PHOTO – Alizée partage une photo d’elle enfant: sa fille Annily est son portrait craché

Très active sur les réseaux sociaux, Alizée a publié aujourd’hui une photo d’elle enfant. La ressemblance avec sa petite Annily est flagrante.

La semaine dernière, Cristina Cordula se replongeait dans le passé pour partager sa chevelure blonde avec ses abonnés. C’était hier au tour de la chanteuse Alizée de l’imiter, s’essayant au hashtag ThrowBack en partageant avec son demi-million d’abonnés une photo d’elle enfant. « Pourquoi cette frange? #throwback Quand j’avais 5 ans », commente l’artiste aujourd’hui âgée de 32 ans. Dès son plus jeune âge, Alizée portait donc la coiffure qu’elle conservera des années plus tard, au moment de percer dans le monde de la musique. L’une de ses abonnées s’en amuse d’ailleurs: “Dire que quand j’étais petite, je me rendais chez le coiffeur avec une photo d’Alizée pour avoir la même coupe“.

Alors que plusieurs des fans de la chanteuse aperçoivent dans cette photo une ressemblance avec le personnage joué par Audrey Tautou dans le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain, d’autres estiment quant à eux que la chanteuse, enfant, ressemble avant tout à sa fille unique, Annily. Il faut dire que la jeune adolescente qui a fêté son 12 anniversaire le mois dernier apparaît fréquemment sur le compte Instagram de sa mère. Habituellement de dos ou en train de cacher son visage, les points de ressemblance avec sa chanteuse de maman sont malgré tout indéniables. Alizée s’inquiète en tout cas ouvertement de voir sa fille grandir trop vite. « Ne grandit pas, c’est un piège » a-t-elle même commenté en légende d’une photo de la petite Annily. Une ressemblance mère-fille qui rappelle bien évidemment le cliché posté hier par la jeune Lily-Rose Depp. Une photo de Vanessa Paradis, jeune, quasiment indifférenciable de sa fille.

Pourquoi cette frange? ? #throwback When I was 5? #paspossiblecettefrange #carréforever #love #family

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Don't grow up it's a trap ? #mygirl #apiubella #love

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Moi ? Non ma fille ? #tropgrande #mygirl #love

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Crédits photos : Domine-Marechal/ABACA

David Ayer : “Vous n’avez jamais vu des tanks comme dans Fury”

En pleine promotion de “Sabotage”, le réalisateur David Ayer a accepté d’évoquer “Fury”, son film de guerre se déroulant durant la 2ème Guerre Mondiale avec Brad Pitt. “Vous n’avez jamais vu les tanks comme ça !” déclare-t-il…

“Personne n’a jamais vu les tanks filmés de cette façon”, telle est donc la promesse faite par David Ayer pour son film Fury sur la seconde Guerre Mondiale, avec un certain Brad Pitt. Une confidence faite lors de la promotion de Sabotage, nouvelle sortie de l’ex Governator Arnold Schwarzenegger (en salles le 7 mai)… Il va falloir attendre un peu avant de découvrir si Ayer a raison, ou non, à propos de “ses” tanks : aucune date de sortie officielle n’a encore été annoncée pour Fury.

La bande-annonce de “Sabotage” :

Sabotage Bande-annonce (2) VO

PHOTOS – Michèle Laroque et sa fille Oriane, 21 ans, main dans la main sur les marches à Cannes

Elles se tenaient par la main, probablement pour se rassurer. Michèle Laroque a monté les marches du festival de Cannes avec sa fille Oriane, 21 ans. Elles jouent ensemble dans le prochain film de l’actrice, Mon brillantissime divorce.

Une montée des marches en forme d’intronisation. Michèle Laroque était accompagnée de sa fille Oriane, 21 ans, pour sa première apparition à Cannes lors de ce 70e Festival. Elles ont toutes deux foulé le tapis rouge, main dans la main, pour aller voir le film Okja de Bong Joon Ho – long-métrage qui a fait polémique sur la Croisette pour être produit par Netflix. Ce qui n’a pas semblé refroidir Michèle Laroque, et pour cause : elle est habituée des modes de production alternatifs, ayant fait appel au financement participatif pour la création de son prochain film, Mon brillantissime divorce, qui sortira en 2018.

Dans cette comédie, Michèle Laroque apparaîtra au côté d’Oriane, qui y jouera le rôle sur mesure de… sa fille. À 21 ans, la jeune femme avait déjà joué avec sa mère dans Comme t’y es belle en 2005.

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Cannes 2014 : Bérénice Béjo, Catherine Deneuve et Sophia Loren, le glamour en photos

Michel Hazanavicius et Bérénice Bejo pour “The Search”, Guillaume Canet, Catherine Deneuve e Adèle Haenel pour “L’Homme qu’on aimait trop”, Sophia Loren et son fils Edoardo Ponti pour le court-métrage “La Voix Humaine”… Les photos glamour du jour !

1. Michel Hazanavicius, Bérénice Bejo et Thomas Langmann
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Trois ans après The Artist, Michel Hazanavicius (le réalisateur), Bérénice Bejo (l’interprète principale) et Thomas Langmann (le producteur) présentent leur nouveau film : The Search.
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© BORDE-MOREAU / BESTIMAGE

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Thomas Langmann interpellé en plein achat de cocaïne

Célèbre pour avoir produit le film The Artist, Thomas Langmann a été interpellé dans la nuit de lundi à mardi alors qu’il tentait de se procurer de la drogue indique l’hebdomadaire Le Point.

Sale soirée pour Thomas Langmann. Le magazine Le Point révèle aujourd’hui que le producteur du film The Artist a été interpellé hier dans le 7e arrondissement de Paris. Selon l’hebdomadaire, le cinéaste de 46 ans se trouvait sur le boulevard des Invalides, pas loin de l’hôtel de Matignon, lorsqu’il a été surpris en flagrant délit d’achat de produit stupéfiant. Les officiers du 1er district de police judiciaire (DPJ) planquaient dans le quartier dans le cadre d’une enquête préliminaire. Lorsqu’ils ont réalisé que Thomas Langmann était sur le point de se faire remettre un sachet de cocaïne, ils sont intervenus. Les policiers ont immédiatement interpellé le producteur et son dealer supposé. 10 grammes de cocaïne ont été retrouvés sur le second individu. Thomas Langmann a lui été placé en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire. Il a finalement été libéré dans la soirée de mardi.

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S’il s’agit de la première fois que le fils de Claude Berri est pris dans le filet d’une opération anti-stups, Le Point le décrit malgré tout comme « un consommateur déjà connu des services de police pour usage de stupéfiants ». Il y a trois ans, le JDD rappelait de son côté, dans un portrait de Thomas Langmann, que le cinéaste s’était déjà « retrouvé dans les mauvaises pages des journaux à cause d’histoires de drogue et de coups ». Thomas Langmann a en effet été condamné par le passé à quatre mois de prison avec sursis pour « violences conjugales ». Forcé à se soumettre à des tests médicaux, ses analyses s’étaient alors révélées positives à l’héroïne et à la cocaïne. L’acteur et réalisateur a également été lié en tant que victime supposée à une affaire de chantage mêlant drogue et prostitution. Devant le tribunal de Police de Genève, en Suisse, il avait finalement renoncé à se porter partie civile et avait retiré sa plainte.

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

Nicola Sirkis d’Indochine: son incroyable régime anti-âge

Son groupe Indochine dévoile aujourd’hui un nouveau single, La vie est belle, premier extrait d’un nouvel album à paraître à la rentrée. Après 36 ans de carrière dans le rock, Nicola Sirkis continue de fasciner par son physique préservé des outrages du temps. Une affaire de sueur et de diététique…

La vie est belle. C’est le premier single extrait du 13e album d’Indochine, à paraître à la rentrée. Un joli bras d’honneur à la gravité ambiante de la part de son leader, Nicola Sirkis.

Vrai que le Peter Pan du rock français continue d’échapper, creepers aux pieds et mèche noir de jais au vent, aux griffures du temps. Si sa formation, certes remaniée, célèbrera ses 40 ans de carrière, en 2021, le bonhomme lui-même soufflera… ses 58 bougies, le 22 juin prochain !

On se frotte les yeux, on cherche les cicatrices laissées par un coup de scalpel habile, on fantasme sur un pacte avec le diable… Rien de tout cela pour le chanteur, amusé par la jalousie qu’il suscite, mais qui prenait déjà soin de nous préciser, il y a 7 ans, peu avant le premier concert d’Indochine au Stade de France : « Je ne suis pas un adulescent. Je ne regarde pas Casimir ou Ma Sorcière bien-aimée, en pleurant ou en mangeant des Haribos. »

En témoigne l’enregistrement du nouveau disque d’Indochine dans le 13e arrondissement de Paris, pendant plus d’un an, sans que rien n’en filtre, à l’heure où tout bruisse sur les réseaux sociaux, Nicola Sirkis ne jure que par la discipline. Un goût de l’ascèse découvert avec le succès et un instinct de survie décuplé par la mort de son frère jumeau Stéphane Sirkis, son double bien plus fracassé, emporté par une hépatite C, à l’aube de l’an 2000. Ainsi, en 2006, le Dorian Gray du top 50 confiait au journal Femina : « Je cours une demi-heure par jour, ou 45 minutes quatre fois par semaine. C’est Luc Besson qui m’a appris à courir sur de longues distances. Aujourd’hui, lui ne court plus. Et ça se voit ! Depuis, j’ai pu apprécier les bienfaits du sport pour le corps mais aussi pour la tête. Je participe régulièrement à des marathons, comme les 20 kilomètres de Paris, juste pour m’amuser. »

Niveau alimentation, la rigueur est également au menu. « Je mange du poisson et du poulet grillé, des légumes vapeur avec un filet d’huile d’olive, par plaisir. Jamais de plats en sauce ni de produits laitiers parce que je n’aime pas ça. Je mange presque toujours chez moi », précisait-il encore, à Femina, en 2006. Avant de justifier la réintroduction de la viande rouge dans son régime : « Les médecins m’ont dit qu’à mon âge et avec les efforts que je fournis, je devais en manger un peu. Depuis, je me fais un steak par semaine. »

Habitué aux tournées marathons, Nicola Sirkis ne fume plus, ne boit pas. Sauf de l’eau – « au moins un litre à jeûn »-, du lait de soja, du thé vert ou encore du malt d’orge. La seule drogue qu’il s’autorise, « c’est un Lexotanil quand je n’arrive pas à dormir. »

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Mais là encore, ce père de deux enfants –Théa, 16 ans, et Alice-Tom, 8 ans – veille à ne pas dormir moins de 8 heures par nuit. Toujours dans les colonnes de Femina, l’inoxydable avançait : « Quand je vois les gens de mon âge qui, autrefois, passaient leurs soirées en boîte de nuit, je les trouve usés. Moi, je n’ai jamais été un noceur. C’est peut-être ce qui m’a protégé. Je me couche vers 1 ou 2 heures du matin et j’essaie de dormir jusqu’à 10 heures ou midi (…) J’essaie de vivre une vie normale, comme tout le monde. » Ou presque… !

Crédits photos Abaca / Bestimage / Sipa

Caricaturistes : un “état des lieux de la liberté d’expression” signé Stéphanie Valloatto

12 caricaturistes et 300 dessins réunis dans un seul long métrage : tel est le tour de force réalisé par Stéphanie Valloatto, qui est revenu avec nous sur ce projet durant le dernier Festival de Cannes.

Le 19 mai dernier, la Croisette s’est animée, avec la présentation, hors-compétition, de Caricaturistes – Fantassins de la démocratie. Un documentaire grâce auquel on suit 12 dessinateurs (et notamment Plantu) devant la caméra de Stéphanie Valloatto, auteure d’un travail de titan.

AlloCiné : L’idée de “Caricaturistes” vous est-elle venue au moment de l’affaire des caricatures de Mahomet, ou c’était un projet que vous aviez en tête depuis plus longtemps ?

Stéphanie Valloatto : L’idée ne vient pas de moi mais de Radu Mihaileanu [producteur du film, ndlr] qui était ami avec Plantu. Ils se connaissaient depuis son film Train de vie, et lorsque Plantu lui a parlé de l’association Cartooning for Peace, il a flashé sur le sujet. Quelques années ont ensuite passé, et quand il est venu voir mon documentaire sur Philippe Labro, il a beaucoup aimé et m’a proposé la réalisation de ce film. Donc c’est né comme ça et ça n’a rien à voir avec les caricatures de Mahomet.

On ne voulait justement pas refaire un débat là-dessus, car il y avait déjà eu C’est dur d’être aimé par des cons, un très bon documentaire fait par Daniel Leconte. Donc ressasser tout ça n’était pas l’objectif, et c’est pour cette raison que je l’ai placé stratégiquement au milieu du film : on l’évoque car c’est très important, pour l’histoire de caricature, ce qu’il s’est passé, mais le vrai débat n’était pas là. L’idée était de faire un film sur ces dessinateurs, sur leur combat quotidien et d’être au plus près d’eux : un documentaire pour le cinéma.

Et ce côté fantassins, cette façon qu’ils ont de voir le futur de la société avant les autres, comme il est dit dans le film, c’est l’image que vous aviez d’eux avant de faire le film ?

Oui. Pour moi ce sont des avant-gardistes, et le côté fantassins, c’est parce qu’ils sont en première ligne. Je prends souvent cet exemple, mais il y a 60% d’analphabètes en Afrique : vu qu’ils ne savent pas lire, la première chose qu’ils voient sur un journal, c’est le dessin. Celui-ci a donc un impact très fort, et les dessinateurs sont en prise directe avec l’actualité. C’est pour cela qu’il y a des archives dans le film, car je voulais recontextualiser ce sur quoi ils avaient dessiné. Si vous enlevez le contexte du dessin, ça n’a plus d’intérêt, donc les auteurs sont des pionniers.

Faire un état des lieux de la démocratie et de la liberté d’expression

Outre Plantu, le choix des autres dessinateurs a-t-il été facile ?

Le choix s’est fait par continent, car l’idée était de faire un état des lieux de la démocratie et de la liberté d’expression dans le monde, à travers le parcours des caricaturistes. On a donc voulu prendre la France, et ça a été Plantu ; les Etats-Unis car ça nous paraissait incontournable ; et il fallait ensuite en choisir en Asie, en Afrique, en Amérique latine et du côté israélo-palestinien, où le conflit dure depuis des années. Le choix s’est donc fait ainsi, puis par thématique : on voulait aborder tous les aspects, à savoir la politique, l’économie, le narco-trafic au Mexique, la pauvreté, le parallèle entre l’Afrique et les Etats-Unis et la religion, car on voit bien que c’est le tabou ultime dans tous les pays.

Des personnes ont-elles refusé de participer ?

C’est avec la Chine que nous avons eu le plus de mal. Ce que je peux comprendre tant il est compliqué de parler là-bas. Pi San, qui est dans le film, a été contacté par Skype et il a dit oui sans faire partie de l’association Cartooning for Peace. Et la question que l’on nous pose souvent, c’est de savoir si nous les mettions en danger, notamment ceux du Venezuela, de la Russie et de la Chine : mais les intéressés nous ont répondu que parler, communiquer et se montrer les protégeait.

La censure existe dans tous les domaines

Puisque vous parlez de danger, pensez-vous que le métier de ces dessinateurs est menacé, car de plus en plus de censure et de polémiques naissent de certaines caricatures ?

La censure existe dans tous les domaines. D’ailleurs nous devions sortir un livre, en parallèle du film, édité par Bayard : sauf que dedans, comme dans le film, il y a la caricature de Benoît XVI sur la pédophilie. Ce que dénonce Plantu dans ce dessin, ce n’est pas la religion catholique mais la pédophilie. Et rien que pour ce dessin, Bayard a voulu mettre au pilon les 8 000 exemplaires commandés pour ressortir l’ouvrage sans ce dessin. Sauf qu’on a dit qu’on faisait un film sur la liberté d’expression, donc que nous ne pouvions pas être censurés dans un livre.

Plantu est quelqu’un de très libre au Monde, mais qui combat la censure au quotidien. La preuve : il a sorti ce dessin alors qu’il a un procès. Mais les pressions de Sarkozy, des présidents de la République, des partis politiques ou du syndicat du livre, pour lui c’est un combat quotidien, donc il faut y aller. Après on parle de politiquement correct en France, mais il y a des pays comme la Syrie où les dessinateurs risquent la prison ou leur vie, comme le dessinateur qui se fait casser les mains dans le film.

Film dans lequel on découvre qu’un dessinateur peut recevoir un coup de téléphone d’un président de la République à la suite d’un dessin…

Oui mais je pense que Plantu est un cas unique : 40 ans au Monde, c’est le seul exemple que je connaisse sur la Terre d’un caricaturiste ayant fait toute sa carrière dans le même journal. Mais il n’a aucune relation avec les partis politiques. ll ne compte ni la gauche, ni la droite : dans le cas qu’on voit dans le film, je pense que c’est Sarkozy qui a dû obtenir son numéro de téléphone, chose que j’imagine facile pour un président. Et puis il a appelé son rédacteur en chef maintes fois bien sûr. Donc la pression vient d’une manière détournée, et c’est aussi dans le conseil d’administration du journal, comme lorsqu’Alain Minc fait pression en-dessous. C’est donc une pression déguisée. Différente de ce que l’on voit dans les pays où l’on risque sa vie, mais elle existe.

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Parmi toutes les anecdotes que vous racontez dans le film, laquelle vous a le plus impressionnée ?

Surtout un pays : le Venezuela, avec Rayma. Elle en parle dans le film, en racontant qu’elle a été traitée de p…, de lesbienne… Là ils touchent à sa vie privée et vont très très loin. Mais le pire, c’est qu’il y avait une émission pendant le règne de Chavez – pro-étatique puisque la télé locale est financée par l’état – où ils ont montré son visage en gros plan, en la qualifiant de traître, de p… et de lesbienne. C’est-à-dire que quand vous sortez dans la rue ensuite, vous êtes fichés. Nous avons d’ailleurs tourné près du mur Bolivar, un coin bourré de chavistes donc hyper dangereux pour elle. Nous l’avons donc filmée en décalé : un plan en longue focale, en faisant comme si elle n’était pas là et que nous filmions la rue pour ne pas la mettre en danger car elle risquait gros.

Vous avez dû couper beaucoup de choses au montage ?

J’avais 150 heures de rushes. On est allés dans 10 pays, et on a tourné 10 à 15 heures de rushes à chaque fois. Après ça, il faut sortir de ces 150 heures de quoi faire un long métrage d’1h45, donc on coupe forcément des choses.

Mais on ne pense pas que c’est à ce point.

Ça vient aussi du fait que je voulais filmer leur quotidien. Qu’on sente qu’on est avec eux. C’est aussi pour ça qu’il y a beaucoup de décors dans le film : les dessinateurs ne sont pas toujours au même endroit. J’ai même une anecdote au sujet de l’Américain : lorsqu’il a raconté à sa femme ce que nous avions fait dans la journée, celle-ci a répondu qu’il allait dans des endroits que personne ne connaissait (rires) L’idée était aussi de les emmener dans les décors symboliques de leurs pays respectifs et de ce qu’ils attaquent : pour Wall Street, par exemple, que nous n’avions pas le droit de filmer, j’ai tourné derrière, là où il y a la statue de Lincoln. Et il semblait fondamental, par rapport à notre thème, de voir la Statue de la Liberté.

Est-ce que vous comptez réutiliser les rushes pour faire un deuxième volume ou pour le DVD ?

Ce qui serait formidable serait de faire une série. Une série de portraits. Là j’ai la matière pour faire ça par dessinateur.

Propos recueillis par Maximilien Pierrette à Cannes le 19 mai 2014

La bande-annonce de “Caricaturistes” :

Caricaturistes – Fantassins de la démocratie Bande-annonce VF

Les voisins d’Emmanuel Macron au Touquet gênés par les patrouilles : les CRS prennent mal les nouvelles directives

Depuis l’élection du nouveau président de la République, un dispositif de sécurité a été mis en place autour du domicile d’Emmanuel Macron et de sa compagne au Touquet. Mais de nombreux riverains jugent oppressante cette présence constante d’agents de police.

Depuis mai dernier, l’avenue Saint Jean où se trouve la résidence secondaire du couple présidentiel est surveillée de près et en permanence par une équipe de policiers dépendant des compagnies républicaines de sécurité (CRS). Cette demeure est un vrai casse-tête pour les agents de police puisqu’elle est mitoyenne avec d’autres maisons. La présence de dizaines de CRS est donc indispensable pour éviter des intrusions. Seulement voilà, depuis quelques semaines, cette présence massive de policiers aux abords de la villa semble gêner les riverains. Ce n’est donc pas un hasard si dernièrement, les agents de police ont reçu de nouvelles consignes pour être plus discrets. A l’avenir, ils devront patrouiller sans leurs fusils d’assaut, des HK G 36 mis à disposition depuis les attentats de 2015. Ces armes permettent de faire face aux tirs de kalachnikovs en cas d’attaque. Contacté par la radio RTL, la préfecture du Pas-de-Calais estime que ces agents restent toutefois opérationnels sans leur arme.

Ce n’est pas la première fois que la ville manifeste une certaine réserve. En mai dernier, Daniel Fasquelle, le maire du Touquet, était déjà quelque peu réticent à cette présence en nombre de forces de l’ordre : « Il faut éviter de perturber inutilement les Touquettois et les vacanciers. Les gens viennent ici pour la tranquillité, le cadre de vie. Alors s’ils voient des policiers partout… Il y a 4 000 emplois qui dépendent directement du tourisme, il ne faut pas l’oublier », avait-il affirmé lors d’un entretien pour La Voix du Nord.

Face à ce nouveau dispositif, le syndicat Alliance, choqué par ces directives, tente de dénoncer ces consignes qui pourraient selon eux mettre en péril la sécurité du couple mais aussi des agents en cas d’attaque.

Crédits photos – BestImage

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Electric cars to fuel auto trade, says commerce ministry

Technological gains are to boost demand for new energy vehicles globally, predicts report

China’s exports of new energy vehicles will grow fast in coming years as they are on track to gain popularity in major car markets, said the Ministry of Commerce.

“Their exports stand a good chance of continuing the momentum and will become a new force that contributes to the steady growth of China’s auto trade,” said the ministry in a report on high-quality automotive trade released last week.

Statistics from the China Association of Automobile Manufacturers show that exports of China’s new energy vehicles in the first half of 2019 grew 99.3 percent year-on-year.

The report said electric buses from BYD accounted for 20 percent of the market in Europe and more than 60 percent in the United Kingdom in 2018. Those from Chinese brands were the most popular in South Korea.

The situation will further improve as major markets are championing new energy vehicles and China is a leading player in the segment, said the report.

China started to finance the new energy vehicle segment since 2009. It overtook the United States as the largest market for such vehicles in 2015.

It has sharpened its competitive edge over the past decade, with its models being close to or passing internationally advanced levels of battery performance and driving ranges.

Developed economies including the United States and the European Union have announced incentives to spur the growth of the segment. Many Asian countries, especially those in the ASEAN, are encouraging carmakers to roll out more new energy vehicles.

Thailand does not charge tariffs on electric vehicles from China. Meanwhile, Malaysia plans for new energy vehicles to account for 85 percent of vehicles produced in the country in 2020.

“All these have created favorable conditions for Chinese carmakers including SAIC, Geely and Changan to make better forays into the ASEAN markets,” the report said.

A total of 197 electric SUVs from GAC Motor are on route to Israel and are expected to hit the market in February, said the Guangzhou-based carmaker.

GAC said dealers in Kuwait, Jordan and Paraguay hope to introduce its electric vehicles. It will soon explore the European electric car market as well.

Helping others can be beneficial, study says

As the old saying goes, “one good turn deserves another”, and scientists have proved that good deeds really improve health.

Researchers from Peking University found altruistic behavior-defined as putting the well-being of others before our own without expecting anything in return-can relieve physical pain. Their findings were published in the Proceedings of the National Academy of Sciences on Dec 30.

Volunteering, for example, has been shown to reduce stress and ease depression. It can reduce the risk of cognitive impairment. It means that the areas of the brain that respond to pain are deactivated by altruistic acts, according to the studies.

The researchers asked 287 people to participate in various scenarios in which they performed good deeds under certain conditions.

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One group donated blood after an earthquake, while another helped revise a handbook for the children of migrant workers.

Those who volunteered to give blood felt less pain during the donation process compared to those participants who just underwent a routine blood donation. The group who volunteered to help with the handbook also felt a reduction in pain and discomfort, especially in cold temperatures. Even cancer patients suffering from chronic pain experienced a reduction in pain when they volunteered their time to others in need.

In another study, participants were asked if they would donate money to orphans and then underwent magnetic resonance imaging scans while receiving a painful shock to their hands. The scan results showed that the brains of those who agreed to donate reacted less to the electric shock.

Wang Yilu, the lead author of the studies, writes: “We find consistent behavioral and neural evidence that in physically threatening situations, acting altruistically can relieve painful feelings in human performers.

“Acting altruistically relieved not only acutely induced physical pain among healthy adults but also chronic pain among cancer patients.”

These findings shed light on the psychological and biological mechanisms underlying human pro-social behavior and provide practical insights into pain management. The researchers recommend more studies be done on how altruism can be incorporated into behavioral therapies to treat pain.

In your New Year’s resolutions, performing good deeds may well benefit not just the recipient but the doer.