Cris Cab va mettre l’ambiance au 3.14 Cannes

Repéré par Pharrell Williams il y a 5 ans, Cris Cab est un jeune chanteur de 21 ans d’origine cubaine qui a le vent en poupe. Il sera à 18h à l’affiche de la plage du 3.14 Cannes pour un show-case en partenariat avec NRJ. Le début d’une belle programmation pour ce 10e anniversaire.

A l’occasion du 67e festival de Cannes, le 3.14 Cannes propose une plage unique en collaboration avec EMA Evénements.

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Un espace cosy et détente d’inspiration bohème chic dans lequel tonalités rafraîchissantes, bois flotté et objets déco tendance font écho à l’esprit du lieu, où il fait bon s’attarder.

Une décoration dans les tons de bleu et blanc, qui reçoivent avec perfection les reflets du bleu de la Méditerranée. Restauration en bord de mer le midi, et ambiance lounge dès la tombée de la nuit. Le Green Bar propose une sélection de cocktails à boire ou à croquer!! Des recettes 100% naturelles créées par le talentueux plasticien végétal Duy Anh Nhan Duc. Et une programmation de premier plan.

Comme chaque année, le 3.14 CANNES met à l’honneur les artistes avec un rythme accéléré pour fêter ses 10 ans. Rendez-vous l’après-midi sur la plage avec Cris Cab (à partir de 18h tout à l’heure), Frédérique Bel (16 mai), Julia Gauthier (le 17), Michael Zazoun (le 18), Thomas Lesnier (le 19), Adrien Moisson (le 20), Fills Monkey (le 21), Enzo (le 23), Aurore Pecrix (le 24).

Pour commencer en beauté, Cris Cab devrait donc mettre une grosse ambiance ce soir. Découvert à l’international grâce à son titre Liar Liar, Cris, protégé de Pharrell Williams et Wyclef Jean, propose des influences pop, caribéennes, et reggae. Savoureux!

Booba est papa

Est-ce en hommage au groupe Lunatic qui l’a fait connaître ? Booba a décidé de nommer sa fille Luna. Devenu père, le rappeur deviendra-t-il aussi plus sage ? Rien n’est moins sûr…

« Luna ma go sûre sous les bras bénit soit ce qu’elle devienne. » C’est ainsi que Booba a présenté son premier enfant au monde ce midi, en postant une photo sur Instagram. Le cliché en noir et blanc montre le rappeur en train d’embrasser sa fille avec douceur.

Après des mois de clash public avec Rohff, Booba semble avoir trouvé la paix. Une tranquillité qui émane de tous ses actes : son dernier single se nomme en effet OKLM – autrement dit « au calme », tout un programme.

Tant pis si la Monnaie de Paris a décidé de ne plus produire de pièces à son effigie, tant pis si Johnny Hallydayfait semblant de ne pas savoir qui il est : Booba est serein. En plus des quelques mots la bénissant, la petite Luna a eu droit sur sa photo d’intronisation à une de ces phrases percutantes dont son père a le secret : « Si t’as pas de raison de vivre, trouve une raison de crever », a écrit Booba en envoyant ce cliché. Une formule qu’il utilisait déjà en 2006 dans la chanson Couleur Ébène tirée de l’album Ouest Side, et qu’il emprunte à l’une de ses idoles, le rappeur Tupac Shakur. Une belle promesse pour Luna.

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Photos- Kim Kardashian et Kanye West se sont dit oui!

Ne l’appelez plus Kim Kardashian, mais Mme West. La star américaine de téléréalité et le rappeur Kanye West se sont dit oui, hier soir, dans un décor de rêve à Florence. Si aucune photo officielle n’a pour l’instant été dévoilée, les invités nous ont fait vivre cette soirée via les réseaux sociaux.

Kris Jenner s’est dit, sur la chaine E!, «très heureuse» d’accueillir un nouveau fils dans la famille. Sa fille vient d’épouser le rappeur Kanye West, avec qui elle a un enfant, North. Après des préparatifs parisiens en fin de semaine, hier, le couple s’était envolé vers l’Italie où leur choix s’était finalement porté pour célébrer leur union.

Kim Kardashian et Kanye West rêvaient d’un mariage romantique, et ils l’ont eu! Les tourtereaux, aidés par Sharon Sacks, une des meilleures wedding-planner des États-Unis, ont choisi le Fort Belvedere de Florence pour accueillir leurs invités, et un dîner «made in Italy». Ils se sont même offert des Dj’s de luxe, avec John Legend et le ténor Andrea Bocelli.

Les amoureux ont échangé leurs voeux sur une colline surplombant Florence, protégés par un mur de roses blanches et de pivoines alors que le soleil se couchait sur le fort Belvedere. Face à 600 invités, ils ont gardé les mains jointes le temps de la cérémonie. Familles et amis avaient tous répondu à l’invitation du couple. Enfin presque, puisque Rob, le frère de Kim, et Jay-Z et Beyoncé, ne se sont pas déplacés pour l’évènement.

La cérémonie a été filmée par la chaine E!, pour l’émission de télé-réalité de la famille Kardashian, qui a recueilli les premières impressions de Kris Jenner qui s’est dite «débordante de bonheur pour Kim, Kanye et le bébé» (assis sur les genoux de sa grand-mère pendant toute la soirée!). Le marié, lui, semblait aussi ému, selon une source au MailOnline, lorsqu’il a présenté son «bébé», «Kim Kardashian West» à l’assemblée. Félicitations!

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La lettre de fan de Xavier Dolan à DiCaprio

Sorti grandi du festival de Cannes, le Canadien Xavier Dolan a ému les plus grandes stars avec son film Mommy. Mais, avant d’en arriver là, Xavier était un fan comme un autre.

Devant l’accueil unanimement positif reçu par son long-métrage Mommy, Xavier Dolan apparaît comme un réalisateur confirmé, évoluant dans la sphère des superstars. Son film a d’ailleurs obtenu le Prix du jury du festival de Cannes, ex æquo avec Jean-Luc Godard et son long-métrage Adieu au langage. Le jeune Canadien n’est âgé que de 25 ans, et il y a quelques années il était encore un simple fan, rêvant de côtoyer un jour ses idoles. Le site So Film est ainsi tombé sur un courrier qu’il attribue à un Xavier Dolan âgé de 8 ans.

Dans ce courrier d’une vingtaine de lignes, le garçon s’adresse à son acteur préféré, Leonardo DiCaprio. « J’ai 8 ans. Je suis l’un de vos fans, peut-on lire dans le courrier. J’ai vu le film Titanic (5 fois). Vous jouez très bien. Vous êtes un grand acteur et je vous admire. » Il explique ensuite avoir joué dans quelques publicités et dans quatre films en langue française avant de dire : « J’aimerais pouvoir jouer dans l’un de vos films un jour. […] Quand vous viendrez à Montréal tourner un film, soyez sûr que je viendrai passer des auditions au cas où vous auriez besoin d’un jeune garçon dans le casting. » Avant la fin du message, Xavier Dolan en profite tout de même pour demander une photo de l’acteur. On ne sait pas encore si la star avait répondu à ce message à l’époque.

Cette lettre émouvante, en plus de nous plonger dans l’intimité du réalisateur, fait aussi écho au prochain projet de long-métrage du Canadien. Avant que ce courrier de fan ne soit retrouvé, Xavier Dolan avait expliqué que son film The Death and Life of John F. Donovan serait « l’histoire d’une correspondance entre une star américaine et un jeune acteur britannique de 11 ans ». Autant dire que le cinéaste n’a pas peur de s’inspirer de sa propre vie pour raconter ses histoires. Mais à l’époque de ces déclarations, il expliquait que le projet n’aboutirait peut-être jamais : « J’avais en tête un all-star cast, mais les stars ne me répondent pas au téléphone du premier coup. » Quelque chose nous dit qu’il ne devrait plus avoir autant de problèmes pour dégoter des acteurs célèbres dans son prochain film. L’histoire ne serait-elle pas magnifique si, au lieu de jouer dans un film de DiCaprio, c’était l’acteur lui-même qui venait interpréter un rôle dans son long-métrage?

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Nicole Kidman veut encore un bébé

À peine échappée de la polémique autour de son dernier film, Grace de Monaco, sorti le 14 mai dernier, Nicole Kidman se confie sur son souhait d’avoir un cinquième enfant.

Non contente d’être l’une des actrices à la carrière la plus complète de la planète, à 46 ans, Nicole Kidman est aussi la maman de quatre enfants: Isabella, 21 ans, Connor 19 ans, qu’elle a adoptés lorsqu’elle était en couple avec Tom Cruise, ainsi que Sunday Rose, presque 6 ans, et Faith Margaret, 3 ans et demi, les deux petites filles qu’elle a eues avec son second mari, le chanteur country Keith Urban.

Cela ne lui suffit pourtant pas. Interviewée par Style Magazine, l’actrice australienne a expliqué à quel point sa famille était essentielle pour elle. «Si je devais faire un choix entre mes enfants et Keith d’un côté, et ma carrière de l’autre, je n’hésiterais pas une seconde. Les choses les plus importantes pour moi sont ma famille et l’amour.» Et au vu des propos que tiennent ses aînés à son égard, on peut tout à fait le comprendre. Dernièrement, Connor confiait au magazine Woman’s Day: «J’aime ma mère. (…) Nous avons une relation solide. Je l’aime beaucoup», tandis que, quelques mois auparavant, sa soeur, Isabella, disait sensiblement la même chose à New Idea Magazine:«J’aime ma mère. C’est ma mère, elle est formidable.»

Après une grossesse en 2008 et sa confiance envers la mère porteuse qui a donné naissance à Faith Margaret en 2010, on ne s’étonne donc pas vraiment du fait que Nicole Kidman ait encore à ce point l’envie d’agrandir sa famille. « Je serais prête à me mettre à genoux et à supplier pour avoir un autre enfant », avouait-elle récemment. Est-ce là la parfaite illustration d’une femme qui ne vieillit pas, ou bien plutôt l’oeuvre du syndrome du nid vide, dû à l’envol de Connor, DJ et comédien aux États-Unis, et d’Isabella en école d’art à Londres, tandis que maman est en Australie?

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Nous avons rencontré “le roi du Curling” !

Savoureuse comédie norvégienne entre Wes Anderson et les frères Coen, remarquée en France lors du Festival du film Grolandais, “le Roi du curling” sort en salles le 2 janvier. Rencontre avec le réalisateur Ole Endresen et l’acteur principal Atle Antonsen.

AlloCiné : Ole, “Le Roi du curling” est votre premier film, vous travailliez avant pour des séries télévisées. Vouliez-vous faire du cinéma depuis longtemps ?

Ole Endresen : Oui et je ne compte pas arrêter là, c’était vraiment une expérience très enrichissante. La grande différence avec la télévision, elle s’est faite pour moi au moment du montage. Quand on tourne pendant 30 jours, on se rend compte de tout ce que représente la post production, c’est énorme !

Au centre : Atle Antonsen

Vous avez écrit le scénario tous les deux, comment s’est passée votre collaboration ?

O.E. : On se connaît depuis plusieurs années et on adore travailler ensemble. Lorsqu’on s’est rencontré, on écrivait des sketchs. Atle a un talent incroyable pour donner vie à des personnages fabuleux. Finalement, on a tout simplement réuni ses personnages pour en faire un long métrage.

Comment vous est venu le sujet du film, pourquoi le curling ?

Atle Antonsen : C’est un sport qui va avec ma musculature. Ça ressemble à quelque chose que tout le monde peut faire. Je n’ai clairement pas le physique d’un athlète donc on a tout de suite pensé au curling. On a dû répéter pendant une semaine pour imiter les mouvements, après on pouvait jeter les pierres où on voulait parce qu’on avait le champion du monde du curling qui plaçait les pierres pour nous.

O.E. : J’adore regarder le curling à la télévision. Je le regarde tous les quatre ans lors des Jeux Olympiques. Quatre ans, c’est une bonne pause parce que c’est un jeu qui dure quand même assez longtemps, et il faut ce laps de temps pour s’en remettre.

Beaucoup de personnes comparent votre œuvre au “Big Lebowski”, vous êtes-vous inspirés des frères Coen ?

O.E. : On adore tout ce qu’ils font donc c’est un honneur d’être cité à côté de leurs noms. Dans le style des personnages, dans la musique, dans l’histoire, tout nous vient de leur influence.

La scène de combat est un moment fort du film. Comment l’avez-vous préparée ?

O.E. : Quand je les ai vus tous s’agiter, je me suis dit : mais qu’est-ce que c’est que ça, est-ce qu’ils se battent là ? C’est la pire scène de combat du cinéma (rires). Nous adorons ce genre d’humour, lorsque les personnes caricaturent et grossissent les mouvements. On a également beaucoup ri pendant la scène de lap dance. On a demandé à l’actrice : “Est-ce que tu peux faire quelque chose qui ressemble à une danse, mais en mauvais ?” Je suis très satisfait du résultat.

Pouvez-vous nous décrire la situation du cinéma en Norvège ?

O.E. : Nous sommes un pays qui n’a pas donné naissance à des monstres du cinéma comme les Suédois avec Bergman ou les Danois avec Lars von Trier. Je dirai que notre génération est vraiment créatrice d’un cinéma norvégien. Il y a 20 ans, nous n’avions strictement rien en termes de cinéma. Avec la télévision qui s’est beaucoup développée, on commence enfin à avoir de bons réalisateurs et de bons scénaristes qui surgissent. Mais ce n’est pas facile de percer. Pour vous donner un exemple, Oslo, 31 août est peut-être le meilleur film norvégien jamais réalisé, et il n’a eu que 30 000 spectateurs en Norvège… C’est très difficile de faire un film dans ces conditions. Nous sommes un petit pays, et peut être 10 000 personnes verront notre film, ce qui est peu. De plus, il n’y a pas beaucoup de gens qui s’intéressent à ce genre de cinéma, il n’y a que les films à popcorn qui marchent en Norvège. Ce n’est pas comme vous en France, où vous avez la chance d’avoir des cinémas indépendants, nous n’avons pas du tout cette tradition chez nous.

Atle, vous n’êtes pas simplement acteur et coscénariste, vous êtes aussi musicien et animateur radio. Pensez-vous favoriser une de ces activités un jour ?

A.A. : Je suis infatigable ! J’adore faire beaucoup de choses et rester actif dans tous les domaines. La radio m’a permis d’apprendre à improviser, chose que l’on ne peut pas vraiment faire au cinéma, donc j’apprécie vraiment la diversité dans mes activités.

O.E. : Il fait aussi des spectacles de siffleur. Il peut vous faire une démonstration…

A.A. : Non désolé, là j’ai les lèvres sèches.

Lorsqu’on regarde le parcours de l’un et de l’autre, on remarque qu’il est essentiellement fait de comédies. Pensez–vous un jour changer de genre ?

O.E. : A chaque fois que j’écris quelque chose, je n’arrive jamais à rester sérieux. Lorsque je commence à inventer une histoire, même avec une base triste, il y a toujours des blagues qui surgissent et je termine toujours avec une comédie. Je n’arrive pas à avoir de sentiments sérieux, c’est comme ça.

Si on vous appelait pour une carrière aux Etats-Unis, quitteriez-vous la Norvège ?

O.E. : Je n’ai aucun espoir d’aller aux Etats Unis un jour. Et je trouve que c’est très prétentieux de dire oui. Mais bon, si on me proposait, je répondrais un « oui » prétentieux.

A.A. :Si un jour on a besoin de moi oui. Mais je crois qu’ils ont tout ce qu’il faut là-bas.

Avez-vous des projets  ?

O.E. :Cet hiver, je travaille sur la série norvégienne Lylyhammer. Mais à côté de ça, j’écris toujours, j’ai plein d’idée pour d’autres films, il ne me manque plus que l’argent.

Propos recueillis par Constance Mathews à Paris le 19 décembre 2012

VIDEO : La bande-annonce du “Roi du curling”

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Le Roi du Curling


24h avec Tatiana De Rosnay

Tatiana De Rosnay, auteure française la plus lue en Europe et aux Etats-unis nous raconte sa journée type.

Avec son dernier ouvrage, Son Carnet Rouge, Tatiana de Rosnay, nous entraîne dans les dédales de l’infidélité. Un recueil de nouvelles percutantes et drôles, comme elle. Cette mère de famille franco-anglaise nous parle de son quotidien avec humour et partage ses coups de cœur beauté.

7H: Réveil en douceur.

J’ai investi dans une lampe Eveil Light, Philips qui imite le lever du jour. Je déteste les réveils brutaux. J’ai retiré les options grillons et grenouilles pour les remplacer par France-Info. Trente minutes plus tard, il fait grand jour dans ma chambre, c’est le moment de sauter dans la douche. Je multiplie les couches de crèmes comme les japonaises: Lotion et Sérum Hydratant Hydrance Optimale d’ Avène et la Crème Caviar Luxe pour le Corps La Prairie. Si j’ai une interview, j’applique le Masque Apaisant Hydratant d’ Avène. Il a un effet immédiat sur l’éclat de la peau.

8H15: Revue de presse et petit-déjeuner à l’anglaise.

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Je télécharge la presse sur mon Ipad: Libé, The Guardian et je twitte tout en écoutant RTL, Europe 1 ou France Info. Mon petit-déjeuner se compose d’une tasse de thé Earl Grey et de céréales Grape-Nuts que j’achète chez Smith’s, immangeable pour qui n’est pas anglaise. On s’en met plein les dents. Tous les matins, je me dis que je devrais aller au sport. Je me suis inscrite à la piscine mais je n’y vais pas. J’ai décidé de me reprendre en main une fois la promo de mon livre terminée.

10H: Ecriture dans une ambiance monacale.

Je rejoins mon bureau, au 8e étage de mon immeuble. Un 7m2 spartiate sans le wi-fi pour ne pas être tentée. Je travaille sur une chaise d’écolier pas confortable du tout. Je reste dans ce placard jusqu’à 15H. A midi, je me nourris d’une pomme, d’abricots secs, de madeleines, de chocolat au lait… que des cochonneries, le tout arrosé de thé. Mon seul moment de détente consiste à me masser les mains avec une crème ultra chic, le Soin pour les Mains Crème de la Mer.

16H: Détente chez le coiffeur.

Je redescends de mon pigeonnier dans un état groggy. Je reprends contact avec la vie pour m’occuper de ma famille, j’ai deux grands enfants. Je passe voir mes parents qui habitent dans l’arrondissement voisin où je vais chez le coiffeur, au moins deux fois par semaine.Il y a longtemps, j’ai décidé de garder mes cheveux gris, presque blancs aujourd’hui. Il faut savoir que le blanc ne supporte aucune négligence, ce qui signifie brushing impeccable, maquillage léger, et cheveu blanc immaculé. Je les entretiens avec le Shampoing Silver de Sachujuan qui les empêche de jaunir. Une fois par mois, j’applique le Masque Pur Blond de Christophe Robin qui fait aussi des merveilles, il leur donne une brillance incroyable. Depuis peu, les vernis sont devenus ma marotte. Je vais dans un petit salon en bas de chez moi et je me lâche avec les couleurs comme le vert turquoise en été ou le prune et le gris en hiver, mais jamais de rouge.

18 H: Make-up léger pour sortir.

Si je sors, je me maquille mais toujours de façon très naturelle: Terracota 4 Saisons de Guerlain pour le teint, un peu de mascara Dior Iconic et un soupçon de blush Rosebud Dolce & Gabbana . Je m’habille souvent en bleu turquoise. Dernièrement, j’ai fait une razzia dans la collection Inès de la Fressange chez Uniqlo. Pour finir, un pschitt de Figuier Extrême de l’Artisan Parfumeur , mon parfum de toujours.

Minuit: Masque régénérant devant une série télévisée.

Je me glisse dans le lit avec le Masque Caviar Sleep in Beauty La Prairie. Il a l’avantage d’être transparent et de ne pas perturber pas la vie de couple! Au réveil, j’ai une peau de bébé. Avant de m’endormir, je lis et je visionne des séries comme Homeland, House of Cards et Downtown Abbey.

Hugh Jackman, la boule à zéro

Il se moque de maltraiter son image d’australien sexy. Pour les besoins de son prochain film, Hugh Jackman s’est rasé le crâne et exhibe un beauty look étonnant sur les réseaux sociaux.

Est-ce la mode Mr Propre? Une petite coupe bien dégagée derrière la nuque qui dérape sur le haut du crâne? Hugh Jackman affiche son nouveau look ‘capillaire’ sur son compte Instagram, et cette coupe radicale n’a rien à voir avec une lubie beauté. Pour les besoins de son nouveau film Pan – qui revient sur l’enfance de Peter Pan -, Jackman s’est glissé dans les atours de Barbe Noire, qu’il incarnera à l’écran. Via Instagram, l’acteur a partagé une photo de lui. Méconnaissable. Crâne rasé, barbe proéminente, Hugh Jackman est visiblement ravi de sa transformation physique. «Barbe Noire est né. #PAN», s’enorgueillit-il sur la Toile.

Trois jours après qu’il a présenté les Tony Awards tout en cheveux, Hugh Jackman ne perd pas une minute pour se concentrer sur son prochain challenge: devenir le méchant Barbe Noire. Au casting de ce projet de la Warner, l’on retrouvera Garrett Hedlund en Crochet, Levi Miller dans les collants de Peter Pan, Rooney Mara en Lili la Tigresse, quand Amanda Seyfried sera Mary Darling, la mère de Wendy. Si Javier Bardem fut un temps pressenti pour jouer Blackbeard, le président de la Warner Greg Silverman s’est réjoui du choix de Hugh Jackman. «Il nous livre à chaque fois d’incroyables performances qui séduisent les audiences, expliquait-il en janvier dernier. Nous savons qu’il imaginera un Barbe Noire haut en couleurs dans cette nouvelle aventure Peter Pan

Pas de doute qu’avec son crâne rasé et sa longue barbichette, Hugh Jackman rejoindra le Panthéon des méchants cultes.

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Polémique sur “Django Unchained” : 4 questions à l’Historien François Durpaire

Alors qu’une vive polémique a entouré et un peu écorné aux Etats-Unis la sortie de “Django Unchained”, notamment sur le thème du film mais surtout sur l’usage du mot “Nigger” dans l’oeuvre de Tarantino, nous avons posé quelques questions à François Durpaire, historien, spécialiste des Etats-Unis et des minorités.

Attendu dans les salles ce mercredi, Django Unchained a alimenté ces dernières semaines une vive polémique aux Etats-Unis, notamment entre Spike Lee et Quentin Tarantino, en raison de la manière dont il aborde l’esclavage aux Etats-Unis mais surtout l’usage du mot “Nigger” dans le film. Un mot particulièrement tabou au pays de l’oncle Sam.

 

Nous en avons profité pour poser quelques questions à François Durpaire, historien, spécialiste des Etats-Unis et des minorités. Agrégé d’histoire en 1996, auteur d’une thèse de doctorat soutenue en 2004 sur le rôle des Etats-Unis dans la décolonisation de l’Afrique noire francophone (1945-1962), il enseigne depuis 2007 à l’IUFM de Versailles (Université de Cergy) où il est en charge de la formation des enseignants. Membre du Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage, il est l’auteur de plusieurs ouvrages. Dernier ouvrage paru : Histoire des Etats-Unis, dans la collection Que sais-je ? (PUF, 2013). On lui doit également le documentaire Barack Obama : un rêve métissé, produit par BBC Worldwide. Il tient régulièrement un blog, consultable ici.

AlloCiné : Une vive polémique est née dernièrement, autour de l’usage du mot “Nigger” dans le film de Tarantino, qui a notamment pour toile de fond l’esclavage. Comment peut-on expliquer qu’une telle polémique naisse alors qu’il s’agit avant tout d’une œuvre de fiction ?  Pourquoi ce mot est-il si tabou aux Etats-Unis, et même semble-t-il chez les journalistes ?

François Durpaire : Ce mot est très légitimement tabou aux Etats-Unis aujourd’hui. Sa connotation est très fortement raciste et dégradante. La question est cependant de savoir si ce terme peut être utilisée dans une oeuvre historique, comme c’est le cas du film de Tarantino. Et cela semble incontournable. Comment désigner les “Noirs” au XIXe siècle sans utiliser les mots de cette époque ? Utiliser la terminologie présente – “Blacks” ou “African Americans” apparaitrait totalement anachronique, voire ridicule.

 

AlloCiné : Spike Lee a annoncé en décembre dernier qu’il n’irait pas voir le film de Tarantino, notamment “par respect pour ses ancêtres”; comme s’il ne reconnaissait pas le droit à un réalisateur non noir de traiter ou même d’évoquer le sujet. Peut-on élargir le propos, au sens où la communauté afro-américaine ne souhaite pas voir quelqu’un extérieur à elle traiter / évoquer ce sujet ?

François Durpaire : Spike Lee est très loin de représenter l’ensemble des 33 millions de Noirs américains. La plupart d’entre eux ne voit aucune objection à ce qu’un réalisateur, quelle que soient ses origines, ne traite de ce sujet. Amistad de Steven Spielberg, qui traitait de la Traite et indirectement donc de l’esclavage, n’avait suscité aucune polémique. Et des acteurs noirs de premier plan participent au film de Tarantino : Jamie Foxx, Kerry Washington, Samuel L. Jackson. Ils ne sont pas moins légitimes que Spike Lee qui n’a aucune légitimité à parler “au nom des Noirs”. Comme du reste les propos d’un réalisateur “blanc” n’engagent pas l’ensemble des Blancs…

 

AlloCiné : Dans les années 70, avec le cinéma de la Blacksploitation, l’usage du mot “Nigga” était courant. A-t-on constaté / observé depuis un glissement sémantique dans l’usage et le sens de ce mot ?

François Durpaire : Il s’agit d’un usage détourné. Qui se prolonge jusqu’à aujourd’hui dans certains textes de rap. Mais c’est évidemment très différent lorsqu’il s’agit de membres de la communauté qui s’approprient des mots portant les stigmates de cette histoire, pour mieux les dépasser.

 

AlloCiné : Le sujet de l’esclavage aux Etats-Unis est aussi revenu avec le film de Spielberg, “Lincoln”. Où en sont les Etats-Unis dans leur travail de mémoire justement concernant la question de l’esclavage et de la ségrégation ? Ont-ils encore du mal à se pencher sur leur passé concernant ces sujets ?

François Durpaire : On peut constater que Hollywood s’est très peu penché sur l’esclavage. On peut penser qu’il y a une difficulté avec cette histoire, mais plus fondamentalement, c’est que de nombreux artistes ont considéré que l’histoire la plus essentielle à traiter est l’histoire de la ségrégation et des droits civiques, traitée à de nombreuses reprises au cinéma, comme Mississippi Burning, Malcolm X, etc. Pourquoi ? Parce que l’esclavage n’a pas abouti à une égalité réelle, et qu’il a fallu attendre les années cinquante (du XXe siècle) pour que cette égalité émerge.

 

Propos recueillis par Olivier Pallaruelo le 11 janvier.

Photos– Yannick Noah, Julien Doré, Texas fêtent les 33 ans de RFM

Lundi 16 juin se tenait aux Folies Bergères une soirée bien particulière : un concert VIP exclusif pour les 33 ans de la station de radio RFM. L’occasion de réunir sur une même scène Yannick Noah, Julien Doré, Emmanuel Moire, ou encore le groupe Texas.

À quoi avez-vous droit, vous, pour votre anniversaire ? Un bon gâteau, quelques amis, peut-être une grande fête ? Du côté de RFM, on s’offre plutôt Birdy, Indila, et Christophe Maé. En concert privé. Il y a quelques jours à peine, au sein des Folies Bergères, la radio fêtait dignement sa trente-troisième année d’existence, pour le plus grand plaisir du public présent – et des moins chanceux, qui pouvaient malgré tout profiter du concert grâce à Internet.

Sur scène se sont succédés, au fil de l’animation proposée par les maîtres de cérémonie Sophie Coste et Bruno Roblès, de nombreuses stars françaises et internationales. Étaient présents Calogero (qui vient de sortir un single engagé, en prélude à un album cet automne), Yannick Noah (qui assume très bien les risques pris avec son nouvel album), et Julien Doré qui a charmé l’assistance – normal, pour ce Ryan Gosling qui s’ignore. L’assistance a aussi pu applaudir Emmanuel Moire, Texas, Pascal Obispo, Gérald de Palmas, et le groupe français Cats on Trees. Du beau monde donc : une évidence, pour cette radio qui dit proposer « le meilleur de la musique ».

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(crédit photo : RFM/JP Pariente)