Month: February 2020

Peu de nos ressortissants parviennent à faire rire nos cousins d’Amérique. Gad Elmaleh a réussi ce pari et comme premier fan, il peut compter sur Jerry Seinfield.

Where is my umbrella? L’anglais hésitant de Gad Elmaleh est bel et bien derrière lui. Aujourd’hui, le petit marocain est devenu une star Outre-Atlantique et son talent y est reconnu. L’humoriste est fière aujourd’hui de nous faire partager les nouveaux épisodes de cette aventure américaine. Après avoir rempli des salles de New York à Los Angeles en passant par San Francisco, Gad Elmaleh est de retour au cœur de la Grosse Pomme pour de belles retrouvailles. Le comédien, Jerry Seinfeld, dont il a fait la connaissance a l’occasion du doublage de Bee Movie, l’a invité à prendre place dans son célèbre show Comedians In Cars Getting Coffee.

L’auteur et acteur génialissime de Seinfield s’est pour l’occasion, glissé au volant d’une Citroën 2CV un peu retissante. Un hommage à l’automobile français que Gad Elmaleh a su apprécier. Toute une journée, l’Américain a donc traîné son confrère français dans les rues de New York et l’a amené sur les pistes d’une interview drôle et touchante. Le compagnon deCharlotte Casiraghi raconte ses premiers pas aux Etats-Unis, pas toujours évident et bercé de pas mal de situations comiques pour lui qui ne maîtrisait que très peu la langue de Shakespeare.

Jerry Seinfeld a réservé pour Gad Elamaleh un programme so frenchy. Pause frites pour ces messieurs, teinté d’une certaine déception pour l’humoriste new-yorkais qui a découvert grâce à son confrère français, que les frites étaient originaires de Belgique. Ô drame, ô pomme de terre. Leur balade dans rues de la ville emmène finalement les deux hommes dans «typique café français». Autour de ce moment de complicité, Gad Elmaleh confie a Jerry Seinfeld l’un de ses plus grand rêve, celui de «jouer un jour, même 10 minutes, un de mes spectacles en anglais».

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C’est l’association de consommateurs UFC-Que Choisir qui a dénoncé, mercredi, la supercherie. Sur NRJ, Cauet ferait parfois appel à de «faux auditeurs» pour diffuser à l’antenne des «engueulades». Pour l’animateur, il s’agit simplement d’auditeurs complices. Une bataille de mots qui pourrait bien prendre de l’ampleur.

Quand un très sérieux organisme de défense des droits des consommateurs s’intéresse à votre émission, mieux vaut ne rien avoir à se reprocher. Ce qui selon l’UFC-Que choisir n’est pas le cas de C’Cauet, diffusée sur NRJ.

L’émission de libre-antenne, animée par Cauet, ferait appel à de « faux auditeurs », et même à des comédiens pour alimenter les séquences pièges, type «Le super jeu» ou «Marion teste ton mec», selon l’association de consommateurs qui se base sur les témoignages de quatre « faux-auditeurs ».

Des accusations auxquelles l’animateur de la première radio musicale de France a répondu sur son compte Facebook. Et Cauet joue carte sur table: «Lorsqu’un auditeur, à quelques minutes du direct, refuse Râteau time ou Marion test ton mec, je me dois d’assurer la séquence préférant divertir avec un auditeur complice et non un comédien, qui suivra une ligne directrice et non un scénario».

Mais «ce qui nous dérange, explique le journaliste de l’UFC-Que choisir, c’est que des cadeaux sont promis à l’antenne à ces auditeurs, qui se plaignent de ne pas les recevoir. Quand on passe à la radio et qu’un cadeau vous est promis, il doit vous être donné: c’est la loi».

Sauf que, selon Cauet, ces « faux-auditeurs », «toujours non rémunérés», porteraient de fausses accusations: «Vous sous-entendez également que les « dotations » n’iraient pas aux gagnants des jeux, alors d’après vous où vont-elles? Peut être revendues par mes soins le samedi soir sur eBay sous un faux profil? ou sur les marchés à la fraîche le lendemain matin? Je suis encore au regret de vous annoncer que chaque gagnant de jeu s’est toujours vu attribuer sa dotation».

Le CSA, notre gendarme de l’information, aurait reçu une plainte orale, et envisagerait d’étudier ce dossier. Un coup dur pour l’animateur? «Je suis presque flatté que (UFC-Que choisir ait) besoin de moi pour créer le buzz».

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Le film de Régis Roinsard, qui sortira en novembre prochain, fait en attendant le grand chelem des labels de spectateurs.

Avant Populaire, seul Intouchables avait décroché les quatre labels des circuits cinématographiques : Coup de cœur Gaumont Pathé, CGR adore, Lumières sur… Kinépolis et Label des spectateurs UGC. Emmené par le tandem Romain Duris-Déborah François, le premier long de Regis Roinsard s’emploie donc à justifier son titre en attendant sa sortie, le 28 novembre.

 

La bande-annonce :

 

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Un documentaire diffusé sur la télévision britannique a permis de redécouvrir des photos inédites de Lady Di, lors d’un bal donné à la Maison Blanche en 1985. Une soirée au cours de laquelle la princesse a multiplié les cavaliers, de Ronald Reagan à John Travolta.

Flashback. Nous sommes en septembre1985, à Washington. La Maison Blanche est le théâtre d’un grand gala organisé par le maitre des lieux à l’époque, Ronald Reagan. Les invités ont revêtus leurs plus beaux habits, les dames en robe de soirée et les hommes en smoking. Parmi les nombreux invités présents ce soir-là, s’il en est une dont l’étoile brille tout particulièrement, c’est Lady Di.

Le prince Charles et sa jeune épouse effectuent alors leur premier voyage officiel aux Etats-Unis et tous les Américains n’ont d’yeux que pour celle qui n’est pas encore la princesse du peuple. Tous découvrent une charmante jeune femme au sourire timide, magnifique dans une longue robe noire signée Victor Edelstein. En revanche, si son visage est clairement identifié, son nom l’est beaucoup moins. Au cours du petit discours qu’il prononce à la fin du repas, Ronald Reagan éprouve quelques difficultés à s’en souvenir. «Permettez-moi d’adresser nos félicitations au prince Charles pour son anniversaire, il y a cinq jours, déclare le président américain. Ainsi que notre plus grande joie que… la princesse David, la princesse Diane (sic) soit présente pour son premier voyage aux Etats-Unis».

Un incident non diplomatique qui heureusement ne ternit pas l’ambiance joyeuse de la soirée. Plus tard, lors du bal qui suit le dîner officiel, tous les hommes veulent danser avec celle-dont-le-président-a-oublié-le-nom. Et c’est ainsi que, pendant toute la soirée, Lady Di passe des bras de Ronald Reagan, afin peut-être de lui décliner son identité complète dans le creux de l’oreille, à ceux de Tom Selleck, Magnum fringant dont la moustache frisait de plaisir, ou ceux de Clint Eastwood, inspecteur Harry toujours aussi imperturbable, même en tenant une princesse par la taille.

Mais c’est bel et bien la danse que Lady Di effectue avec John Travolta qui retient l’attention et électrise la salle de bal de la Maison Blanche. En 1985, l’acteur est devenu célèbre avec ses rôles dans La fièvre du samedi soir, Grease et Staying alive et ses talents de danseur ne sont plus à prouver. Autant Diana semble intimidée dans les bras de ses précédents cavaliers, autant la princesse affiche un grand sourire et ne cache pas son plaisir de faire quelques pas de danse avec le séduisant Travolta. Ce soir-la, le prince Charles ne prend pas ombrage de cette rude concurrence que représentent ces stars hollywodiennes qui s’arrachent sa femme. Et loin de se contenter de garder le sac de Lady Di dans un coin, l’héritier de la couronne britannique essaie lui aussi de bouger son corps au rythme des musiques jouées par l’orchestre de la Maison Blanche. Mais avec plus de difficultés.

Toutes ces scènes insolites sont à découvrir sur des photos prises par Pete Souza, le photographe officiel de la Maison Blanche, qui officie encore aujourd’hui pour Barack Obama. Des clichés vieux de 28 ans mais revenus à la surface grâce à un documentaire diffusé mardi sur Channel 4. Intitulé Les robes de la princesse Diana: la vente aux enchères, il détaille dix robes portées par la princesse de Galles, dont celle de ce fameux bal à la Maison Blanche, et vendues aux enchères en mars dernier.

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Après son succès au démarrage du Box-office US et ses 30,2 millions de dollars au compteur, “Paranormal Activity 4” se verra gratifié d’une suite, déjà prévue pour l’horizon 2013. Ainsi en a décidé son distributeur, Paramount Pictures.

 

Quitte à essorer une franchise, autant que ce soit jusqu’au bout. Surtout quand elle ne démérite pas au Box-Office. Bien que Paranormal Activity 4 réalise le moins bon démarrage au BO US de la franchise, avec 30,2 millions de dollars au compteur pour son premier week-end d’exploitation (voir notre article), les résultats sont estimés suffisamment encourageants chez Paramount Pictures pour donner le feu vert à un 5e volet. Toujours produit par le tandem Jason Blum et Oren Peli, Paranormal Activity 5 est déjà prévu pour une sortie à la même période de l’année, soit fin octobre 2013.

 

Plus curieusement, la Major planifie également, pour le printemps 2013, un Spin Off, selon le site Deadline qui rapporte en exclusivité l’info. Destiné prioritairement au public Latino et d’Amérique du Sud, très friand de ce type de film et de la saga, ce Spin Off sera réalisé par Christopher Landon, auteur du script du film Paranoiak en 2007. Le seul élément dont on dispose à propos du casting est qu’il sera majoritairement latino, et que le film sera tourné en partie en espagnol.

 

OP avec Deadline

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L’équipe de communication de James Blunt aurait envoyé accidentellement un message sur des millions de boîtes mail, exhortant leur propriétaire à écouter le dernier tube du chanteur, Bonfire Heart. Alors véritable erreur ou stratégie de communication? Certains internautes n’ont en tout cas pas apprécié d’avoir été spammés.

Un seul clic, et c’est tout le Royaume-Uni qui a reçu un mail du compte personnel de James Blunt: «J’aimerais que tu sois le premier à écouter mon nouveau single». Sans oublier quelques Australiens, Islandais ou Américains. Très vite, le chanteur s’est excusé sur Twitter: «Oups, je viens d’envoyer un mail à tout le Royaume-Uni par erreur».

Selon Warner Music, la maison de disque de l’interprète –choisi pour jouer lors du mariage de Kate et William-«il s’agit d’une erreur d’un employé administratif, le mail a été envoyé par accident à des internautes abonnés à l’actualité d’autres chanteurs signés chez Warner Music». Et voilà qui explique comment des millions de personnes aient pu recevoir cette invitation.

L’erreur humaine est une possibilité, un coup de com’ qui a mal tourné en est une autre. La pratique du mail personnalisé envoyé aux fans est courante, mais dans ce cas précis, les millions d’internautes spammés par James Blunt n’appréciaient pas nécessairement sa musique pop-folk, parfois un peu guimauve, comme la chanteuse du groupe Paramore qui lui a répondu avec humour: «Ne me mens pas James Blunt, je sais que tu as envoyé ce mail à des milliers d’autres filles».

Certains, plus mécontents, l’ont fait savoir sur les réseaux sociaux. Par exemple, «La question pressante est, comment exactement James Blunt a-t-il obtenu mon adresse mail? Et non James, je n’ai pas écouté Bonfire Heart». Ou encore, «Si vous recevez un mail avec un lien vers le nouveau single de James Blunt, ne cliquez pas dessus. C’est un lien vers le nouveau single de James Blunt».

Nous, on a écouté Bonfire Heart, et si vous appréciez la musique de l’ancien militaire, vous devriez aimer ce titre, qui à coup sûr, inondera les play-lists des radios. «Ça parle d’amour, de la vie, de la peur, de l’espoir», expliquait le mail de James Blunt, bref les ingrédients du succès.

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Le cinéma se dansait samedi sur TF1. La preuve à travers sept chorégraphies, de “Star Wars” à “Men in Black” en passant par “Edward aux mains d’argent”.

Men in Black III

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Star Wars

Bodyguard

Edward aux mains d’argent

Dirty Dancing

Roméo + Juliette

Superman

Photo : © TF1 – Laurent Zalulon

Il a défendu le nazi Klaus Barbie, le terroriste Carlos et le dictateur Slobodan Milosevic. Surnommé “l’avocat de la terreur”, Jacques Vergès est mort à l’âge de 88 ans.

C’est le Conseil National des Barreaux qui a confirmé l’information sur BFMTV, l’avocat Jacques Vergès est mort de causes naturelles. Il avait 88 ans.

Né le 5 mars 1925 d’un père consul de France au Siam et d’une mère vietnamienne, il grandit sur l’île de la Réunion. A l’âge de 17 ans, il s’engage dans la Résistance. A la fin de la Deuxième guerre mondiale, Vergès poursuit ses études de droit, prête serment en 1955. Il décolle alors vers Alger où il défend les militants algériens du FLN. « J’y rencontrai à la sortie d’une salle de torture la future mère de mes enfants, poseuse de bombes. », confiait-t-il au Point. Il devient en effet l’avocat de la militante Djamila Bouhired, inculpée pour ses actes de terrorisme, torturée et condamnée à mort. Il prend à témoin l’opinion publique et fait de la « légende de la casbah » l’illustration « des tortures infligées par l’armée aux combattants algériens », obtenant sa grâce, toujours selon le Point. Avec Djamila, Jacques Vergès met au monde deux enfants: Meriem et Liess.

Entre 1970 et 1978, il disparaît, laissant derrière lui femme et enfants. Aux journalistes qui l’ont par la suite interrogé sur cette période, il a affirmé qu’il avait passé quelques temps «très à l’est de la France» et «avec des amis qui sont encore vivants, dont certains ont des responsabilités importantes». Le documentaire de Barbet Schroeder qui lui est consacré en 2007, intitulé L’Avocat de la Terreur met en avant un problème financier expliquant sa disparition. Nul ne sait aujourd’hui s’il était à ce moment auprès des militants de la cause palestinienne, ou au Congo, ou encore au Cambodge aux côtés du Khmer rouge Pol Pot.

En 1987, il défend Klaus Barbie, ancien responsable de la Gestapo de Lyon, accusé de crime contre l’humanité. Il se rendra célèbre également en défendant le terroriste Carlos, ainsi que l’ancien président serbe accusé de génocide Slobodan Milosevic. En 1994, il prend la défense d’Omar Raddad que toutes les circonstances accusent de meurtre. Avocat des causes perdues pour certains, il sera considéré comme sulfureux et provocateur pour d’autres. En 2008, c’est Khieu Samphân qui s’offre sa défense. L’ancien dignitaire Khmer Rouge est responsable de la mort de 2 millions de Cambodgiens entre 1975 et 1979. Dernière personnalité internationale à avoir pu compter sur le soutien de Jacques Vergès: Laurent Gbagbo battu en 2010 par son opposant Alassane Ouattara au cours d’une élection qu’il avait repoussée à six reprises.

Christian Charrière-Bournazel, président du Conseil national des barreaux, avait dîné avec Jacques Vergès il y a une dizaine de jours. Il raconte à l’AFP que l’avocat avait fait une chute un peu auparavant et il l’avait trouvé extrêmement amaigri. “Il marchait très lentement, il avait des difficultés à parler, mais intellectuellement il était intact.” Il ajoute: “on savait que c’étaient ses derniers jours mais on ne pensait pas que ça irait aussi vite.”

L’homme salue la mémoire d’un avocat “courageux”, qui défendait la “cause des opprimés”, mais aussi “très narcissique et provocateur”.

Découvrez Noomi Rapace dans “Doom And Gloom”, le nouveau clip des Rolling Stones.

Après Ridley Scott, Guy Ritchie et Brian De Palma, l’actrice suédoise Noomi Rapace continue sa collaboration avec les grands noms, mais musicaux cette fois, puisqu’elle joue dans le clip “Doom And Gloom” des Rolling Stones. Dans le clip, mis en scène par Jonas Akerlund (Les Cavaliers de l’Apocalypse), la comédienne est tour à tour aviatrice, hôtesse de l’air, tueuse de zombies ou encore chanteuse.

Laëtitia Forhan

India witnessed the second largest number of millionaire outflow globally after China with 7,000 high net worth individuals changing their domicile during 2017, 16 percent more than last year, according to a report.

According to the report by New World Wealth, 7,000 ultra-rich Indians shifted overseas in 2017. In 2016, the figure stood at 6,000, while in 2015 as many as 4,000 millionaires shifted base.

Reuters/Representational Image