Month: February 2020

The Brazilian insists the injury-hit squad have no time to feel sorry for themselves

Lucas Moura insists Tottenham are good enough to progress past RB Leipzig in the Champions League despite their damaging 1-0 home defeat in their last-16 first leg on Wednesday.

Timo Werner’s second-half penalty was the difference between the two sides at the Tottenham Hotspur Stadium, though Spurs had goalkeeper Hugo Lloris to thank for preventing the German outfit extending their lead with a string of impressive saves.

Jose Mourinho’s side improved as the game wore on but lacked a cutting edge up front in the absence of the injured Harry Kane and Son Heung-Min.

Kane is not expected back until towards the end of the season due to a hamstring problem, while Mourinho has cast doubt on whether Son will play again this campaign, leaving the side severely short of attacking options.

Despite their injury woes and that first-leg setback, Moura is remaining positive and says his team-mates cannot afford to feel sorry for themselves.

“We can turn it around, the game is not over,” the former Paris Saint-Germain forward said. “It is a result we did not want. We did well with the system we chose to play. We had opportunities to score.

“We lost the game but it’s not over. We will prepare well and I am sure we are capable of going there and qualifying.

“We have very good players that can score as well. We lose two big strikers but we cannot cry. That’s the game.”

Tottenham can take inspiration from their Champions League campaign last season, when they lost 1-0 at home to Ajax in their semi-final first leg before winning 3-2 in Amsterdam to progress on away goals.

Asked if that dramatic comeback win gives the team more belief ahead of their trip to Germany, defender Toby Alderweireld said: “Yeah, of course.

“We are still in it. Of course we wanted a better result but we know we have the quality to win everywhere we want, everywhere we play.

“We proved last season we can score everywhere. Of course we will need some luck but it’s only the first half, second half to come.”

 

CHATHAM, Ont. — TekSavvy Solutions Inc. says it has filed a complaint with the Competition Bureau seeking an investigation into how Bell Canada and Rogers Communications charge independent internet service providers.

The company that bills itself as Canada’s largest independent internet service provider accuses the telecom giants of engaging in a pattern of anti-competitive activities that is costing millions of Canadians hundreds of millions of dollars.

It alleges that Bell and Rogers’ wholesale divisions drove up competitors’ costs, while their retail divisions target those competitors with retail prices below their wholesale costs that are wrongfully inflated.

Bell, Rogers and Canada’s other major phone and cable companies asked the federal cabinet in November to overrule a 2019 regulatory decision that slashes how much they can charge independent ISPs like TekSavvy.

The complaint comes a month after TekSavvy appealed to Canadian consumers, which it says has resulted in support for the CRTC’s decision by more than 150,000 Canadians.

The industry giants argued the Canadian Radio-television and Telecommunications Commission overstepped its authority in August by cutting wholesale capacity rates by up to 43 per cent and chopping access rates up to 77 per cent.

“These companies must be held accountable for their anti-competitive activities,” stated Andy Kaplan-Myrth, TekSavvy’s vice-president regulatory and carrier affairs.

Canada’s small and mid-sized ISPs collectively serve about one million households using infrastructure they either own or rent.

This report by The Canadian Press was first published Feb. 20, 2020.

Chef du clan Noah depuis le décès de celle à qui il doit tout, il revient avec un album intitulé Combats ordinaires. La célébration de la vie est l’un des siens.

Ils l’attendent. Entre forêt et eau, dans un de ces endroits qui font aimer le printemps. Un restaurant d’une île du bois de Boulogne qu’on atteint en empruntant une barque. Une heure déjà qu’ils foulent le parquet devant la scène escamotable, des amis, des gens du métier –qui l’appellent « Yan »-, des fans surtout, une poignée d’anonymes qui ont tenté leur chance via Facebook pour pouvoir être là. Soirée rare et festive réservée à une petite centaine de privilégiés : Yannick Noah vient présenter son dixième album, Combats ordinaires (Sony). Il déboule « les pieds nus », son habitude, le titre aussi d’une de ses nouvelles chansons, pantalon treillis clair, chemise bleu ciel à col marron, chapeau brun vissé sur un crâne débarrassé de ses tresses rasta.

Il a changé de look, Yannick, il a vieilli aussi sans que cela se voie. Disons plutôt qu’à cinquante-quatre ans il semble plus apaisé, réconcilié avec lui-même. Comme si ce dixième album signait une sorte de renaissance après le choc de la mort prématurée de sa maman en octobre 2012. Dans ce disque, sans doute le plus personnel, il raconte bien sûr ses combats, son opposition au Front national (Ma colère), nous enjoint à franchir Les Murs, mais il stigmatise aussi notre course perpétuelle que cet adepte du yoga et de méditation essaie de maîtriser. Enfin, il évoque la vie qui s’échappe (Je n’aurai pas le temps). Il y a un âge pour tout. Le voilà premier de la lignée maintenant que Marie-Claire Noah n’est plus, garant de ses engagements (l’association Les enfants de la terre), lui le patriarche, père de cinq enfants : deux adultes (Joakim et Yelena, vingt-neuf et vingt-sept ans), deux adolescentes (Eleejah et Jenaye, dix-huit et dix-sept ans) et un garçonnet de dix ans (Joalukas). « Je commence à me faire vieux, dit-il. Le temps passe : j’ai cinquante-quatre ans, un dixième album… Mes enfants grandissent, une de mes puces se marie, maman est partie… » La puce, c’est Yelena, qui s’est mariée en novembre dernier à son compagnon Kadu de Rosa. Le voilà beau-père donc, et qui sait, un jour prochain, grand-père. La vie et ses virages à négocier…

Pour l’heure, c’est le gamin combatif, champion des courts de tennis puis des salles de concert, que l’on redécouvre, après des mois de silence. Au fil des chansons, certaines écrites par Grand Corps Malade et Jean-Louis Aubert, le voilà tel qu’on l’a toujours connu, voluptueux, sensuel, emporté, habité par la musique, dans une incroyable osmose avec ses fans massés devant la scène. Surprise : au bout d’une heure, Jean-Louis Aubert arrive ! Place à un bœuf endiablé. Yannick a chaud. Sa chemise a viré au bleu foncé. Il reconnaît une fan belge, la fait applaudir, sait que comme d’habitude elle va lui apporter une bière de son pays, la décapsule devant nous et l’ingurgite cul sec sur un roulement de tambour. Le rythme fou repart. On ne voit pas ce qui pourrait l’arrêter tant il est heureux de chanter.

Dans le public, une blonde mince, vêtue d’un jean marron moiré, le regarde avec admiration : sa compagne, la productrice Isabelle Camus, mère de leur petit Joalukas. Puis, l’emballement cède à la tendresse. « C’est la chanson pour sa maman ? » nous demande une dame septuagénaire, émue. On opine. La chanson Où es-tu?, de fait, est émouvante. « Où es-tu ? Est-ce que l’oiseau qui chantait ce matin est arrivé au creux de tes mains ? Pour te dire que je suis fier, je serai toujours ton enfant de la Terre. » Un texte signé Nazim Khaled qui l’a conquis, bien sûr. « C’est simple et beau, confie-t-il. C’est mon sentiment, le manque. Maman adorait les oiseaux. Personne ne le savait. J’ai pensé que c’était un signe. » Tu as bien pensé, Yannick. A toi d’ouvrir le vol désormais.

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Interviewé par Télé-Loisirs après une projection réservée à la presse d’un documentaire sur son père (diffusé ce soir sur France 3), Nicolas Bedos a partagé quelques secrets de famille sur la façon dont Guy Bedos l’avait élevé.

« C’est un père-copain ». Les Bedos sont rarement tendres les uns avec les autres (le père s’est encore illustré en fin de semaine dernière en donnant une petite leçon de morale à Anne-Sophie Lapix), mais entre eux ils semblent plutôt versés dans la douceur. « Il a été aimant et attentif, a expliqué Nicolas Bedos à propos de son père. Il est toujours à l’écoute, il nous arrive d’avoir de longues discussions nocturnes. »

Toutefois, les liens entre Guy Bedos et son fils ne sont pas toujours au beau fixe. Ils utilisent souvent l’un comme l’autre les médias, leurs livres ou la scène pour régler leurs problèmes : « Chacun de nous a peur de la susceptibilité de l’autre, explique Nicolas Bedos. Je crois qu’on est aussi susceptibles l’un que l’autre. Et du coup, on utilise le public comme témoin pour se parler. Vous voyez, il aurait très mal pris que je ne vous parle pas de lui, enchérit celui qui a ressuscité la cérémonie des Molières. Mais justement, je n’ai plus envie de cela. Et lui aussi en a marre qu’on lui parle de moi. »

Plein d’amour pour sa mère, Nicolas Bedos ne tarit pas non plus d’éloge sur son père : « Je serai, j’espère, aimant et attentif comme lui. » Avec quelques réserves pourtant : « J’espère bien ne pas transmettre mes angoisses comme il l’a fait. Il y avait à la maison une ambiance anxiogène car mon père était sans cesse obsédé par ses prochains spectacles. J’ai tendance à être comme ça moi aussi, j’ai une tonne d’angoisses. » Avant de conclure : « J’irai me faire soigner avant de faire des enfants. »

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L’idylle entre Courteney Cox et Johnny McDaid a démarré il y a plusieurs mois, lors d’une soirée, grâce au musicien Ed Sheeran. Une love story qui se concrétise par l’annonce de leurs fiançailles sur Twitter.

A l’automne, ils se sont rencontrés par l’intermédiaire d’un ami commun, Ed Sheeran. En février, l’ex-star de Friends et son amoureux s’envolaient pour Venise avec Coco, la fille de l’actrice et de David Arquette. Courteney Cox et Johnny McDaid passent à la vitesse supérieure.

« Je suis fiancée! »: c’est ainsi que Courteney Cox a officialisé la nouvelle sur Twitter. Un message suivi, comme un écho, de celui de son amoureux: “Je suis fiancé!“. Ces tweets mettent fin à plusieurs jours de spéculation, depuis que l’actrice a été aperçue avec une bague assortie d’un diamant à l’annulaire gauche lors d’une sortie en tête à tête à Los Angeles.

Le guitariste de Snow Patrol, de 13 ans son cadet, est bien décidé à agrandir la famille avec sa belle, âgée de 50 ans. Le couple envisagerait de recourir à une mère porteuse, une pratique courante aux Etats-Unis. Nicole Kidman, Sarah Jessica Parker ou encore le chanteur Ricky Martin sont devenus parents de cette manière.

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Courtisée par les plus grandes scènes lyriques, Elizabeth Vidal, soprano virtuose fait le pari de rendre l’opéra populaire.

Vous ne la connaissez peut-être pas encore, mais vous allez l’entendre. La cantatrice que l’on présente comme «la plus haute voix du monde» est française et s’appelle Elizabeth Vidal. Dans le disque L’opéra impossible, Elisabeth Vidal dite La Cantadora fait le pari de séduire le grand public en mettant onze grands airs classiques – des quatre Saisons de Vivaldi au Lac des cygnes de Tchaïkovski en passant par l’Ave Maria de Gounod – au diapason de l’époque, pop et électro.«Je voulais prouver que la place du classique est plus importante que ce que l’on peut imaginer. Il n’y a pas un thème de l’album qui ne soit connu par n’importe qui, ils sont inscrits dans l’inconscient collectif. Tout est parti d’un programme d’enseignement que nous avons mis en place avec André, De Bach aux Beatles, avec lequel on a voulu démontrer que les grands groupes pop des années soixante-dix ont puisé directement dans le répertoire classique», explique la diva.

André, c’est son homme. Ils se sont rencontrés sur les bancs de l’Ecole de chant de l’Opéra de Paris alors qu’Elisabeth n’a que seize ans et demi. «Nous étions les deux plus jeunes de notre promotion, la même que Roberto Alagna. Nous avons fait connaissance le premier jour et nous ne nous sommes plus jamais quittés», poursuit-elle. Couple à la scène comme à la ville, ils enregistrent plusieurs disques d’opéra et deviennent le duo lyrique le plus demandé en récital dans le monde entier. C’est ensemble aussi qu’ils enseignent au Centre d’art lyrique de Nice, au conservatoire de Rueil-Malmaison – où ils ont eu comme élèves trois des quatre Stentors –, ainsi qu’au prestigieux Bolchoï, à Moscou.

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Si André Cognet, son baryton de mari, l’a incitée à préférer le charme discret de l’enseignement, Elisabeth est comme un poisson dans l’eau sous la lumière des projecteurs. Dans les années 1980, cette cantatrice virtuose écume les plateaux télé, des émissions de Jacques Martin et Eve Ruggieri. De tessiture soprano colorature, comme Natalie Dessay, Elisabeth Vidal, est l’une des rares chanteuses à pouvoir chanter l’Air de la reine de la nuit de Mozart (La flûte enchantée) et à faire exploser les verres. «C’est vrai, lors d’un dîner à Hongkong, j’ai brisé la pampille en cristal d’un lustre qui est tombée dans le verre du gouverneur», raconte-t-elle l’air amusé et le regard espiègle. D’une simplicité et d’une gentillesse désarmantes, elle n’est ni snob ni excentrique comme toute diva qui se respecte, ce qu’elle doit certainement à son éducation.

Pour son père, maçon issu d’une modeste famille espagnole, et sa mère, d’origine anglaise et fille d’un dentiste parisien, seuls comptaient la passion du chant et le respect de la diversité. Elisabeth est parfaitement heureuse. Avec L’opéra impossible, celle que l’on surnomme La Cantadoraa laissé rugir l’animal pop qui sommeillait en elle. «C’est comme si j’avais un “alien” rock’n’roll dans le corps qui a fait exploser la chanteuse d’opéra. J’ai la sensation qu’en faisant craquer Elisabeth Vidal pour me transformer en La Cantadora, je révèle mon énergie telle qu’elle est dans sa globalité. Je n’ai pas trahi mon chemin classique avec ce disque, j’ai juste exploité autre chose dans la liberté, la souplesse et la créativité», affirme-t-elle.

Heureuse, elle l’est aussi car elle est maman pour la première fois depuis peu. A l’évocation de ce bouleversement dans sa vie, ses yeux brillent de mille feux. «On a attendu jusqu’à maintenant pour avoir un enfant, par manque de temps. Aujourd’hui, nous avons une petite fille de neuf mois. C’est extraordinaire, c’est une ouverture sur le futur, d’autant que je viens de perdre ma maman… Nous l’avons appelée Grâce car elle nous a fait la grâce d’arriver à ce moment-là» confie-t-elle. Un ange passe…

Britney Spears fait taire les rumeurs de sa séparation avec David Lucado. Elle poste une photo de famille avec son chéri sur les réseaux sociaux le week-end dernier.

Britney Spears n’est pas célibataire comme le laissaient croire les rumeurs. Une rupture que la chanteuse dément par la publication d’une photo où elle pose avec son amoureux David Lucado. Elle montre la trentenaire et son petit-ami qui filent le parfait amour en tenue de plage, où Britney Spears s’affuble d’un masque de plongée et d’un bikini rose fluo. En guise de légende, l’interprète de Toxic annote un « Coucou depuis la plage de Britney, c’est-à-dire ma maison ».

Elle a ainsi clarifié sa situation personnelle, coupant le sifflet aux médias américains qui avaient annoncé leur rupture. Le couple séjourne actuellement dans la résidence de la star à Las Vegas, en compagnie des enfants de Britney Spears, Sean et Jayden. La famille y coule des vacances tranquilles avant la remontée sur les planches de la chanteuse du 15 août au 10 septembre prochain, pour une série de 14 représentations. Son show de Las Vegas, au titre évocateur Piece Of Me, devrait être prolongé jusqu’en 2015.

David Lucado et Britney Spears sont en couple depuis plus d’un an désormais. Oseront-ils passer à l’étape suivante, le mariage ? Cette perspective n’est pas exclue par les amants.

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Après deux années passées derrière le pupitre du jury de Danse avec les stars, Shy’m rend ses ballerines. Pour la remplacer, l’émission compte sur un ex célèbre candidat, M Pokora.

“Le remplaçant aura certes de bien moins jolies robes, mais est plutôt pas mal non plus” a conclu Shy’m depuis son compte Instagram. Dimanche soir, la jolie chanteuse a fait vivre à ses fans un véritable ascenseur émotionnel. Une mauvaise nouvelle vient vite en remplacer une bonne. La sculpturale jurée deDanse avec les stars explique que “d’autres projets pour cette nouvelle année compromettaient (sa) participation à cette nouvelle saison”. L’aventure chorégraphique s’arrête donc ici pour Shy’m qui “quitte le cœur lourd (ses) trois acolytes préférés et leurs rendez-vous hebdomadaires”. Après avoir remporté le trophée Danse avec les stars en 2011, l’interprète de Et alors avait été accueillie comme une des leurs par les professionnels Marie-Claude Pietragalla, Jean-Marc Généreux et Chris Marques.

Shy’m a sûrement de bonnes raisons pour quitter le programme et c’est avec “d’autres aventures” que la star donne rendez-vous à ses “shimi soliders”. Musique et mode vont maintenant remplir à plein temps l’agenda de la séduisante Franco-martiniquaise.

Le remplaçant de Shy’m n’a pas perdu de temps pour se faire connaître. Sur les réseaux sociaux, M Pokora a officialisé dès hier la rumeur qui “dansait” depuis quelques semaine: il devient juré de la cinquième saison de Danse avec les stars. Lui qui fut le premier gagnant du concours dans sa version française se réjouit d’être “de retour à la maison”. M Pokora vient à peine de terminer l’aventure Robin des boisen beauté qu’il se prépare déjà à vivre une autre année bien chargée. En marge de sa participation, côté juré, à Danse avec les stars, le chanteur prépare la sortie de son sixième album.

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Jérôme Anthony a été pris à partie par les chroniqueurs de Touche pas à mon poste. Il était reçu par Justine Fraïoli, exceptionnellement animatrice pour la version estivale du programme.

Les chroniqueurs de l’émission phare de D8 ont été à l’origine d’un énième clash avec l’un des invités mercredi. L’accueil fut quelque peu glacial pour Jérôme Anthony, animateur sur M6 et W9, venu présenter la deuxième saison de Séduis-moi si tu peux. Justine Fraïoli recevait également Thomas Ngijol à l’affiche de Fastlife.

Si le passage de l’humoriste s’est déroulé sans incident, son voisin ne pouvait en dire autant. Christophe Carrière s’est interrogé sur l’intérêt de la venue de Jérôme Anthony au beau milieu d’une chronique, lui adressant un « Qu’est-ce que vous faites là ? ». Une tacle qui fait suite aux propos tenus par l’animateur lors d’une interview accordée dans le « Buzz Tv » du Figaro sur Touche pas à mon poste début avril.

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Jérôme Anthony n’a pas attendu pour se défendre, à côté d’un Thomas Ngijol hilare. « Je n’ai jamais dit que je n’aimais pas cette émission. Je me suis déjà fait un peu égratigner et je reconnais qu’un jour, j’ai pris un méchant tacle [de Gilles Verdez, ndlr] que j’ai trouvé un peu terrible […]. J’ai trouvé cela gratuit et cela m’a fait de la peine ».

Heureusement, le débat s’est conclu par une bise entre Gilles Verdez et Jérôme Anthony en guise de réconciliation.

A partir du 8 août, à San Francisco, une exposition va être consacrée à Bill Murray. L’acteur est devenu culte dans le cœur de beaucoup de spectateurs grâce à quelques films comme Ghostbusters, Un jour sans fin, Lost in translation ainsi que ceux de Wes Anderson.

«Une fête qui célébrera une icône de la comédie». C’est ainsi que les organisateurs présentent l’exposition qu’ils vont consacrer à Bill Murray à partir du 8 août prochain à San Francisco. Ils demandent même aux visiteurs qui se rendront dans la galerie de venir déguisés «en personnage de Bill Murray».

Il faut dire qu’au gré de ses films, l’acteur a multiplié les looks et les «gueules», contribuant à faire de lui une véritable star. Combinaison de chasseur de fantômes dans Ghostbusters, moustache et smoking dans Week-end royal, raie sur le côté dans Mad Dog and Glory, large manteau dans Un jours sans fin, bonnet rouge dans La vie aquatique, barbe fournie dans La famille Tenenbaum, air désabusé dans Lost in translation, uniforme de militaire dans Monuments men… Bill Murray peut tout faire et imprime sa touche personnelle à chaque fois.

C’est à cet acteur culte donc que la San Francisco Gallery consacre une exposition baptisée The Murray Affair et regroupant des œuvres inspirées par ses films ou sa personnalité. Comme le montre le site de l’exposition, une grande liberté d’expression a été laissée autour de Bill Murray.

On devrait bientôt le voir dans le nouveau volet de Ghostbusters. Mais la mort de Harold Ramis a quelque peu retardé le projet et modifié son contenu.

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