La comédie de Paul King est tirée d’une série de livres écrit par l’Anglais Michael Bond, dont la première histoire a été publié en 1958. La date de sortie est fixée au 3 décembre prochain.
Paddington est un film familial racontant l’histoire d’un ours péruvien débarquant à Londres à la recherche d’un foyer accueillant, mais Nicole Kidman présente au casting n’en reste pas moins ultra-élégante.
Chevelure blonde platine, coupe au carré et yeux bleus tranchants, elle irradie sur la première photo exclusive dans sa tenue “so british” façon gentleman farmer.
La comédie de Paul King est tirée d’une série de livres écrit par l’Anglais Michael Bond. La première histoire a été publié en 1958.
Invitée sur Le Divan de Marc-Olivier Fogiel en 2015, Mireille Darc racontait ses plus grandes déchirures. Le jour où Alain Delon la quitte pour une autre femme, « tout s’écroule ». Une séquence très émouvante.
Mireille Darc et Alain Delon se sont follement aimés pendant quinze années. Mais un jour, l’acteur s’entiche d’une autre femme, Anne Parillaud. Sur Le Divan de Marc-Olivier Fogiel en 2015, Mireille Darc parlait avec émotion de cette épreuve. « D’un seul coup, tout s’écroule », prononçait-elle alors la voix tremblante et les yeux embués. “Je crois que j’aurais tout accepté à ce moment-là. J’aurais accepté qu’il me trompe“, avouait-elle. Marc-Olivier Fogiel ose alors rappeler que cela, elle l’acceptait déjà.
L’actrice, décédée le lundi 28 août à l’âge de 79 ans, avait gardé une très belle relation d’amitié avec Alain Delon après leur séparation en 1983. Ce dernier a d’ailleurs veillé sur elle jusqu’à sa mort, au côté de Pascal Desprez, son mari depuis 20 ans. “Mes relations avec Delon sont immuables, confiait Mireille Darc à Gala en 2008, s’il a un problème, il m’appelle. Même la nuit, j’accours. Nous trimballons un tel passé tous les deux, nous ne sommes plus un homme et une femme, notre relation est bien au-delà.”
Alors que l’émission de Yann Barthès sur TMC, Quotidien, fait sa rentrée, les internautes ont remarqué une nouvelle recrue parmi l’équipe : Lilia Hassaine, 26 ans, journaliste pour l’émission dans l’équipe de Martin Weill depuis 2 ans.
Elle officie dans l’ombre de l’équipe de Martin Weill depuis 2 ans, la journaliste de 26 ans Lilia Hassaine a fait aujourd’hui sa rentrée sur le plateau de Quotidien, l’émission de Yann Barthès sur TMC. La jeune femme, encore un peu stressée, a largement charmé les internautes par sa fraîcheur et sa jeunesse. À la fin du mois de juin, elle participait à l’émission de décryptage politique de Martin Weill en première partie de soirée sur TMC, “Trump, saison 1″ et les internautes avaient alors appelé Yann Barthès à l’intégrer à l’équipe de son émission. Leur appel a été entendu puisque ce soir la jeune femme a été présenté officiellement aux téléspectateurs.
Chaleureusement accueillie par la toile, la journaliste ne devrait pas manquer de trouver vite ses marques dans la lumière, elle qui a brillamment fait ses classes dans l’ombre. Avant TMC, Lilia Hassaine a officié sur TF1 et Arte et a remporté en 2015 le « Prix santé et citoyenneté » pour son web-documentaire sur le don de cheveux.
Après “Tomboy” ou “Naissance des pieuvres”, Céline Sciamma livre une autre variation sur l’adolescence, avec l’électro classieuse de Para One comme bande originale. La date de sortie est fixée au 22 octobre prochain.
Après les récents Les Combattants, Party Girl et Hippocrate, tous auréolés d’un succès critique et public, un nouveau film français issu du Festival de Cannes s’apprête à sortir en salles.
Présenté en ouverture de la Quinzaine des Réalisateurs, Bande de filles signe le retour de Céline Sciamma qui avait marqué les esprits avec ces deux précédents longs-métrages, Tomboy et Naissance des pieuvres,
Les premières images promettent une atmosphère envoûtante, rythmée par l’électro stylée de Para One, un pied dans le réalisme social avec ce groupe de copines en proie aux émois de leur âge, et l’autre dans un onirisme formel qui rend poétique un paysage de cité urbaine.
La date de sortie est fixée au 22 octobre prochain.
Médecin à la renommée internationale, cancérologue de haut-vol, David Khayat, 61 ans, est l’homme auquel Johnny Hallyday a fait confiance pour tenter de soigner son cancer. Coup de projecteur sur ce grand professionnel français de la santé.
David Khayat a conseillé des présidents, épaulé de grandes personnalités et fait évoluer de façon considérable la lutte mondiale contre le cancer. Ces dernières années, il est également devenu le médecin attitré de Johnny Hallyday, l’homme appelé en renfort pour tenter de soigner le rockeur de 74 ans. N’hésitant pas à se rendre aux États-Unis pour accéder à son patient, travaillant main dans la main avec les médecins américains du Cedars-Sinai Hospital de Los Angeles, David Khayat est parvenu à convaincre Johnny Hallyday d’arrêter la cigarette, même électronique, après des décennies de consommation. Considéré comme le cancérologue le plus réputé de France, il a supervisé de près les séances de chimiothérapie du chanteur puis mis en place l’immunothérapie finalement parvenue à stopper l’avancée de son cancer. Si Johnny Hallyday est encore aujourd’hui capable d’organiser une tournée musicale et de déchaîner les foules en montant sur scène, c’est en partie grâce au professeur David Khayat.
Du haut de ses 61 ans, avec son visage souriant, ses lunettes et ses cheveux gris, le médecin donne l’impression de baigner dans la joie de vivre. Son métier est pourtant loin d’être simple. « Tous les lundis et mardis, je consulte et je vois des gens mourir, confie-t-il à Paris Match. A la fin, je ne peux plus imaginer… J’embrasse ma femme le matin, je sais qu’elle va mourir, j’embrasse mes enfants, je sais qu’ils vont mourir. La plupart des gens normaux ne pensent pas à ça. » Lui, si. Ce Niçois de naissance, aîné des garçons d’une famille juive tunisienne émigrée dans le sud de la France, rêve de devenir médecin depuis l’âge de huit ans. Il opte finalement pour la cancérologie après que la femme de son meilleur ami manque de peu de succomber à la maladie. Depuis, il travaille d’arrache pied pour faire évoluer la science dans ce domaine et espérer un jour venir à bout de ce mal qui ne cesse de progresser. Co-inventeur de la spécialité d’oncologie médicale, fondateur de l’Institut national du cancer et de l’Institut international de cancérologie de Paris, membre directeur de l’American Society of Clinical Oncology, à l’origine de grandes campagnes de dépistage nationales, David Khayat consacre toute son énergie à la lutte contre le cancer quitte, même, à ne passer que peu de temps auprès de ses enfants. Après avoir passé plus de vingt ans à la tête du service cancérologie de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, il travaille désormais à l’Hôpital américain de Neuilly et profite de son temps libre pour rédiger des articles pour les revues médicales et des livres pour le grand public. Malgré tout cela, ce proche de Jacques Chirac, Bernard Henri-Lévy ou encore Alain Ducasse parvient à conserver le sourire et la joie de vivre.
Un début de compétition sombre, une “Eleanor Rigby” en charge de la séquence émotion et “Les Recettes du bonheur” d’Helen Mirren : retour sur la deuxième journée de ce Festival de Deauville.
Après l’ouverture jazzy signée Woody Allen, place aux choses sérieuses avec la compétition, qui nous a offert des vampires et un film d’espionnage posthume pour ses débuts. Heureusement, Eleanor Rigby était là pour nous prendre par les sentiments, et l’équipe des Recettes du bonheur, Helen Mirren en tête, pour donner un peu de légèreté à cette deuxième journée de Festival.
Le film du jour
Un homme très recherché d’Anton Corbijn – Avec Philip Seymour Hoffman, Rachel McAdams… – Sortie le 17 septembre
Philip Seymour Hoffman dans l’univers de John Le Carré et devant la caméra du réalisateur de Control, ce devait être un événement. Mais pas de cette façon puisque le film fait aujourd’hui partie des quelques œuvres posthumes de l’acteur, décédé le 2 février dernier. Une disparition tragique qui appesantit un peu plus l’ambiance de ce thriller volontairement froid, déceptif et frustrant. Pour sa troisième réalisation, Anton Corbijn signe en effet un film d’espionnage qui n’est pas à prendre au sens bournesque (ou bondien) du terme.
Ici, pas de résolution d’intrigue à coups de clé de bras ou de course-poursuite, mais des hommes et des femmes dont les opérations, minutieusement construites, peuvent s’écrouler en moins de temps qu’il ne faut pour citer le titre. Dans la lignée de The American, Un homme très recherché est toutefois plus prenant et se rapproche de La Taupe de Tomas Alfredson, autre adaptation de Le Carré : sur le plan chromatique déjà, mais aussi en ce qui concerne l’approche de l’espionnage et la qualité du jeu de ses acteurs.
Étaient également au programme :
A Girl Walks Home Alone At Night (Compétition) – Des vampires et du noir et blanc : c’est ainsi que la Compétition s’est lancée, grâce au premier long métrage d’Ana Lily Amirpour, l’un des quelques films de genre présentés pendant ce Festival. Certains y ont noté une ressemblance avec Jim Jarmusch pour son rythme et son ambiance, mais A Girl Walks Home Alone At Night ne semble pas pleinement avoir convaincu les spectateurs pour autant.
The Disappearance of Eleanor Rigby : Them (Avant-première) – Après Cannes, cap sur Deauville pour Them, version courte de la pépite de Ned Benson, qui condense Him et Her et nous conte l’histoire difficile du couple formé par Jessica Chastain et James McAvoy. Attendu aux Etats-Unis le 12 septembre, le long métrage n’a pas encore de date de sortie française. Reste donc à croiser les doigts pour que Deauville fasse changer les choses, ou pour qu’un coffret DVD/Blu-Ray regroupant les trois films débarque bientôt dans l’Hexagone.
Les Recettes du bonheur (Avant-première) – Week-end culinaire à Deauville. Avant le #Chef de Jon Favreau, les festivaliers ont découvert Les Recettes du bonheur de Lasse Hallström, avec Helen Mirren, Charlotte Le Bon, Manish Dayal et Michel Blanc. Dans une France de carte postale où les feux d’artifice sont légion, un village devient le théâtre de l’affrontement entre des restaurants indien et gastronomique. Si les bons sentiments peuvent rester sur l’estomac, cette nouvelle production d’Oprah Winfrey donne faim, très faim.
La star du jour
La Reine d’Angleterre était à Deauville ! Ou plutôt son interprète la plus célèbre, Helen Mirren, oscarisée et multi-primée pour son rôle dans The Queen. L’idée de régner qui est aussi présente dans Les Recettes du Bonheur, puisqu’elle y incarne la patronne d’un restaurant gastronomique de France, bien décidée à obtenir sa deuxième étoile au guide Michelin. D’où la question : l’Hexagone n’est-il pas le meilleur endroit où présenter un film sur la cuisine ?
“Oui, la nourriture française est vraiment iconique pour le reste du monde”, nous répond la comédienne. “Elle a acquis un statut légendaire, même si je ne sais pas pourquoi c’est elle plutôt que la cuisine italienne ou espagnole qui est aussi fantastique.”
Au micro
Rencontrer Helen Mirren et le casting des Recettes du bonheur, c’est donc l’occasion de parler cuisine avec tout ce beau monde. Et pour l’actrice anglaise de dévoiler LE plat qu’elle aimerait savoir préparer : “Le cassoulet. J’adore ça”, explique-t-elle. “Je sais que ça prend beaucoup de temps. En plus nous avons tourné près de Toulouse, qui est comme la capitale du cassoulet. Du coup j’en ai testé quelques-uns pour trouver le meilleur, et j’aimerais parvenir à réaliser le mien. Chaque cassoulet est un peu différent, donc je dois trouver celui qui m’est personnel.”
Elizabeth II fan de cassoulet, il fallait donc y penser. Et du côté de Charlotte Le Bon et Manish Dayal le son de cloche est un peu différent, mais s’il renvoie aussi à la cuisine française : “La pâte feuilletée”, nous répond l’actrice francophone. “Il paraît que c’est très très très compliqué à faire, et j’adore les croissants et pains au chocolat”, poursuit-elle avant d’expliquer le concept à son voisin, gestes et description du beurre nécessaire (“un morceau gros comme ta tête”) à l’appui.
Manish Dayal, lui, vise plus le boeuf bourgignon, “un plat viril” selon sa partenaire du film. Mais il reconnaît qu’il faut “de la patience et du temps, mais je n’ai aucune patience, donc voilà pourquoi c’est un défi.”“Pas de temps non plus, tu es trop occupé”, rebondit Charlotte Le Bon. Réponse : “C’est vrai vu que je suis ici avec Charlotte.”
Un homme très concerné
Peu de temps auparavant, Anton Corbijn était monté sur la scène du C.I.D. afin d’y présenter le deuxième long métrage de la Compétition : Un homme très recherché, film d’espionnage qui a une saveur toute particulière pour lui, comme il l’a expliqué devant une salle pleine.
“Le film que vous allez voir est très important pour moi et ce pour plusieurs raisons : la première, plutôt sérieuse, est le sujet du film, centré sur la période post-11 septembre. Je l’ai tourné en 2012, d’après un livre paru en 2008 et qui décrit des événement se déroulant entre 2004 et 2006. Ça parle de la polarisation de notre société, devenue de plus en plus présente. C’est donc un sujet sérieux sur lequel je voulais passer du temps.”
Célébrer son talent
“La deuxième raison est le casting, et plus particulièrement l’acteur principal, Philip Seymour Hoffman. Je lui suis vraiment reconnaissant d’avoir offert au film et à tout le monde une performance incroyable que j’espère que vous apprécierez”, a-t-il poursuivi, interrompu par une salve d’applaudissements à la mémoire du comédien qu’il a plus que cautionnée : “Je pense en effet qu’il faut célébrer son talent.”
“La troisième et dernière raison, enfin, m’est un peu plus personnelle : lorsque j’ai réalisé, un peu par accident, Control, mon premier film, je m’étais donné trois longs métrages avant de décider si je voulais vraiment être réalisateur. Et c’est le fait de tourner Un homme très recherché qui m’a convaincu, donc j’ai déjà tourné un autre film [Life, avec Dane DeHaan et Robert Pattinson], qui sortira prochainement.” Rendez-vous à Deauville 2015 ?
Enfin la phrase du jour, c’est à Arash Marandi qu’on la doit. Au moment de présenter A Girl Walks Home Alone At Night, le comédien s’est en déclaré qu’il n’avait “jamais été sans une salle aussi grande ! On dirait le Super Bowl !” Reste maintenant à savoir si les équipes des prochains films projetés à Deauville feront mieux.
Ça tweete sur les planches
I had the most beautiful day at the #DeauvilleFilmFestival loved meeting so many wonderful people! #gratitude http://t.co/oo77dOKnvj
— Jessica Chastain (@jes_chastain) 5 Septembre 2014
(J’ai passé la plus belle des journées au Festival du Film de Deauville. J’ai adoré rencontrer autant de personnes merveilleuses)
Et Mazuka vient d’être élu chat le plus cool du festival #AGirlWalksHomeAloneAtNight #Deauville2014
— Marine Bordone (@Marine2MP) 6 Septembre 2014
Philip Seymour Hoffman te revoir à l’écran n’a qu’accentué le fait que tu manqueras au cinéma #Deauville2014
— Cynthia Hamani ϟ (@Cycy05) 6 Septembre 2014
Et sinon…
Il n’y a pas que le cassoulet dans la vie d’Helen Mirren, puisque son plat préféré vient d’Espagne : il s’agit basiquement de la combinaison entre des frites très très chaudes et un œuf placé au milieu pour qu’il cuise avec la chaleur, et dont elle nous a expliqué la recette en français dans le texte.
L’autre événement de cette journée, ce n’est ni en Compétition, ni du côté des avants-premières qu’il fallait le chercher, mais dans le cadre de l’hommage rendu à John McTiernan, puisque Piège de cristal a fait se déplacer beaucoup de cinéphiles, à commencer par Clémence Poésy.
Mrs. Doubtfire est arrivée à Deauville ! Le lendemain de l’hommage rendu à Robin Williams lors de la cérémonie d’ouverture, mais quand même. Au tour de Peter Pan demain ?
Cosplay Mrs Doubtfire en hommage à Robin Williams dans les rues de #deauville2014 pic.twitter.com/7rcZzJqIK1
— Anaïs Berno (@AnaBerno) 6 Septembre 2014
Ce qui est sûr, c’est que demain vous aurez rendez-vous avec un polar en compétition et un autre atelier cuisine, avec le #Chef Jon Favreau ce coup-ci.
“The Disappearance of Eleanor Rigby” par le réalisateur et ses actrices :
The Disappearance of Eleanor Rigby : 1 histoire, 3 films
L’un des auteurs présumés du braquage de Kim Kardashian à Paris en octobre dernier vient d’être relâché, les enquêteurs ayant des doutes au sujet de son rôle dans l’opération. Son avocat s’est félicité.
Il était soupçonné depuis de longs mois d’avoir participé au braquage de Kim Kardashian, à Paris en octobre 2016. François D., 55 ans, vient finalement d’être libéré de la prison d’Osny, dans le Val d’Oise, où il était détenu depuis janvier dernier. Il a retrouvé la liberté dans la soirée du lundi 11 septembre.
Souvenez-vous, l’affaire avait faire la une de la presse internationale plusieurs jours durant. La star de télé-réalité avait été menacée puis ligotée dans un hôtel de luxe de la capitale où elle séjournait. Cinq individus masqués lui avaient alors dérobés pour près de 9 millions d’euros bijoux.
Dans le cadre de l’enquête, dix personnes ont été mises en examen au mois de janvier, soit près de 3 mois après le vol. Surprise : les cinq braqueurs présumés étaient âgés de 54 à 72 ans. Déjà connu des services de police, il s’agissait de bandits chevronnés multi-récidivistes. Mais les preuves de leur implication sont d’autant plus difficiles à trouver qu’il n’y a plus aucune trace des bijoux volés.
Concernant François D., il semble que les enquêteurs aient de véritables doutes quant à sa participation directe au braquage. « Au regard des éléments apportés pour la défense de mon client, et notamment plusieurs témoignages, il n’a pas pu participer à ce braquage », a déclaré son avocat au lendemain de sa libération, estimant qu’il s’agissait là d’une « victoire ».
Angelina Jolie tournera “Africa”, un biopic sur la vie du paléo-archéologue Richard Leakey, centré sur son engagement à protéger les éléphants et à lutter contre le trafic d’ivoire.
Skydance productions annonce que l’actrice et réalisatrice Angelina Jolie va mettre en scène Africa, un biopic sur le paléo-archéologue Richard Leakey. L’implication de ce dernier dans la lutte contre le trafic d’ivoire et la défense des éléphants et rhinocéros a intéressé la cinéaste. D’autant plus que le trafic connaît une recrudescence au Kenya. Le scénariste d’Africa sera Eric Roth, oscarisé pour son script du Forrest Gump en 1994. Le sujet exact du film sera le parcours de Leakey, qui se retrouve au coeur d’un violent conflit avec les trafiquants de défenses d’éléphants.
Angelina Jolie tourne actuellement By the Sea avec son mari Brad Pitt et proposera sur nos écrans le film Invincible, sur Louis Zamperini, ex-coureur olympique et héros de guerre. Sortie prévue le 7 janvier 2015.
Repoussé au 4 février 2015 par Warner Bros (le film devait initialement sortir en juillet 2014 !), Jupiter Ascending prépare son arrivée sur Terre. Et la nouvelle bande-annonce dévoilée par le studio annonce la couleur : la dimension “mystique” du long-métrage des Wachowski s’efface désormais quelque peu derrière l’action et le “plein la vue”.
Porté par le trio Channing Tatum / Mila Kunis / Eddie Redmayne, le film doit permettre aux Wachowski de retrouver le chemin du succès après les semi-déceptions de Speed Racer et Cloud Atlas… Mais il ne s’agit pas de la seule cartouche du duo créatif : ils tournent actuellement une série destinée à la plateforme Netflix. Son titre : Sense8.
En répondant à une question de Laurent Delahousse sur le film Les Valseuses, Vincent Cassel s’est fendu d’une phrase percutante qui a déstabilisé le journaliste de France 2.
L’ambiance a été tendue de bout en bout. En tout début d’émission, Vincent Cassel avait déjà jeté un froid sur la plateau de 20h30 le dimanche au moment d’évoquer son père. Venu faire la promotion de son nouveau film, Gauguin – Voyage à Tahiti (sortie le 20 septembre sur les écrans français), l’acteur n’était peut-être pas dans un bon jour et a en tout cas multiplié les regards approbateurs et les mines déconfites. Laurent Delahousse
Face à une question jugée « anachronique » par son propre auteur et portant sur le film Les Valseuses avec Gérard Depardieu et Patrick Dewaere, le comédien a été convié par le journaliste a choisir l’un des deux rôles du long-métrage de Bertrand Blier. La réponse a fusé instinctivement, à la fois provocante et pleine d’humour, à l’image de l’oeuvre datant de 1974. D’abord interloqué et n’osant pas répéter le terme employé par son invité, l’animateur a réussi à enchaîner non sans mal.