True Romance a 25 ans ! Saviez-vous que le film partage son ADN avec le Badlands de Malick ?

Echec commercial à sa sortie mais largement réévalué depuis sa sortie il y a 25 ans, au point de devenir un film culte, “True Romance” du regretté Tony Scott partage aussi une partie de son ADN avec le chef-d’oeuvre de Terrence Malick sorti en 1973.

True Romance, que beaucoup considère comme le meilleur film du regretté Tony Scott, souffle ses 25 bougies. Et oui, déjà ! C’est peu dire que le film est devenu au fil des ans une oeuvre absolument culte et même un classique, réparant une vraie injustice devant son échec commercial à sa sortie, en 1993. Dialogues brillants signés Tarantino, galerie de personnages absolument géniaux portés par un casting King Size, entre le monstrueux abattage de Gary Oldman en Mac Drexl, un démentiel Christopher Walken qui vole presque la vedette à l’ensemble du casting au cours d’une scène d’interrogatoire de Dennis Hopper absolument culte; un Val Kilmer en presque Elvis; un James Gandolfini psychotique glaçant de violence; un Brad Pitt complètement défoncé adepte de la fumette sur le canapé…. Sans oublier bien entendu la formidable performance du duo amoureux lancé dans une sanglante cavale, Christian Slater, et une jeune Patricia Arquette.

Pour le plaisir, la bande-annonce du film…

True Romance Bande-annonce (3) VO

Dans ce concert d’éloges, on ne saurait être complet sans évoquer aussi la BO du film, produite par un Hans Zimmer en grande forme. Le compositeur, qui avait déjà travaillé avec Scott sur Jour de tonnerre, y livre en particulier un inoubliable et sublime thème musical qui ouvre et referme le film, You’re so cool, composé en grande partie à partir d’un instrument qu’on appelle le marimba; un xylophone africain à résonateurs qui s’est répandu dans certains pays de l’Amérique latine.

Pour vous rafraîchir la mémoire si besoin…

En fait, Zimmer revisite un très célèbre morceau, Gassenhauer, composé par Carl Orff (1895-1982), tiré de Schulwerk, Musica Poetica, composé en collaboration avec Gunild Keetman. Gassenhauer est en fait inspiré d’un morceau beaucoup plus ancien, composé vers 1536 par un fameux joueur de luth allemand du nom de Hans Neusiedler. Un morceau plein de légèreté, qui fut d’ailleurs conçu pour les enfants.

Voici le thème d’origine de Carl Orff :

 

Avec son réarrangement de Gassenhauer, Hans Zimmer fait avant tout un hommage à la Balade sauvage de Terrence Malick, qui utilise le même thème musical. Ce n’est évidemment pas un hasard : le chef-d’oeuvre de Malick était l’un des films préférés de Tony Scott. Il y a d’ailleurs beaucoup de similitudes entre True Romance et Badlands, à commencer par exemple par la voix off et douce de Sissy Spacek qui ouvre le film de Malick, alors qu’on entend en fond le thème musical de Orff. Même chose dans le film de Tony Scott, dans lequel on entend la voix off d’Alabama au début, bercé par le même thème musical.

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Ci-dessous, la version de Gassenhauer telle qu’elle est entendue dans le film de Terrence Malick, réarrangée par le compositeur George Aliceson Tipton :

In Fine, si Hans Zimmer a réutilisé le morceau Gassenhauer, c’est loin d’être un cas unique. On le retrouve ainsi dans d’autres oeuvres, comme A la rencontre de Forrester, Ratcatcher de la réalisatrice Lynne Ramsay, Monster, Capitalism : a Love Story de Michael Moore…

Un amour impossible : “Cette femme n’est pas une victime, elle se relève tout le temps”

“Un amour impossible”, avec Virginie Efira et Niels Schneider, adapté du roman de Christine Angot, sort sur grand écran ce mercredi. Rencontre avec sa réalisatrice Catherine Corsini.

AlloCiné : Comment décririez vous cette héroine qui n’est pas forcément celle que l’on s’imagine d’une romance débutant fin des années 50…

Catherine Corsini, réalisatrice d’Un amour impossible : Ce qui m’a intéressé dans le roman, et ce qui m’a beaucoup plu avec le personnage de Rachel (Virginie Efira), c’est que ce n’est pas une victime. C’est une femme qui prend des coups dans la gueule mais qui se relève tout le temps, qui a beaucoup d’intelligence instinctive, qui a de la réserve, qui a beaucoup de dignité. Ce que j’ai trouvé formidable, c’est que malgré cette rencontre avec cet homme dont elle est éperdument amoureuse et qui va se révéler être un grand pervers, elle réussit à chaque fois à encaisser et à se tenir debout.

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Ce qui a été aussi assez magique, c’est la façon dont Virginie Efira a incarné ce personnage parce qu’elle n’a pas du tout essayé de tirer la couverture à elle ou de faire un numéro. Elle s’est glissée, dans le roman qu’elle connaissait vraiment bien, dont elle avait compris toutes les aspérités, dans ce personnage, en gardant cette réserve, ce côté par moment opaque.

Parce qu’on se dit, comment peut-elle faire pour résister ? C’est pour ça que cette femme est une héroïne. Ce n’est pas du Zola, ce n’est pas quelqu’un qui va se vautrer dans la douleur, ou qui va être complètement écrasé. Elle est portée par une croyance car elle sait que cet enfant est quand même un enfant de l’amour avec cet homme. Elle ne veut pas qu’on lui ôte ça. Lui va tout faire pour massacrer ce en quoi elle croit.

Il y aussi le fait qu’elle veut donner à sa fille toute la place qu’elle n’a pas réussi à avoir. C’est une espèce de transmission de ce qu’elle n’a pas pu recevoir dans la vie. Ce personnage va créer toute la dramaturgie du film, c’est à dire celui de l’amant, du père, de l’amoureux, qui est vraiment l’obstacle tout le temps et qui créé la tension dramatique. C’est en ça qu’en lisant le roman, je me suis dit qu’il y avait vraiment un scénario, une histoire à créer, avec ce personnage qui créé tout le temps de la tension. Rachel est aussi extrêmement surprenante, puis le rôle de la petite fille qui grandit, et qui va devenir aussi l’héroïne du film avec Rachel. 

Il y a aussi un discours social et politique…

Le discours social et politique, c’est le discours que tient Christine Angot : ce n’est pas qu’une histoire personnelle. C’est une histoire qui raconte la lutte des classes, qui raconte comment cet homme de là où il est ne peut pas accepter que quelqu’un qui est inférieur à lui puisse avoir son nom. Assez vite, il dit : si tu avais eu de l’argent, je t’aurai épousé, mais tu n’as pas d’argent… 

Ce qui est très beau dans le film, c’est la sensualité. Votre façon de filmer la peau, la sexualité… Ce qui est intéressant est qu’elle n’a peut être pas la sexualité qu’on s’imagine d’une femme dans les années 50-60…Etait-ce déjà présent dans le roman ou est-ce vous qui avez souhaité apporté ce regard plus moderne ?

C’est tout le travail d’adaptation, de réflexion, d’imagination par rapport au matériau que j’ai eu. En travaillant sur ce texte, ces personnages, Rachel qui reste aussi un mystère pour moi, j’ai trouvé que c’était une femme moderne. Elle a un comportement moderne pour l’époque qui assume d’avoir un enfant aux yeux de tout le monde alors que c’est une paria d’avoir un enfant sans mari. C’est quelque chose qui était très compliqué et très peu admis. Je pense qu’il y avait quelque chose qui était mystérieux et que j’ai essayé moi-même de rendre compte par la sensualité, par la sexualité, par quelque chose qui les lie d’une manière très intime.

Mais c’est aussi quelque chose auquel l’auteur, Christine Angot, n’a pas assisté. Je ne sais pas ce que sa mère a pu lui révéler. Mais en tout cas, c’est quelque chose qui reste du domaine de la projection. Le personnage de Philippe est aussi hors des sentiers battus, il n’est pas conventionnel. C’est ça qu’elle aime chez lui. Il a un côté intellectuel. L’imaginaire, c’était le grand amour, l’amour absolu. Rachel a à la fois cette candeur et cette intelligence. Elle se dit : je suis avec quelqu’un de particulier donc j’ai envie d’accéder au mystère de cet homme.

Quelle a été l’implication de Christine Angot ?

Je l’ai rencontrée. Elle avait, je crois, d’autres propositions. Elle a choisi de me faire confiance. Elle a lu le scénario une fois qu’il était terminé, et c’est tout. Par contre, je lui ai demandé le mail de sa mère. Je ne voulais pas la rencontrer parce que je ne voulais pas savoir même comment elle était. Je ne voulais pas que son image brouille mon travail avec Viriginie Efira, et que je demande à Virginie de ressembler ou ci ou ça. Je voulais communiquer avec elle par mail. Ce qu’elle a fait avec une extrême gentillesse et courtoisie pour parfois lui demander des détails par rapport à sa vie. Des choses qui étaient évoquées dans le roman mais qui manquait un tout petit peu de concret.

On a eu un échange magnifique avec cette femme d’une grande dignité. Ensuite, le plus beau cadeau est que Christine et sa mère Rachel sont venues voir le film. Elles ont été très contentes. Rachel m’a demandé: mais vous aviez pensé à d’autres actrices que Virginie ? Je lui ai dit : un petit peu, je ne sais pas vraiment. Et elle m’a dit : de toute façon, je ne vois qu’une personne pour jouer ce rôle, c’est Virginie Efira. Donc c’était un très beau compliment.

Nous avons évoqué Virginie Efira, mais le choix de Niels Schneider, comment s’est-il fait ?

Au départ, je ne pensais pas du tout à lui. J’avais pensé à d’autres acteurs qui étaient très angoissés à l’idée de faire ce rôle. J’ai plutôt eu des refus de jouer un père incestueux. Je décris les choses telles qu’elles se sont passées. Je décris son charme, sa séduction. Je ne l’excuse pas. Je montre les faits, sans les montrer. On comprend à travers la jeune fille après les retours de week-end mais on ne voit pas la chose se faire.

Qui peut avoir un peu plus de courage ou peut être de folie pour ce rôle ? Il fallait trouver quelqu’un qui ait la jeunesse du rôle car il avait 30 ans quand ils se sont rencontrés. Mais surtout quelqu’un qui n’ait pas une carrière, si je fais-ci, si je fais-ça, etc. Donc j’ai rencontré Niels. Je me suis demandé s’il n’était pas trop jeune. J’ai fait des essais avec lui et Virginie. J’ai été complètement sous le charme. J’ai trouvé qu’il avait tout compris, qu’il avait l’intelligence de pouvoir jouer ce qu’appelle Hannah Arendt “la banalité du mal”. C’est-à-dire, à travers quelqu’un de particulier, qui sûrement se la pète un petit peu, mais qui est en même temps une espèce d’intellectuel, une intelligence assez particulière (il connaît 30 langues).

Il est arrivé à jouer à la fois l’élégance du personnage, son côté sombre, son côté irascible par moment, et en même temps, cette perversion sous-jacente, ce rapport de classe, cette violence… Comme souvent, les rôles de salauds, d’ordures, de gens terrifiants sont des rôles très attractifs pour les acteurs, car malgré tout, il faut aller chercher des choses assez cruelles, assez dures. Aller gratter l’âme humaine quand on est un acteur, je pense que c’est quelque chose d’assez fascinant et d’assez intéressant. Je pense que Niels a cette curiosité. 

Un amour impossible – Niels Schneider : “Il y a une part de ce personnage qui m’échappe” 

Un amour impossible – Niels Schneider : "Il y a une part de ce personnage qui m'échappe"

 

At Least 18 Injured In Grenade Attack On Bus Stand In Jammu, Police Urge People To Keep Calm

At least 18 people were left injured after a powerful explosion ripped through a bus stand in Jammu. According to police, the explosion which took place around 12 noon on Thursday in the old city was triggered by a grenade.

ANI

“It was a grenade explosion, it has caused injuries to approximately 18 people, all the injured have been shifted to hospital,” Jammu IGP MK Sinha said, adding that the intention was to disturb communal peace and harmony.Click Here: habitat tord boontje

Les Animaux fantastiques 2, Les Chatouilles, Suspiria… Les sorties de la semaine !

Anecdotes de tournage, notes d’intention, informations cinéphiles : chaque semaine, découvrez les coulisses des sorties cinéma.

Les Animaux fantastiques : Les crimes de Grindelwald de David Yates

Avec Eddie Redmayne, Katherine Waterston, Dan Fogler…

Le saviez-vous ? Les extérieurs de Poudlard, comme certains intérieurs, ont été tournés dans l’ancestrale Lacock Abey, datant de 1229. Cette abbaye, située dans le Whiltshire en Angleterre, avait déjà été utilisée dans le même but pour les premiers films de la saga Harry Potter.

Les Chatouilles Bande-annonce VF

 

Les Chatouilles de Andréa Bescond, Eric Métayer

Avec Andréa Bescond, Karin Viard, Clovis Cornillac…

Le saviez-vous ? Les Chatouilles est l’adaptation de la pièce interprétée par Andréa Bescond, “Les Chatouilles ou la danse de la colère.” L’artiste y racontait notamment les agressions sexuelles subies quand elle était enfant.

Suspiria Bande-annonce VO

 

Suspiria de Luca Guadagnino

Avec Dakota Johnson, Tilda Swinton, Mia Goth…

Le saviez-vous ? L’une des influences majeures de Suspiria est le cinéma de Rainer Werner Fassbinder, que ce soit dans la photographie ou la direction artistique. Pas étonnant alors de retrouver dans le rôle d’une des sorcières et institutrices Ingrid Caven, ex-femme et égérie du réalisateur allemand.

Millenium : Ce qui ne me tue pas Bande-annonce VO

 

Millenium : Ce qui ne me tue pas de Fede Alvarez

Avec Claire Foy, Sverrir Gudnason, Sylvia Hoeks…

Le saviez-vous ? Avant que Claire Foy ne soit engagée pour incarner la nouvelle Lisbeth Salander, Natalie Portman, Scarlett Johansson, Felicity Jones et Alicia Vikander ont été envisagées pour reprendre le rôle déjà tenu par Noomi Rapace et Rooney Mara.

Frères de sang Bande-annonce VO

 

Frères de sang de Damiano D’Innocenzo, Fabio D’Innocenzo

Avec Andrea Carpenzano, Matteo Olivetti, Milena Mancini…

Le saviez-vous ? A l’origine, Damiano D’Innocenzo et Fabio D’Innocenzo avaient en tête l’image de deux jeunes, dans une voiture, qui parlaient de leurs vies. Les réalisateurs ont ensuite imaginé leur passé, le contexte de leur quotidien et c’est ainsi qu’ils ont trouvé le point de départ de l’histoire.

Premières solitudes Bande-annonce VF

 

Premières Solitudes de Claire Simon

Le saviez-vous ? Claire Simon s’est aperçue au fur et à mesure des entretiens que la figure du père était centrale pour ces lycéens : “Les mères souffrent, sont abandonnées, ou méchantes, et les filles endossent leur souffrance, mais le père reste incompréhensible, comme une statue fissurée qu’il faut redresser sans cesse, ou abattre définitivement”.

Carmen y Lola Bande-annonce VO

 

Carmen et Lola de Arantxa Echevarría

Avec Rosy Rodriguez, Zaira Romero, Moreno Borja…

Le saviez-vous ? Carmen et Lola est un premier film espagnol d’une cinéaste d’origine basque que le sélectionneur ‎Édouard Waintrop a décrit comme “l’un des paris sur de nouveaux talents”. Le long métrage relate une histoire d’amour entre deux femmes dans le milieu gitan où l’homosexualité est un tabou. 

Chien de garde Bande-annonce VF

 

Chien de Garde de Sophie Dupuis

Avec Jean-Simon Leduc, Théodore Pellerin, Maude Guérin…

Le saviez-vous ? Un jour, le cousin de Sophie Dupuis a raconté à sa mère qu’il était collecteur, c’est-à-dire payé pour faire peur à ceux qui avaient des dettes de drogues. Il avait alors éclaté en sanglot parce qu’il se souvenait d’un homme qu’il avait dû frapper devant ses enfants. Il s’en voulait.

Mon cher enfant Bande-annonce VO

 

Mon cher enfant de Mohamed Ben Attia

Avec Mohamed Dhrif, Mouna Mejri, Zakaria Ben Ayyed…

Le saviez-vous ? Le point de départ de Mon cher enfant trouve son origine avant le tournage de Hedi, un vent de liberté, le premier film de Mohamed Ben Attia. A ce moment, les témoignages de parents partis à la recherche de leurs enfants qui avaient rejoint Daech commençaient à se généraliser à la radio, à la télévision et dans les journaux. 

Sami, une jeunesse en Laponie Bande-annonce VO

 

Sami, une jeunesse en Laponie de Amanda Kernell

Avec Lene Cecilia Sparrok, Hanna Alström, Mia Erika Sparrok…

Le saviez-vous ? Sami, une jeunesse en Laponie ne donne pas d’indication écrite sur le contexte du film, du type « Laponie, 1930 ». C’est au spectateur de formuler des hypothèses sur cette région et la communauté qui y vit, sans doute très méconnue d’une grande partie du public européen.

8, avenue Lénine Bande-annonce VF

 

8, avenue Lénine de Valérie Mitteaux, Anna Pitoun

Le saviez-vous ? Mention spéciale au Budapest International Documentary Festival 2018 et sélectionné à DokLeipzig, au Human Film Festival de Berlin et à Sofilm Summercamp Festival, 8, avenue Lénine est le portrait d’une communauté méconnue et rejetée dans toute l’Europe, mais également celui de citoyens français engagés dans une aventure qui les a menés bien plus loin qu’ils ne l’imaginaient.


Fede Alvarez : Evil Dead, Don’t Breathe, Labyrinth… Où en sont les projets (de suites) du réalisateur de Millenium ?

Va-t-il replonger dans l’univers sanglant de “Evil Dead” ? Renouer avec l’ambiance tendue de “Don’t Breathe” ? Ou nous perdre dans le “Labyrinth” de Jim Henson ? Alors que son “Millenium” vient de sortir, Fede Alvarez fait le point sur ses projets.

Fede Alvarez est assurément un réalisateur qui a de la suite dans les idées. Alors qu’il vient de signer celle de Millenium, intitulée Ce qui ne me tue pas, le réalisateur uruguayen a profité d’une interview avec MovieWeb pour faire le point sur ses projets… qui se révèlent tous êtres des épisodes 2, puisqu’il s’agit d’Evil Dead 2, Don’t Breathe 2 et d’une suite du Labyrinth de Jim Henson. Et c’est le premier de ces longs métrages qui concentre le plus d’attentes de la part du public, comme le metteur en scène a pu le constater en personne, en posant la question sur Twitter.

“Lorsque j’ai tweeté cela, j’étais intéressé à l’idée de voir ce que les gens préfèrent”, explique Fede Alvarez. “Nous avions justement des débats, en interne, quant à ce qui intéresserait le plus le public. Et c’est malheureusement Evil Dead 2 qui a gagné. Et j’aurais sans doute préféré que ce soit Don’t Breathe 2 qui gagne, car il s’agit de l’une de mes créations. Mais Evil Dead possède une plus grosse communauté. Voilà ce qu’il s’est passé.” Est-ce pour autant que la suite de son remake impressionnant et ultra-sanglant du film de Sam Raimi sorti en 2013 sera la première à voir le jour ? Non. Et le principal intéressé avoue même ne pas savoir quel sera son degré d’implication dans chacun.

“Mais cela ne veut pas dire que nous ne les ferons pas”, précise-t-il. “Et que je les fasse ne signifie pas que je réaliserai, mais que je peux en être le producteur. Ce ne sont que des idées, pas une annonce officielle. Nous avons un scénario pour Don’t Breathe 2. C’est là la seule différence, car nous n’en avons pas pour Evil Dead 2 (…) Une fois que j’en aurais terminé avec [Millenium], nous allons commencer à réfléchir aux façons de porter l’histoire [que nous avons écrite pour Don’t Breathe 2] sur grand écran. Que je réalise ou produise. Tout dépend du temps que nous aurons. Je suis particulièrement excité par ce projet car c’est une suite très différente de ce que l’on entend lorsque l’on parle de suites. C’est une approche très différente et excitante.”

Le flou qui règne autour d’Evil Dead 2 et Don’t Breathe 2 va-t-il profiter au remake/suite du Labyrinth de Jim Henson, dont Fede Alvarez avait annoncé avoir terminé le scénario ? Là encore, les choses sont moins avancées qu’on ne pourrait le croire : “Je n’ai jamais dit que le script était terminé. Je pense qu’un scénario ne l’est jamais vraiment. Nous en avons une première version, que je trouve incroyable. Je suis certain que nous allons devoir encore écrire beaucoup, car c’est ainsi que nous travaillons avec Jay [Basu, son co-scénariste, ndlr]. Nous allons continuer à écrire jusqu’à ce que nous soyons convaincus que le script est parfait. Nous allons essayer d’arriver à ce niveau car [le film] a une vraie fanbase, dont je fais partie, donc je ne ferais rien qui soit loin de la perfection.”

“Je vais prendre du temps car ce n’est pas quelque chose que l’on précipite. Cela fait assez d’années que je me dis que personne ne devrait précipiter ce projet. Nous allons essayer et le faire bien… Nous avons eu ce que je considère être une grande idée pour continuer l’histoire et faire un bond de plusieurs années dans le temps, afin de reprendre le récit de nos jours. Nous sommes très stimulés par cette idée et avons commencé à collaborer avec les Henson, et notamment la famille de Jim Henson.” Les paris sont donc ouverts pour savoir lequel de ces films verra le jour le premier. Mais une chose est sûre : Fede Alvarez ne manque clairement pas de projets.

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Et s’il rempilait pour un nouveau “Millenium” ?

Millenium : Ce qui ne me tue pas Bande-annonce VO

Star Wars : après Game of Thrones, Ed Sheeran apparaîtra dans l’épisode IX

Comme beaucoup d’autres stars avant lui, le célèbre chanteur Ed Sheeran s’offrira bientôt un petit caméo dans la saga “Star Wars”, revêtant l’armure et le casque d’un stormtrooper dans l’épisode IX.

Alors qu’il a récemment été annoncé au casting de la comédie musicale réalisée par Danny Boyle sur les Beatles et qu’on avait pu le voir jouer les ménestrels itinérants dans la saison 7 de Game of Thrones, le célèbre chanteur Ed Sheeran devrait également s’offrir une petite incursion dans la saga Star Wars.

Selon The Irish Sun, il apparaîtra en effet dans l’épisode IX, actuellement en tournage et attendu pour le 18 décembre 2019, sous l’armure et le casque d’un stormtrooper du Premier Ordre. Alors que le tournage du film de Danny Boyle bat également son plein en ce moment, il y a fort à parier que le chanteur britannique en a profité pour passer d’un plateau à l’autre le temps de ce petit caméo. 

Il marche ainsi dans les pas de nombreuses autres personnalités, telles que Daniel Craig, Tom Hardy ou encore les princes Harry et William, qui avaient tous revêtu les fameux casques blancs pour apparaître incognito dans la saga Star Wars.

En attendant de pouvoir chercher Ed Sheeran dans l’épisode IX, aviez-vous remarqué tous les petits détails cachés dans “Les Derniers Jedi” ?

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Décès de Penny Marshall, réalisatrice de Big et Jumpin’ Jack Flash

La réalisatrice de Jumpin’ jack Flash, Big et L’Eveil est décédée le 17 décembre. Elle fut la première femme à remporter plus de 100 millions de dollars au box office.

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1. Jumpin' Jack Flash (1896)
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© Fox

Titulaire d’un diplôme de mathématiques et de psychologie de l’University of New Mexico, Penny Marshall s’installe à Hollywood et obtient plusieurs rôles dans des téléfilms et des séries télévisées des années soixante-dix comme The Danny Thomas hour et Happy days. A partir de 1976, elle joue le rôle de Laverne dans la série Laverne & Shirley dont elle réalise quelques épisodes. Elle continue sur sa lancée en mettant en scène un pilote, Working stiffs (1979), avec pour interprètes James Belushi et Michael Keaton.

Parallèlement à des petites apparitions au cinéma et à la télévision, Penny Marshall signe son premier long métrage, Jumpin’ jack flash, en 1986. Cette comédie d’espionnage permet à son actrice principale, Whoopi Goldberg, de se faire connaître dans le monde entier. Dès lors, Penny Marshall poursuit sa carrière de cinéaste en réalisant des films légers, tantôt comiques, tantôt dramatiques, avec des personnages attachants et auxquels s’aime s’identifier le grand public. Celle-ci enchaîne avec le tournage de Big, l’histoire d’un enfant propulsé dans le monde des adultes. Ce deuxième film est l’un des plus gros succès du box-office 1988 et vaut à Tom Hanks une citation à l’Oscar du meilleur acteur.

Dans un registre plus dramatique, elle dirige Robert De Niro et Robin Williams dans L’Eveil, un film s’inspirant de l’expérience du docteur Oliver Sacks, qui soigna des malades considérés comme incurables. Ce long métrage est nommé à l’Oscar du meilleur film et Robert De Niro à celui du meilleur acteur. En 1992, Penny Marshall collabore à nouveau avec Tom Hanks pour les besoins de Une équipe hors du commun, dont elle est également productrice exécutive. Cette comédie dramatique raconte l’odyssée de la première ligue féminine de base-ball dans les années quarante. Le succès du film donne naissance à une série télévisée dont Penny Marshall réalise le pilote et assure la production exécutive.

Celle-ci revient en 1994 au cinéma pour diriger Danny DeVito dans Opération Shakespeare, l’histoire d’un enseignant chargé d’instruire des nouvelles recrues dans une base militaire. Suit la romance La Femme du pasteur dans laquelle Denzel Washington et Whitney Houston se donnent la réplique. Penny Marshall attend cinq ans avant de signer la réalisation de Ecarts de conduite. Drew Barrymore y incarne Beverly Donofrio, une jeune fille qui rêve de devenir romancière mais dont les espoirs s’effondrent le jour où elle tombe enceinte.

This Man From Aligarh Has Dug Up Several Ponds Restoring Ground Water And People Are Asking For His Help

Our country is reeling under severe water crisis. If things don’t get better soon, we might run out of ground water very soon. Water scarcity is so bad that people are fleeing homes in search of water, as groundwater depletes and taps run dry. World’s sixth largest city, Chennai, is going acute water crisis. If we want to save water, we need to act fast and one such man who is doing his bit to conserve water is Rinku Sharma.

ANI/Twitter

Rinku Sharma has dug up around a dozen ponds in villages of Chandaus block in Aligarh to conserve water. “We started this about 8-9 years ago as ground water level was decreasing continuously. Now people come to us seeking help and ground water level has increased in the area”, he was quoted to as saying by news agency ANI.

Après Épouse moi mon pote, Tarek Boudali prépare une comédie policière [EXCLU]

Tarek Boudali prépare une comédie policière pour laquelle il sera entouré, comme toujours, de Philippe Lacheau, Elodie Fontan et Julien Arruti. Il s’agira du prochain projet de la bande à Fifi… en attendant une possible suite de “Nicky Larson”.

Nouveau projet en vue pour la bande à Fifi (Philippe Lacheau, Tarek Boudali, Elodie Fontan et Julien Arruti) ! Tarek Boudali nous a confié écrire actuellement son second long métrage après Epouse-moi mon pote.

Si le titre du film et le synopsis sont pour l’instant tenus secrets, on sait qu’il s’agira d’une comédie policière, trouvant son point de départ en banlieue. L’intrigue se déroulera ensuite principalement à Paris, et une petite partie à Las Vegas.

Tarek Boudali tiendra le rôle principal, celui d’un flic “bras cassé”, et s’entourera de Philippe Lacheau, Elodie Fontan et Julien Arruti, également dans des rôles de policiers. Tarek Boudali cosigne le scénario avec Pierre Dudan (également coscénariste de Nicky Larson et Epouse-moi mon pote) et Grégory Boutboul (coscénariste d’Amis publics). Le tournage devrait commencer à la fin de l’été 2019.

Cette comédie policière sera produite par Axel Films, société produisant Nicky Larson et les films de la bande à Lacheau depuis ses débuts. Pour mémoire, Epouse-moi mon pote avait été le 5ème plus gros succès français de 2017, avec près de 2,5 millions d’entrées enregistrées. 

Et une suite de Nicky Larson… si le public est au rendez-vous du premier film

En attendant, Tarek Boudali sera à l’affiche, dès le 6 février prochain, de Nicky Larson et le parfum de Cupidon. Est-il déjà question d’une suite pour Nicky Larson ? La réponse est oui, mais… Si l’équipe a déjà plein d’idées et d’envies, cette suite verra le jour seulement si le succès est au rendez-vous pour le premier opus.

On a beaucoup d’idées car l’oeuvre originale est très riche, nous a confié Philippe Lacheau en interview au Festival de la comédie de l’Alpe d’Huez. On a plein de choses qu’on aimerait faire. Mais on ne veut pas non plus s’y mettre trop sérieusement parce que c’est le public qui va décider.

Et d’ajouter : “Car ce film est un vrai pari. Il n’y a pas eu beaucoup d’adaptations de manga en France, c’est une comédie avec pas mal d’action, de la romance… Un truc un peu hybride. Donc si les gens accrochent et se disent ‘ah c’est cool, on aimerait en voir d’autres’, nous ce sera avec grand plaisir qu’on le fera. Donc c’est vraiment au public de décider.

On a pris tellement de plaisir à faire le film, et moi ce rôle de Laura, qui était un cadeau, ajoute Elodie Fontan. J’ai pris un plaisir fou, et je ne me suis jamais autant éclatée avec un personnage que celui-là. Si on a la chance de faire un deux, je ne regarde même pas le scénario, je signe direct. On rêverait de faire une suite, vraiment. Mais effectivement, ça dépendra du public.”

Notre rencontre quiz comédie avec l’équipe de Nicky Larson à l’Alpe d’Huez :

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La chanson “Je danse le mia” d’IAM va devenir un film avec Rayane Bensetti et Jul

Un tube des années 90 s’apprête à passer des platines aux bobines ! Un film inspiré de la chanson d’IAM “Je danse le mia” est en projet avec Rayane Bensetti dans le rôle principal.

Tube incontournable des années 90, accompagné d’un clip fabuleux réalisé par Michel Gondry, Je danse le mia va bientôt devenir un film ! Comme le rapportent nos confrères du Film Français, la jeune société de production Marvelous (fondée par Vivien Aslanian et Romain le Grand, tous deux venus de Pathé Films) est en développement avancé d’un film inspiré par la chanson culte d’IAM.

Ces titres de films qui vous mettent automatiquement une chanson dans la tête !

L’intrigue suivra un jeune garçon vivant dans les années 90 à Marseille, se retrouvant téléporté dans le présent auprès du rappeur Jul. Le scénario est coécrit par Michaël Youn et Matt Alexander (Le Boulet, Pension complète…), qui réalisera le film.

Rayane Bensetti en tiendra le rôle principal. Il devrait croiser d’autres rappeurs d’aujourd’hui, qui, comme Jul, feraient ainsi leurs premiers pas au cinéma. Akhenaton, chanteur d’IAM, accompagnera le projet. La date d’entrée en tournage n’est pas encore connue. 

Le clip tout en travelling avant de Michel Gondry :

 

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