Barack Obama: Happy Birthday, Mr President

Meg Ryan, Boy George, Manu Chao, Susan Boyle, Daniela Lombroso, Ingrid Betancourt, Karl Zéro… Ces personnalités que tout oppose partagent avec le président américain, le fait d’être né en 1961. Joyeux anniversaire, Barack Obama!

Jamais facile d’accepter le temps qui passe, d’encaisser les années, de franchir un cap… surtout lorsqu’on s’appelle Barack Obama! Né le 4 août 1961, le président américain souffle aujourd’hui sa 48e bougie. Un anniversaire sur fond de polémique.
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Histoire d’O (usées)

Pas de célébration en grande pompe ni d’escapade en amoureux. Sa popularité mise à mal, l’homme de Washington va fêter ses 48 ans en déjeunant ce mardi 4 août avec ses amis du Sénat. Le chef de la première puissance mondiale consacre actuellement un tiers de sa journée à une grande réforme de la santé en souffrance depuis 40 ans. En plein déficit budgétaire, ce projet consiste à fournir une couverture maladie aux quelque 46 millions d’Américains qui en sont dépourvus.

Passé sous les (appréciables) 60% d’opinions favorables dans tous les sondages récents, il joue là une grande partie de son capital. L’ancien élu de l’Illinois retrouvera autour de la table de la Maison Blanche les 58 Démocrates et les deux indépendants qui votent généralement avec eux.

Première désillusion: ils ne goûteront pas aux fruits de Michelle Obama. Adieux épinards, petits pois, frisée et brocolis… Le rêve «vert» de la First Lady n’aura duré que quatre mois et demi. D’après lepoint.fr, le potager bio ne verra jamais le jour, le jardin de la demeure présidentielle ayant été traité avec des produits chimiques. «Selon les analyses qui ont été effectuées sur le terrain, des eaux usées contenant de fortes quantités de plomb auraient été utilisées pour arroser la pelouse… notamment par Bill et Hillary Clinton!», nous révèle le site de l’hebdomadaire.

Dans les jours à venir, tandis que les parlementaires auront chaussé les palmes et laissé l’ouvrage en plan, que la première dame aura abandonné pelles et râteaux, Barack Obama, une année de plus au compteur, continuera à payer de sa personne, de réunions publiques en briefings.

La rentrée de septembre est pleine de chausse-trapes: au Congrès (sécurité sociale, mais aussi lutte contre le réchauffement climatique, régulation financière) ou sur la scène internationale (sommet du G20, ONU, Iran). Et dire que Barry n’aura même pas un radis!

Born in the USA?

Si personne ne met en doute la date, le lieu de naissance de Barack Hussein Obama, fils du Kényan, Barack Obama Senior (économiste et homme politique, mort dans un accident de la circulation, le 24 novembre 1982) et de l’Américaine, Stanley Ann Dunham (diplômée d’Anthropologie, décédée en 1995 de maladie) fait polémique.

Un groupe appelé les «birthers» (nativistes) assure que le premier président afro-américain des Etats-Unis est né au Kenya, comme son père, et non pas à Hawaï. Or, s’il n’est pas véritablement un citoyen américain, Barack Obama ne peut assumer, selon la constitution, ses fonctions.

Le porte-parole de la Maison blanche, Robert Gibbs, n’a pas caché son exaspération, lundi au cours d’un point de presse, lorsqu’il a été interrogé sur le sujet: Si j’avais de l’ADN à disposition, je calmerais ceux qui ne croient pas qu’il (Obama) est né ici, a répliqué Gibbs. Mais j’ai une info pour eux et pour eux tous: le président est bien né à Honolulu, à Hawaï, le 50e Etat du plus grand pays à la surface de la Terre. Il en est bien citoyen. «Voici un an et demi, j’avais demandé à ce que son acte de naissance soit diffusé sur internet (…)», a rappelé Gibbs. Depuis, une copie scannée numériquement par l’état-civil circule sur le Web.

Cette théorie de la conspiration n’est pas nouvelle. Elle est apparue pour la première fois durant la campagne pour l’élection présidentielle de novembre 2008 mais elle reçoit plus d’attention dans certains médias américains cet été, période traditionnellement creuse en matière d’informations, pendant laquelle nombre d’Américains sont en vacances. La trêve estivale de notre baraqué quadra est aussi sujette à controverse.

La possibilité d’une île

«Est-ce qu’il y a des jours où je me dis: bon sang, ça commence à faire beaucoup? Absolument», a déclaré en direct à la télé le chef de l’Etat, le regard cerné et la chevelure blanchie. Malgré la crise, la famille Obama a prévu une destination paradisiaque… Mais certains lui en contestent le droit en ces temps difficiles. Est-ce qu’un héros, aussi fatigué soit-il, peut abandonner ses protégés?

Premier Noir à la Maison-Blanche, incarnation de l’espoir et messie des Etats-Unis, Barack Obama a commandé un pays en guerre, combattu la crise, et s’est engagé à «reconstruire l’Amérique». S’il a réussi à affronter l’adversité politique et un défi d’une ampleur sans précédent, Mister «O» a nettement plus de mal à faire accepter ses vacances au bord l’Atlantique…

Le locataire du Bureau Ovale doit s’exiler fin août au large du Massachusetts. Le couple (p)résidentiel et leurs deux filles, Malia et Sasha vont occuper une somptueuse demeure à Martha’s Vineyard, une station balnéaire au large de la côte entre Boston et New York.

Mais lorsque la gazette locale a annoncé qu’Obama avait loué la coquette Ferme du Héron Bleu, une immense propriété bâtie sur un terrain de plus de 11 hectares, avec sa piscine, son tennis, son terrain de basket, sa possibilité d’accès à la plage, les internautes courroucés ont été nombreux à écrire qu’il y avait mieux à faire quand les Américains font face à la pire récession depuis les années 30 et à un chômage menaçant d’atteindre 10%. Surtout quand ils ont lu que des villas bling-bling comme celles-là se monnayaient entre 35 et 50.000 dollars (entre 25 et 35.000 euros) la semaine!

«Si la question, c’est: est-ce que je pense tous les jours aux épreuves que les Américains traversent ? La réponse est: absolument. Est-ce que, cela devrait m’empêcher de passer quelques moments précieux avec mes filles? Je ne crois pas que ce soit ce que le peuple attend de moi», a répondu Obama à la chaîne CBS.

L’effet (Kiss) Cool

Ouf! La maturité s’accompagne parfois de jolies surprises. Présent a point nommé pour le plus hype et le plus fun des présidents, Barack Obama a fait son entrée ce mois-ci dans la bible du slang. Le dictionnaire argotique de l’Université UCLA de Los Angeles, très attendu des spécialistes tous les quatre ans, mentionne dans sa sixième édition le nom du chef de l’Etat, qui s’en tire avantageusement. «T’es tellement obama» signifie en effet «t’es tellement cool». Mieux qu’un cadeau, «You’re so obama» est devenu un vrai compliment. Quarante-huit ans? Le plus bel âge. N’est-ce pas Monsieur le Président?

Justine Boivin

Mardi 4 août 2009

Argentine : un enfant de 5 ans survit pendant 24 heures dans le désert

Une journée à errer seul. Un enfant de 5 ans, qui s’était égaré lors d’une promenade en famille, a été retrouvé sain et sauf après 24 heures passées dans un désert d’El Salado, dans la province de San Juan, dans l’ouest de l’Argentine, selon les secouristes, rapporte le quotidien Clarin, le 18 mars.Les autorités de la province de San Juan et un millier de bénévoles se sont lancés à sa recherche et c’est un ancien pilote de moto du rallye Dakar qui l’a localisé, à 21 km du point où il avait été vu pour la dernière fois. L’enfant a été hospitalisé, légèrement déshydraté.“J’ai eu froid, j’ai mal dormi, appuyé sur une pierre, a-t-il raconté au quotidien à sa sortie de l’hôpital, mardi. Il a également raconté qu’il avait bu dans un ruisseau et mangé de l’herbe. “Il a passé 24 heures dans la nature, ce n’est pas rien”, s’est étonné le motard qui l’a retrouvé, Alberto Ontiveros, soulignant que des pumas rôdent dans cette région.Click Here: st kilda saints guernsey 2019

Exposition : Toutânkhamon fascine toujours autant

À peine ouverte au public, l’exposition Toutankhâmon est déjà un succès. Le mystère du pharaon attise toujours autant la curiosité. Les visiteurs trouvent à l’intérieur des trésors de sa tombe. Des pièces précieuses, intactes depuis 3 000 ans, sont exposées. Certaines sortent d’Égypte pour la première fois.Un prix élevé, mais justifié“J’avais déjà vu Toutankhâmon au Caire, mais je dois dire que cette fois-ci la présentation est exceptionnelle”, déclare une visiteuse.200 000 tickets ont été prévendus en quelques jours, un immense succès malgré un tarif de 22 euros pour rentrer. Un prix justifié pour beaucoup de personnes venues voir l’exposition dès son premier jour, samedi 23 mars. Il reste six mois pour profiter de l’exposition, qui prend place à la grande halle de la Vilette de Paris.Le JT

  • Soir 3 du dimanche 24 mars 2019 L’intégrale

Les autres sujets du JT

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    Syrie : pas de triomphalisme après la victoire sur Daech

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    Terrorisme : Daech, c’est vraiment fini ?

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    “Gilets jaunes” : un acte 19 plus calme que le précédent

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    Trèbes : les victimes honorées un an après les attentats

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    Brexit : la rue se mobilise pour un nouveau vote

  • 6

    L’invité : Paul de La Panouse

Xi Jinping en France : une visite à enjeux pour l’Europe

Quel est l’enjeu de la venue du président chinois en France ? “L’enjeu est à la fois diplomatique et économique. Les investissements chinois en Europe sont de plus en plus importants. L’inquiétude des Européens est grandissante, parce que Pékin investit dans des secteurs stratégiques, que ce soit dans les nouvelles technologies, comme la 5G, ou encore dans les transports, comme les ports de Pirée (Grèce) ou de Gènes (Italie)“, explique la journaliste Anne Bourse, en duplex depuis le palais présidentiel. “Face à cette offensive, les Européens sont divisés. Certains y voient une opportunité. L’Italie vient par exemple de signer l’accord des nouvelles routes de la soie, un gigantesque projet d’infrastructures maritimes et terrestres“, ajoute-t-elle.Angela Merkel et Jean-Claude Juncker appelés en renfort”Pour tenter de faire respecter le multilatéralisme et présenter un front uni, Emmanuel Macron a convié Angela Merkel et Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, mardi soir à l’Élysée, pour un entretien avec Xi Jinping. Mais avant cela, les présidents français et chinois auront déjà eu plusieurs discussions, puisqu’ils ont dîné dimanche soir à Beaulieu-sur-Mer (Alpes-Maritimes), sur la Côte d’Azur, et ils retrouvent lundi en début d’après-midi à l’Arc de Triomphe, avant un dîner d’État à l’Élysée lundi soir. Parmi les invités, outre les politiques et chefs d’entreprises, quelques vedettes du cinéma ou de la chanson, comme Alain Delon, Jean-Michel Jarre ou Hélène Rollès, de la série Hélène et les Garçons, chanteuse à succès en Chine et dont le président Xi Jinping est, paraît-il, fan“, conclut Anne Bourse.Le JT

  • JT de 12/13 du lundi 25 mars 2019 L’intégrale

Les autres sujets du JT

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    Angine : bientôt un test remboursé en pharmacie ?

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    “Made in France” : 12% des kiwis viennent d’Italie

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    Affaire Alexia Costa : le procès est ouvert

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    Abdelkader Merah : de retour devant la justice

  • 5

    Présidentielle américaine : aucune preuve de collusion avec la Russie, Trump crie victoire

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    Roubaix : des jeunes incités à la mobilité

  • 7

    Pensions alimentaires impayées : des solutions existent

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    Métier : une laiterie en plein cœur de Paris

  • 9

    Méditerranée : le réchauffement climatique inquiète

  • 10

    Florent Manaudou : les JO de Tokyo et Paris en ligne de mire

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Disparition d’Emiliano Sala : le pilote de l’avion n’était pas habilité à voler de nuit

Est-ce la principale raison du crash ou une circonstance aggravante ? Selon la BBC, le pilote de l’avion qui transportait le footballeur Emiliano Sala était daltonien. David Ibbotson n’était ainsi pas habilité à voler la nuit, son problème aux yeux lui empêchant de distinguer normalement les couleurs vertes et rouges. Le pilote n’était par ailleurs pas autorisé à effectuer des vols commerciaux à bord de l’avion en question.Un imbroglio financier“Emiliano Sala valait 17 millions d’euros. Il avait été vendu par Nantes au club gallois de Cardiff, le contrat avait été paraphé 4 heures avant le décollage de l’avion, si bien que Nantes considère qu’il ne lui appartenait plus et que Cardiff doit donc régler cette somme-là”, rapporte le journaliste Arnaud Comte depuis Londres (Royaume-Uni). De son côté, le club gallois refuse de payer et estime que tout n’avait pas été entièrement réglé dans le contrat. La Fédération internationale de football a été saisie ; elle devrait se prononcer dans les prochaines semaines.Le JT

  • JT de 20h du samedi 30 mars 2019 L’intégrale

Les autres sujets du JT

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    Réformes Blanquer : les enseignants dans la rue

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    Éducation nationale : quelles réformes ?

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    Football amateur : le casier judiciaire désormais exigé

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    Manifestations : comment la police traque les casseurs ?

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    Venezuela : la situation complètement bloquée ?

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    Sultanat de Brunei : George Clooney appelle au boycott

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    États-Unis : les Rolling Stones suspendent leur tournée en raison de l’état de santé de Mick Jagger

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    Patrimoine mondial : le Maghreb plaide pour le couscous

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    Français du bout du monde : un photographe au plus près du volcan

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    “Le Petit Nicolas” de Goscinny et Sempé fête ses 60 ans

Turquie : le parti AKP perd Ankara, un premier revers pour le président Erdogan

En seize ans de pouvoir, c’est son premier revers. Le parti islamo-conservateur de Recep Tayyip Erdogan vient de perdre Ankara et très certainement Istanbul (Turquie), selon des résultats encore partiels. Le président, qui avait pesé de tout son poids dans cette campagne municipale, est contraint d’assumer ce camouflet électoral. “Dès demain matin, nous allons commencer à travailler pour identifier nos faiblesses et y remédier“, a-t-il lancé à la foule.Un président contestéCela fait vingt-cinq ans que le parti AKP règne en maître absolu sur ces deux villes. Recep Tayyip Erdogan a même été maire d’Istanbul, poumon économique de la Turquie. À Ankara, la capitale, l’opposition est nettement en tête. Le candidat Mansur Yavas a su attirer les voix de ceux qui subissent de plein fouet la récession et les prix qui grimpent. En pleine chute de la livre turque, le président Erdogan paie la crise économique et ses pleins pouvoirs. 125 000 fonctionnaires limogés, trois journaux et une chaîne de télévision fermés, cette purge a été sans précédent en Turquie. Le JT

  • JT de 20h du lundi 1 avril 2019 L’intégrale

Les autres sujets du JT

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    Maison de retraite : enquête sur la mort de cinq résidents

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    Maisons de retraite : la restauration en question

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    Prothèses dentaires : objectif reste à charge zéro

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    Santé : où en est-on du reste à charge zéro ?

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    Gaz : les consommateurs font jouer la concurrence

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    Impôt sur le revenu : la majorité veut réduire les deux premières tranches

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    Hypermarchés : la stratégie des “corners”, ces boutiques dans la boutique

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    Besançon : des violences policières ?

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    Sibeth Ndiaye : une fidèle en première ligne

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    Syrie : entre radicales et ultra-radicales, les femmes de combattants de l’EI se déchirent dans le camp de déplacés de Al-Hol

  • 11

    Témoignage : Evan, un jeune autiste qui prépare son avenir

  • 12

    Norvège : un restaurant sous la mer

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Maroc : la peine de 20 ans de prison confirmée pour Nasser Zefzafi, chef de file de la contestation dans le Rif

“C’est un verdict choquant”, a réagi l’avocat des manifestants, Mohamed Aghnaj, dans un entretien téléphonique le 6 avril 2019 à l’agence Reuters. Cela “montre que la cour d’appel n’a pas suffisamment étudié le dossier”, a-t-il commenté.Agé d’une quarantaine d’années, Nasser Zefzafi avait été arrêté en mai 2017 et transféré dans une prison de Casablanca après avoir organisé des manifestations dans sa ville d’al-Hoceima. Poursuivi notamment pour atteinte à la sûreté de l’Etat, il avait été condamné à 20 ans de prison ferme.Les prévenus ont boycotté un procès “non équitable”Avec ses discours virulents contre l’Etat “corrompu” ou “l’arbitraire” du pouvoir, il s’était imposé comme le visage du Hirak al-Chaabi (mouvement de contestation populaire) du Rif, dans le nord du pays. Un mouvement qui a débuté en octobre 2016 après la mort de Mouhcine Fikri, un vendeur de poisson mort broyé dans une benne à ordures où il tentait de récupérer sa marchandise confisquée et jetée par la police.Jugé en appel aux côtés de 41 autres accusés, cet ancien chômeur était absent à l’énoncé de la sentence : comme tous ses compagnons détenus, il boycotte les audiences depuis janvier pour dénoncer un procès “non équitable”.Cet homme à la mâchoire carrée avait été arrêté il y a deux ans pour avoir interrompu le prêche d’un imam hostile au mouvement dans une mosquée d’al-Hoceïma, épicentre de la protestation qui a secoué la région historiquement frondeuse et marginalisée du Rif jusqu’en juillet 2017.Zefzafi torturé lors d’un interrogatoireAprès son arrestation, il “a été placé à l’isolement plus de quinze mois” pendant l’enquête “dans des conditions s’apparentant à de la torture”, selon Amnesty International. Pendant le procès en première instance, le meneur avait lui-même assuré avoir été “torturé” pendant un interrogatoire de la police. Finaliste du prestigieux prix Sakharov pour la liberté de conscience 2019, il vient d’être proposé pour le prix des droits de l’Homme Vaclav Havel 2019. Toutes les accusations de violences policières ont systématiquement été rejetées par les autorités marocaines.Trois autres prévenus, Nabil Ahmijeq, Wassim el-Boustani et Samir Aghid, condamnés eux aussi à 20 ans de réclusion, ont vu leurs sentences confirmées par la cour d’appel de Casablanca. Comme toutes les autres d’ailleurs, prononcées en première instance.La cour d’appel a été “clémente”Une trentaine d’activistes avaient écopé en juin 2018 de peines allant de deux à quinze ans de réclusion. Onze d’entre eux avaient ensuite été graciés par le roi. D’après le procureur, le tribunal a confirmé le verdict “parce qu’il n’y avait aucun élément nouveau après que l’avocat de la défense et ses clients se sont abstenus de se rendre aux audiences”. La cour d’appel a été “clémente” dans son jugement à l’encontre de Zefzafi, a ajouté Mohamed al-Houssaini Karout, soulignant que les charges retenues contre lui étaient passibles d’une peine de 30 ans de prison.Dans le contexte d’un soulèvement en Algérie et d’une recrudescence du chaos en Libye, la justice marocaine a confirmé ces sentences prenant le risque d’être accusée à nouveau de violations des droits de l’Homme.Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

Sport : une Iranienne va disputer pour la première fois un match de boxe officiel

C’est une première mondiale. À 24 ans, Sadaf Khadem est venue d’Iran pour disputer un match de boxe à Royan, en Charente-Maritime. “Je mentirais si je disais que ça ne m’inquiète pas, donc j’essaye de me concentrer sur l’événement pour que ça passe”, témoigne la jeune femme. Arrivée directement de Téhéran le 4 avril dernier, elle s’entraîne d’arrache-pied sous l’œil de son coach Mayar Monshipour, ancien champion du monde de boxe.Une interdiction de boxer en publicLe CIO (comité international olympique) a sommé les pays réfractaires à la mixité dans le sport d’introduire des femmes à certaines disciplines, sous peine d’exclusion. Mais comme il est interdit aux femmes de boxer en public en Iran, Sadaf Khadem a obtenu sa licence en France. Samedi 13 avril, elle va disputer un match en trois rounds dont l’enjeu devrait largement dépasser les limites du ring. En quelques jours, la jeune femme est devenue l’ambassadrice des sportives de son pays, elle a notamment été reçue par le maire de Poitiers (Vienne).Le JT

  • JT de 19/20 du samedi 13 avril 2019 L’intégrale

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    Gilets jaunes : 22e samedi de mobilisation dans toute la France

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    “Gilets jaunes” : Emmanuel Macron prépare sa réponse

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    Europe : retour à la terre en Italie

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    Météo : les viticulteurs se préparent au gel

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    Tendance : le prix de la course à pied

  • 6

    Musique : une version inédite d'”Amsterdam” de Jacques Brel

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Šemeta wants ‘FAT’ tax to rein in European banks

Šemeta wants ‘FAT’ tax to rein in European banks

Financial activities tax presents ‘fewer’ obstacles.

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9/29/10, 10:19 PM CET

Updated 5/19/14, 4:23 PM CET

The European Commission will next week reject calls from some member states for the EU to promise a tax on financial transactions without waiting for a global agreement.

Algirdas Šemeta, the European commissioner for taxation, will present a policy paper on 7 October that is expected to say that the EU should opt instead for a financial activities tax (FAT), ahead of a financial transactions tax (FTT), because the introduction of an FAT would present fewer practical obstacles.

The EU pushed at a summit of the G20 group of developed and emerging economies in June for agreement on a global FTT, but the idea generated little enthusiasm among other G20 members. The EU is to make a second attempt at the next G20 summit, in November.

But Šemeta’s message will disappoint the governments of France and Germany, which believe that the successful introduction of an EU FTT is technically possible, and that Europe should be prepared to go ahead on its own, if necessary. Austria, Finland and Greece have also expressed support for the idea.

Tax options

The Commission prepared a detailed working paper on financial-sector taxation for a ministerial discussion on the issue that took place on 7 September. The paper examined various options for introducing either an FTT, or an FAT, at EU level but did not pronounce on the desirability of either option.

Commission sources said that the policy paper would not be finalised until after a two-day meeting of EU finance ministers that begins today (30 September).

They said, however, that comments made on Tuesday (28 September) by José Manuel Barroso, the president of the European Commission, indicated the direction of the Commission’s thinking.

“The Commission will present proposals for taxing financial activities,” Barroso told a financial conference.

He said that, in parallel, the EU would continue to discuss “a global financial transactions tax with our international partners”.

Concern about competition

The Commission and several member states (including the UK, Spain, Sweden and the Netherlands) are concerned that introducing an FTT at EU level might displace trading activity outside Europe. The European Central Bank has also expressed serious doubts about an EU FTT.

An FTT would tax trading in shares and bonds, and possibly also derivatives. Supporters of the tax argue that it would reduce market volatility, by deterring people from making spurious trades, while raising money that could either be used to repair damage done to public finances by the economic crisis, or to fund important societal causes such as supporting international development or fighting climate change.

Excess profits

A FAT, by contrast, is targeted at the ‘excess profits’ that banks make, with the help of cheaper borrowing rates because investors assume that governments will act to rescue banks from collapse.

Christine Lagarde, France’s finance minister, said earlier this month that she had not seriously considered the idea of an EU FAT, because it seemed too similar to France’s existing plans for a bank levy, rather than an additional measure.

The German government has included revenue from a financial-transactions tax into its budget plans for 2011. It believes such a tax could raise €2 billion each year for the state coffers.

Nicolas Sarkozy, France’s president, last week told the United Nations’ general assembly that the international community should introduce a transactions tax.

“Finance has globalised, so why should we not ask finance to participate in stabilising the world by taking a tax on each financial transaction?” he said.

Authors:
Jim Brunsden