staff actually want to talk about – such as delivering changes to employment contracts and a 5% reduction in posts.
A different kind of response?
A different kind of response?
EU leaders discuss job creation and spending.
Billed as the summit for growth and jobs, this was the moment that leaders of the European Union’s member states tried to alter the public perception that their response to the sovereign-debt crisis is just about austerity.
So, amid the more pressing concerns of a Greek economy teetering on the brink of collapse and the need to agree the text of an inter-governmental treaty on fiscal discipline, leaders did their best to talk about spending and employment creation too, in the hope that this message would start to take hold.
It is a tough challenge. Not only have the popular protests that have spread across southern Europe persuaded people that the ordinary citizen is bearing the brunt of northern-Europe-imposed cuts, job losses, tax rises and attacks on pension benefits – the inter-governmental treaty itself, with its constitutional obligation to rein in spending, serves only to re-enforce that belief.
One does not have to completely agree with a senior British official who said last week that the treaty “essentially makes Keynesianism illegal” to realise that countries have an uphill task to sort out their image problem.
Leaders promised to do more to “get Europe out of the crisis”, through “growth-friendly consolidation and job-friendly growth”. Herman Van Rompuy, the president of the European Council, said that this meant “slashing deficits, but not investments for the future” and “increasing the competitiveness of our companies, while making it more attractive for them to hire people”.
But government leaders are facing more than an image problem. Countries have very little room for manoeuvre, something that José Manuel Barroso, the president of the European Commission, acknowledged at the conclusion of the summit. He said that national governments had to focus on structural reforms “precisely because there is no space for fiscal stimulus”.
They have their work cut out. Greece and Portugal are extreme cases, but figures published on Tuesday (31 January) showed that across the eurozone, unemployment stands at its highest rate since the introduction of the single currency.
Details of the plans to stimulate growth have, for the most part, been left to the next European Council, in March. That Council will give a country-by-country assessment of economic and employment policies, although this week national leaders said that the Council would have to pay attention to the growing divergences between member states’ economic situations and the social consequences of the crisis.
Fact File
Plan for jobs
The European Union says it will:
Work with member states that have the highest levels of youth employment to ‘re-direct available EU funds towards support for young people to get into work or training’.
Increase the number of placements in businesses under the European Commission’s Leonardo da Vinci programme.
Use the European social fund to set up apprenticeship schemes.
Promote cross-border labour mobility.
In the short term, the Council made a declaration of aspiration and intent on three issues: creating jobs for young people; completing the single market; and helping small and medium-sized enterprises (SMEs). The statement is short of numbers and specifics on how much money might be reassigned and said that better targeting would have to be “within agreed ceilings”, implying that no new money would be available.
Single market
There are more specifics on the completion of the single market, as leaders attempt to squeeze every drop of growth potential out of the Commission’s existing legislative proposals. With a note of urgency, the Council called for agreements by the end of June on legislative proposals for standardisation, energy efficiency and the simplification of accounting requirements, and set a deadline of the end of the year for agreement on the simplification of public-procurement rules.
The Council also called for “rapid implementation” of the Commission’s action plan on e-commerce, which was published barely two weeks ago. It includes measures ranging from internet payment standardisation and protection for consumers who buy medicines online, to postal delivery improvements. Member states said they wanted a new legislative proposal on electronic signatures before June and an agreement on mobile phone roaming charges and on rules on online dispute resolution, also by June. More cautiously, the Council called for “modernisation” of Europe’s copyright regime to adapt to the digital economy and for “progress” in “structured discussions” on the co-ordination of tax policy issues.
The Council also urged member states to implement at national level what has already been agreed for the single market – particularly on services and the energy market. The Commission has been asked to report in June on ways to improve the implementation of single-market legislation.
With SMEs considered the backbone of the EU economy, member states promised to support them and help them benefit from the scant financial resources available. The Council said that by June there should be faster use of structural funds, “where appropriate re-programming monies and committing monies not yet allocated to specific projects, concentrating on growth enhancement and job creation”.
Also by June, support from the European Investment Bank for SMEs should be strengthened, the Commission’s proposal to use project bonds for infrastructure projects should be “rapidly examined” and it should be made easier for SMEs to gain access to venture capital.
Only Fredrik Reinfeldt, Sweden’s prime minister, did not endorse the Council statement. He must first obtain approval from his national parliament because he leads a minority government.
Identifying the priorities was the easy part. The difficult step will be to dispel the mood of austerity and to agree on measures that contribute swiftly to growth.
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