#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Au Sénat, les élus socialistes ont tenté de créer le crime d'”écocide”, conçu par analogie avec la notion de génocide, pour réprimer les crimes contre l’environnement. Mais leur proposition de loi, qui prévoyait une peine de réclusion criminelle de vingt ans et de 7,5 millions d’euros d’amende, a été rejetée par dans la nuit du jeudi 2 mai au vendredi 3 mai par les élus du Palais du Luxembourg, dont la majorité est à droite.Un texte “relativement flou”Selon le texte retoqué, un “écocide” correspondait à “une action concertée tendant à la destruction ou dégradation totale ou partielle d’un écosystème”, en temps de paix comme en temps de guerre, “de porter atteinte de façon grave et durable à l’environnement et aux conditions d’existence d’une population”.La droite sénatoriale a jugé que le texte présentait “trop d’imprécisions”. De son côté, Brune Poirson, la secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique, a pointé un texte “relativement flou sur certains points, source d’insécurité juridique”.La notion ne figure pas dans le droit internationalLa notion d'”écocide” est apparue au début des années 1970 après l’utilisation au Vietnam par l’armée américaine de l’agent orange. Ce défoliant chimique a détruit une partie importante de la forêt vietnamienne, et les conséquences sur la population (cancers, malformations…) se font encore sentir aujourd’hui.Si les attaques contre l’environnement ont fait leur entrée dans les textes internationaux relatifs aux conflits armés, les atteintes graves à l’environnement en temps de paix n’ont jamais été reconnues comme crime par le droit international.Click Here: Rugby league Jerseys

“La reine était habillée en rose aujourd’hui, est-ce que c’est un signe, est-ce que ça veut dire que c’est une fille ?”, demande Thomas Sotto à Arnaud Comte, en direct de Londres pour le désormais traditionnel détour londonien de France 2, dans l’attente du “Royal baby” de Meghan Markle et du Prince Harry. “C’est l’interprétation des spécialistes autoproclamés de la monarchie”. La couleur du chapeau et de la tenue de la reine d’Angleterre voudrait donc dire que le bébé est arrivé. “Moins on a d’information dans la vie, plus on fantasme et, dans ce domaine, la presse britannique, les tabloïds notamment, excellent”, ajoute le journaliste. Le bébé le plus attendu du royaumeLe bébé est très attendu au Royaume-Uni et éveille toutes les suspicions et les rumeurs, de la part des bookmakers et de la presse britannique. En effet, une nouvelle interprétation a fait surface dimanche 5 mai. Le terme de Meghan Markle serait dépassé, et il n’y aurait plus un seul bébé, mais deux. Le journaliste fait également remarquer qu’il n’y a toujours pas de fumée en provenance de Buckingham Palace. Le JT

• JT de 20h du dimanche 5 mai 2019 L’intégrale

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Après la libération de Patrick Picque et Laurent Lassimouillas et la mort de deux soldats français lors de l’opération au Burkina Faso, les critiques pointant leur éventuelle responsabilité se multiplient. Ont-ils fait preuve d’inconséquence en se rendant dans le nord du Bénin où ils ont été enlevés ? Pour Nicolas Hénin, ancien journaliste et ex-otage du groupe Etat islamique en Syrie en 2013, cette polémique est “déplacée”. “Dites-vous que les terroristes préféreront toujours que vous fassiez le procès de leurs victimes plutôt que le leur”, a-t-il écrit sur son compte Twitter, dimanche 12 mai. Franceinfo l’a interrogé.Franceinfo : Que pensez-vous des critiques visant les deux ex-otages ?Nicolas Hénin : Pour le moment, je n’arrive pas à faire moi-même le tri entre les informations sur “Est-ce que la zone était rouge ? Est-ce qu’elle était orange ?” Je préfère rester extrêmement prudent et je ne veux pas présumer d’erreurs que Patrick Picque et Laurent Lassimouillas ont commises ou non. Je ne veux blâmer personne, ni les ex-otages sur de potentielles erreurs d’appréciation, ni le Quai d’Orsay, ni la communication de Jean-Yves Le Drian, le ministre des Affaires étrangères.Il faut que l’on soit tous conscients que Patrick Picque et Laurent Lassimouillas ont subi une violence considérable. Le fait d’être pris en otage est une atrocité.Nicolas Héninà franceinfoIndépendamment de violences physiques particulières qu’ils ont pu subir, lorsque l’on est pris en otage, on est privé de liberté, on se voit mourir, on imagine le pire. C’est une violence monstrueuse, pour eux et pour leurs proches.Pourquoi la polémique sert-elle les terroristes ?Nous prolongeons le traumatisme des otages. J’espère que la première chose que les anciens otages ont fait, ce n’est pas d’ouvrir Twitter ou d’aller consulter les commentaires au bas des articles consacrés à leur libération parce que ce serait une autre prolongation de la violence qu’ils ont subie.Ce que souhaitent les terroristes, c’est disloquer la société. Le terrorisme est une violence asymétrique parce que les groupes terroristes n’ont pas du tout les moyens dont dispose un Etat. Alors ils ont besoin que la société qu’ils ciblent se déchire.La polémique les sert parfaitement parce que tout le temps et toute l’énergie que nous passons  à chercher la responsabilité auprès de telle victime ou de tel ministre, c’est du temps qu’on ne passe pas à savourer la victoire de l’opération qui a permis la libération de quatre otages.Nicolas Héninà franceinfoC’est aussi une agression vis-à-vis des victimes, car cela prolonge l’action des terroristes et c’est insupportable – et c’est aussi un affaiblissement de notre cohésion alors que nous aurions toutes les raisons de nous retrouver, je dirais même de communier, pour célébrer le retour de nos compatriotes et honorer la mémoire de ceux qui sont tombés lors de l’opération.Ne faut-il pas, malgré tout, tirer les leçons de cette prise d’otages et de l’opération menée pour libérer les deux Français ?La polémique nous prive de moments importants de communion nationale. Mais cela ne signifie pas qu’il ne sera pas pertinent de débattre d’éventuelles responsabilités. Pour l’instant, il n’y a pas de débat. Ce sont des piques, de la stigmatisation.Il peut y avoir, plus tard, un moment pour faire un retour d’expérience, voir les dysfonctionnements éventuels, qui ont conduit à ce que les choses ne se passent pas comme nous aurions aimé qu’elles se passent.Il faut un temps pour tout : un temps pour le deuil, un temps pour l’analyse.Nicolas Héninà franceinfoNous vivons un deuil et cela demande de la dignité, de la hauteur de vue. Le seul moyen d’honorer la mémoire de nos militaires qui nous ont quittés, c’est de se retrouver.Click Here: Cardiff Blues Store

L’acteur et réalisateur américain Sean Penn, qui avait présidé le Jury en 2008, sera présent au Festival de Cannes le 18 mai, pour une soirée de collecte de fonds en faveur d’Haïti.

L’acteur et réalisateur américain Sean Penn, qui avait présidé le Jury en 2008, sera présent au Festival de Cannes le 18 mai pour une soirée de collecte de fonds en faveur d’Haïti, pays pour lequel l’artiste s’est beaucoup investi depuis le séisme de janvier 2012. Cette soirée, baptisée “Carnaval in Cannes”, soutiendra trois associations humanitaires : celle de Sean Penn lui-même, J/P Haitian Relief Organization, Artists for Peace and Justice et Happy Heart’s Fund. Dans un communiqué, le Festival de Cannes déclare être “heureux de s’associer au combat de Sean Penn en faveur d’Haïti et de ses habitants”, le Président Gilles Jacob saluant par ailleurs, à propos de la mobilisation de l’artiste, “cet engagement discret, humain et moral de bienfaiteur altruiste… (…)”

Clément Cuyer

Sean Penn, Josh Brolin, Ryan Gosling, Emma Stone et les années 40 : tous sont réunis dans “The Gangster Squad”, film policier signé Ruben Fleischer (“Bienvenue à Zombieland”) et dont la bande-annonce est en ligne.

Finie la comédie pour Ruben Fleischer (provisoirement en tout cas) ! Avec The Gangster Squad, et comme son titre l’indique plutôt bien, le réalisateur de Bienvenue à Zombieland se lance dans le thriller, avec une histoire vraie à la clé : celle d’une brigade officieuse chargée de mettre un terme aux agissements du parrain Mickey Cohen, à la fin des années 40. Pour l’occasion, il a réuni Ryan Gosling et Emma Stone (déjà ensemble au casting de Crazy, Stupid, Love), pour qu’ils donnent la réplique à Josh Brolin ou un Sean Penn maquillé pour ressembler au gangster cité plus haut. Attendu le 7 novembre dans nos salles, The Gangster Squad se dévoile aujourd’hui à travers une bande-annonce qui laisse entrevoir un long métrage aussi brutal que stylisé. La preuve en images.

Maximilien Pierrette

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Equal opportunities for all passengers

Implementation is holding back rules for disabled travellers.

I just want to be able to travel like everyone else. So too do 80 million persons with disabilities in Europe. But the truth is that often I am not allowed to board the same plane as other people. That is a reality highlighted by the case of the United Nations’ special rapporteur on disability, Shuaib Chalklen, in your article “Laws for air travellers’ rights ‘not working’” (14-19 April).

Chalklen was not allowed on board an aircraft on the grounds that he could not independently use the bathroom, an argument that paid no regard to his experience of flying or to his abilities. Put simply, Chalklen was refused transport because he is paraplegic. This is no one-off incident – barriers such as these are part of our everyday lives.

The European Commission has produced a specific regulation that sets out a clear framework about the rights of disabled persons when travelling by air. This is a solid piece of legislation in theory. However, as usual, problems have arisen with implementation.

Quite often these obstacles could be removed if there were a greater awareness of diversity and if there were a more inclusive approach to those with disabilities. Airlines show an acute lack of disability awareness. They need to work on ensuring comprehensive training to all their staff. This should be required by law.

People with disabilities are equal customers. They should be granted equal travel opportunities. In principle, they must be – the EU promises its citizens freedom of movement.

The disability movement is calling, quite humbly, for equal rights, which translates into equal access to transport, with persons with disabilities being granted the same amount of mobility as anyone else.

The Commission has made ambitious promises in this spirit for the foreseen European Accessibility Act, and we in the disability movement will keep a watchful eye on its next steps. Preferably this will become a binding legal instrument, because only once persons with disabilities can enjoy equal access to services and goods can the EU think of itself as a truly equal society.

It now rests with the Commission to ensure situations such as Chalklen’s become a thing of the past. In the meantime, I believe that José Manuel Barroso, the Commission’s president, could send a strong social message if he were finally to meet us.

Yannis Vardakastanis

President, European Disability Forum

Brussels

Putin to visit Brussels next week

Russian prime minister to meet European Commission, discuss closer ties.

Vladimir Putin, Russia’s prime minister, will meet José Manuel Barroso, the president of the European Commission, in Brussels next Thursday (24 February). Around a dozen government ministers will accompany Putin and meet their Commission counterparts, according to diplomats.

The agenda of the meeting is still being drafted but it will include a review of the ongoing negotiations on a new basic agreement governing bilateral relations, the Partnership for Modernisation, which was launched last summer, visa questions, and Russia’s bid to join the World Trade Organization, which was approved by the EU in December.

Barroso meets Uzbek president

Commission president describes highly controversial meeting as ’frank and open’.

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European Commission President José Manuel Barroso today met Islam Karimov, the president of Uzbekistan, for the first time since the EU lifted its sanctions against the government of the central Asian country.

In a statement released shortly after the meeting, Barroso described the encounter as “extremely frank and open”. “I have raised all key concerns of Europe, notably regarding human rights and fundamental freedoms, which stand at the heart of EU foreign policy,” Barroso said. 

The two leaders did not speak to the media, which is highly unusual for such meetings.

According to Barroso’s statement, Karimov, who has been in power for two decades and is accused of running an autocratic regime, “expressed his commitment to further deepen democratic reforms in Uzbekistan”.

Andijan massacre

The EU imposed sanctions on Uzbekistan after security forces in 2005 crushed demonstrations in the town of Andijan with great brutality, leaving hundreds dead. The EU demanded an investigation into the events, but eventually lifted the sanctions without any concessions from the Uzbek authorities.

“The European Union follows a policy of critical, conditional and comprehensive engagement with Uzbekistan,” Barroso said. “I believe it is through such a robust eye-to-eye dialogue, and not an empty-chair policy, that we can further the EU’s unanimously agreed policy of engagement most effectively.”

Barroso and Karimov signed a memorandum of understanding about energy relations and discussed regional issues, primarily the situation in Afghanistan.   

Pierre Vimont, the secretary-general of the EU’s External Action Service, signed an agreement to establish an EU delegation in Tashkent, Uzbekistan’s capital.

Human-rights criticism

Karimov’s visit to Brussels and his meeting with Barroso have been criticised by human rights campaigners who say that it sends the wrong signal to Central Asia’s worst dictator. “Karimov is an exceptionally brutal dictator and it’s appalling that Barroso would receive him,” Kenneth Roth, the executive director of Human Rights Watch, told European Voice.

The striker has his eyes on switching disciplines when he calls time on his football career and an American football icon has put his services forward

Harry Kane has made no secret of his ambition to one day become an American football kicker, and NFL legend Morten Andersen has offered his assistance to the Spurs striker while he continues his injury rehabilitation behind closed doors amid coronavirus protocols.

Kane has been making steady progress in recovering from a hamstring injury suffered on New Year’s Day, the centre-forward having limped off the pitch during the eventual 1-0 defeat to Southampton.

The England forward himself claims that he is mere weeks away from being fit enough to train with Spurs first-team, but resumption of training for any club will largely depend on government advice surrounding the containment of Covid-19.

Regardless, NFL icon Andersen had urged Kane to give him a call, stating that he can help the striker not only with training for his dream to one day play American football, but also with his mental strength and confidence after having spent so long away from the pitch.

Andersen, ambassador for betting comparison site BonusCodeBets.co.uk, said: “Since Harry is housebound with nothing to do right now trying to get back to full fitness, I could send him my mental protocols and he could start visualising how to become an NFL kicker. 

“For elite athletes, an idle mind is the devil’s playground, so I could certainly help Harry with his mental aptitude so that when he goes back out onto the pitch after this lockdown, it will be like he never went away.

“If he’s dreaming about taking the winning kick in a Super Bowl – which he says he wants to do – he needs to contact me. It doesn’t happen automatically, he needs to be taught properly – if not, it could be a rude awakening for him.

“He needs to earn the right and I’d love to work with a talent such as Harry. If I can take one of the best European footballers and transition him into the best American sport, I’d be really proud, so give me a call! 

“So the offer is still there if he wants to learn properly – and there’s no better moment than now when he has a lot of spare time to help fulfil his dream!”

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The Portuguese starlet is set to link up with his new club in the summer and his fellow attacker believes he is up to the challenge of La Liga

Barcelona loanee Abel Ruiz says his Braga team-mate Francisco Trincao is “more than ready” to star for the Camp Nou club when his July transfer is completed, and feels the left-footed forward shares some of the same attributes as his future captain, Lionel Messi.

Trincao was snapped up by Barcelona in the January transfer window, the 20-year-old putting pen to paper on a €31 million (£26m/$34m) deal that would see him finish the 2019-20 season in the Portuguese top-flight before making his move to La Liga.

Current club-mate Ruiz, however, is set to complete a permanent move to Braga in the summer for around €8m (£7m/$9m), having been loaned to the Liga NOS outfit at the same time that negotiations for Trincao were taking place.

While Ruiz has called time on his Barca career – at least for now – he is happy for his new friend and believes the winger will hit the ground running with the Spanish champions.

“He has a lot of personality,” fellow forward Ruiz told Mundo Deportivo. “He’s a very good player and I’m sure he’ll do well at Barca. He has so much quality. He can go wide on either side, right or left. He has a good shot, he’s very complete.

Asked to compare Trincao to another player, he added: “I’d say he’s similar to Messi, but you can’t compare anyone to Leo. He’s your typical left-footer with good dribbling – he’s skilful.

“If he plays on the right, he comes inside and hits a fierce shot. On the left, he beats players and sets up a lot of goals.

“He’s more than ready. He’s perfectly capable of playing there and he’ll do very well. We don’t know how the squad will be made up next season but obviously he’ll have competition.

“Great teams have great players in all positions and he’ll have to win himself a place, just like anywhere else.”

Trincao, meanwhile, despite being focused on Braga in the short term, cannot wait to link up with his new skipper and described his signing as a dream.

“I’m really looking forward to meeting [Messi] and being able to play alongside him,” the starlet said. “When the signing was completed, it was incredible, a dream for me.”

He added: “Abel speaks very highly of what’s waiting for me, from the players to the city, everything.”