Obsèques de Johnny Hallyday, une célébrité chute après l’enterrement, elle a été emmenée aux urgences

Lundi 11 décembre, les proches de Johnny Hallyday étaient présent à Saint-Barthélémy pour son enterrement. Mais, à la sortie du funérarium, l’une des célébrités présentes a été victime d’une mauvaise chute. Les secours ont dû intervenir.

Si des milliers de personnes étaient présentes à Paris samedi 9 décembre, afin de rendre hommage à Johnny Hallyday, seules quelques dizaines de proches se sont rendus à Saint-Barthélémy pour son enterrement. Sylvie Vartan, son amour de jeunesse, avait fait savoir qu’elle ne serait pas présente, regrettant que le chanteur soit enterré « si loin de ceux qui l’aimaient ». Pourtant, Laeticia Hallyday était bien entourée. Elle pouvait compter sur le soutien de sa famille, mais aussi sur celui d’Hélène Darroze, sa grande amie.

Malheureusement, cette dernière a été victime d’un petit accident. Selon les informations de Closer, elle a fait une mauvaise chute en sortant du funérarium, et a dû être emmenée aux urgences par les pompiers, afin d’y être soignée. Elle s’était ouvert le front. Cet incident a par ailleurs retardé le départ du cortège, en direction du cimetière de Lorient. Mais ce n’est pas cette blessure qui allait empêcher la cheffe étoilée d’être présente pour rendre un dernier hommage à son ami. Pansement sur le front, elle a rejoint la cérémonie aussi vite que possible, pour épauler la compagne de Johnny.

Désormais, l’identité de la personne qui a retardé le cortège lors des obsèques est donc connue. Ce mardi 12 décembre, le site de 20 Minutes avait en effet annoncé qu’une des célébrités présentes avait fait un malaise avant le départ du cercueil. Désormais, Hélène Darroze compte bien continuer à profiter de la vie, ainsi qu’elle l’a affirmé sur son compte Instagram. Elle sera toujours présente pour Laeticia, Jade et Joy, fidèle à la dernière promesse faite au rockeur disparu. Ce dernier lui avait en effet confié : « Je peux partir, car je sais que tu seras toujours là auprès de mes femmes. »

Bonjour la vie!

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Crédits photos : KCS

Sous X, de Jean-Michel Correia : “Quelque part j’ai reconstitué une petite famille autour de moi”

A la fois réalisateur et acteur principal, il signe un premier film tendu, qui sent le vécu, évoluant entre “Un Prophète” et “Pusher”.

Comment en êtes-vous venu à faire du cinéma ?

Après plusieurs années passées en prison, j’ai recroisé un ami producteur qui m’a encouragé à écrire, notamment sur mon histoire. Je n’avais jamais vraiment écrit avant, j’avais simplement participé à un atelier d’écriture en détention, et collaboré à une revue éditée là-bas, Paroles Fleury. Mais je m’y suis mis, racontant un univers de cité, avec le personnage de Jean-Jacques qu’on retrouve dans Sous X. En fait, ce film a été mon premier travail, ma première histoire couchée sur le papier.

Et puis vous avez rencontré Jacques Audiard…

J’ai d’abord croisé Jean-François Richet. Il a bien aimé ce que j’écrivais, et il m’a permis de devenir chauffeur de production sur Mesrine, ma première expérience sur un tournage. Et puis j’ai rencontré Thomas Bidegain, qui m’a aussi trouvé un petit talent. Quand il a pris en main le scénario d’Un Prophète, il m’a appelé pour que je sois conseiller technique. Il voulait que je les aide au vu de mon expérience carcérale.

Le fait que je réalise Sous X tient d’un concours de circonstances. Un réalisateur était affilié au projet, mais pour différentes raisons il n’a pas pu le faire, et je me suis retrouvé derrière la caméra.

Par exemple sur quelle scène ou quel élément avez-vous pu influer ?

Quand le personnage de Malik, interprété par Tahar Rahim, est incarcéré, j’ai pu leur donner quelques indications, sur le parcours que suit un nouvel arrivant. De la même manière, j’ai pu les aider à trouver un moyen de le rendre mobile à l’intérieur de la prison, en lui trouvant un métier, ce qui correspond à un fait concret de la vie carcérale. Mais je n’ai pas du tout contribué à l’écriture, je ne peux pas me permettre de dire ça, je les ai juste conseillés du mieux que j’ai pu. Jacques Audiard m’a ensuite proposé de venir travailler sur le tournage, comme second assistant, et ce fut une expérience magnifique, un moment privilégié de le voir travailler avec ces comédiens. C’est vraiment à ce moment-là où je me suis ancré professionnellement dans le milieu du cinéma.

Mais vous vouliez devenir réalisateur ?

Pas du tout, enfin j’avais déjà réalisé un moyen-métrage, Les Petits, sur des jeunes de 10-12 ans de ma cité de Châtenay-Malabry, là où j’ai grandi. Certains de ces jeunes sont d’ailleurs dans Sous X. Et puis j’ai fait ensuite deux ou trois petites choses, un documentaire sur la venue de l’équipe d’Un Prophète à Châtenay-Malabry, et le making-of de Nuit Blanche. Mais le fait que je réalise Sous X tient d’un concours de circonstances. Après Un Prophète, j’ai commencé à écrire plusieurs projets avec l’un de ses auteurs, Nicolas Peufaillit : une série télé, un film qui s’appelle Nino sur le braqueur Antonio Ferrara, déjà développé au sein de la Pan-Européenne… Mais ces projets se sont retrouvés en stand-by, et toujours avec Nicolas Peufaillit je me suis alors remis à l’écriture de mon histoire personnelle, qui est devenue Sous X. Un réalisateur était affilié au projet, mais pour différentes raisons il n’a pas pu le faire, et je me suis retrouvé derrière la caméra.

Et devant, puisque vous interprétez le rôle principal…

Encore une fois ce n’était pas une envie de départ ! Mais cette solution a fini par s’imposer. Il y avait une vraie volonté de ma part d’être authentique. Tous les acteurs professionnels du casting, ce sont des gens que j’ai pu croiser sur tel ou tel tournage, dans tel ou tel festival, et avec lequels j’ai accroché humainement. Pour Pierre Douglas, qui joue le père de Jean-Jacques, c’est un peu différent. Il était le parrain d’une association culturelle présente à Châtenay-Malabry, quand je l’ai contacté il a tout de suite dit oui, en fait pour Sous X quelque part j’ai reconstitué une petite famille autour de moi.

Aviez-vous des films en tête au moment de tourner ?

Un Prophète… Et puis les Pusher, dont j’aimais la manière de rentrer dans les scènes en suivant les pas du personnage principal, d’être juste dans son dos.

Quels sont vos prochains projets ?

J’ai pratiquement terminé le scénario de ce que j’espère être mon deuxième film. L’histoire se déroulera toujours dans ma cité de Châtenay-Malabry. Mais cette fois elle sera centrée autour d’une héroïne, j’ai envie de mettre en avant un personnage féminin, une femme dont l’homme vit dans l’illégalité.

 

Dans l’antre de la Hammer…

Plus de 4 ans après la sortie de “Laisse-moi entrer”, premier long-métrage financé par la Hammer depuis 1979, “La Dame en noir 2 : l’ange de la mort” débarque sur les écrans. Retour sur une maison de production mythique du cinéma anglais.

De quoi parle-t-on ?
La maison de production indépendante Hammer Film voit le jour en 1934 grâce au britannique William Hinds, comédien à l’époque, qui usait du pseudonyme de Will Hammer. Enrique Carreras, immigré espagnol installé à Londres, se joint à lui et ils fondent ensemble Exclusive films. Leur marque de fabrique ? Des séries B pas chères qui rapportent suffisamment à la firme pour la faire perdurer. Leurs premiers films sont des comédies : The Public Life of Henry the Ninth ou -déjà- de l’épouvante : The Mystery of the Marie Celeste avec Bela Lugosi.

En 1939, les fils des deux producteurs, James Carreras et Anthony Hinds, reprennent en main la société. Sitôt la Seconde Guerre mondiale achevée, Exclusive films devient Hammer Film Productions Limited. Elle adapte alors des téléfilms, et le succès survient avec la série science-fiction des Quatermass, six épisodes d’une série diffusée sur la BBC en 1955. La série, réalisée par Val Guest, conte les aventures du professeur Quatermass aux prises avec des forces extraterrestres. L’Angleterre est conquise, et la Hammer constate que le fantastique fait recette. Quatermass fait l’objet de plusieurs autres séries, et le succès est toujours au rendez-vous.

L’horreur comme marque de fabrique
L’idée majeure de la compagnie est de refaire un Frankenstein. Le livre est libre de droits, et le rachat est une formalité. C’est le réalisateur Terence Fisher qui participe avec Frankenstein s’est échappé (1956) à un tournant majeur de la firme. Il impose un “style Hammer” à son histoire et réinvente le mythe de la créature du roman de Mary Shelley. Le succès est phénoménal, et la Hammer rachète les droits sur les classiques de la littérature gothique à Universal, et déverse un flot de films reprenant les personnages de Dracula, la momie ou du loup-garou. Le style Hammer : de la création originale et un style gothique. Le public adhère, et la maison de production devient mythique.

Plusieurs films vont affirmer ce style : Le Cauchemar de Dracula (1957), La Revanche de Frankenstein (1958), Le Chien des Baskerville (1958), La Malédiction des pharaons (1959). Suivent -en plus des suites aux aventures du baron Frankenstein, de Dracula et de la momie- Les Deux Visages du Docteur Jekyll (1959), La Nuit du loup-garou (1960), Le Fantôme de l’Opéra (1961). Et les films s’enchaînent ainsi jusqu’en 1970. Le public répond présent et en redemande, à l’inverse de la presse qui regorge d’imagination dans la critique acerbe.

Ci-dessous, Nicolas Stanzick, auteur d’un ouvrage de référence consacré à la Hammer, Dans les griffes de la Hammer, nous parle de la mythique firme britannique.

Nicolas Stanzick Interview 06/10/2010

Le déclin
Il commence en 1970, avec l’apparition de films mineurs, qui compensent une faiblesse scénaristique par la surenchère de cynisme (Les Horreurs de Frankenstein), voire d’autres astuces comme mêler vampires et kung-fu (Les Sept Vampires d’or), vampires et hippies (Dracula 73) ou vampires et nudité (Comtesse Dracula). La Hammer est également concurrencée par le cinéma italien des Mario Bava, Antonio Margheriti, Lucio Fulci et Dario Argento. De même, aux États-Unis une vague de films repousse les limites de l’horreur en faisant du gore, supplantant la Hammer et la reléguant au second plan. La Nuit des morts-vivants (1968), L’ Exorciste (1973), Massacre à la tronçonneuse (1974) sont autant de nouvelles références du cinéma d’horreur.

Le studio Hammer fonctionnera au cinéma jusqu’en 1979, puis se tournera vers la télévision dans les années 80, avant de disparaître. Mais comme les créatures fantastiques qu’elle a remis au goût du jour, la Hammer renaît de ses cendres en 2010 en supervisant Laisse-moi entrer , La Dame en noir, le plus gros carton au Box-Office britannique depuis 20 ans, et sa suite, La Dame en noir 2 : l’ange de la mort. Au fond, la peur est éternelle, et les monstres (sacrés) ne meurent jamais…

Ci-dessous, La réception en France des films de la Hammer selon Nicolas Stanzick..

Nicolas Stanzick Interview 06/10/2010

 

PHOTOS – Angelina Jolie, sous l’influence de Camilla, duchesse de Cornouailles et épouse du prince Charles?

A 70 ans, l’une a fini par s’imposer au sein de la famille royale d’Angleterre. A 42 ans, l’autre continue d’incarner le grand glamour hollywoodien. A priori, elles n’ont rien en commun. Et pourtant…

Elles se sont serré la main pour la première fois, en juin 2014, à Clarence House. Le sujet de l’entrevue n’était pas vraiment léger, puisqu’il était question des violences sexuelles en zone de guerre. Mais au premier regard, elles se sont reconnues. Entre Camilla, ex-épouse Parker-Bowles, duchesse de Cornouailles, blonde septuagénaire, et Angelina Jolie, ex-épouse Pitt, actrice hollywoodienne et pasionaria des plus démunis, brune quadragénaire, ce n’est pas seulement l’Atlantique, c’est un monde qui semblait infranchissable. Sauf qu’à bien y regarder, « Milla » et « Angie » partagent plus d’un point commun.

Dernièrement, à quelques heures d’intervalle, l’une à Londres, l’autre à New York, les deux femmes sont ainsi apparues dans un manteau en panne de velours, grand chic de la saison. En bleu nuit, la duchesse de Cornouailles célébrait l’art équestre. En noir profond, Mrs Jolie participait à une conférence sur la résilience. Un hasard ? Livrée aux mains expertes d’une relookeuse et très au fait des dernières élégances, depuis le début des années 2000, Camilla privilégie d’ordinaire les tons sombres ou pastels, les blancs, les gris et les beiges, soit tout un nuancier censé la rendre plus discrète, de la même façon qu’Angelina Jolie, dont le choix de ces couleurs basiques s’explique surtout par le besoin de pouvoir boucler une valise et sauter dans un convoi humanitaire en un minimum de temps. Comme son aînée, l’ex-punk d’Hollywood a adouci son image, au passage.

Car, outre une garde-robe savamment étudiée et un goût certain pour les bijoux vintage, « la Rottweiler » et « la Tarentule », comme on les a surnommées des deux côtés de l’Atlantique, se disputent surtout le titre de « briseuse de ménage ». Maîtresse de Charles depuis les années 70, Camilla restera pour la grande histoire celle qui a volé à Lady Diana son prince pas si charmant. Le mariage des amants maudits, en 2005, commence tout juste à se fondre dans le décorum british. Partenaire très particulière de Brad Pitt sur le tournage de Mr & Mrs Smith, en 2004, Angelina Jolie, elle, restera pour les gazettes people celle qui a fait pleurer Jennifer Aniston. Sa séparation d’avec l’acteur, en 2016, après un mariage célébré deux ans plus tôt, n’a toujours pas été soldé par un divorce. Après l’avoir accusé d’être un époux alcoolique et violent, Angelina refuse à Brad une garde partagée de leurs six enfants adoptifs et biologiques. Leurs avocats continuent de batailler, rajoutant à la mauvaise réputation de Mrs Jolie.

Avec autant de ferveur que la duchesse de Cornouailles, engagée auprès des personnes atteintes d’ostéoporose, des victimes de violences conjugales ou encore des sans-abri, sa cadette hollywoodienne continue ainsi de dénoncer les exactions dans les régions les plus embrasées du monde. On lui prête des ambitions politiques. Camilla, elle, pourrait obtenir le titre de reine, une fois que Charles aura pris la succession de sa mère Elisabeth II sur le trône. Encore quelques efforts Angelina…

Diaporama réalisé par Emilie Cardona

Crédits photos : Bestimage

Johnny Hallyday : un mystérieux photographe tente de vendre une photo du chanteur mort dans son cercueil

Il n’aura pas fallu attendre très longtemps pour le décès de Johnny Hallyday attise les bassesses. Le JDD révèle, en effet, qu’un homme essaye de monétiser une photo du rockeur mis en bière.

Si le décès de Johnny Hallyday a secoué la France entière, certains ne perdent pas le Nord et tentent de faire des profits sur le dos du chanteur. Un mystérieux photographe parcourt ainsi les rues de Paris dans le but, contestable, de vendre un cliché macabre. Ce dernier aurait approché le gérant d’un magasin d’objets dédiés à la star. “L’homme m’a proposé au téléphone la photo de Johnny dans son cercueil. Je ne peux concevoir qu’elle ait été prise par un membre de la famille. Ce doit être une personne présente lors de l’embaumement du corps”, a expliqué le commerçant au JDD.

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Une pratique loin d’être isolée. Le lendemain de la cérémonie hommage qui s’est tenue en l’église de la Madeleine, un programme de la messe était mis en vente sur internet pour la modique somme de 200 euros. Plus surprenant, un mégot, que le rockeur aurait porté à ses lèvres lors du concert des Vieilles Canailles à Carcassonne, est disponible sur Le Boncoin pour 90 euros. Faut-il pour autant jeter la pierre à ces personnes ? Car comme le rappelle le JDD, c’est Johnny, lui, même, qui a initié le commerce autour de sa personne. Et ce, pour entretenir sa légende. La star a en effet tout misé sur le merchandising, allant jusqu’à faire presser des disques d’or tout spécialement pour son public. Résultat, aujourd’hui, dans les circuits officiels et les salles de ventes aux enchères, les prix des objets ayant appartenus au Taulier plafonnent relativement bas, comparés à ceux des autres stars.

Crédits photos : DANIEL ANGELI / BESTIMAGE

DreamWorks Animation : une baisse de la cadence de production à venir

Le studio DreamWorks Animation s’apprête à ralentir sa cadence de production, passant de trois à deux films par an.

Le studio DreamWorks Animation, co-fondé par Steven Spielberg et Jeffrey Katzenberg, vient d’annoncer son intention de ralentir le rythme de sa production. Dans un communiqué, le studio, à qui l’on doit notamment les sagas Shrek et Madagascar, annonce mettre en place “un nouveau plan stratégique pour restructurer son activité centrale de films d’animations et s’assurer de la production rentable de films de haute qualité.”

La production de films du studio passera à deux films par an contre trois auparavant, afin de “maximiser ses ressources et ses talents, réduire ses coûts et augmenter sa rentabilité.” Une stratégie qui, selon le directeur général Jeffrey Katzenberg, permettra “de produire de grands films, avec de meilleures performances en salles et une rentabilité accrue.” Cette restructuration entraîne le licenciement de 500 personnes.

Le prochain film d’animation DreamWorks, En Route !, est prévu pour le 15 avril prochain. Suivront Kung Fu Panda 3, Boss Baby, Trolls, Dragons 3, Les Croods 2 et Larrikins. Le film Captain Underpants sera quant à lui produit en dehors du studio “à un coût beaucoup moins élevé” que prévu.

La bande-annonce d'”En route !”, le prochain DreamWorks Animation, en salles le 15 avril :

En route ! Bande-annonce VF

 

Making-of Divergente 2 : dans les coulisses du film avec Shailene Woodley

Shailene Woodley, Theo James, Kate Winslet… Les héros de “Divergente 2” nous entraînent dans les coulisses du film, résolument plus sombre que le premier volet.

Plus d’action, plus de cascades… Divergente 2 : l’insurrection est résolument plus sombre que le premier volet ! Abandonnant une ville à feu et à sang, Tris et Four sont désormais traqués et se lancent à la recherche d’alliés. 

Au micro, Shailene Woodley, Theo james, Ansel Elgort, Kate Winslet et tous les personnages emblématiques de la saga nous entraînent dans les coulisses du film et nous décrivent les enjeux de ce nouveau long métrage, où la découverte d’un objet mystérieux, hérité du passé, pourrait bien bouleverser l’équilibre des forces….

Sur ces images, on découvre également Octavia Spencer nouvelle venue dans l’univers, ainsi qu’une Naomi Watts teinte en brune. Elle interprète la chef des Sans Faction (et la mère de Four), prête à tout pour renverser le pouvoir de Jeanine Matthews (Kate Winslet).

Début de l’insurrection le 18 mars dans les salles.

En attendant, voici la bande-annonce explosive

Divergente 2 : l’insurrection Bande-annonce VF

 

Pourquoi depuis l’élection d’Emmanuel Macron, beaucoup de membres de son équipe ont des problèmes de couple

Un article de L’Opinion évoque les sacrifices des plus proches collaborateurs d’Emmanuel Macron, obligés de mettre leur vie personnelle entre parenthèses.

Les mots sont puissants et à la hauteur de leur renoncement. Un article de L’Opinion paru ce mercredi 20 décembre revient sur la vie privée quasi inexistante de certains membres de l’équipe présidentielle : pour Emmanuel Macron, ils sont prêts à sacrifier leur couple et leur vie de famille. Leur mission aux côtés du chef de l’État est plus importante que tout.

“Je sais que mon couple ne résistera pas à mon engagement auprès d’Emmanuel, mais c’est ainsi” a ainsi confié un proche du président de la République alors que ce dernier était encore ministre de l’Économie. Alors qu’il vient de remonter dans les sondages, Emmanuel Macron n’a jamais hésité à fustiger ses ministres en pleine nuit, leur demandant un investissement total. D’ailleurs, l’entourage de plusieurs jeunes ministres serait en train d’imploser, comme l’évoque le quotidien. Certains auraient même déposé leur démission.

L’Opinion rapporte d’autres propos, assez inquiétants et qui légitimeraient un burn-out éventuel. “J’ai disparu de ma vie privée. C’est dur. Je me suis effacé derrière une cause. Et cette cause, c’est lui”raconte un collaborateur totalement dévoué à la Macronie. Alors que les fêtes de Noël approchent, Bruno Bonnell s’inquiète du sort réservé aux plus proches membres de l’équipe d’Emmanuel Macron. “Il va y avoir beaucoup d’ultimatums familiaux, genre ‘si tu y retournes, je te quitte'” estime le député du Rhône.

“On est parti pour un nombre de divorces sans précédent” assure François-Michel Lambert, député de La République En Marche des Bouches-du-Rhône. “Le rythme est très soutenu. C’est le plus gros agenda parlementaire de ces quinze dernières années. Le taux de participation des députés aux débats est extrêmement élevé, plus qu’à l’accoutumée” ajouté Pierre Berson, député LREM de Paris. Une cadence infernale qui a déjà fait parler Brigitte Macron, inquiète pour son mari.

Crédits photos : Denis Allard/Pool/Bestimage

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Une boîte à coucou à l’effigie de Johnny Hallyday à vendre sur le Bon coin

Depuis la disparition de Johnny Hallyday le 6 décembre dernier, d’étranges objets en référence au rockeur ont fait leur apparition sur la toile. C’est le cas de cette « authentique boite à coucou de l’émission les guignols de l’info » à acheter sur le site du bon coin. Valeur : 1 000 euros.

Johnny Hallyday est mort dans la nuit du 5 au 6 décembre. Depuis sa disparition, les hommages se sont multipliés. Célébrités et anonymes se souviennent des moments partagés avec le célèbre rockeur français. Pour certains, c’est aussi l’occasion de vendre à prix d’or des objets insolites en référence au chanteur.

Le 11 décembre dernier, une internaute prénommée Christine a mis en ligne une annonce assez insolite sur le site du bon coin. « Pour les fans de Johnny Hallyday, faire offre » peut-on lire en haut de page. L’objet vendu : « une authentique boite à coucou de l’émission les guignols de l’info » selon la propriétaire. Contactée par nos confrères de France Bleu, la vendeuse déclare avoir obtenu cette boîte à coucou « de la part d’un ami qui était accessoiriste à Canal + ». L’objet n’a semble-t-il toujours pas trouvé preneur. Son prix de vente est affiché à 1 000 euros.

Si elle est authentique, « cette boîte à coucou » pourrait être celle qui accompagnait la marionnette de Johnny Hallyday dans l’émission les Guignols de l’info diffusée sur Canal +. Lorsque le chanteur disait son désormais célèbre « ah que coucou », un œuf sortait alors de la boîte. Un drôle d’objet qui faisait beaucoup rire la marionnette du rockeur mais qui désespérait celle de Patrick Poivre d’Arvor.

Crédits photos : Best Image

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Bande-annonce de Suite Française : Michelle Williams et Matthias Schoenaerts succombent à l’amour

La bande-annonce de Suite Française vient d’être dévoilée. Un long-métrage réalisé par Saul Dibb et David Parfitt, où l’horreur de la guerre donnera tout de même naissance à une extraordinaire histoire d’amour. Le film sort en salles le 1 avril 2015.

La bande-annonce de Suite Française vient d’être dévoilée. C’est en 1940, dans une France en pleine Occupation allemande, que se déroule l’action de ce long-métrage de Saul Dibb.

Adapté du roman d’Irene Nemirovsky, Suite française retrace l’histoire de Lucille (Michelle Williams) qui dans l’attente de retrouver son mari, prisonnier de guerre, et sous le regard de sa belle-mère (Kristin Scott Thomas) est obligée d’accueillir une garnison de soldats allemands menée par Bruno von Falk (Matthias Schoenaerts), un élégant officier dont elle va tomber amoureuse. Une idylle qui va les conduire vers les tragédies de la guerre…

Après avoir tourné dans Le Monde fantastique d’Oz de Sam Raimi, Michelle Williams partage donc l’affiche avec Matthias Schoenaerts vu récemment dans Quand vient la nuit de Michael R. Roskam. Ce “couple” que tout oppose joue aussi au côté de Kristin Scott Thomas, Lambert Wilson et Margot Robbie. Le film sort en salles le 1er avril 2015.