Miley Cyrus : une reprise de Led Zeppelin

Ces derniers temps, Miley Cyrus s’ennuie. La chanteuse a donc décidé, plutôt que d’écrire ou de composer, de faire une reprise de Babe I’m Gonna Leave You, dans la version du morceau produite par Led Zeppelin en 1969. Un classique qui semble hors de sa portée.

Quand Miley Cyrus, rejeton déjanté de la grande famille des popstars, annonce avoir repris Babe I’m Gonna Leave You de Led Zeppelin, plusieurs sentiments naissent chez les amateurs de musique. La surprise et la joie déjà, de voir une chanteuse à la réputation plus basée sur ses prestations sulfureuses que sur ses qualités musicales s’attaquer à un classique du rock’n’roll datant de 1969 (et même 1962, pour la version de Joan Baez). L’appréhension, ensuite : Miley Cyrus se montrera-t-elle convaincante ?

Malheureusement, la réponse apparaît très vite négative. Loin des rythmes qui lui permettent de twerker, la chanteuse se vautre dans une caricature rock, entre cris suramplifiés et pâle imitation de Robert Plant, le chanteur de Led Zeppelin. La voix de Miley Cyrus sonne comme celle d’une chanteuse de karaoké perdue dans des influences qu’elle admire mais qui sont bien loin de son niveau : le malaise est absolu, et la démarche elle-même est incompréhensible.

Désormais sculptrice (ses œuvres sont exposées à New York), Miley Cyrus cherche visiblement à se diversifier – y compris dans la musique. Il lui faudra encore quelques efforts pour réussir à le faire avec brio.

Pour écouter Miley Cyrus chanter Babe I’m Gonna Leave You, cliquez ici.

Crédits photos : MPI/CapitalPictures/Starface

Star Wars: C3PO fidèle au rendez-vous

Comme son comparse R2D2, le robot C3PO sera lui aussi de l’aventure dans le prochain Star Wars. Et comme pour les précédents, c’est le Britannique Anthony Daniels qui endossera le célèbre costume doré. Ce qui le réjouit au plus haut point.

Sa démarche saccadé, son phrasé impeccable mais parfois insupportable… C3PO a lui aussi grandement contribué au succès des premiers Star Wars et permis à la saga de George Lucas d’entrer dans l’imaginaire collectif. J.J.Abrams ne pouvait donc pas se passer du plus célèbre robot de protocole de la galaxie pour le septième épisode qu’il est en train de réaliser.

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Comme pour les six précédents films, c’est à nouveau le fringant Anthony Daniels qui interprètera C3PO. L’acteur a raconte à Entertainment Weekly comment le réalisateur l’a convaincu de reprendre le rôle. «Quand J. J. Abrams m’a téléphoné pour savoir si je voulais participer à l’aventure Star Wars VII, il a commencé, après m’avoir dit à quel point il me trouvait génial, ce qui n’a vraiment pas pris beaucoup de temps, par me demander si j’étais intéressé à l’idée de doubler à nouveau C-3PO. Je lui ai dit non, car je ne voulais pas me contenter seulement de lui prêter ma voix. Et il m’a répondu: « Super! Je savais que vous répondriez cela »».

Et voilà comment Anthony Daniels s’apprête à repartir pour des nouvelles aventures spatiales. Seul exigence de l’acteur: que le costume soit plus confortable que ceux qu’il a eu l’occasion de porter jusqu’ici. «Ils en ont donc fait un totalement nouveau identique à l’ancien avec des changements que vous ne remarquerez jamais à l’écran pour me rendre la vie simple, explique-t-il. Je peux donc l’enfiler et l’enlever très rapidement». Il espère aussi que le résultat sera meilleur que lors des trois derniers films où George Lucas a parfois fait appel aux images de synthèses pour mettre C3PO à l’écran. «Avec les préquels, C-3PO était en image de synthèse seulement lors des scènes dangereuses et je ne trouvais pas le résultat génial. En fait, je dirais que c’était raté. La difficulté, c’est que je connais et j’aime ce personnage, et comme un spectateur, je me dis: « Oh non, ce n’est pas réussi. Non, il ne se déplace pas comme cela! »».

Respectueux de l’esprit Star Wars et soucieux de ne pas froisser les fans de la première heure, J.J.Abrams devrait exploiter au mieux le talent d’Anthony Daniels. Qui ne manquera pas de pester et se défouler sur son acolyte R2D2.

Crédits photos : RONALDGRANT/MARY EVANS/SIPA

Alexandra Lamy & Chloé Jouannet: l’union sacrée

La vérité, on le sait, sort de la bouche des enfants. Alexandra a bien fait d’écouter sa fille Chloé. Ensemble, elles ont trouvé les moyens de faire fi de l’adversité. Pour mieux renaître.

On pourrait se contenter de dire : c’est un joli cliché. Sauf que c’est tellement plus que cela. Ce que les photographes, massés de part et d’autre du tapis rouge ce cinq septembre, jour de la cérémonie d’ouverture du quarantième Festival du cinéma américain de Deauville, ont capté dans leur objectif, c’est moins deux femmes, blondes et ravissantes, qu’une jolie lumière. Alexandra Lamy et Chloé Jouannet irradiaient, et pas seulement par la grâce d’une lumière bien réglée.

Regardez-les. D’un côté, une mère, de bientôt quarante-trois ans (le quatorze octobre), de l’autre, sa fille, de bientôt dix-sept ans (le dix-sept octobre), deux Balance, qui semblent affronter le monde avec le même regard bleu pétillant, la même fraîcheur, la même soif de croquer la vie. Il y a beaucoup dans cette image, oui. Il y a l’histoire d’une résurrection, d’une renaissance intérieure, d’une solidarité filiale aussi. C’est fou ce que l’amour peut faire ! En l’occurrence, celui d’une mère pour sa fille, et celui d’une fille pour sa mère : Chloé, encore adolescente, qui a redonné le goût de vivre à Alexandra.

Inutile de se voiler la face, la comédienne a dû traverser des moments sombres. Même si, pudique, elle n’a jamais prononcé un mot d’aigreur sur celui qu’elle a tant aimé, au point de l’épouser le 25 juillet 2009 à Anduze, dans ses Cévennes familiales, on se doute qu’on ne quitte pas Jean Dujardin sans y laisser des bleus à l’âme. C’était une belle histoire. Celle d’un duo de choc d’abord, qui, d’octobre 1999 à juin 2003, a déridé nos zygomatiques durant les 486 épisodes d’Un gars et une fille. Il y avait une telle symbiose entre Chouchou et Loulou à l’écran qu’elle a déteint sur leur vie, au point que chacun en vienne à quitter son conjoint respectif en 2003 pour faire route ensemble. Bonheur. Déclarations enflammées. Famille recomposée dans l’allégresse. Lui et ses deux fils, elle et sa fille. Ils avaient déjà connu les joies de la parentalité, ils vivraient leur amour sans contrainte.

Et puis, il y eut le maelstrom The Artist. Un film somptueux, récompensé de la France à Moscou, de Berlin à Hollywood. Alexandra, souvent au premier rang, suivant son homme avec fierté. On se souvient de son émotion quand Jean a reçu l’oscar ! Mais on n’en a vu que l’écume gratifiante. On n’a pas su l’épuisement d’une promotion qui n’en finissait pas. Jean, de moins en moins là, de plus en plus happé. Jean, préparant aussi avec son pote Gilles LelloucheLes infidèles qui, question fidélité conjugale, n’a pas dû aider au rapprochement amoureux. Bref, 2013 a sonné la fin de leur romance.

Alexandra n’a rien d’une victime larmoyante façon Valérie Trierweiler. Elle a hérité de l’élégance artistique de sa mère, « séduisante en toutes occasions », et du caractère positif de son père qui leur a enseigné, à elle et sa petite sœur Audrey, à ne jamais se laisser aller, à « mordre dans l’existence sincèrement sans retenue ». Elle avait souvent dit à Chloé (née de sa liaison avec le comédien genevois Thomas Jouannet) qu’il serait souhaitable qu’elle soit bilingue, en suivant par exemple des études en Angleterre ou aux Etats-Unis après son bac.

Au moment du séisme sentimental de sa mère, qui aurait pu l’atteindre elle aussi, Chloé a eu cette idée : mais pourquoi attendre ? Et si on y allait pour y finir ma scolarité ? Ni une ni deux, Alexandra a déniché un logement à Stoke Newington, dans le nord de Londres, inscrit Chloé dans une institution britannique, et utilisé l’Eurostar comme bureau. Quatre soirs par semaine, elle a filé en France jouer sur scène La Vénus au phacochère, savourant le reste du temps les délices de l’anonymat. Les copines anglaises de sa fille ne savent pas qu’elle parle à une actrice célèbre, pas plus que Chloé a tourné dans le film de Rose Bosch, Avis de Mistral, aux côtés de Jean Reno.

Protégées des accès de curiosité perverse. A l’abri aussi des photos de Jean Dujardin s’affichant avec la patineuse Nathalie Péchalat. Nathalie et ses trente ans, âge plein de promesses, dont celle d’avoir, elle, un enfant de Jean ? Bien beau d’être un petit soldat positif, il faut parfois s’aider un peu. Epaulée par sa bande d’amis fidèles, capable de se ressourcer cet été à Bali, elle a tourné la page du passé. Et ça marche ! Aujourd’hui, Alexandra déborde de projets. Et il se murmure qu’un homme discret, loin de toute pipolerie, enchanterait sa nouvelle vie. Bientôt, qui sait, elle vivra avec lui le quotidien de ses parents qui, confie-t-elle, pleine d’admiration, « s’aiment comme des fous ».

Crédits photos : Franck Castel

Still the water: histoire d’eau *

Malgré une ambition affichée et assumée, la Japonaise Naomi Kawase rate la marche avec Still the water, un conte écologique qui se noit quelque peu.

Lors du dernier festival de Cannes où le film était présenté en compétition, Naomi Kawase l’avait affirmé : Still the water ne pouvait viser que la Palmed’Or. Raté puisque le jury lui a préféré Winter Sleep. La réalisatrice parlait pourtant de chef-d’œuvre à propos de son neuvième film. Au moins, on ne pouvait pas lui reprocher de se cacher derrière une fausse modestie convenue. Depuis, Naomi Kawase a déchanté. Et pour cause: Still the water n’atteint pas les sommets annoncés, malgré d’évidentes qualités.

Sur l’île d’Amami au Japon, deux adolescents vivent une histoire d’amour compliquée. La découverte d’un corps dans la mer va bouleverser leur existence. Still the water, au-delà de ses considérations écologiques, est un film sur la transmission, la relation filiale à ce moment déterminant de la vie, l’adolescence. Visuellement très beau, il souffre d’un aspect contemplatif exagéré et d’un excès de symbolisme qui pourraient passer pour de la suffisance. Dommage.

De Naomi Kawase, avec Jun Yoshinaga, Nijiro Murakami, Miyuki Matsuda. 1 h 58.

Arnaud Montebourg en tête des sondages… coquins

Le féminin du journal Le Parisien a publié un sondage sur le sex-appeal des hommes politiques français. Arnaud Montebourg est en tête de classement.

Il y a encore quelques temps, qui aurait eu l’idée d’associer les hommes politiques à la séduction, ou, pire, au désir charnel? Ça, c’était avant. Avant l’affaire Monica Lewinsky, avant le Gayetgate ou plus généralement, avant que la vie intime des politiciens se mette à passionner autant que celle de n’importe quel people.

Dans un sondage qui ne se prend heureusement pas trop au sérieux, La Parisienne se demande donc qui des hommes politiques français plaît le plus à ses concitoyennes. Parmi une vingtaine de politiciens sélectionnés, c’est Arnaud Montebourg qui ressort systématiquement dans tous les classements. Que ce soit, pour un soir, pour une nuit, pour la vie ou pour une relation amoureuse, les femmes le veulent. Mais pourquoi?! Si pour Amandine et Christelle, deux membres trentenaires du panel, le physique prime –“Il a de la classe!” dit l’une, “ll est beau mec!” dit l’autre- elles admirent aussi son travail “Il a des positions courageuses.” Pour Denise, retraitée, Arnaud Montebourg est carrément “le gendre idéal”.

L’ex ministre de l’Economie, du redressement productif et du numérique n’est pas le seul à émoustiller les Françaises. Manuel Valls peut quant à lui être envisagé pour partager la vie, la nuit ou la soirée des sondées. Pas question en revanche d’en tomber amoureuse. S’il doit être question de sentiments, on compte plutôt sur François Baroin, 49 ans, ou encore Dominique de Villepin, 60 ans. Cela dit, les Françaises interrogées se contenteraient d’une nuit à passer aux côtés de l’ancien ministre de l’Economie, de la finance et de l’industrie.

Et pour une simple soirée? Les femmes, comme Elodie, pensent qu’avec Nicolas Sarkozy “on ne doit pas s’ennuyer”, et le placent donc en tête de ce sous-classement, le seul dans lequel il est mentionné. Peut-être son succès moindre est-il dû à l’association que font les femmes de la vie des politiques français avec les titres de films. Escrocs mais pas trop arrive en troisième position, après Petits meurtres entre amis et Les feux de l’amour.

Quoi qu’il en soit, il semble que la vie sexuelle des politiques, vue pour 69% des sondées comme “beaucoup plus libérée que la moyenne” ait un impact sur la bonne conscience des Françaises interrogées: a priori, elles se moquent bien que tous les hommes dont il est question soient mariés en couple!

Ashton Kutcher dévoile une photo Split-Screen de lui en Steve Jobs !

Ashton Kutcher a dévoilé, via son compte Twitter, un photomontage de son visage accolé à celui de Steve Jobs dans le long métrage jOBS.

Que les sceptiques se rassurent : Ashton Kutcher est complétement crédible en Steve Jobs ! Le comédien le prouve, via son compte Twitter, en postant un photomontage de son visage dans le long métrage de Joshua Michael Stern accolé à celui de Steve Jobs. On vous laisse juger, mais le résultat est bluffant ! jOBS sortira sur nos écrans le 5 juin prochain.

Ashton Kutcher / Steve Jobs

jOBS

Christian Bale sera Steve Jobs

Le projet d’un film sur la vie de Steve Jobs, fondateur d’Apple, prend un nouvel élan. Alors que Leonardo DiCaprio avait abandonné le navire, Christian Bale est sur le point de prendre sa place.

Raconter l’histoire de Steve Jobs n’est apparemment pas de tout repos. Un acteur et un réalisateur ont déjà abandonné le projet et les sceptiques annonçaient récemment l’annulation de ce biopic. Le Hollywood Reporter révèle pourtant aujourd’hui que Christian Bale a trouvé un accord avec Sony pour incarner le fondateur d’Apple. Le comédien serait sur le point de signer son contrat.

Alors que son film Exodus sortira en salles le 24 décembre prochain, le Britannique succèdera à Ashton Kutcher dans la peau de Steve Jobs. Le long-métrage sera divisé en trois grandes parties. Une consacrée à la création du tout premier Mac, un moment fondateur dans l’histoire de la technologie (voire de l’humanité). Une deuxième partie abordant le départ de Steve Jobs d’Apple en 1985. Il avait été démis de ses fonctions et avait fini par démissionner pour créer la société NeXT. Là encore un grand succès. La troisième et dernière partie de ce triptyque s’intéressera, elle, au retour du messie dans son entreprise et à la création de l’iPod.

Il a longtemps été convenu que Leonardo DiCaprio se glisserait sous les traits de Steve Jobs. L’acteur du Loup de Wall Street a pourtant fini par abandonner le rôle, expliquant qu’il souhaitait se consacrer à sa lutte en faveur de l’écologie. Ce combat ne l’a pourtant pas empêché de s’engager dans le long métrage Mean Business on North Ganson Street au côté de Jamie Foxx. Peu de temps auparavant, le réalisateur David Fincher (Fight Club, Gone Girl) avait déjà quitté le projet pour des raisons inconnues.

Danny Boyle (Slumdog Millionaire), récupère donc le projet. Le réalisateur oscarisé en 2009 travaille à ce biopic au côté du scénariste Aaron Sorkin (lui aussi détenteur d’un Oscar). Sorkin a basé l’écriture du script sur l’ouvrage de Walter Isaacson, brillamment intitulé Steve Jobs. Le tournage du biopic débutera courant 2015.

Crédits photos : Samir Hussein/Getty

M. Pokora ne regrette pas d’avoir décliné Rising Star

Est-ce parce que le succès n’est pas au rendez-vous ? M. Pokora a confié à Télé Star lors d’une interview récente ne pas regretter son refus de participer à Rising Star en tant que membre du jury. Le chanteur se plait bien plus sur le plateau de Danse avec les stars, l’émission qui cartonne sur TF1.

Contrairement à Danse avec les stars qui connaît toujours un grand succès sur TF1, l’émission Rising Star diffusée sur M6 est au plus bas. L’une des explications de cette disparité est peut-être la composition du jury des deux programmes. De quoi rendre amers les dirigeants de l’ancienne petite chaîne qui monte : M. Pokora, juré de Danse avec les stars, avait été approché pour faire partie de celui de Rising Star. Cette semaine dans Télé Star, le chanteur a par ailleurs déclaré ne pas regretter son choix.

« Je ne regrette pas d’avoir décliné l’offre, explique-t-il, car ça ne me ressemble pas de dire oui ou non à un artiste qui débute. » Rien à voir a priori avec les audiences différentes des deux programmes donc – M. Pokora aurait simplement préféré Danse avec les stars puisqu’il a déjà participé à l’émission (qu’il a remportée en 2011), et qu’il ne s’estime pas apte à juger des chanteurs.

Le fantasme des Françaises poursuit : « En quoi mon avis est-il plus important que celui du boucher du coin ou du mec dans la rue ? », demande-t-il à propos de Rising Star. En préférant juger les performances de Danse avec les stars plutôt que les tours de chant du programme d’M6, M. Pokora laisse entendre que son expertise est meilleure en danse plus qu’en chant – étrange, alors que son nouvel album R.E.D sera bientôt disponible.

Crédits photos : JSB / PIX / VISUAL Press Agency

1ères photos de Josh Brolin dans “Sin City : j’ai tué pour elle”.

Robert Rodriguez a dévoilé – via son compte Twitter – 2 photos du tournage de “Sin City : j’ai tué pour elle”.

Grand fan de Twitter, Robert Rodriguez a posté deux photos de Josh Brolin sur le tournage de Sin City : j’ai tué pour elle. La première montre le comédien – qui incarne Dwight – en plein tournage sur fond vert, Rodriguez posté à ses côtés. La seconde représente l’image retravaillée et donne un aperçu de ce que sera l’image finale. Robert Rodriguez précise par ailleurs “Et voici une photo rapidement retouchée pour donner le ton aux comédiens. (Elle ne sera probablement pas telle quelle dans le film).” Sin City : j’ai tué pour elle est actuellement en tournage et devrait sortir sur les écrans américains le 4 octobre prochain. Rappelons que Robert Rodriguez vient de terminer le tournage de Machete Kills qui sortira sur les écrans américains le 13 septembre 2013.

La page Twitter de Robert Rodriguez

Josh Brolin & Robert Rodriguez sur le tournage

La même scène après ajout des effets

La bande-annonce du premier “Sin City”

Sin City

Laëtittia Forhan