Cannes et les femmes : une seule Palme d’Or et 11 Présidentes du jury en 67 éditions

Présidente du Jury du prochain Festival de Cannes, seule gagnante de la Palme d’Or (en 1993 pour “La Leçon de Piano”), Jane Campion est devenue l’exception qui confirme la règle. A Cannes, les présidentes du Jury se font rares et les Palmes d’Or attribuées aux femmes encore plus… Zoom sur ces rares talents féminins à avoir eu ce privilège !

 

Jane Campion est entrée dans “Le Guinness des Records du Festival de Cannes”. A 59 ans, la célèbre réalisatrice néo-zélandaise, dont la beauté des portraits de femmes n’est plus à prouver, a de nouveau été rappelée vers la Croisette. Présidente du Jury du 67ème Festival de Cannes, qui se tiendra du 14 au 25 mai prochain, Campion était déjà, l’an passé, à la tête du Jury court-métrage et Cinéfondation. Elle était également présente pour recevoir le Carrosse d’or décerné par la société des réalisateurs de films et, à cette occasion, sa série Top of the Lake avait été présentée à la Quinzaine des Réalisateurs. Rien que ça ! Pour autant, les honneurs cannois décernés à Jane Campion ne s’arrêtent pas là et en font justement l’une des exceptions du Festival de Cannes : l’exception faite femme.

 

Une seule Palme attribuée à une femme

Dès 1986, Jane Campion devient en effet la première femme à remporter la Palme d’or du court-métrage pour Peel, exercice de discipline avant d’être nommée en compétition officielle en 1989 pour son premier long-métrage, Sweetie. Mais, Campion est surtout la première et la seule femme réalisatrice à avoir jamais décroché la prestigieuse Palme d’Or en 1993 pour La Leçon de piano. Même si le prix est alors partagé avec Chen Kaige et son Adieu ma concubine, Jane Campion n’en demeure pas moins un cas isolé. Car à Cannes et dans le milieu du cinéma, les réalisatrices n’existent que très rarement.

Que la Palme d’or ait été remise à une femme à une seule et unique reprise est plus que troublant. Que l’Oscar de la Meilleure réalisation ait été attribué pour la première fois à une réalisatrice en 2010 (Kathryn Bigelow pour Démineurs) l’est tout autant. Mais, la rareté des grandes récompenses remises aux femmes a au moins le mérite de soulever distinctement l’éternel déséquilibre entre le nombre d’hommes et de femmes derrière la caméra. Cette année, Hollywood a d’ailleurs encore enregistré un tout petit pourcentage de films réalisés par des femmes. En 2012, une lourde polémique avait, par ailleurs, secoué Cannes lorsque les 22 films en compétition se révèlèrent être tous réalisés par des hommes. Si la question de la misogynie avait alors été vite balayée par les organisateurs, le Président Gilles Jacob avait tout même admis au micro de The Observer que c’était une “honte” qu’une seule et unique femme ait reçu la Palme d’Or, en soulevant également une autre vérité : “Le cinéma est dominé par les hommes et Cannes n’est que le reflet du cinéma”.

Si cette disparité touche donc une grande partie du cinéma et semble encore loin d’être prête à se dissoudre, les petits éclats d’espoir sont toujours bons à prendre. L’an dernier, le Jury avait ainsi décerné la Palme d’Or à Abdellatif Kechiche pour La Vie d’Adèle mais aussi à ses deux actrices sans qui le film ne serait pas le film. Souvenons-nous également qu’en 2009, alors qu’elle présentait Bright Star à Cannes, Jane Campion s’était exprimée sur ce sujet en déclarant : “J’adorerai voir plus de réalisatrices parce qu’elles représentent la moitié de la population et donnent naissance à la Terre entière. Tant qu’elles n’écriront pas et ne réaliseront pas, nous n’aurons jamais la totale vision des choses.” Si Campion ne pourra pas révolutionner le monde du cinéma en 11 jours, elle nous donnera sans aucun doute un nouvel avis passionnant sur la question…

 

11 présidentes pour… 67 éditions

Très bien, la Palme d’Or n’est pas encore pour les réalisatrices. Mais, quelle est la place des femmes dans les autres “postes” importants du Festival de Cannes ? Ce n’est pas un secret, le Festival aime avoir des maîtresses de cérémonie, le poste ayant été attribué quasi exclusivement à des femmes (à l’exception de Vincent Cassel en 2006, d’Edouard Baer en 2008 et 2009 et de Lambert Wilson cette année). En revanche, la Présidence du Jury est rarement confiée à une femme (mais beaucoup plus que la Palme d’or n’est-ce pas!). Depuis 1946, année du premier Festival de Cannes, soit depuis 67 ans, seules 11 femmes (Jeanne Moreau étant comptée deux fois) ont eu la charge du Jury.

1965 – Olivia de Havilland

C’est à l’occasion de sa 18ème édition que le Festival décide de nommer sa toute première Présidente du Jury. A 48 ans, Olivia de Havilland, déjà emblématique grâce à ses rôles dans Autant en emporte le vent ou L’ Héritière, et déjà détentrice de deux Oscars, prend en main un Jury uniquement composé d’hommes, dont André Maurois ou encore Alain Robbe-Grillet.

Grand Prix décerné : Le Knack… et comment l’avoir, de Richard Lester

1966 – Sophia Loren

En 1966 (soit dès l’année suivante !) le Festival nomme à nouveau une femme :  Sophia Lauren. L’italienne n’a que 32 ans mais déjà 15 ans de carrière et un Oscar. C’est la seule et unique fois que le Festival nommera une femme à la Présidence deux années consécutives. A nouveau, le jury de 1966 est composé de nombreux écrivains dont Marcel Pagnol et Jean Giono mais aussi du réalisateur Richard Lester, grand gagnant de l’édition précédente.

Grand Prix du Festival : Un Homme et une femme de Claude Lelouch, ex aequo avec Ces messieurs dames de Pietro Germi

1971 – Michèle Morgan

Les années 70 seront la décennie qui comptera le plus de femmes Présidentes.  Michèle Morgan ouvre le bal en 1971 pour la 24ème édition du Festival et préside un Jury composé notamment de Sergio Leone. A l’époque, Morgan et ses beaux yeaux ont déjà emporté le prix de la meilleure interprétation à Cannes en 1946. Elle fut d’ailleurs la première française à remporter cette distinction.

Grand Prix du Festival : Le Messager de Joseph Losey

 

1973 – Ingrid Bergman

Deux ans plus tard, c’est à nouveau une actrice qui se voit attribuer le rôle de Présidente. Avec Casablanca, Les Enchaînés et tant d’autres films, Ingrid Bergman est alors l’une des actrices les plus incontournables du cinéma international qui a déjà décroché deux Oscars (le troisième l’attendant deux ans plus tard). Dans son Jury, l’actrice suédoise compte notamment Sydney Pollack.

Grand Prix du Festival : L’ Epouvantail de Jerry Schatzberg et La Méprise d’Alan Bridges

1975 – Jeanne Moreau

En 1975, la Palme d’or est enfin réhabilitée sous la Présidence de notre Jeanne Moreau nationale. A 47 ans, cette dernière a déjà remporté le prix de la meilleure actrice à Cannes en 1960.

Palme d’Or : Chronique des années de braise, de Mohammed Lakhdar-Hamina

1979 – Françoise Sagan

L’auteure de Bonjour Tristesse et Des bleus à l’âme devient la Présidente du 32ème Festival de Cannes pour un cru d’une rare exception (Coppola, Malick, Doillon, Herzog, etc.). A l’époque, Sagan a déjà collaboré pour le cinéma, notamment avec Claude Chabrol pour Landru et également réalisé un court-métrage, Encore un hiver et un long, Les Fougeres bleues. Si dans ses premières années, le Festival comptait de nombreux écrivains en tant que Président du Jury, les années 70 marque la fin de cette époque. Sagan est d’ailleurs la seule femme écrivain à avoir jamais été présidente du Jury et, en 1983, le règne des écrivains/président s’éteint avec William Styron.

Palme d’Or : Apocalypse Now de Francis Ford Coppola et Le Tambour de Volker Schlöndorff

1995 – Jeanne Moreau

Les années 80 ne compteront aucune femme Présidente du Jury cannois. Lorsqu’en 1995, ce schéma est enfin brisé, l’organisation choisit de rappeler Jeanne Moreau, 20 ans après sa première nomination. Deux ans plus tard, elle sera d’ailleurs invitée à être maîtresse de cérémonie.

Palme d’Or : Underground d’Emir Kusturica

1997 – Isabelle Adjani

Pour sa cinquantième édition, le Festival de Cannes nomme Présidente l’une de nos plus grandes actrices, Isabelle Adjani. A 42 ans, celle qui avait refusé le poste en 1990 s’implique dans la composition du Jury, qui sera composé de Mira Sorvino, Nanni Moretti ou encore Tim Burton. De cette expérience, Isabelle Adjani gardera un souvenir un peu amer, ayant estimé s’être fait blouser par Nanni Moretti sur l’attribution des deux Palmes.

Palme d’Or : L’ Anguille de Shohei Imamura et Le Goût de la cerise d’Abbas Kiarostami

2001 – Liv Ullmann

Cette édition devait être présidée par Jodie Foster. Mais, retenue sur le Panic Room de David Fincher, l’actrice abandonne le poste qui reviendra à l’actrice/réalisatrice norvégienne Liv Ullmann. Son jury, alors très mixte, sera  notamment composé de Charlotte Gainsbourg, Sandrine Kiberlain, Julia Ormond et Terry Gilliam. Lors de la 50ème édition, Liv Ullman était d’ailleurs présente à Cannes pour remettre la Palme des Palmes à Ingmar Bergman (ou plutôt à sa fille), dont elle fut l’amante et la muse.

Palme d’Or : La Chambre du fils de Nanni Moretti

2009 – Isabelle Huppert

Huit ans après Liv Ullmann, le Festival fait de nouveau appel à une femme pour présider le Jury. C’est à nouveau l’une de nos actrices emblématiques, Isabelle Huppert, qui prend cette charge un an après Sean Penn. Huppert a alors déjà remporté deux Prix à Cannes : en 1978 pour Violette Nozière et en 2001 pour La Pianiste. Haneke remporte d’ailleurs la Palme sous sa présidence, levant alors des suspicions, les deux talents ayant collaboré deux fois ensemble (trois fois depuis, avec Amour). Depuis cette édition, la présidence du Jury n’est plus jamais revenue à un acteur mais toujours à des réalisateurs (Tim Burton, Robert de Niro, Nanni Moretti, Steven Spielberg et aujourd’hui, Jane Campion).

Palme d’Or : Le Ruban blanc, de Michael Haneke

2013 – Jane Campion

Plus que quelques semaines avant de savoir ce que réservera cette 67ème édition placée sous le signe de Jane Campion…

En 2009, Gilles Jacob nous parlait d’Isabelle Huppert, alors Présidente du Jury…

Raphaëlle Raux-Moreau

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“Star Wars VII” : Michael Fassbender dans une galaxie lointaine ?

Alors que Jesse Plemons (“Breaking Bad”), Hugo Weaving et Adam Driver (“Girls”) sont évoqués, un autre nom, et pas des moindres, est apparu dans les rumeurs qui entourent “Star Wars : Episode VII” : celui de Michael Fassbender !

© 20th Century Fox

Sera-t-on bientôt fixés quant au casting de Star Wars VII ? A en croire la multiplication des rumeurs de ces derniers jours, oui. Ou en tout cas les choses semblent s’accélérer, quitte à nous valoir du très lourd à prendre avec des pincettes, lorsque le nom de Michael Fassbender fait son apparition dans le lot.

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A priori pour un rôle de militaire proche du personnage joué par Matt Damon dans Elysium, qui lui demanderait de faire un peu de tri dans son agenda déjà très chargé, entre X-Men et les films indépendants qu’il a sous le coude. A moins que ledit personnage ne soit incarné par Hugo Weaving, lui aussi cité, et qui pourrait ainsi participer à une troisième grosse saga, après Matrix et Le Seigneur des Anneaux.

© Universal Pictures International France

Mais ce n’est pas tout ! Car si l’on parle également d’Adam Driver (que des bruits de couloir démentis par l’intéressé liaient à Batman vs Superman), il se murmure que Jesse Plemons (photo ci-dessus) de Breaking Bad et Friday Night Lights serait en négociations pour un rôle majeur, amené à être présent dans les épisodes VIII et IX, après une audition réussie.

L’acteur affichant une légère ressemblance avec Mark Hamill jeune, il n’en faut pas plus pour que beaucoup le voient dans la peau du fils de Luke Skywalker. Ce dernier est d’ailleurs évoqué comme… le héros de l’épisode VII, en compagnie de Leia et Han Solo. Autant dire que les rumeurs se portent toujours bien dans la galaxie lointaine, très lointaine.

Maximilien Pierrette avec The Hollywood Reporter & The Wrap

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PHOTOS – Ces stars décédées seules chez elles

Malgré la gloire et la fortune, certaines stars ont connu des fins tragiques. Retour en images sur ces célébrités mortes dans la solitude, à leur domicile.

La mort de George Michael, le 25 décembre dernier, à son domicile dans le sud de l’Angleterre, marque la profonde tristesse avec laquelle certaines stars terminent leur existence. Entre celles qui n’ont pas réussi à combattre leurs addictions et celles qui ont combattu la maladie pendant des mois, la liste est malheureusement longue des célébrités ayant quitté ce monde, gouvernées par leurs tourments. Refermées sur elles, ces stars ont bien souvent trouvé pour dernier refuge leur domicile, avant de s’éteindre. Comme en témoigne le diaporama que nous vous proposons de consulter.

Crédits photos : UNIVERSAL PHOTO/SIPA

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PHOTOS – Pamela Anderson, Bernard Cazeneuve, Jean-Claude Van Damme … Remariés avec leur ex

Ils se sont unis, se sont séparés puis sont retombés dans les bras l’un de l’autre…

Ce fut une cérémonie des plus discrètes. Seuls quelques policiers surveillaient la mairie d’Aiguines (Var) ce 12 août 2015, afin d’assurer la sécurité de l’un des invités. En cette chaude journée d’été, François Hollande assistait au mariage de Bernard Cazeneuve, son ministre de l’Intérieur à l’époque. Peu de chances que le chef de l’Etat l’ait imaginé occupant le poste de Premier ministre quelques mois plus tard… Peu de chances également que le marié ait imaginé, lui, quelques mois plus tôt, convoler en secondes noces… avec son ex-épouse ! Véronique et Bernard avaient échangé leur consentement une première fois il y a vingt ans, en 1995. Après la naissance de leurs deux enfants, Nathan, en 1996, et Mona, en 1999, le couple divorçait au début du quinquennat du président Hollande. Une séparation qui avait duré trois ans, avant finalement de se redire « oui ».

Faire renaître l’amour de ses cendres et convoler de nouveau… nombreuses sont les célébrités à avoir retenté l’aventure, avec plus ou moins de succès. Elizabeth Taylor et Richard Burton ont incarné en leur temps cette passion, à l’écran comme en coulisses. Dix ans de mariage, ponctués de disputes et de rivières de diamants entre 1964 et 1974, ont mené à un divorce – le quatrième pour elle et le deuxième pour lui –, suivi de secondes noces en 1976, seize mois plus tard. Pourtant, cette nouvelle union ne passe pas l’année. Des amours tourmentées, il y en a eu beaucoup d’autres depuis, les plus belles étant celles qui se sont assagies et qui perdurent, comme pour Gladys et Jean-Claude Van Damme ou bien Azeb et Jean-Christophe Rufin. Quand l’acteur belge, chouchou d’Hollywood, épouse la culturiste Gladys Portugues en 1986, il est déjà passé deux fois devant monsieur le maire. De leur union naissent deux enfants. Le couple rompt officiellement en 1993. Jean-Claude Van Damme épouse alors Darcy LaPier, mère de son troisième enfant, avant de succomber de nouveau aux charmes de Gladys et de lui passer, pour la deuxième fois, la bague au doigt, en 1999. Et malgré une forte tempête traversée l’an dernier (« les couples doivent travailler pour arranger leurs soucis », déclarait alors le comédien, pédagogue), les tourtereaux ont fêté en 2016 leurs noces de perle, soit trente ans de mariage – ou plutôt trente ans d’amour « distendus ».

La vie n’a pas toujours été un long fleuve tranquille non plus chez les Rufin. Marié une première fois à une jeune Russe, le médecin, devenu depuis écrivain et académicien, rencontre Azeb, belle Ethiopienne, lors d’un voyage humanitaire en 1985, et l’épouse peu après. « A l’époque, nous étions un peu éruptifs », glissait-il en souriant l’an dernier dans nos pages, lors d’une interview. Le couple divorce, mais s’unit de nouveau en 2007, devant leurs filles, Gabrielle et Valentine, âgées aujourd’hui de vingt et un et vingt-quatre ans. Depuis, ils sont toujours « in love ». S’aimer, se déchirer, se retrouver, cela ressemble à une comédie romantique américaine. Mais peut-on vraiment se faire confiance une deuxième fois et repartir de zéro ? « L’une des clés de la réussite est de ne pas chercher à recommencer la même histoire », explique Karine Gillot, conseillère conjugale. « Il faut prendre le temps de se dire les choses et cela demande du courage. Chacun doit faire son introspection, en détaillant de manière claire ce qu’il est capable d’accepter et de donner. Grâce à cet inventaire, il sera possible de reconstruire », précise-t-elle. Mais la franchise et les mea culpa ne garantissent pas toujours le succès de ces remariages.

Attention à ne pas tomber non plus dans la nostalgie. En 1999, le chanteur Eminem officialise avec Kim Mathers, sa petite amie depuis le lycée. Mariés durant deux ans, puis divorcés avec fracas, ils décident cinq ans plus tard, en 2006, de renouveler leurs vœux pour fêter les quinze ans de leur rencontre. Le couple se sépare quatre-vingt-deux jours plus tard. Replonger avec ses ex, Pamela Anderson, elle, semble maîtresse en la matière. Déjà mère de deux garçons avec le musicien Tommy Lee, son premier mari, la naïade d’Alerte à Malibu épouse Kid Rock une première fois en 2003, divorce, se remarie avec lui en 2006 pour rompre à nouveau quatre mois plus tard. Commence alors la saga Rick Salomon et ses « Je t’aime moi non plus. » Un mariage en 2007 annulé deux mois plus tard avant de se remarier en 2014 et de divorcer l’an passé. Tout ça pour ça… puisque la belle se montrerait très proche actuellement de Tommy Lee ! « Chez les célébrités, l’image du couple parfait offert aux médias conduit parfois à revenir vers son ex. Il faut se méfier de ce fantasme », observe encore Karine Gillot, qui complète : « Mais célèbres ou pas, certains couples se reforment aussi par peur de la solitude. Ce n’est évidemment pas une promesse d’avenir… » Une tendance tout de même : si les statistiques montrent que le nombre de ruptures augmente – de 63 % des années 1993–1999 aux années 2009–2012 –, elles soulignent aussi que le remariage entre ex-époux est à la hausse – 37 % des couples se remettent ensemble après la première rupture et 12 % réussissent à consolider leur relation. « On a vu souvent, rejaillir le feu, d’un ancien volcan, qu’on croyait trop vieux… », chantait Jacques Brel. Une jolie promesse.

Patricia Hervé

Crédit photo ouverture : ABACAPRESS

Soirée spéciale nanar : le phénomène Sharknado au Max Linder !

A vos agendas ! Le samedi 8 février à 23h, le Max Linder organise une soirée spéciale nanar avec la projection du très savoureux “Sharknado” !

 

Après les méga requins, les requins dans la neige, les requins à deux têtes, les requins-pieuvres et les requins fantômes… voici Sharknado, le film où les requins et les tornades ne font qu’un !
Tourné en 18 jours à Los Angeles pour un budget d’un million de dollars, cette pépite des studios Asylum met en scène une tornade en provenance de l’océan Pacifique qui projette des requins sur les habitants éberlués de la mégapole.
Avec un casting de stars des années 90 : Ian Ziering (Berverly Hills 90210), Tara Reid (American Pie) et John Heard (Maman, j’ai raté l’avion!), ne ratez pas le phénomène !

Tarif unique : 7.20€ (Les cartes UGC illimité / LePass sont acceptées).
Pour réserver vos places cliquez ici.

H.B

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Alexandra Lamy amoureuse : elle a remplacé Jean Dujardin

L’actrice Alexandra Lamy a retrouvé le bonheur. Elle a trouvé un nouvel amoureux avec lequel elle s’est rendue au festival de l’Alpe d’Huez il y a dix jours. Cela faisait longtemps qu’on ne l’avait pas vue avec un tel sourire.

Tout va pour le mieux en ce moment pour Alexandra Lamy. Elle est le 15 mars prochain à l’affiche de la comédie romantique L’embarras du choix, elle a reçu pour ce rôle le prix d’interprétation féminine lors du dernier festival de comédie de l’Alpe d’Huez, jeudi soir le téléfilm dans lequel elle a joué pour TF1, Après moi le bonheur, a reçu un prix lors des Trophées du Film Français et pour couronner le tout, elle a retrouvé l’amour, comme l’annonce Closer cette semaine.

Pendant le festival de l’Alpe d’Huez, son nouveau prince charmant accompagnait Alexandra Lamy. S’il n’apparaît sur aucune photo officielle, pendant les photocalls ou lors de la présentation du film, le jeune homme n’était jamais loin de sa chérie. En revanche, c’est bien tous les deux que les amoureux sont allés dévaler quelques pistes du domaine skiable de la station.

Cela faisait longtemps qu’on n’avait pas vu Alexandra Lamy aussi radieuse. Depuis 2013 et sa rupture avec Jean Dujardin l’actrice a eu du mal à refaire sa vie. « C’est très dur de se retrouver seule à plus de 40 ans, surtout pour une femme avec enfants, j’en connais beaucoup qui en souffrent» confiait-elle récemment dans Psychologie Magazine. Mais l’actrice n’a pas voulu se presser pour autant. Elle reconnaît avoir pris son temps «même si c’est stressant de voir que le champ des prétendants se resserre. Mais j’ai pris du temps pour me retrouver, être sûre d’être de nouveau bien avec moi-même, solide, pas dans le regret.»

Crédits photos : EREZ LICHTFELD/SIPA

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School nutrition project improves students’ physical well-being

While cooking mushrooms and leafy greens on a stovetop, Wu Kejian explained to 50 students attending a catering class how to make a nutritious meal with less oil and salt.

When the mushrooms were tender, he turned off the flame, served the steaming dish and invited students to taste it.

Wu is a cook at the Experimental School Affiliated to Niulanshan First Secondary School in Beijing’s Shunyi district. He and four other school cooks have been trained to teach students how to make nutritious dishes at biweekly classes.

The class is part of the Nutrition School project in Shunyi.

With a focus on nutrition education, the project aims to explore new methods that can help students change their eating habits and become healthier.

Zhao Wenhua, a dietitian in charge of the project, said nutrition education focuses on the role of food, knowledge about nutrition and the cultivation of good eating habits in promoting the development and growth of children and adolescents.

The State Council issued a new guideline to implement the Healthy China initiative and promote people’s health in July.

With a focus on disease prevention and health promotion, the guideline proposed 15 special campaigns to “intervene in health-influencing factors, protect full-life-cycle health and prevent and control major diseases”.

An action plan for 2019-2030, devised by a State Council special committee, was made public in July, specifying the objectives, tasks and responsibilities of each campaign.

Major health concerns, including psychological health, student myopia, childhood obesity and cancer are covered by the campaigns.

Global efforts

Malnutrition, undernutrition and obesity threaten the survival, growth and development of children and young people, according to the State of the World’s Children 2019 report released by the United Nations Children’s Fund.

According to the report, obesity levels among children and adolescents continue to rise around the globe.

From 2000 to 2016, the proportion of overweight children and youth (aged 5 to 19) rose from one in 10 to almost one in five.

Under the guidance of several national health and disease and control agencies, Shunyi launched the Nutrition School pilot project in 2016.

UNICEF supported the preliminary research work of the project, including through financial and technical support, and promoted obesity intervention.

“The project aims to promote nutrition education and physical activities to prevent children and adolescents from becoming overweight and obese,” Zhao said.

As one of the pilot schools of the project, the Experimental School offers the class on nutritional food and runs a “happy farm” for its 3,400 students to experience farming.

Fan Hongyu teaches students how to recognize different vegetable seeds, explains the growth characteristics of plants and guides them on growing herbs and vegetables, including chives and cucumbers.

When the vegetables are harvested, she encourages students to take some home and cook for their parents.

Vice-principal Zhao Jinlong said the school plans to invite vegetable farmers to take students and teachers through the cultivation process step by step. He expects the students will learn about planting knowledge and better appreciate the ups and downs of being a farmer.

To help students become healthier, the school also encourages physical exercise through rope jumping and long-distance running.

The prevention and control of chronic diseases should start with children and should be jointly run by the health and education authorities, according to Li Yindong, head of the Center for Disease Prevention and Control of Shunyi District.

Seeing results

Shao Chunyan, a health educator, said the school plans to assign sports homework during the winter vacation this month. Students will be required to complete a number of daily exercises such as sit-ups and rope skipping, “so we can ensure that students exercise regularly and maintain a healthy lifestyle at home,” she said.

To make the campus more supportive of the Nutrition School project, the school has also held plays on nutrition and lectures by nutritionists, and has imparted health tips to students.

The changes are obvious. Fan Hongyu can hardly recognize some of her ninth graders when looking at their old pictures given the dramatic changes in their appearance over the past three years.

One of the boys told her that he was 1.73 meters tall and weighed 90 kilograms in the seventh grade. Now he is 1.78 meters tall and weighs 70 kg.

Since the implementation of the project, the rate of undernutrition among students at the pilot school has dropped by 0.5 percentage points, and the overweight rate and obesity rate dropped by 0.5 and 1.7 percentage points, respectively.

In 2017, the pilot project expanded to seven other districts and counties of seven provincial-level regions including Shandong and Sichuan.

The campaign has brought changes not only to the students but also their parents.

Lyu Yanqiu, mother of seventh grader Zhang Tengyue, said that when she heard of “nutrition education” for the very first time, she thought the program was focused on “appetite” because the two Chinese words are homophones.

After a visit to the school canteen and dining with the students, she said she understands the importance of food nutrition and safety and the need to apply the lessons at home.

Gao Shan, deputy director of the education committee of Shunyi district, noted that tackling students’ health-related problems requires concerted efforts by schools, families and society as a whole.

 

 

 

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Cats across China captured by photographer

Since 2012, photographer Wu Hongli, a former visual designer, has taken over 70,000 photos of cats on the streets in over 20 cities across China.

Now he has over 3 million followers on his Sina Weibo account, a popular Chinese social media platform.

In his photographs, Wu shows not only cats but also the different cultures of each city, such as architecture, people and local lifestyles.

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Teens get hands-on look at politics at Model CPPCC

At Friday’s opening ceremony of the third session of the 13th Beijing Municipal Committee of the Chinese People’s Political Consultative Conference, a group of teenagers drew a great deal of attention from committee members and the media.

They are Model CPPCC participants, and some were born after 2000. After rounds of selection as well as competition, they stood out among their peers and had the chance to join in the session.

The city’s Model CPPCC is an annual event first held in 2016, intended to help students in high school and at university gain a deeper understanding of the country’s political system and cultivate their sense of social responsibility.

They will observe this year’s CPPCC’s Beijing Committee session through its closing on Wednesday, sitting in on panel discussions and even meetings to review proposals.

These students are also bringing their "simulated proposals" to the session. 

One student is 17-year-old Li Jisen from Beijing 101 Middle School. He seemed nervous, yet excited at the same time.

"I feel honored to be present at the session. What I have learned from books is one thing, but when I’m here, during the CPPCC’s Beijing Committee session, I can truly experience consultative democracy in China," he said.

Bi Wenrui, an ideology and politics teacher at Beijing University of Chemical Technology, said Model CPPCC greatly inspired his students.

"My students care about politics more than I thought. They have been eager to actively participate in these CPPCC-related activities," he said.

As of October 2019, more than 500 teachers and 14,000 students from 364 schools in Beijing have participated in Model CPPCC.

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Future Fantastic: China’s Science Revolution – Episode 4

Our war on disease, is one that’s been fought throughout humanhistory. It’s killed and maimed more people than any otherconflict and today it’s still being fought as fiercely as ever; as we seek new tools to tackle the latest epidemics and take on thedegenerative diseases of old age. This is the story of three life scientists in China who’ve devotedtheir lives to a fight which pitches science against nature.

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