Gala a vu As I lay dying, de James Franco

Un voyage familial aux allures de convoi morbide.

Sa filmographie d’acteur étant une pochette surprise (Spider-Man, 127 heures, La planète des singes : les origines, Spring Breakers…), on attendait avec beaucoup de curiosité ce premier long-métrage en tant que réalisateur de James Franco, déjà rompu à la direction de courts. Il faudra attendre une autre réalisation pour être convaincu. Adaptation du roman Tandis que j’agonise de William Faulkner, racontant l’épopée d’un père de famille et de ses cinq enfants pour enterrer leur mère dans l’Amérique profonde du début du xxe siècle, As I Lay Dying promettait un drame familial prenant.

Abusant des split screens, des ralentis et des monologues face caméra, James Franco signe une mise en scène artificielle et creuse, digne d’un étudiant en cinéma, faisant passer la dramaturgie de l’histoire au second plan. Quelques moments engagent une émotion, Franco l’acteur et Logan Marshall-Green brillent par leur intensité, mais la fascination plutôt snob de Franco le réalisateur pour la laideur et la brutalité des ploucs américains décourage. Efforts à poursuivre.
De James Franco, avec James Franco, Logan Marshall-Green, Tim Blake Nelson, Jim Parrack, Ahna O’Reilly. 1 h 50. Un Certain Regard.

Kim Kardashian répond aux menaces de mort

Stop! Kim K en assez de toute la frénésie qui entoure sa grossesse. Alors qu’auparavant la jeune femme a souvent posé pour les paparazzis, aujourd’hui, alors qu’elle va bientôt accoucher, Kim Kardashian a peur d’eux. La future maman aurait reçu des menaces de mort.

Kim K a peur, et elle le fait savoir, sur Twitter : «Je ne voulais pas laisser les paparazzis prendre des photos de moi, ils m’ont menacée de mort et ont dit que si je continuais à les en empêcher, ils feraient de mon monde un endroit dangereux! Comment osent-ils menacer ma vie et celle de mon futur enfant? C’est devenu hors de contrôle».

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Dans un message publié hier, sur Twitter, à ses 17 millions de followers, la star de télé-réalité de 32 ans s’est confiée sur ses craintes: «Hier, quatre voitures m’ont bloquée. Une devant, une derrière et une de chaque côté, m’obligeant à conduire à la même allure qu’eux afin qu’ils puissent prendre des photos à travers les fenêtres. C’est vraiment effrayant de voir qu’ils sont légalement autorisés à le faire».

Les paparazzis, éternel problème des stars… Et si Kim K reconnaît avoir souvent profité de leur travail, aujourd’hui, alors qu’elle change de vie, la star est lassée des pratiques de ces photographes : «J’ai été conciliante pendant des années. Aujourd’hui, toutes les photos qu’ils prennent ne sont pas flatteuses et des rumeurs folles sont montées de toutes pièces, alors pourquoi devrais-je les laisser me harceler et leur sourire?».

«Laissez-moi s’il vous plaît profiter de mon dernier mois de grossesse sans risques ni crainte de sortir de chez moi à cause des choses dangereuses qu’ils ont menacé de me faire», implore la future maman.

«Je sais que ma vie est publique. Je vis dans une émission de télé-réalité pour que le monde la regarde, reconnaît la jeune femme. Mais ça ne signifie pas que je ne veux pas faire de pause une fois que les caméras s’arrêtent de tourner». À quelques semaines de son accouchement, Kim K va devoir se faire une raison, les paparazzis devraient à coup sûr se battre pour obtenir la première photo du bébé…

Rencontre avec le réalisateur de “The Impossible” !

Cinq ans après avoir marqué les esprits avec son premier film, l’Espagnol Juan Antonio Bayona quitte les couloirs de “L’Orphelinat” pour les côtes de la Thaïlande, ravagées par le tsunami de 2004. Un événement qu’il met au coeur de “The Impossible”, long métrage dont il nous a parlé lors de son passage à Paris.

C’est en 2007 (ou 2008 pour les Français) que Juan Antonio Bayona a fait une entrée fracassante dans le monde du cinéma avec son premier film, L’Orphelinat. Depuis, plus rien, jusqu’à aujourd’hui et la sortie de The Impossible. Délaissant le fantastique de son coup d’essai, il nous plonge dans une horreur bien réelle aux côtés d’Ewan McGregor et Naomi Watts, confrontés au terrible tsunami qui a ravagé l’Asie du Sud-Est en décembre 2004. Huit ans après les événements, le cinéaste espagnol nous les fait revivre, et il nous a parlé de ce projet long à monter.

Juan Antonio Bayona et Ewan McGregor : le calme avant la tempête – © SND

Allociné : Cinq ans se sont écoulés entre les sorties de “L’Orphelinat” et “The Impossible”. Pourquoi avoir mis autant de temps à faire ce deuxième film, et pourquoi votre choix s’est-il porté sur ce sujet ?

Juan Antonio Bayona : L’élaboration de The Impossible a effectivement pris plus de quatre ans, mais il en a déjà fallu un pour écrire le scénario, un peu plus d’un an pour mettre en place la partie technique, puis le tournage et le montage ont chacun demandé une année. Ça a donc été très long, mais nous ne disposions pas non plus du budget d’un blockbuster, donc nous avons dû faire le film avec moins d’argent, moins de personnes impliquées dessus, et prendre notre temps, ce qui fait que nous avons été un peu plus méticuleux, afin d’apporter un soin tout particulier à l’ensemble. Et si j’ai choisi ce film, c’est parce qu’il y avait certaines de mes obsessions déjà présentes dans L’Orphelinat, à savoir des personnages qui doivent grandir, mûrir. Dans mon premier film, c’était un adulte qui ne savait pas comment affronter le processus de maturation, alors qu’ici les événements sont vus à travers les yeux d’un enfant qui va mûrir tout au long de l’histoire. Il y a aussi l’idée de se confronter à la mort, et ces deux obsessions reviennent dans mes films, ce qui explique que je me sois intéressé à celui-ci.

Dans les points communs entre vos deux films, il y a aussi le thème de la disparition de l’enfant. Pourquoi êtes-vous aussi fasciné par cet aspect ?

Ce qui est très présent dans mes deux films, c’est la relation mère/fils, appliquée à un contexte extrêmement intense. Donc au-delà de la disparition de l’enfant, ce qui m’intéresse davantage, c’est cette relation. Et dans le cas présent, contrairement à L’Orphelinat, il y a l’idée de l’héritage transmis, par la mère en l’occurence, au moment où elle sur le point de mourir et entend cet enfant, Danny (Johan Sundberg), qui appelle à l’aide et va le sauver : en celà elle donne une leçon à son fils. Et à la fin du film, elle se voit récompensée puisque ce dernier se met un peu dans le rôle du père et vient la consoler. Pour moi c’est vraiment la nature de cette relation qui m’intéresse, beaucoup plus que la disparition d’un enfant en elle-même.

Naomi Watts et Juan Antonio Bayona dans le grand bain – © SND

Vous parliez du budget un peu plus tôt : est-ce qu’il vous fallait nécessairement des acteurs aussi connus qu’Ewan McGregor et Naomi Watts pour aider le projet à se monter ?

Oui, car c’est la réalité du marché : il me fallait des acteurs de renommée internationale pour pouvoir obtenir le budget nécessaire pour faire le film, et c’eût été impossible de trouver les fonds uniquement en Espagne. Mais si la première version du scénario était écrite en espagnol, la grande majorité des dialogues étaient déjà en anglais, puisque cette famille parlait cette langue quand elle était en Thaïlande. Donc ça nous a finalement paru naturel de faire appel à des comédiens non-espagnols pour tourner le film. Et vous aurez remarqué que la nationnalité de la famille n’est jamais mentionnée, car il n’est pas question d’origine ou de classe sociale, mais de personnes plongées dans une situation intense.

Le fait que la vraie famille soit espagnole a-t-il quand même motivé votre choix de faire le film ?

Bien sûr. S’ils sont de la même nationalité, on se sent inévitablement plus proche. La première fois que j’ai entendu parler de leur histoire, c’était à la radio en Espagne, et j’ai ensuite eu envie d’en savoir plus sur la vraie Maria (jouée par Naomi Watts dans le film, ndlr). Or nous habitons dans la même ville donc nous nous sommes rencontrés dans un café du centre-ville, ce qui créé une proximité toute particulière. Mais j’ai quand même voulu aborder cette histoire comme une page blanche, pour que les spectateurs puissent plus facilement se projeter et s’identifier aux personnages, et je ne voulais pas qu’on en sache trop sur eux avant l’arrivée de la vague, car c’est le tsunami et ce qui se passe après qui les humanise. Ce qui m’intéressait, c’était l’étape de conscience qui suit cette vague.

Juan Antonio Bayona (à droite) sur le terrain – © SND

Etait-ce un choix de votre part de vous éloigner du registre fantastique, afin de ne pas vous enfermer dedans ?

Quand on décide de faire un film, on ne pense pas au genre qui est, pour moi, une étiquette qu’on lui colle de l’extérieur, une convetion. Et on ne fait pas un long métrage pour qu’on en parle, mais pour qu’il soit vu, et quand on choisit un projet, c’est autant pour chercher quelque chose que se chercher soi-même, se trouver. Moi quand j’ai entendu cette histoire pour la première fois, j’ai senti une forte connexion entre elle et moi, et j’ai quelque part l’impression que c’est plus elle qui m’a choisi que l’inverse.

Vous mélangez en tout cas les genres dans vos deux films, et celui-ci tient autant du drame que du film-catastrophe voire de l’horreur. Est-ce que les scènes plus intenses vous permettent de rendre la partie dramatique plus puissante encore ?

Oui, cette intensité m’intéresse et je pense qu’on va au cinéma pour vivre une expérience capable de nous transporter en même temps. Ce qui m’a attiré dans l’histoire de The Impossible, c’est la façon dont les événements vont transformer les personnages, et c’est ce que j’ai voulu transmettre dans le long métrage, en même temps que l’idée de souffrance qui accompagne la survie. Dans L’Orphelinat, il y avait aussi cette notion de souffrance, mais c’était celle qui accompagne l’espoir. Et j’ai ici cherché à ce que cela soit transmis directement aux spectateurs, car ces derniers sont transportés en Thaïlande puis rentrent chez eux, comme la famille au coeur du film. Donc j’ai voulu les émouvoir au plus profond pour qu’ils réfléchissent au moment où ils rentrent chez eux, et cherchent presque le sens de la vie. C’est cette réflexion que j’ai voulu associer au film.

Propos recueillis par Maximilien Pierrette à Paris le 12 novembre 2012

La bande-annnonce de “The Impossible” :


Barry Levinson: Hoffman, De Niro, Redford et les autres

Le réalisateur de quelques grands succès populaires comme Rain man ou Good morning Vietnam nous parle de son nouveau film, The bay. Un film d’horreur inspiré par une catastrophe écologique. Rencontre avec un réalisateur qui a toujours porté chance aux grands acteurs.

Brève rencontre à Paris avec Barry Levinson, 71 ans, un des grands auteurs vivants de cinéma populaire, qui a sorti mercredi son nouveau film, The Bay.

Gala: The Bay est un film d’horreur. Un genre que vous n’aviez jamais abordé.

Barry Levinson: Ce qui m’intéressait c’était justement d’aborder le genre sans en posséder a priori les codes. Je n’ai aucune connaissance des films d’horreur, ni même de goût particulier pour ce type de cinéma. En revanche, je sais comment rendre une histoire attrayante, captivante et c’est ce que j’ai une nouvelle fois essayé de faire.

Gala: Votre film a un côté low cost qui le rapprocherait de certaines productions passées comme Blairwitch Project ou Paranormal Activity.

B.L.: Franchement, ils ne m’ont pas influencé. Au départ, on m’avait demandé de faire un documentaire écologique sur la détérioration des fonds sous-marins dans une baie de la côte est des Etats-Unis. J’ai commencé à faire rentrer pas mal d’archives sur le sujet. C’est alors que j’ai eu l’idée d’une histoire de catastrophe industrielle, mais qu’on traiterait en détournant une partie de ce matériel réel. Et qu’on tournerait vite pour donner du nerf à l’entreprise. Et en 18 jours c’était bouclé.

Gala: Ça stimule la créativité de devoir faire des films «pas chers»?

B.L.: Eventuellement…

Gala: Comment a été reçu le film aux Etats-Unis?

B.L.: Assez bien (le film a coûté 2 millions de dollars mais en a rapporté 30), mais avec assez peu de répercussion car on n’a bénéficié que d’un petit réseau de distribution (le film est sorti en novembre sur 23 écrans américains, NDLR). Et puis, il n’est pas considéré pleinement comme un film d’horreur «car on n’a vu personne sortir de la salle pendant sa projection» m’ont objecté certains… (il sourit).

Gala: Vous êtes pourtant une signature: «monsieur» Barry Levinson?

B.L.: Oui, mais beaucoup de gens à Hollywood se foutent de ce que j’ai fait avant.

Gala: L’histoire et ses répercussions dramatiques pour la vie des habitants d’une petite ville côtière fait penser aux Dents de la mer.

B.L.: C’est vrai, ça utilise la même idée. C’est aussi l’histoire d’un maire qui refuse de voir la réalité en face car il ne veut pas que sa réputation soit éclaboussée.

Gala: Qu’est ce qui vous fait peur dans la vie?

B.L.: Pas grand chose. Pas même sur le plan écolo. Je ne vois aucune raison de vivre pétrifié. Même si ça m’interpelle de savoir que l’irresponsabilité économique a pu conduire à développer des bactéries qui n’existaient pas… Cela dit, mon intérêt pour le golf m’a conduit à observer une chose inquiétante sur un plan climatique: l’autre soir je regardais une rétrospective sur les grands masters de golf et j’ai été frappé par la quantité de joueurs qui jouaient tête nue. Aujourd’hui, ils portent tous au moins une casquette, parce qu’on sait que le soleil peut brûler plus facilement qu’autre fois.

Gala: Vous avez tourné avec beaucoup de très grands acteurs que vos films ont conduit aux Oscars. Vous savez pourquoi?

B.L.: J’aime leur donner la possibilité d’explorer des situations que j’estime intéressantes comme acteur. J’ai été un moment acteur moi-même.

Gala: Rain Man est votre film le plus connu comme réalisateur.

B.L.: Tom Cruise et Dustin Hoffman s’étaient montrés d’une grande disponibilité. Savez-vous qu’on tournait en mode «nouvelle vague française»? A savoir que lorsqu’il me venait une nouvelle idée de scène ou de plan sur le plateau, et bien on y allait. Et les acteurs s’amusaient de cette situation et en rajoutaient en improvisation. Beaucoup de choses qui sont dans le film ne figuraient pas dans le scénario.

Gala: Qui serait l’acteur le plus impressionnant à vos yeux?

B.L.: Tous les grands. C’est très simple de travailler avec Robert De Niro, Dustin, Al Pacino, Robert Redford… On peut tout leur demander.

Gala: Robin Williams?

B.L.: On a fait trois films ensemble, il a un talent, une folie particulière. Avec lui c’est toujours «voyons jusqu’où on peut aller!»

Gala: L’un d’eux a-t-il pu vous intimider une fois?

B.L.: Non je ne crois pas, car je ne surinvestis pas sur eux. Et je n’intellectualise pas ce que je leur demande de faire devant une caméra.

Gala: Vos projets?

B.L.: Le biopic du gangster Whitey Bulger, d’après le bestseller de Dick Lehr et Gerald O’Neill du New York Times. Une fantastique histoire autour de la mafia de Baltimore. Avec Johnny Depp, que je devrais retrouver pour tourner à la fin de l’été… *

*… Mais peu après cet entretien, Johnny Depp a renoncé au projet de Barry Levinson, l’acteur refusant de revoir son cachet à la baisse. L’annonce a été faite au Marché du Festival de Cannes.

14-Year-Old Boy Beaten To Death By Classmate At Delhi School After Argument Over Wristband

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Brawls between schoolboys is not a new thing, but when but turns fatal, that becomes a grave matter of concern. In a recent incident, a class9th student was beaten to death by his classmates over a petty issue of a wristband. According to police, the incident took place at Jeevan Jyoti Senior Secondary School in Delhi’s Karawal Nagar area. All the juvelines have been detained by the police.

Police said that the victim, identified as 14-year-old Tushar Kumar, was found dead inside the school toilet on Thursday.

According to police, Tushar had a fight with one of the accused over a wristband which he had given the later a couple of days ago.Click Here: gold coast suns 2019 guernsey

Photos- Jennifer Lopez, radieuse pour l’ouverture de sa boutique

Chanteuse et businesswoman à la fois, Jennifer Lopez ne perd pas une occasion de faire marcher la machine à cash. À 44 ans, elle s’offre une marque de téléphonie mobile, Viva Movil, destinée aux latinos comme elle, et a, vendredi 27 juillet, inauguré sa première boutique, à Brooklyn, New-York.

Allô? Oui, oui, vous avez bien entendu, Jennifer Lopez s’est offert une marque de téléphonie mobile, Viva Movil, pour la communauté latino qui compose la grande majorité de son public. Elle nous l’avait annoncé en mai dernier à Las Vegas.

Deux mois plus tard, alors qu’elle vient de fêter ses 44 ans, J-Lo ouvre sa première boutique, dans le quartier new-yorkais de Brooklyn, où la communauté latino est très bien implantée, et s’est déplacée pour l’occasion. Elle avait même prévenu ses fans sur Twitter pour qu’ils viennent nombreux, ce qu’ils n’ont pas manqué de faire.

En robe blanche Elie Saab, escarpins Tom Ford et brushing toujours impeccable, Jennifer Lopez rayonnait. Les photographes ont d’ailleurs remarqué à son doigt une époustouflante bague sertie de diamants. Et si Casper Smart, son boyfriend, la lui avait offert pour des fiançailles? La bomba latina n’a pas encore réagi, mais par le passé, face aux rumeurs, elle avait indiqué qu’il ne fallait pas se fier aux diamants, une référence directe à son tube, Jenny from the block.

C’est peut-être seulement sa nouvelle carrière de businesswoman qui la rend si heureuse. Il faut dire que J-Lo prend son rôle d’ambassadrice très au sérieux. Face à un public déjà conquis (qui lui a visiblement pardonné l’épisode fâcheux du Turkménistan), la bomba latina, qui a prononcé son discours en anglais et en espagnol, était visiblement émue.

Adele bientôt au cinéma dans la peau de Dusty Springfield?

La vie d’Adele a tout du conte de fées. Après avoir vendu des disques en rafale, remporté son poids en Grammy Awards, interprété le générique du dernier James Bond, et rapporté chez elle un Oscar pour ce titre, la chanteuse s’apprête à faire carrière au cinéma. Selon les rumeurs, elle serait pressentie pour incarner Dusty Springfield, papesse de la soul blanche.

Elle est l’interprète de plusieurs grands hymnes de la musique soul contemporaine. De Son of a preacher man a You don’t have to say you love me en passant par Spooky, Dusty Springfield reprendra bientôt vie dans un biopic qui doit lui être consacré. Pour l’instant le film n’en est qu’aux prémices et donne lieu à nombre de rumeurs. On a déjà évoqué un certain Guy Ritchie (Snatch, Arnaques crimes et botanique) à la réalisation et les médias anglais croient savoir qui interprètera le rôle-titre, en choucroute blonde et robe moulante.

Du haut de ses 25 ans et de sa jeune carrière auréolée de succès, c’est la chanteuse britannique Adele Adkins qui serait l’heureuse élue pour prendre la tête d’affiche de ce film. Après une performance remarquée aux Oscars, en février dernier, l’interprète de Someone Like you pourrait bien continuer son histoire d’amour avec le septième art.

Selon le Daily Star qui annonce la nouvelle, « Adele est attachée à un projet, qui n’en est qu’au stade du développement ». Et, alors que les informations sur ce biopic fuitent depuis déjà quelques années, il y a fort à parier qu’il faudra encore patienter quelques mois (voire quelques années) avant de retrouver l’icône britannique des fifties dans les salles obscures.

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G20 ready to take action to support economic growth

China's Minister of Finance Lou Jiwei arrives for a press conference held at the close of the G20 | Ng Han Guan-Pool/Getty Images

G20 ready to take action to support economic growth

Finance ministers meeting in China express solidarity in limiting the wider impact of Brexit.

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7/24/16, 12:49 PM CET

Updated 8/17/17, 10:57 PM CET

The Group of 20 pledged continued cooperation on global issues, including the aftermath of the U.K.’s Brexit vote and international financial reforms in a communiqué following their meeting in China this weekend.

Brexit was high on the agenda, with finance ministers saying the G20 is “well positioned to proactively address the potential economic and financial consequences stemming from the U.K. referendum,” adding they hoped to see Britain as a “close partner of the EU” in the future.

The G20 is a forum of 19 countries with leading economies, plus the European Union. Finance ministers and central bankers met in Chengdu, China, on July 23 and 24.

They also acknowledged in their statement on Sunday other important financial regulatory initiatives, including the Basel Committee on Banking Supervision’s work on the much-debated Basel III reforms on bank capital requirements and “bail-in” tools for failing lenders.

The ministers also called on countries to commit to the OECD framework on tax transparency and efforts to clamp down on tax avoidance strategies employed by certain companies.

Meanwhile, they noted the “negative impact” on trade and workers caused by the weak global economic recovery and highlighted problems in the steel sector, in particular.

Excess capacity in steel is a “global issue” which requires “collective responses,” the ministers said, and noted that subsidies and other government support can cause “market disruptions.”

The G20 statement also called on countries to bring the Paris Agreement on Climate Change into force “as soon as possible,” and reaffirmed the members’ commitment to phase out fossil fuel subsidies “that encourage wasteful consumption.”

Authors:
Fiona Maxwell 

Europe’s lobbyists bank on Brexit

Businesses from mom-and-pop size to multinationals have warned that a British decision to quit the EU’s single market will devastate their bottom line, but there’s one industry that’s ready to make a killing: lobbying.

Uncertainty over what will happen after the June 23 referendum on the U.K.’s membership in the EU is already proving lucrative to lobbyists and public affairs consultants in London and Brussels, who say clients are pushing them for contingency plans and scenarios. The political chaos expected to ensue if Brexit really does happen, they say, promises to generate lots of billable hours.

“It would inject a degree of uncertainty in the political system and uncertainty tends to be beneficial from a commercial point of view for a consultancy, because we are there to act as guides,” said Richard Jukes, the U.K. and Ireland chairman of Grayling, who said he will vote for Brexit.

The potential post-Brexit boomlet would come at an opportune moment for the lobbying industry. Consultants say they have been struggling on the EU scene as Brussels dialed back the number of policy initiatives it pushed over the past 18 months. Partly that has been due to the Brexit debate itself — EU leaders haven’t wanted to fuel Euroskepticism in Britain — but partly it stems from political challenges like the migration crisis that have diverted attention from issues with more interest to corporate clients.

Now, the prospect of offering clients high-priced “intelligence” on legislative changes that could affect businesses in a U.K.-EU divorce proceeding has consultants in London and Brussels anticipating a big payday. They are already offering advice on how to react if a U.K. decision to leave the EU throws the bloc into political and economic turmoil.

“Those consultancies that have a Brussels presence would benefit hugely from Brexit because we would have intel coming from Brussels as to what the thinking is there,” Jukes said, adding that his clients in the financial services, hospitality, automobile and entertainment industries are particularly interested in Brexit fallout.

Game-planning

Peter Guilford, a partner in gplus europe, a consultancy headquartered in Brussels, said his clients have requested cost-benefit analyses on either outcome of the vote. Others want to know “chapter and verse” on what actually happens to legislation if the U.K. votes to leave, he said.

Even Hollywood wants to know all the possible angles. Guilford said his American clients in the entertainment industry have been concerned about how the intellectual property debate in the EU will be affected without the U.K. in the ring to fight for liberal copyright laws. He said they fear that the EU political climate will become more Franco-German, meaning more protectionist and less welcoming to American audio-visual content.

“It’s not just about what would happen to Britain, but how would the complexion of the EU change?” Guilford said. “It’s a very political view, at what rate would British influence over the decision-making process subside, if at all, and how they could counteract and make up for that.”

The U.K. hospitality industry is concerned about the possibility of fewer business travelers to Britain if companies move their headquarters from London to other European cities to stay in the EU single market. There’s also concern about the future administrative burdens and cost of employing workers who come from EU countries, such as those who come from Southern and Eastern Europe during high-traffic tourist seasons, according to Jukes.

“If you suddenly find it’s difficult to get seasonal workers coming from the EU, that will have an inflationary pressure,” said Jukes, who added that very few of his clients operate only in the U.K.

Carmakers, and other manufacturers who engage in cross-border trade, are looking at the impact of importing and exporting their goods and services to the U.K., how customs issues will affect annual projections, and if it’s worth continuing to invest in Britain.

It’s all adding to up to what lobbyists say could help be a big boost to the lobbying industry in London.

“You could see a scenario when U.K. interests will have to lobby even harder to get a good deal, because they’ll be on the back end of French and Italian companies,” said Russell Patten, the CEO of Grayling’s office in Brussels.

Good timing

When Jean-Claude Juncker took over as European Commission president in November 2014, he declared his main objective was for the EU to be “big on the big things, and small on the small things.” That has led to a streamlining of regulation, with more than 70 legislative proposals withdrawn by the EU’s executive body. That’s meant less for policymakers, politicians and lobbyists to do.

The same is true in Britain, where lobbying firms say that ahead of Brexit there’s been a legislative “logjam” in the U.K. Parliament over the past year — with fewer laws proposed because of concerns they would be unstitched following a Leave vote. The EU institutions have also tried not to rock the Brexit boat with policies that would antagonize Euroskeptics in Britain.

One lobbying executive, who asked not to be named, said some of his clients requested a halt to any EU activities until they knew the outcome of the British referendum.

“One of our clients is lobbying on energy and environmental issues, but if they are out, it will not make any sense,” said the executive, adding that the client was worried about the possibility of losing out on “a lot of money from the European Investment Bank.”

The slowdown has required some retooling on the part of consulting firms.

Burson-Marsteller cut six employees from the health team in its Brussels office in October 2015 and FleishmanHillard let four people go in 2015 ahead of restructuring in 2016. The head of the Burson-Marsteller office in Brussels said at the time of the changes that the firm was “diversifying skills to reflect the changing public affairs environment.”

Other firms said they are shifting with the times. “Our business is very good but obviously, it varies,” said Philippe Blanchard, managing partner in the Brussels office of Brunswick, who said the firm was adapting to the new environment by adapting its focus.

“Output lobbying is only one part of it, the main objective [of the Juncker Commission] was to reduce about 80 percent of the amount of legislation, so when you have an objective of doing less and there are less proposals going into the system, the Parliament is bored, so there’s less opportunity to do regulatory lobbying.”

Lobbyists looking to capitalize on a post-Brexit boom say the fallout from an Out vote would give them the chance to get back to their core work: influencing legislation. It would also put international lawyers in great demand as they explain to clients what new laws (or undoing of old laws) will hit their business.

The uptick would likely extend over the two-year period it takes for U.K. to decouple from the EU, a process that many lobbyists predict will take longer — and of course result in more billable hours.

But others say the short-term gain for their industry might not be worth the long-terms effects on the health of the EU economy, which is after all, their core business.

“I think Brexit will be good for us in the short term, but there be will so much uncertainty on what will happen,” said Karl Isaksson, chairman of the European Public Affairs Consultancies’ Association, which represents lobbying firms in the EU. “If it will be bad for Brussels and Europe in the long run.”

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Google’s New Growth Promise: Digital Skills Training for Two Million

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Google’s New Growth Promise: Digital Skills Training for Two Million

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3/3/16, 6:00 AM CET

Updated 3/4/16, 9:42 AM CET

In recent years, Europe’s economy has been growing in new, and different ways. One factor in this has been the online expansion of small and medium-sized enterprises (SMEs). Google partnered with Friends of Europe to bring some shining stars from Europe’s SME scene to Brussels, where Google’s European President Matt Brittin announced plans to expand the digital skills training initiatives which have been crucial in getting entrepreneurs started.

“We’ve already exceeded that — I’m here today to tell you that we’re doubling our pledge to two million,” Brittin said.

The extension of the project means providing training for two million Europeans through methods from university courses to online training platforms in 24 markets — and the news was warmly welcomed by those at the “Digital Skills: Creating Economic Growth Across Europe” event in the Residence Palace. There, entrepreneurs in areas from German interior design curation to hot-air balloon excursions over the English countryside met to discuss what had helped them take off. On hand to listen were EU officials, lawmakers, and member state representatives.

Europe has long relied on SMEs to provide growth. From the German Mittelstand, which exports high-quality industrial goods worldwide, to environmentally-friendly boutique hotels in the Mediterranean, small companies make a big difference. In recent years, going online has given these firms unprecedented access to customers worldwide, offering a global storefront for a vast array of goods and services.

During the morning session, business owners and entrepreneurs exchanged stories, discussed challenges and shared anecdotes about what had, and hadn’t worked for them. One thing they loved: online advertising to find a new market for existing businesses. “It’s purely because of the internet that we’ve gone global,” explained Lois Allan of L’Architrave. A licensed conveyancer in Italy, she’s been finding clients their dream homes there for thirty years. Online advertising brought her Dutch and Scandinavian customers, as well as Americans inspired by currency fluctuations. “The digital stuff is essential,” she concludes.

But there’s much more to work on. One big issue was the urgent need to complete the so-called Digital Single Market within the EU, by removing barriers between countries and making cross-border trade seamless. Related to that, the SMEs mentioned high distribution costs, different tax systems and VAT rates across Europe, as well as issues with taking online payments from customers abroad. Then there are issues related to copyright and intellectual property.

Moreover, online business models are constantly evolving, meaning legislation should be kept to a minimum to ensure it is future proof, Tomasz Husak from the Commission added.

Rules and regulations vary enormously between countries and sectors, hampering online businesses which are keen to grow but aware of limitations.

“We are fifteen in our company… we have a regulation in France that we can’t have more than three interns,” explained Maeva Bessis, Deputy CEO of L’Exception, which sells over 400 French fashion brands, online and from their boutique in Paris. “We have thousands of students that are asking ‘can we come and learn with you,’ and we can’t answer, because the regulation is not right.”

Getting experience with a company is a great way to learn, and this was one of many areas raised by panelists in the day’s main session, which dealt with digital skills. Maxime Cerutti of BusinessEurope highlighted the importance of apprenticeships in the digital world, while Tano Lopez, a Spanish entrepreneur, got his student network, Fleed, started after going on an Activate course in Spain.

Activate is one of Google’s many partnership programs across Europe designed to train the continent in digital skills: in Germany, they’ve been working with Commerzbank, DHL and the University of Leipzig, while in Italy partners include the Ministry of Labour and the UnionCamere employers’ association. Helping Europeans, in particular young people, develop the digital skills necessary to take part in the online workplace is essential.

According to the European Commission, there are currently 900,000 jobs at risk of going unfilled due to the lack of qualified staff. In a separate study, they note that between 2008 and 2014, SMEs added EUR 93 billion to the European economy. And, according the Commission’s report on SMEs, the main net job creators were often “young firms active in knowledge-intensive service sectors,” which sounds a lot like those making the most of the opportunities afforded by the web.

Overall, the entrepreneurs were excited about their success so far but keen to see the Digital Single Market completed to enable them to grow further. “There’s never been a better time to be an entrepreneur in Europe than now,” said Brittin, citing European success stories like flight-comparison site Skyscanner, “fantastic fun” French DJ app Edjing and photo editing app EyeEm. “It’s easy to be a pessimist… but I’m optimistic about Europe.”

Authors:
Google 

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