Month: January 2020

Leur couple a fait la une des tabloïds du monde entier ces dernières semaines. Tom Hiddleston est le nouveau prince charmant de Taylor Swift et tout semble parfait dans leur couple. Presque tout puisque la relation qu’entretient les deux stars soit mal vue pour les sponsors de l’acteur…

Une alchimie indéniable. Le couple que forment la chanteuse américaine et l’acteur britannique a été révélée dans les pages du Sun le mois dernier. Seulement trois semaines après sa rupture avec Calvin Harris, la jolie blonde s’affichait déjà au bras de son nouveau boyfriend, la star d’Avengers. Totalement fous amoureux l’un de l’autre, Tom Hiddleston a même emmené sa chérie à la rencontre de ses parents en Angleterre. Un voyage qui n’avait pas plu à l’ex-boyfriend de Taytay, le DJ Calvin Harris, qui enchainait les provocations et coups de gueule sur les réseaux sociaux. Seulement, il semblerait que le DJ écossais ne soit plus le seul à voir la relation les deux stars d’un mauvais œil.

Cette année, la marque de sous-vêtements Armani voulait faire de Tom Hiddleston son nouveau modèle. Ironie du sort, leur égérie de l’année dernière n’était autre que… Calvin Harris. Une coïncidence cocasse mais qui n’a pas fait rire la firme qui a décidé d’éliminer Tom Hiddleston de la short-list afin d’éviter tous commentaires désobligeants. La relation entre l’acteur et la chanteuse a été jugée « embarrassante » par Armani qui a ainsi fait comprendre à l’interprète de Thor qu’il ne représenterait pas la marque. C’est un gros contrat qui vient de passer sous le nez de Tom Hiddleston qui saura pourtant se consoler en interprétant sûrement le rôle du futur James Bond.

Crédits photos : Charbonneau/Shutterstoc/SIPA

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You all must have heard that Kashmir is one of the most beautiful place and people refer to it as ‘heaven on earth’ but after the Amarnath attack, people were scared to go to Kashmir. It had also hit the state tourism. However, officials from Jammu and Kashmir have now claimed that the state is “completely” safe for visitors. They said that the tensions in the border areas have “little effect” on its tourism circuit.

reuters

The state has a dedicated a tourism police force to assist travellers, especially in Sonemarg and Gulmarg areas. A senior official of the northern state said on Friday that the attack on Amarnath pilgrims last year was an “isolated incident to scare away visitors”. The director of the tourism department in Kashmir, M A Shah, asserted that such attempts will not succeed.

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Non, le prochain “X-Men” ne sera pas uniquement en 3D ! Le film de Bryan Singer sortira également au format 48 images par seconde, de la même façon que “Le Hobbit”.

Depuis sa présentation, le 48 images par seconde (ou 48 FPS) est loin d’avoir convaincu tout le monde, certains comparant même son rendu à celui d’un épisode de Benny Hill. Mais le camp des défenseurs compte un allié de poids en la personne de Bryan Singer, qui n’avait pas manqué de faire part de son admiration pour la technique au sortir du Hobbit. Tellement qu’Ain’t Cool News révèle aujourd’hui qu’X-Men : Days of Future Past a été tourné dans ce format et sortira ainsi dans les salles en mai prochain.

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Une annonce qui paraît suprenante alors que le tournage est bouclé, mais le site précise que la Fox et le cinéaste ne l’ont pas encore officiellement déclaré, par peur des réactions négatives. Quand on y regarde de plus, ce choix va avec celui de Singer de tourner les scènes avec Quicksilver (Evan Peters) avec une caméra capturant jusqu’à 3600 images par seconde. Autant de choses qui devraient rendre la 1ère bande-annonce et le film encore plus attendus.

Maximilien Pierrette avec Ain’tItCool

Evan Peters évoque Quicksilver

La bande-annonce du précédent “X-Men”

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Rencontrée lors d’un tête à tête à New York, Margot Robbie se confie sur sa vie avant le cinéma, son quotidien aujourd’hui, ses désirs, ses amours…

Dans Suicide Squad, sorti ce mercredi en France, Margot Robbie est métamorphosée en rebelle néo-punk, en tough cookie (dure à cuire) décomplexée. Bref elle est Harley, la parfaite anti-thèse de son personnage d’épouse idéale dans Tarzan (également à l’affiche). Voilà pour la Margot à l’écran, dans la réalité, c’est une jeune femme d’aujourd’hui qui privilégie sa carrière pour l’instant et vit en “coloc”. Et quoi d’autre ? Pour Gala, la discrète se dévoile un peu plus lors d’un rendez-vous en tête à tête, à New York, sous l’une des arches futuristes du Moynihan Train Hall, la grande salle des pas perdus de l’historique gare Pennsylvania Station. À 26 ans, Margot elle, est loin d’en être là…

Gala.fr : Est-ce que cela vous gêne d’être surtout remarquée pour votre beauté ?

Margot Robbie : Cela fait partie de mon métier. À Hollywood, le paraître est primordial. J’espère cependant avoir prouvé mes talents de comédienne avant d’être complimentée pour mon physique. (elle sourit) Je tiens d’ailleurs à préciser que je suis une personne qui reste naturelle et qui aime la simplicité. Je n’attache pas vraiment d’importance à mon physique. Je ne fais par exemple aucun régime.

Gala.fr. Si vous aviez un pouvoir surnaturel, lequel aimeriez-vous avoir ?

M.R. : J’aimerais avoir le pouvoir d’obtenir des choses instantanément rien qu’en claquant des doigts ! (elle rit) Là tout de suite par exemple, j’aimerais voir apparaître une cuisse de poulet !

Gala.fr. Vos parents n’étaient pas dans le show-business. Qu’est-ce-qui vous a incité à devenir comédienne ?

M.R. : J’ai toujours été attirée par le monde du cinéma. Mon bac en poche, j’ai été forcée de prendre des cours de droit, et j’avais d’excellentes notes, mais je ne voulais vraiment pas faire une carrière juridique, donc j’ai tout laissé tomber pour voyager et venir tenter ma chance à Hollywood. Mais pour me le permettre, j’ai dû faire pas mal de petits boulots.

Gala.fr. : Comme quoi par exemple ?

M.R. : J’ai travaillé dans une boutique de surf pendant deux ans. J’ai également préparé des sandwichs à Subway. J’ai fait du babysitting, j’ai travaillé dans une épicerie, une pharmacie, j’ai été serveuse et j’ai même fait des ménages, alors que je n’ai jamais aimé nettoyer chez moi ! (elle rit)

Gala.fr : Est-il vrai que vous vivez à Londres avec six autres co-locataires ?

M.R. : Oui, nous sommes en tout sept, garçons et filles dans un appart’ ! Mais je les vois peu ces derniers temps à cause des tournages. Je viens par exemple de passer presque trois mois à Budapest sur le tournage d’un film.

Gala.fr : Vous êtes aujourd’hui financièrement très à l’aise. Pourquoi n’achetez-vous pas une maison rien qu’à vous ?

M.R. : Je ne me sens pas encore prête à quitter mon appartement et mes amis. Pour le moment, j’ai peur de rester seule !» (elle sourit)

Gala.fr : Vous êtes alors donc certainement encore moins prête pour vous marier et avoir des enfants ?
M.R. : Pour cela, je devrais arrêter de voyager et trouver un certain équilibre entre ma vie privée et ma vie professionnelle. Pour le moment, je ne peux même pas me permettre d’avoir un chien ! (elle rit) Fonder une famille est loin d’être dans mes plans actuellement. Je me contente simplement de profiter de la vie avec mon petit ami, Tom (l’assistant réalisateur Tom Ackerley), qui, en plus, cuisine merveilleusement bien…

Crédits photos : Fred Duval

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Huit mois après la naissance de sa fille James, Blake Lively a débuté le tournage de The Shallows, actuellement en salles. Sa silhouette impeccable intrigue, et ça, ça l’exaspère.

Là où beaucoup de femmes s’empâtent de façon globale en attendant bébé, durant sa première grossesse, Blake Lively, elle, n’avait guère pris que du ventre. Sa silhouette filiforme était restée quasi-inchangée. Une fois sa petite fille, James née, en décembre 2014, on avait revu la star, pas franchement potelée, certes, mais avec une silhouette assez fluette pour que l’attention ne se porte que sur son si joli sourire. Seulement, dans son dernier film, The Shallows, elle incarne une surfeuse prise au piège d’un requin. Elle joue donc principalement en bikini, et ses formes parfaites ne passent pas inaperçues.

Résultat, depuis le début de sa promotion, les questions des journalistes ne s’intéressent pas tant à l’intrigue du film ou éventuellement au bonheur procuré par sa récente maternité, qu’à son incroyable ligne post-partum. Bien sûr, Blake Lively qui a déjà confié avoir suivi un entraînement sportif intensif pour en arriver là n’est pas peu fière du résultat, mais on comprend que cela l’agace.

Dans une interview donnée dans le morning show australien Sunrise, elle a tenu à remettre les points sur les “i”, excédée de la pression imposée aux femmes à propos de leur silhouette. “C’est tellement injuste, il n’y a que ça qui intéresse, c’est comme si on disait ‘voilà, c’est à ça que vous devez ressembler après bébé.’” s’énerve-t-elle avant de s’expliquer. “Vous venez juste d’accomplir le miracle le plus fou de la vie, vous n’avez pas à vous préparer pour intégrer un défilé Victoria’s Secrets! “

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Faites ce qu’elle dit, pas ce qu’elle fait! Il n’empêche que le message est à la fois clair et décomplexant, tout à fait dans la lignée de celui d’Anne Hathaway posté en début de semaine sur son compte Instagram.

Crédits photos : Andy Kropa/AP/SIPA

Tous les coups sont permis dans la course à la présidence des États-Unis. La preuve : Ivanka Trump, la fille de Donald Trump, vient de faire un don à la rivale de son père, Hillary Trump. En achetant une paire de boucles d’oreilles, elle a soutenu la campagne de la candidate démocrate.

Le frère de Barack Obama qui appelle publiquement à voter pour Donald Trump, candidat du parti opposé, avait déjà surpris les observateurs de la vie politique américaine. Mais qu’Ivanka Trump, fille du candidat républicain, apporte son aide financière à son adversaire Hillary Clinton ? C’est du jamais vu, complètement inattendu – même si elle est très amie avec Chelsea Clinton. Heureusement pour sa relation avec son père, le don de la jeune femme à la candidate démocrate n’a pas été fait de son plein gré.

Ivanka Trump a commandé des boucles d’oreilles sur Internet. Et avant même de recevoir les bijoux, elle a été mentionnée sur Instagram, par le compte de la marque : les créateurs ont choisi de transformer son achat en don. “Chère Ivanka, merci beaucoup pour votre commande passée par Internet, peut-on ainsi lire. Nous sommes heureux de vous annoncer que l’argent récolté grâce à cette vente a été transformé en généreuse donation à l’American Immigration Council, à l’Everytown for Gun Safety Organization [une organisation contre la libre circulation des armes à feu aux États-Unis, ndlr] et à la campagne d’Hillary Clinton. Nous espérons que vous adorerez vous nouvelles boucles d’oreilles !” Un coup bas dont Donald Trump pourrait bien se servir : il aime en effet particulièrement créer des polémiques pour montrer qu’il est le candidat contre qui tous se liguent.

Dear @ivankatrump, #thanksbutnothanks #payitFORWARD ➡️

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Crédits photos : Kevin Dietsch / UPI / VISUAL Press Agency

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Presque dix ans après le début de l’affaire, le photographe et ami de Liliane Bettencourt François-Marie Banier échappe à la prison. Condamné en première instance à de la prison ferme l’an passé, l’artiste écope finalement de quatre ans avec sursis et 375 000 euros d’amende.

Artiste dandy, François-Marie Banier a toujours approché les plus grandes stars. Parrain de Lily Rose, la fille de Vanessa Paradis et Johnny Depp, ami proche de nombreuses célébrités comme Kate Moss, il fait la connaissance de la célèbre héritière L’Oréal Liliane Bettencourt en 1987 lorsqu’il la photographie pour le magazine Egoïste. Pendant 20 ans, il devient son ami proche jusqu’à ce que la fille de la riche femme d’affaires porte plainte contre X. François-Marie Banier est accusé d’“abus de faiblesse” et de blanchiment d’argent au moment où la santé de Liliane Bettencourt se détériore et qu’elle devient plus fragile. L’homme aurait reçu des centaines de millions d’euros de la part de l’héritière, sans que cette somme ne soit confirmée.

Embourbé dans ce scandale depuis aujourd’hui presque dix ans, le photographe a toujours nié ces accusations et crié au complot. “Il n’y a aucune emprise, avait-il expliqué sur RTL en juin 2015, ce qui m’est fait aujourd’hui est horriblement injuste parce que ce n’était pas une histoire d’argent.” A l’époque, le photographe venait d’être condamné à trois ans de prison dont 30 mois fermes et à 350 000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Bordeaux. La Cour d’appel l’a finalement condamné à 4 ans de prison avec sursis et 375 000 euros d’amende.

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D’autres personnes figurant dans l’entourage du photographe ont elles aussi été condamnées à des dizaines voire des centaines de milliers d’euros d’amende. La Cour d’appel n’a pas confirmé le remboursement des 158 millions d’euros que réclamait la fille de Liliane Bettencourt, Françoise Bettencourt-Meyers. Une défaite cinglante pour la fille de l’héritière L’Oréal.

Crédits photos : Bertrand Rindoff Petroff

Ce dimanche 18 septembre, Lily-Rose Depp était présente sur le plateau de Vivement dimanche. Interrogée par Michel Drucker, l’adolescente a expliqué pourquoi elle voulait devenir actrice et a évoqué la réaction de ses parents, Vanessa Paradis et Johnny Depp, en apprenant son choix.

Lily-Rose Depp était l’invitée de Michel Drucker dans Vivement dimanche. Confortablement installée aux côtés de Soko, la jeune femme âgée de 17 ans, était venue promouvoir son prochain long-métrage, La Danseuse, dont la sortie est prévue pour le 3 novembre prochain. Avec Johnny Depp et Vanessa Paradis comme parents, le métier d’actrice s’est imposé comme une évidence pour elle. Questionnée par celui qui l’avait déjà reçue « dans les bras de sa maman il y a 17 ans », la fille aînée de l’ex-couple de stars a expliqué avoir décidé de faire ce métier après avoir joué une petite scène dans le film Tusk de Kevin Smith, sorti en 2014 : « J’ai tourné une scène avec sa fille qui est ma copine d’enfance. On a tourné une scène de cinq minutes, juste pour rigoler quoi… Je ne me suis pas dit : « Je lance ma carrière avec ça ». Mais je me suis sentie hyper confortable et je me suis amusée”. Aujourd’hui, Lily-Rose Depp se consacre entièrement à la comédie. Une direction professionnelle que ses parents n’ont pas pu refuser : »Ben… Ils ne pouvaient pas dire non quoi !Ils me soutiennent toujours dans tout”, a-t-elle déclaré en souriant.

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Dans une grande interview accordée à Gala, Najat Vallaud-Belkacem évoque ses enfants et sa vie de ministre

La bonne élève du gouvernement est aussi une maman… appliquée. Dans une interview publiée aujourd’hui dans Gala, Najat Vallaud-Belkacem raconte ses souvenirs d’enfance et se confie sur sa vie de mère.

A la question : « vous rêvez parfois d’un troisième enfant ? », cette maman de jumeaux, fille et garçon de 7 ans et demi, répond sans hésiter : « Oui, je ne compte pas m’arrêter là ! Je viens d’une famille de 7 enfants et c’est une chance merveilleuse ».

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Elle évoque aussi sa relation au système scolaire qui a changé depuis qu’elle est ministre de l’Education. « Quand je rencontre les professeurs de mes enfants, je suis dans mes petits souliers », reconnaît-elle. Depuis qu’elle est la patronne de la rue de Grenelle, elle surveille plus attentivement le cartable de ses enfants : ” même si je rentre du travail certains soirs à 23 heures, glisse-t-elle, je jette un coup d’œil au cahier de correspondance dans leur cartable, ce que je ne faisais pas forcément avant. Je suis très attachée à ce lien entre les parents et l’école.”

Elle regrette aussi de ne pas pouvoir passer plus de temps avec ses jumeaux. « Mais c’est le lot de tous ceux qui ont une activité professionnelle très prenante, soupire-t-elle. L’équilibre avec la vie familiale est une quête quotidienne ».

Retrouvez l’intégralité de l’interview de Najat Vallaud-Belkacem, en kiosques dès aujourd’hui.

Après des années de bons et loyaux services, le Zapping de Canal+ a pris fin en juillet dernier. Il s’apprête aujourd’hui à renaître de ses cendres sous un nouveau nom et sur une nouvelle chaîne.

27 ans durant, le Zapping de Canal+ a bercé des générations de téléspectateurs. Devenu l’une des plus célèbres cartes de visite de la chaîne cryptée, le concept créé en 1989 par Patrick Menais a su se bonifier avec l’âge. Il a pourtant été abandonné par sa maison mère le 2 juillet dernier, suite à l’arrivée de l’homme d’affaires Vincent Bolloré à la tête du groupe Canal+. « Il existe des zappings sur les autres chaînes et il n’y a pas de sens de faire la promo des chaînes gratuites sur une chaîne cryptée », avait alors justifié le directeur général des antennes Gérald-Brice Viret. Six mois après cette annonce, le zapping est pourtant de retour. À cela près que cette fois-ci, il sévira sur le service public.

Le bébé de Patrick Menais ne s’appelle plus le Zapping, droit oblige. Canal+ a en effet déposé la marque. Du coup, France 2, qui diffusera désormais le programme court, a opté pour le titre VU. Mis à part ce détail, le principe devrait sensiblement rester le même. À la télécommande, la même équipe. Quant au contenu, la chaîne se contente d’indiquer qu’il « proposera un regard impertinent et libre sur le monde de l’image ». Le top départ sera donné le 16 janvier prochain, en clair (cela va de soit), de 17h25 à 17h31. VU sera ensuite diffusé chaque semaine du lundi au samedi. La durée de six minutes originale reste quant à elle inchangée. Une très bonne nouvelle pour le service public qui risque fort d’attirer de nombreux téléspectateurs avec ce nouveau programme. Une bien moins bonne nouvelle pour Vincent Bolloré qui risque plus que jamais d’être une cible privilégiée des zappeurs professionnels.

Crédits photos : Jean-Marc HAEDRICH / VISUAL Press Agency

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