Sylvester Stallone : « 96% de ma vie est un échec »

Pour la sortie du film Creed : L’héritage de Rocky Balboa (sortie le 13 janvier), dans lequel il reprend son rôle du célèbre boxeur afin d’entrainer le fils de son ancien rival devenu ami, Apollo Creed, Sylvester Stallone nous reçoit sur le tournage du film à Philadelphie.

Pensiez-vous faire revivre Rocky dix ans plus tard ?

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Sylvester Stallone : Après Rocky V (1990), je n’étais pas satisfait du résultat. Mon seul souhait était alors d’avoir la chance de tourner juste un dernier film, et finir en beauté. A l’époque, ce fut un vrai parcours du combattant. Difficile de convaincre les producteurs que je pouvais reprendre le rôle du boxeur, alors même que le dernier film n’avait pas été un succès. Quand j’ai enfin pu réaliser Rocky VI (2006), je me suis dit « voilà, mission accomplie ». Le public a apprécié et les critiques étaient bonnes. La boucle était bouclée. Il a fallu que ce jeune réalisateur, Ryan Coogler, arrive dix ans plus tard avec cet incroyable scénario. Pourtant, je lui ai dit « non » à plusieurs reprises ! Mais ma femme (Jennifer Flavin) a réussi à me convaincre. Elle m’a dit : « Arrête de faire ta poule mouillée. Ce n’est pas un film sur Rocky, mais sur un nouveau boxeur qui a besoin de l’aide de Rocky pour faire carrière. » J’ai donc fini par accepter.

Quel effet cela vous a fait de vous retrouver pour la première fois à l’extérieur du ring ?

Ce n’était pas évident de raccorcher les gants, mais de toute façon, il y a un moment où le corps ne suit plus. (Il sourit) J’ai été stupéfait par Michael B. Jordan qui s’est entrainé bien plus que moi lorsque je jouais Rocky. Il n’a pas eu peur de tourner avec de vrais boxeurs, il avait un vrai mental de guerrier. Bien sûr, j’étais parfois frustré de me retrouver en dehors des cordes, mais j’ai vraiment apprécié ce rôle d’entraineur, qui est presque un père pour le jeune boxeur.

En parlant de père, vos parents ont divorcé quand vous étiez enfant. Quel rôle a joué votre papa dans votre vie ?

Mon père était un peu comme Rambo. C’était le cliché de l’immigré italien très dur et très costaud. Je me suis d’ailleurs beaucoup inspiré de lui pour jouer Rambo. Sa façon de parler, de marcher… Mais il n’avait pas un grand sens de la famille. A la rigueur, il ressemblait plus un à un grand frère qu’à un père. Il ne s’est jamais vraiment comporté comme un père responsable à mon égard.

Où avez-vous donc trouvé la force pour vous construire ?

J’ai essayé de cacher mes peurs, et d’aller toujours plus haut. Encore aujourd’hui, mon erreur est souvent d’être trop ambitieux. Mon leit motiv, c’est « Peur de rien ! » Pourtant en vérité, beaucoup de choses me font peur, mais je ne cesse de répéter ces trois mots pour me convaincre du contraire.

Les gens vous connaissent comme Rambo ou Rocky mais vous êtes également connu pour être un remarquable peintre. D’où vient cette passion pour la peinture ?

Quand j’étais enfant, j’étais dyslexique. A l’école, c’était très difficile pour moi car j’avais de grandes difficultés pour lire. A l’époque, les gens ne connaissaient pas le mot « dyslexique » et beaucoup pensaient juste que j’étais un peu simplet ! (Rires) C’est la raison pour laquelle j’ai commencé à peindre. Au départ, la peinture a été un moyen pour moi de communiquer mais aussi de me représenter une histoire avant de l’écrire.

En mai dernier, vous avez d’ailleurs présenté vos toiles en France, au Musée de Nice…

J’ai été tellement surpris d’avoir été invité à présenter mes œuvres dans un lieu aussi prestigieux que le Musée d’art moderne de Nice que j’ai cru, au départ, qu’ils faisaient erreur sur la personne. (Rires) Il y a des œuvres d’artistes incroyables dans ce musée, cette invitation a été pour moi un grand honneur.

Vous avez eu des hauts et des bas toute votre vie. Avez-vous des regrets et auriez-vous vécu différemment si tout était à refaire ?

Oh, mon Dieu, nous aurions besoin de toute une journée pour en parler. (Rires) Malgré tous mes succès, je considère que 96% de ma vie est un échec. Si je pouvais réécrire mon histoire, cela prendrait énormément de temps. Je pense que j’aurais géré ma vie privée différemment. Parfois, vous vous mariez et vous avez l’impression de vous retrouver dans une relation excitante et stimulante mais vous vous rendez compte ensuite que c’est une véritable guerre ! Côté professionnel, je regrette de ne pas avoir fait des choix plus diversifiés. J’aurais voulu montrer davantage ce dont je suis capable.

En privé, quel genre de père êtes-vous ?

Vous savez, l’amour pour vos enfants peut vous emmener au paradis et, malheureusement, vous emmener aussi en enfer. Je le sais puisque je l’ai vécu [son fils Sage est décédé en 2012 à l’âge de 36 ans ndlr ]. Avec le recul, je crois que c’est peut être la raison pour laquelle la vie vaut la peine d’être vécue. On apprécie l’amour d’autant plus lorsqu’on a connu l’enfer. Avoir des enfants est extrêmement compliqué. Mais avec le temps, j’ai appris à être moins autoritaire et à les laisser grandir, tout simplement. C’est un voyage qui vous enrichit en permanence, surtout quand vous avez trois filles [Sophia, 19 ans, Sistine, 17 ans et Scarlet, 13 ans ndlr]. Croyez moi, avec elles, vous ne gagnez jamais la partie ! (Rires)

Vous dites avoir beaucoup appris de vos relations et vous semblez aujourd’hui épanoui dans votre troisième mariage. Quel est le secret ?

Ce que j’aime chez ma femme, c’est qu’elle est extrêmement indépendante. Elle a réussi à construire sa propre vie. C’est aussi une femme qui a un grand sens de l’honnêteté, ce qui me pose parfois problème, car c’est impossible de lui mentir ! (Rires) Comme toutes les femmes, elle a aussi beaucoup d’intuition et elle est très franche. Lorsque j’hésite à tourner dans un film, elle me dit souvent : « Sois un homme et joue le rôle comme il est écrit ou refuse-le et donne une chance aux autres, mais décide-toi. »

Qu’est ce que vous aimez faire le plus ensemble ?

C’est trop embarrassant… (Rires) J’adore jouer avec elle et nos petits chiens dans le jardin. Je n’en reviens pas que j’ose vous raconter ça ! Vous pensiez que j’allais répondre « escalader une falaise » ou « sauter en parachute » mais non… J’adore me retrouver seul avec ma femme, et envoyer la balle à mes chiens dans le jardin. Et précision importante, mes chiens sont des Spitz nains ! (Rires)

Propos recueillis par Hervé Tropéa

Crédits photos : SIPANY/SIPA

Lily-Rose et Johnny Depp, sortie père-fille

Un cliché rare, donc forcément précieux. Lors de la soirée organisée par Stella McCartney, l’acteur Johnny Depp a donné un petit concert, et a profité de son showcase inédit pour se laisser prendre en photo avec sa fille Lily-Rose.

C’était la soirée à ne rater sous aucun prétexte. L’after-party de la présentation de la collection fall de Stella McCartney. La fille du Beatle a su bien s’entourer pour faire parler de son événement fashion. Gwyneth Paltrow – démocratisant au passage les boots bleues électriques -, Nicole Richie – et sa nouvelle coupe d’inspiration Josephine Baker -, toutes ses amies ont répondu présent. Plus encore, la créatrice s’est octroyée les faveurs de Johnny Depp qui lui a offert un showcase mémorable.

Mais si Daddy Johnny s’accapare le feu des projecteurs sur scène, côté coulisses c’est bien sa fille Lily-Rose qui brille sous la lumière. Bombers noir, moue désabusée, jean taille haute, la rejetonne la plus médiatisée de la planète people ne s’est pas encombrée d’artifices pour cette parenthèse estampillée branchée, posant aux côtés de son père (lunettes fumées posées sur le nez), de sa belle-mère Amber Heard tout en blondeur échevelée, Stella McCartney et Orlando Bloom. Un cliché collector tant les apparitions du père aux côtés de la fille sont rares, voire inexistantes.

Plus habituée aux front-rows des défilés avec Mummy Vanessa Paradis, Lily-Rose s’autorise aussi du temps auprès de son père, l’occasion surement de rassurer celui qui s’inquiète pour elle. Pour être sûre de faire parler d’elle, Lily-Rose n’hésite pas à prendre la pose avec Marilyn Manson, icône trash de son état. Maquillage outrancier ou selfie jugé inapproprié, la jeune fille maîtrise l’art de la com’. Mais aux côtés de Johnny, elle redevient sa petite fille chérie.

Crédits photos : BFA/Shutterstock/SIPA

Enrico Macias: “J’ai donné une image qui n’est pas la mienne”

Quelques heures avant qu’il ne se produise sur la scène de l’Olympia les 16 et 17 janvier dernier, Enrico Macias, 77 ans faisait l’objet d’un portrait dans le journal Libération. Il accuse le poids de la solitude.

Au mois d’octobre dernier sortait la biographie d’Enrico Macias co-écrite avec Bertrand Dicale, L’envers du ciel bleu. Dans le titre déjà on devine une notion de façade. Le chanteur oriental a consience de ne pas montrer ce qu’il est réellement. Comme il le confiait en fin de semaine à nos confrère de Libération, il a été et reste très perturbé par la disparition de sa femme Suzy, en 2008. Pourtant, on a de lui l’idée d’un homme jovial, léger, heureux de vivre. Ce n’est pas tout à fait ça, il est bien plus torturé: “J’ai toujours eu peur d’être lâché par mon public. Je crois que j’ai donné une image qui n’est pas forcément la mienne, celle du type joyeux. Les gens me voient toujours comme un homme gai.”

Car avec Suzy, c’est 40 ans d’amour qu’il a partagé, 40 ans d’admiration et de jolies leçons de vie. “Je l’ai épousée quand elle avait 18 ans. Elle était déjà malade. Les gens me déconseillaient de me marier, les médecins d’avoir des enfants.” se souvient-il. Il ne les a pas écoutés: “Elle a absolument voulu me donner un fils. On a eu deux enfants, Joyca (51 ans) et Jean-Claude (46 ans). Elle m’a donné des leçons de courage et de sacrifice.”

Si la disparition de son épouse le plonge dans les sombres abîmes de la solitude, Enrico ne lui en veut pas, il sait qu’il ne pourrait pas en être autrement: “Plus on avance en âge, plus le cercle d’amis se réduit, et plus on se sent parfois un peu seul(…) La cicatrice aurait pu se refermer depuis le temps, mais je vois le temps qui passe, cet appartement trop grand(…) Elle a tellement souffert pendant 50 ans, avec des opérations à coeur ouvert que je me dis qu’elle est bien mieux là où elle est. Il faut savoir tourner la page.”

Crédits photos : GettyImages

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Eagles of Death Metal : les places pour leur concert à l’Olympia épuisées en 30 minutes

Les Eagles of Death Metal, qui étaient présents sur la scène du Bataclan le 13 novembre, seront en concert à l’Olympia le 16 février prochain. Les places pour l’évènement se sont écoulées en moins de trente minutes, témoignant du nouveau lien qui unit les rockeurs au public parisien.

Ils avaient promis qu’ils termineraient leur concert.Les Eagles Of Death Metal avaient donc reprogrammé une date, le 16 février, à l’Olympia, pour retrouver le public parisien, avec lequel ils sont désormais durablement liés. Ils avaient aussi promis sur leur page Facebook que « les fans qui étaient au Bataclan le 13 novembre auraient droit à un billet gratuit ». Quelques uns des rescapés du concert changé en tragédie s’étaient d’ailleurs réjouis de cette initiative. Ce matin, le reste des places pour le concert de l’Olympia a été mis en vente… et s’est écoulé en moins de trente minutes.

Il semble bien que les hard-rockeurs occupent maintenant une place à part dans le cœur des Parisiens.Josh Homme, Jesse Hughes et David Catching, les trois membres du groupe, étaient venus se recueillir devant le Bataclan en hommage aux victimes, en décembre dernier. Ils ont, sans le vouloir, lié leur destin à celui des habitants de la capitale, traversant le même deuil, les mêmes angoisses. Eux-aussi miraculés du 13 novembre, les trois musiciens incarnent aujourd’hui une certaine forme de résistance à l’obscurantisme. Jesse Hughes avait d’ailleurs déclaré dans un communiqué : « On a hâte de revenir en février et de poursuivre notre mission : faire retentir le rock n’roll dans le monde ».

Mais les places de ce concert un peu spécial n’ont pas échappé à la cruelle loi du marché. A peine quelques minutes après avoir été écoulés, certains billets se trouvaient déjà sur des sites de revente à un prix bien supérieur à leur valeur initiale. D’une quarantaine d’euros, ils étaient passés à plus de 200 euros. Amer constat pour les fans, qui n’ont pas manqué de souligner le cynisme de ces revendeurs sans vergogne. Ce trafic rappelle la polémique soulevée en janvier 2015, lorsque des exemplaires du numéro post-attentats de Charlie Hebdo, avaient eux-aussi été mis en vente sur Internet, parfois pour près de 100 000 euros.

Crédits photos : Danny Payne/REX Shutter/SIPA

Vidéo – L’appel des stars pour 30 millions d’amis

Le générique de 30 millions d’amis a bercé des générations. L’émission a vu le jour le 6 janvier 1976, à l’initiative du journaliste Jean-Pierre Hutin. D’abord sur TF1, puis sur France 2, et enfin sur France 3. Suite à l’annonce de son probable arrêt en juin prochain, les téléspectateurs, mais également quelques personnalités disent « Non ! ». Et lancent le #Touchepasa30millionsdamis

Cette émission, comment dire, c’est un peu la petite madeleine de pas mal de quinquas. Mais derrière, il y a surtout un magazine et une fondation en charge de la protection animale. Près de 2 millions de personnes se sont déjà senties concernées. Une pétition en ligne circule contre son arrêt en juin prochain, et les personnalités ont décidé, pour leur(s) compagnon(s) à poils de faire une vidéo. Comme l’écrivait Lamartine : « On n’a pas deux cœurs, l’un pour l’homme, l’autre pour l’animal. On a du cœur ou on n’en a pas ! »

>Regardez l’appel des personnalités dans la vidéo ci-dessus.

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Céline Dion et René Angélil: leurs derniers jours

Deux semaines après la disparition de René Angélil, un proche de la famille s’est confié au tabloïd américain People pour raconter les derniers jours Céline Dion auprès de son mari.

On l’a aperçue pour la dernière fois à la veillée funèbre de son frère samedi 23 janvier, depuis, par respect pour Daniel et aussi pour affronter sa peine, Céline Dion ne s’est plus montrée. Elle vient d’affronter les jours et les mois les plus pénibles de sa vie. Depuis 1998, son mari René Angélil, son pygmalion, son manager, son amour, luttait contre un cancer de la gorge. Il l’a vaincu une fois, puis a été rattrapé. Céline a toujours été là, fidèle, aimante, solide. Jusqu’au bout, comme en témoigne un proche de la famille, le producteur Ken Ehrlich.

“Il y avait des jours avec et des jours sans. Parfois, il arrivait à se lever de son lit et à marcher dans la chambre.” raconte-t-il, rapportant que quelquefois, René trouvait même l’énergie de jouer avec ses enfants, Nelson et Eddy, ses jumeaux de 5 ans. Mais comme on s’en doute, son état ne le permettait pas toujours. “D’autres jours, il était trop fatigué.”

Céline elle, inséparable de René, convaincue qu’elle pourrait repousser la faucheuse de ses mains si elle venait s’en prendre à son homme, avait changé son mode de vie pour ne pas risquer de le laisser seul. “Elle ne voyageait plus. Elle voulait être avec lui 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, au cas où quelque chose arriverait.” Il va sans dire que le 14 janvier, quand René a poussé son dernier soupir, elle était là. “Le jour de sa mort, elle était à la maison avec ses trois enfants.”

Elle était éprouvée, ces jeudi et vendredi à la Basilique Notre Dame de Montréal, auprès de la dépouille de René Angélil. Elle était digne, solide encore, un peu, grâce au soutien de son grand fils René-Charles, bluffant de maturité, mais elle était aussi bouleversée. Cela ne surprendra personne tant le couple était fusionnel: “Son coeur est brisé en mille morceaux. Elle est dévastée. Avec René, ils étaient tellement sur la même longueur d’ondes.”

Céline Dion, pour l’instant en retrait des médias, est certes abattue, mais en choisissant de maintenir ses prochains concerts, dont une série à l’Accord Hotels Arena de Bercy en juin et juillet, elle envoie un ultime message à René: elle tiendra bon, elle continuera pour lui, à célébrer la vie.

Crédits photos : getty images

Antoine de Caunes sur son départ du Grand Journal : « J’ai subi le contre-coup pendant un moment »

Depuis son éviction précipitée du Grand Journal, Antoine de Caunes accepte avec parcimonie de revenir sur ce douloureux épisode de sa carrière. Dans le dernier numéro de Télé Star, il s’est confié sur l’arrêt brutal de son émission.

Depuis le 6 novembre dernier, Antoine de Caunes présente L’émission d’Antoine, chaque vendredi, en deuxième partie de soirée. Une bouffée d’oxygène pour l’animateur qui a tourné la page du Grand Journal dont il a été brutalement remercié l’été dernier.

“Honnêtement, j’ai subi le contre-coup pendant un moment. Cela a été très violent, je ne m’y attendais pas du tout, a-t-il avoué dans les colonnes de Télé Star. Il y a eu une blessure narcissique et professionnelle. J’en ai discuté avec Vincent Bolloré (président du conseil de surveillance de Vivendi, maison mère de Canal+, ndlr), qui était désolé que je sois la victime collatérale d’un combat qui ne me concernait pas. La cible, c’était la direction précédente qui n’entendait pas les demandes de Bolloré”.

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Dans Télé loisirs fin octobre, l’ancien trublion des Nuls avait déjà évoqué la fin du Grand Journal.«Ça a été une période très difficile, avait-il reconnu dans les colonnes de l’hebdo télé. Quand c’est arrivé, je préparais déjà ma troisième saison de l’émission. J’ai mis un bon moment à m’en remettre… ».

Sur le plateau du Tube le samedi 31 octobre, Antoine de Caunes était également revenu sur ses deux années passées à la tête du talk-show. «Ça n’a pas été que facile, c’est un poste extrêmement exposé. (…) On a l’impression d’être dans la ligne de mire permanente de gens qui vous veulent du mal. Pourtant, on ne tue pas des enfants, on fait juste une émission ! Le Grand Journal « catalyse énormément de passion, considérablement trop par rapport à la place qu’il occupe. »

Jean-Luc Delarue : La mère de son fils Jean veut faire annuler son mariage avec Anissa

Selon les informations de notre confrère Marc Fourny du Point, la journaliste Elisabeth Bost (mère de Jean, le fils de Jean-Luc Delarue) aurait demandé à la justice d’annuler le mariage de l’animateur avec Anissa, célébré trois mois avant son décès.

Trois et demi après le décès de Jean-Luc Delarue, sa succession est toujours loin d’être réglée. Son ex-compagne la chroniqueuse du Grand 8 Elizabeth Bost, aurait selon les informations du Point, demandé l’annulation du mariage du père de son fils Jean (âgé de 9 ans) avec sa compagne Anissa Khelifi, célébré en mai 2012 à Belle-Île-en-Mer, trois mois avant son décès d’un cancer de l’estomac.

«Dans la même assignation, qui sera examinée par le tribunal de grande instance de Paris le 9 février prochain, Élisabeth Bost, demande également l’annulation du pacs conclu entre Jean-Luc et Anissa au printemps 2012, révèle Le Point. Ainsi que le testament décidé par l’animateur, avec le fameux codicille de juillet 2012, qui faisait d’Anissa son héritière à 50 %, l’autre partie de son patrimoine étant dévolue à Jean, le fils qu’il a eu avec Élisabeth Bost.»

Alors que le partage définitif du patrimoine de l’animateur qui a fait l’objet de nombreuses études d’experts, devrait être validé ces prochains mois, ce sont bien évidemment ces millions d’euros d’héritage qui sont au cœur de cette assignation d’Elizabeth Bost. «L’enjeu de cette annulation ? Revoir la distribution de l’héritage de Jean-Luc Delarue, qui se monte à 22 millions d’euros, après la vente récente de la société Réservoir Prod au groupe Lagardère pour 14 millions, souligne Le Point. Selon les dernières volontés de Delarue, Anissa et Jean toucheraient ainsi 11 millions chacun. Mais le clan qui soutient Jean estime que ce dernier est lésé en raison des 45 % de frais de succession que celui-ci doit payer sur sa part, contrairement à Anissa.»

Joint par Le Point, maître Francis Szpiner l’avocat d’Anissa Delarue, se montre catégorique : «Ma cliente attend cette audience avec sérénité. Mais je trouve cette procédure indigne, misérable et basse.»

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Alessandra Sublet: sa fille veut participer à « The Voice »…

Charlie Miserez, 3 ans est une fidèle téléspectatrice de The Voice. À tel point que sa maman, Alessandra Sublet, la voit déjà candidate de l’émission.

Adorable. Il n’y a pas d’autre mot pour qualifier le photo qu’Alessandra Sublet a publiée sur les réseaux sociaux ce week-end. Habituellement peu bavarde concernant sa vie privée, l’animatrice a pourtant posté sur Twitter une photo de sa fille, Charlie, âgée de 3 ans. Debout devant la télévision, la petite semble obnubilée par l’écran, sur lequel on aperçoit Mika dans son fauteuil de juré deThe Voice, visiblement fan de l’émission. Sa maman a ainsi expliqué que son aînée rêve d’y participer: « Quand ta fille te demande si elle peut passer le casting elle aussi », s’est-elle amusée sur le réseau social.

Mais malheureusement, Charlie, du haut de ses trois printemps ne pourra participer à The Voice qu’à partir de ses 15 ans. Pour passer les castings de The Voice Kids en revanche, qu’elle se rassure, elle n’aura pas besoin d’attendre si longtemps: ils lui seront ouverts dès ses 5 ans. Elle a donc deux ans pour s’entraîner.

En attendant, Charlie, fait le bonheur de ses parents. “Elle ne me ressemble pas physiquement mais elle a mon enthousiasme, ma joie de vivre. Elle n’a encore que 3 ans et j’espère qu’elle gardera ces jolies qualités” confiait récemment Alessandra Sublet à Paris Match.Avec son mari, le producteur de cinéma Clément Miserez, ils sont les heureux parents de deux enfants: la grande Charlie, et son petit frère, Alphonse, né en août 2014.

Crédits photos : IBO/SIPA

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Kanye West clame l’innocence de Bill Cosby

Alors que ses fans attendent la sortie de son prochain album, Kanye West préfère s’épancher sur Twitter afin de crier à l’innocence de Bill Cosby.

Kanye West n’est pas étranger aux controverses sur la toile. Après le clash qui l’opposait au rappeurWiz Khalifa (ex-mari de son ex-petite amie Amber Rose) il y a deux semaines, il s’est de nouveau fait remarqué sur Twitter mardi 9 février en donnant son opinion sur l’affaire Bill Cosby. Depuis l’année dernière, l’acteur de 78 ans est accusé d’agressions sexuelles sur plus de 50 femmes. Pour le rappeur et mari de Kim Kardashian, Bill Cosby est tout simplement “innocent” comme il l’écrit en lettres capitales sur son profil.

Ce n’est pas la première fois qu’il fait référence à l’acteur. Dans son titre Facts révélé en début d’année, Kanye West rappait : “Est-ce que quelqu’un se sent mal pour Bill Cosby ?” Aux dernières nouvelles, ses avocats ont demandé l’annulation du procès lancé le 30 décembre dernier alors qu’il continue de tout nier en bloc.

Les faits au centre du procès remontent à 2004. La plainte a été déposée par Andrea Constand, une ex-responsable de l’équipe de basket de l’université de Temple, en Pennsylvanie, qui affirme avoir été droguée puis agressée sexuellement.