Ce soir à la télé : Thor : Ragnarok en 10 chiffres !

Découvrez 10 chiffres marquants liés à “Thor : Ragnarok”, troisième blockbuster centré sur les aventures solo du charismatique super-héros Marvel, qui est diffusé ce soir sur Canal+.

– La bande-annonce de Thor : Ragnarok a été visionnée 136 millions de fois en 24 heures.

– 2 500 costumes originaux ont été créés pour les besoins du film.

– Le tournage a duré en tout 85 jours.

– 400 000 spectateurs : telle est la capacité d’accueil de l’arène dans laquelle Thor affronte Hulk.

– 10 000 mètres carrés : la superficie des décors en studio où le long métrage a été tourné.

– Thor : Ragnarok est le 17ème film de l’univers cinématographique Marvel.

– 150 perruques ont été conçues pour la scène du festival sakaarien.

– La chef costumière Mayes C. Rubeo a travaillé avec 60 artisans.

– Le personnage de Hulk dans Thor : Ragnarok mesure précisément 2,60 mètres !

– 4 mois : la durée de la construction du Grand-Place et de la ville de Sakaar (461 ouvriers ont pris part au chantier).

Voir les secrets de tournage de “Thor : Ragnarok”

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5 films d’animation que vous n’avez pas pu oublier si vous avez grandi dans les années 90

Même en-dehors des studios Disney, Pixar ou Dreamworks, les années 90 étaient un véritable âge d’or pour l’animation, regorgeant de joyaux aux parfums nostalgiques. Si vous avez grandi à cette époque, vous vous souvenez sûrement des 5 films suivants.

1. Space Jam (1996)
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Après des décennies de cartoons télévisés, les Looney Tunes passent enfin le cap du grand écran. Même si on avait déjà pu les entr’apercevoir dans Qui veut la peau de Roger Rabbit 8 ans auparavant, Space Jam représente la première véritable opportunité pour Bugs Bunny, Daffy Duck et leurs compères dégénérés d’investir les salles de cinéma. Et pour l’occasion, quoi de mieux qu’un petit match de basket-ball extraterrestre avec… Michael Jordan ? Le talent du grand Mike associé à la désopilante énergie des mascottes Warner : le cocktail aurait pu sembler hasardeux, mais le résultat est aussi détonnant qu’un missile de l’ACME.
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© Warner Bros.

Space Jam (1996)

Après des décennies de cartoons télévisés, les Looney Tunes passent enfin le cap du grand écran. Même si on avait déjà pu les entr’apercevoir dans Qui veut la peau de Roger Rabbit 8 ans auparavant, Space Jam représente la première véritable opportunité pour Bugs Bunny, Daffy Duck et leurs compères dégénérés d’investir les salles de cinéma. Et pour l’occasion, quoi de mieux qu’un petit match de basket-ball extraterrestre avec… Michael Jordan ? Le talent du grand Mike associé à la désopilante énergie des mascottes Warner : le cocktail aurait pu sembler hasardeux, mais le résultat est aussi détonnant qu’un missile de l’ACME. Porté par un humour sans aucun temps mort, assombri par un vrai méchant comme seules les années 90 étaient capables de nous en offrir, Space Jam est ce qu’on pourrait appeler un pur “kif” ! Signé Joe Pytka, notamment connu pour avoir réalisé plusieurs clips de Michael Jackson, le film reste aussi dans les mémoires pour son incroyable bande originale : rythmés par les chansons de Seal, de R. Kelly et de Technotronic, les paniers de Jordan et les gags de Bunny font éternellement partie de nos années 90.

Le Cygne et la Princesse (1995)

Se lancer dans l’adaptation d’un conte de fées au début des années 90, lorsque Disney régnait en maître incontesté sur le grand royaume de l’animation, c’était un peu comme essayer de piquer un ballon à Zidane en Coupe du Monde. Pourtant, Richard Rich, lui-même ancien des studios enchantés, réalisateur de Rox et Rouky et de Taram dans les années 80, a tenté le coup. Et on l’en remercie. Même si à sa sortie, Le Cygne et la Princesse n’a pas pu faire grand-chose contre la suprématie du Roi Lion, dévoilé à peu près à la même période, il n’en a pas moins laissé une trace indélébile dans les souvenirs émus de certains nostalgiques. Emmené par une batterie de chansons qui n’avaient pas grand-chose à envier à celles des classiques musicaux de l’époque, bénéficiant d’une animation première classe, alliant humour, romance et aventure avec un savoir-faire irréprochable, le long métrage de Rich avait surtout le mérite de reprendre un conte qui n’avait pas encore été revisité par Disney : Le lac des cygnes de Tchaïkovski. On peut d’ailleurs imaginer que la firme aux grandes oreilles n’en aurait probablement fait qu’une bouchée si Le Cygne et la princesse n’était pas déjà passé par là.

Les Quatre Dinosaures et le Cirque magique (1994)

Entre 1993 et 1994, Steven Spielberg semble avoir mis un point d’honneur à ce que toute la famille puisse avoir sa dose de monstres préhistoriques : pour les grands, il y avait Jurassic Park, et pour les moins grands, il y avait donc Les Quatre Dinosaures. Produite par Amblin Entertainment et Universal Pictures, cette aventure grand format permettait donc à ceux qui n’avaient pas encore l’âge de voir un avocat se faire croquer par un T-Rex de côtoyer de gentils mastodontes amis des enfants, et même prêts à participer à la grande parade de New York. Ceci dit, Les Quatre Dinosaures, dont l’animation n’allait pas jusqu’à rivaliser avec le niveau de la concurrence, réservait aussi à son jeune public quelques surprises moins joyeuses. Le Cirque magique, dirigé par le maléfique Professeur Mauvais-Oeil et capable de transformer un adorable tyrannosaure en monstre sanguinaire, représentait le versant cauchemardesque de ce joli rêve pour enfants. Un autre exemple du “juste milieu” qui faisait le charme des années 90 : sortis des trains fantômes à la Taram qui terrorisaient les petits dans les années 80, les animateurs de l’époque n’avaient pas encore édulcoré leurs films jusqu’à les priver de tout élément inquiétant, comme cela a pu être le cas par la suite. En effet, si l’on se souvient si bien des Quatre Dinosaures encore aujourd’hui, c’est bien parce qu’il nous rappelle quelques rires, quelques larmes, mais aussi quelques frissons.

Poucelina (1993)

A l’époque, s’il y avait bien un artiste capable de rivaliser avec les équipes des studios Disney en matière de magie et d’émotion, c’était Don Bluth. Un tout petit peu moins marquant dans les années 90 qu’il ne l’avait été au cours de la décennie précédente (avec des chefs-d’oeuvres tels que Fievel et le Nouveau Monde ou encore Le Petit Dinosaure), l’ex-animateur du royaume enchanté continuait tout de même de rappeler à ses anciens patrons qu’ils n’avaient pas le monopole du rêve en enchaînant les pépites. Entre Le Lutin Magique, Les Aventures de Youbi le pingouin et bien sûr Anastasia, difficile de n’en retenir qu’un. Mais après réflexion, ne serait-ce que pour le rappeler aux uns et le faire découvrir aux autres, Poucelina aura certainement notre préférence. Cette jolie fable musicale adaptée d’un conte de fées d’Andersen est un voyage que l’on n’oublie pas. Injustement boudé par le public à sa sortie, il réunit une animation de grande qualité (ce qui n’a rien de surprenant chez Don Bluth) et une aventure sensible et tragique qui, là encore, n’hésite jamais à se montrer plus ténébreuse.

Balto (1995)

Chose assez rare en animation, surtout à cette époque-là où fleurissaient contes de fées et aventures inédites, Balto raconte l’histoire incroyable mais vraie d’un attelage de chiens de traîneaux envoyés chercher du sérum pour des enfants malades à travers l’Alaska. Introduit en prises de vues réelles par la promenade d’une vieille dame à Central Park, le film devient animé lorsque s’éveillent ses souvenirs de petite fille, face à la véritable statue du chien-loup auquel elle doit la vie. Tout en revisitant librement un admirable fait historique survenu en 1916, le long métrage de Simon Wells associe savamment tous les ingrédients qui permettent généralement à un film pour enfants de ne jamais plus quitter la mémoire de ses spectateurs. La course de traineaux introductive, le méchant Steele, l’hilarant Oncle Boris et ses compères ours polaires, le retour triomphant contre vents et tempêtes… Même 22 ans plus tard, on n’a pas oublié l’histoire de Balto, dont le seul tort aura été de sortir en même temps qu’un certain Toy Story.

(Re)découvrez la bande-annonce de “Balto”…

Balto chien-loup, héros des neiges Bande-annonce VO

 

Des Tuche à Gaston Lagaffe, gros plan sur Théo Fernandez qui fête ses 20 ans

Après avoir cartonné dans Les Tuche 3, Théo Fernandez a récemment enfilé le célèbre pull-over de Gaston Lagaffe. Zoom sur la carrière de l’acteur qui vient tout juste de fêter ses 20 ans.

1. Théo Fernandez
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© Bestimage

Théo Fernandez commence sa carrière d’acteur en 2009, à l’âge de 11 ans, aux côtés de Christa Théret dans le film d’épouvante Le Village des ombres. Mais c’est deux ans après que le comédien se fait remarquer aux yeux du grand public avec la comédie populaire d’Olivier Baroux, Les Tuche, dans le rôle de Donald alias Coin-Coin, fils intello de Jean-Paul Rouve et Isabelle Nanty.

Les Tuche Bande-annonce VF

 

Également en 2011, le jeune artiste est à l’affiche de La Guerre des Boutons, quatrième adaptation du roman de Louis Pergaud dans laquelle il inteprète le personnage de Papier maché. En plus du cinéma, Theo Fernandez enchaîne les rôles à la télévision : Changement de cap, Vice Versa ou encore Ma Vie au grand air. 

Trois souvenirs de ma jeunesse Bande-annonce VF

 

Habitué aux comédies, l’acteur joue dans son deuxième film d’horreur, Aux yeux des vivants, puis dans le drame Trois souvenirs de ma jeunesse. Mais Théo Fernandez revient vite à son domaine de prédilection en reprenant son rôle de Donald dans Les Tuche 2 – Le rêve américain.

Gaston Lagaffe : comment prononce-t-on le fameux "M'enfin" ?

 

Le jeune homme enfile de nouveau le costume de Coin-Coin dans Les Tuche 3 en 2018 avant de rêvetir les habits de Gaston Lagaffe dans l’adaptation ciné de la célèbre BD. Le comédien est parvenu à remonter la pente après avoir traversé une longue phase de doute, se questionnant même sur le fait d’arrêter sa carrière cinématographique. Fait insolite : Théo a été engagé pour le rôle de Gaston après avoir fait une sieste en allant passer un casting pour un film de Gérard Jugnot. PEF passait par là et a remarqué le jeune homme endormi. La suite, on la connaît, Théo a été choisi pour revêtir le célèbre pull vert du personnage culte de BD.

Gaston Lagaffe Bande-annonce VF

 

Sherlock Holmes : où en est le 3ème film avec Robert Downey Jr. et Jude Law ?

Alors que les deux premiers épisodes ont été diffusés sur TFX ce mardi 18 septembre, l’heure est venue de faire le point sur “Sherlock Holmes 3”, toujours avec Robert Downey Jr. et Jude Law.

Deux petits tours et puis s’en vont ? On a longtemps cru que les aventures de Robert Downey Jr. et Jude Law en Sherlock Holmes et John Watson allaient rester sans suite. Depuis la sortie du second opus, Jeu d’ombres, en décembre 2011 aux États-Unis et janvier 2012 en France. Alors que les recettes mondiales sont légèrement supérieures à celles du film précédent (545 millions de dollars contre 524), le troisième volet est très vite annoncé. Et puis… plus rien pendant plusieurs années. Très occupé par son contrat chez Marvel, où il incarne Tony Stark/Iron Man, l’acteur principal affirme cependant que le projet est toujours d’actualité mais qu’il doit passer par diverses phases de réécriture.

Pendant ce temps, Guy Ritchie part mettre un autre duo en scène, avec l’adaptation ciné de la série Agents très spéciaux, puis revisite les légendes du Roi Arthur (avec Jude Law en méchant) et d’Aladdin. Et c’est en 2016 que les choses bougent enfin. Avec un faux départ puisqu’une rumeur fait état, le 22 avril, d’un tournage avant la fin de l’année en question, ce qui n’arrivera pas. Mais quelques mois plus tard, le 27 octobre très exactement, le producteur Joel Silver et la Warner réunissent un pool de scénaristes pour plancher sur le retour du héros créé par Arthur Conan Doyle au cinéma. Parmi eux, Nicole Perlman (Les Gardiens de la Galaxie, Vice Versa) ou Gary Whitta (Rogue One).

UN SHERLOCK HOLMES POUR NOËL ?

Le projet semble alors revenu sur les rails, et Joel Silver se prend même à songer à l’épisode 4 : “Tant qu’il y a un personnage, nous pouvons travailler dessus”, explique-t-il à Collider. “Nous pouvons continuer tant que les gens [impliqués dessus] le veulent. La balle est dans le camp [des acteurs] (…) S’ils veulent le faire, il faut tenter de concrétiser cela.” Des propos un peu présomptueux alors que Sherlock Holmes 3 reste au point mort pendant quelques mois supplémentaires, jusqu’au 7 mai 2018 et cette annonce : le long métrage sortira le 25 décembre 2020 dans les salles américaines. Un cadeau de Noël très très en avance pour les fans, qui doivent depuis prendre leur mal en patience. Une fois de plus.

À ceci près que les principaux intéressés confirment que le film est bel et bien d’actualité. Jude Law donne même quelques indices sur le scénario, signé Chris Brancato (Narcos) : “Nous espérons faire avancer l’histoire”, précise l’acteur à Entertainment Weekly en août 2018. “Comme toujours, la co-dépendance [entre Holmes et Watson] est l’essence de l’histoire. Comme nous ne les avons pas vus pendant plusieurs années, nous allons examiner et jouer avec le fait qu’ils ne se sont pas vus pendant longtemps non plus.” Et dans le même temps, Robert Downey Jr. précise qu’il travaille de nouveau ses mimiques de Sherlock sur Twitter.

Cette fois-ci serait-elle la bonne ? Tout porte à croire que oui même si les spectateurs ont appris à être prudents à ce sujet. Surtout que la présence de Guy Ritchie derrière la caméra n’est pas encore confirmée. Mais ce dernier a encore le temps de se libérer, puisqu’une sortie fin 2020 laisse supposer un début de tournage à la mi-2019 au plus tôt. Soit juste après la sortie d’Avengers 4. Aurons-nous plus d’informations officielles à ce moment, lorsque nous saurons si Tony Stark survit au combat contre Thanos ? Et que racontera ce troisième opus de la saga, au-delà des retrouvailles entre Watson et Sherlock, qui avait simulé sa mort à la fin de Jeu d’ombres ? Croisons les doigts pour avoir des réponses dans les prochains mois. Et pouvoir découvrir le film un jour.

Ce qui vous laisse le temps de trouver d’autres détails cachés que ceux-ci :

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Purvanchal VC’s Killer Advice To Students, Asks Them To ‘Kill’ If Someone Argues With Them

While the death of another police in Uttar Pradesh has triggered massive debate over the law and order situation in the state, a controversial statement from the Vice Chancellor of Jaunpur University has initiated another debate that law and order isn’t the only thing which is not right in the state.

In a video that has gone viral on social media avenues, the VC Veer Bahadur Singh Purvaanchal University’s vice-chancellor Raja Ram Yadav is seen telling the students not to hesitate in murdering someone who argues with them.

Despite Imran Khan’s Promises, Sikh Politician Says He’s Thrashed And Threatened In Pakistan

The first Sikh candidate from Pakistan’s Sikh community to contest an election for a general seat alleged that he was slapped and threatened by unknown persons. Radesh Singh Tony said that he was slapped twice by unknown persons.

He took to Twitter to explain why he wasn’t tweeting over the past few days:

“Kuch 15 din pehle do jawanon ke haathon sanjeedha qism ki dhamki aur do thappad raseed hone ke baad mai ne tweet karna rok di thi [Around 15 days ago, two young men threatened and slapped me twice due to which I had stopped tweeting],” he tweeted.Click Here: Cheap Golf Golf Clubs

Pierre Deladonchamps, le corps décomplexé du cinéma français

Alors qu’il vient de fêter ses 40 ans, et qu’il est à l’affiche du “Vent tourne”, retour sur la jeune carrière cinématographique de Pierre Deladonchamps, comédien qui en seulement quatre ans, a fait connaître son visage (et son corps) aux spectateurs

1. "Les Chatouilles"
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© Stéphanie Branchu – Les Films du Kiosque

L’acteur français Pierre Deladonchamps a soufflé ses 40 bougies début juin ! L’occasion pour nous de revenir sur un parcours atypique du cinéma français, et le rapport au corps développé dans la (trop) récente carrière du comédien. Il est à l’affiche ce mercredi, avec Mélanie Thierry, de Le Vent tourne, de Bettina Oberli.

La révélation du lac

Originaire de Nancy, Deladonchamps débute après avoir terminé le cours Florent. Il tourne alors dans des épisodes de séries télé, fait une apparition au cinéma (Skate or Die) et dans deux téléfilms. Cependant, il peine à percer. Malgré le lancement de sa carrière en 2001, Pierre Deladonchamps s’est fait connaître dans L’Inconnu du lac en 2013 lorsque le film fut présenté dans la section Un Certain Regard du Festival de Cannes. Un lac et la forêt qui l’entoure offrent un lieu idéal pour le naturisme et des amours entre hommes loin du regard des curieux.

Dans ce long métrage, on découvre aussi bien le comédien que son corps, puisque le rôle exige de passer une grande partie du film nu. Ayant toute confiance dans le metteur en scène Alain Guiraudie, il accepte en sachant que les scènes d’amour seront réalisées par des doublures : “Les scènes d’étreintes et de simulation sexuelle, nous les avions répétées en amont, parfois même chorégraphiées, raconte-t-il à Grand écart. “Nous avions d’une part la contrainte de l’axe de la caméra, et puis aussi le souhait d’une certaine fluidité, sans pour autant en faire des scènes parfaites. Dans la vie quand on fait l’amour, on est parfois un peu gauche, on hésite, on est mal installé, etc. On a voulu garder cette authenticité”. Sa prestation lui vaut à 36 ans le César du meilleur espoir masculin 2014.

Corps à coeur chez Téchiné

Ce qui convainc les cinéastes sont la finesse du visage du comédien et son regard tantôt inquiet tantôt enfantin. Il est ainsi appelé par Philippe Lioret pour jouer un homme à la recherche de son père dans Le Fils de Jean, qui sera suivi par une collaboration avec André Téchiné pour jouer un déserteur qui pour ne pas retourner au front de la Première guerre mondiale se travestit et finit par découvrir sa bisexualité (Nos Années folles).

Dans ce dernier film, Deladonchamps se plonge avec plaisir dans ce rôle qui se débarrasse de sa virilité d’abord pour sa survie, ensuite par plaisir. Le comédien avait d’ailleurs adorer changer d’apparence, il témoignait à notre micro avoir apprécié d‘”expérimenter sur mon visage et mon corps des trucs en terme de maquillage, de tenues, de faux seins, de hanches… La seule chose qui ne me plaisait pas du tout, c’était de m’épiler tout le corps”.

Et à ceux qui penseraient sa carrière enfermée dans les rôles de personnages gays, il répond : “Je ne sais pas pourquoi on me propose ces rôles, mais je n’y réfléchis pas trop. Je n’ai pas de stratégie, je fais les films et les rôles qu’il me paraît important de faire. Et tant pis pour le calendrier et les thématiques proches, c’est le hasard d’une carrière”.

Pour le moment plutôt spécialisé dans le drame, au fond de lui, Deladonchamps a l’envie de faire rire. Son rêve est de monter seul sur scène ou d’écrire une comédie. Les sketchs qu’il a coécrits avec Zabou Breitman pour les César 2015 et 2016 témoignent de ses possibilités en la matière.

Des projets alléchants

Le comédien était présent au 71ème Festival de Cannes dans trois nouveaux films. Il était le rôle principal de Plaire, aimer et courir vite de Christophe Honoré (actuellement en salles) présenté en Compétition et des Chatouilles sélectionné à Un Certain Regard. Le premier raconte un amour homosexuel estival dans lequel Deladonchamps joue encore une fois avec sa nudité, et le second un témoignage sur la pédophilie dans lequel il est glaçant et joue de son charisme naturel. Encore une fois, Deladonchamps s’amuse avec son corps en se faisant notamment vieillir pour les besoins du film, ce qu’il avait déjà tenté dans Nos Années folles.

C’est au micro du Progrès que Deladonchamps se confie le plus à propos de son jeu corporel, notamment sur Plaire, aimer et courir vite : “Mon corps fait partie de mon outil, comme ma voix, mon visage, mes expressions, ma sensibilité ou le côté dur que je peux avoir. Mon corps est là, il est comme ça, il ne changera pas. Je ne le cultive pas, il fait ce que je lui demande. J’essaie d’incarner les choses, de ne pas être seulement cérébral. On ne croit jamais autant à un personnage que quand tout le corps parle pour lui. Le jeu non verbal a une grande importance pour moi”.

Outre son jeu d’acteur misant sur le physique, Deladonchamps vient également de passer à la réalisation pour le court métrage Âmes soeurs présentant la vengeance d’une amoureuse contrariée. Au casting, on retrouve la jeune Adèle Wismes, déjà au casting de Plaire, aimer et courir vite. En ce mois de septembre, il est à l’affiche de deux films : la comédie Photo de famille avec Vanessa Paradis, Jean-Pierre Bacri et Camille Cottin, et, ce mercredi, Le Vent tourne, drame rural de Bettina Oberli, avec Mélanie Thierry.

Rendez-vous en salles pour voir “Le Vent tourne” :

Le vent tourne Bande-annonce VF

 

 

Ce soir à la télé : on mate “A la poursuite de Ricky Baker” et “Des hommes d’honneur”

Vous ne savez pas quoi regarder ce soir ? La Rédaction d’AlloCiné vous indique les films et séries à voir à la télé. Au programme : un thriller judiciaire avec Tom Cruise, la relation entre un garçon et son père adoptif et Bruce Willis dans la jungle

« Permis de mater »

Des hommes d’honneur de Rob Reiner avec Tom Cruise, Jack Nicholson (TCM Cinéma, 23h20) : “Les années 1990 nous ont abreuvés de thrillers judiciaires de facture assez classique mais aux plaidoiries toujours riches en rebondissements. « Des hommes d’honneur » est à ranger dans cette catégorie. Son casting trois étoiles au sein duquel se distinguent plus particulièrement Tom Cruise et Jack Nicholson finit de convaincre l’assistance.” Guillaume Martin

À la poursuite de Ricky Baker Bande-annonce VO

A la poursuite de Ricky Baker de Taika Waititi avec Julian Dennison, Sam Neill (Canal + Cinéma, 20h50) : “Le touche-à-tout Taika Waititi nous propose avec A la poursuite de Ricky Baker un joli conte sur la relation entre un garçon et son père adoptif. Après avoir exploré la parodie fantastique avec Vampires en toute intimité et alors que Disney lui file les commandes de Thor : Ragnarok, le réalisateur néo-zélandais sort dans la discretion la plus totale – tellement qu’il n’est pas sorti en France – cette dramédie qui lui permet de dévoiler une facette bien plus tendre de son cinéma. On se laisse volontiers emporter dans les paysages feuillus du bush par ce duo improbable formé par la jeune révélation de Deadpool 2, Julian Dennison, et le bougon mais toujours aussi attachant Sam Neill.” Caroline Langlois

« Permis de zapper »

Les Larmes du soleil Bande-annonce VO

Les Larmes du soleil d’Antoine Fuqua avec Bruce Willis, Monica Bellucci (RTL9, 20h40) : “L’intention d’Antoine Fuqua était certes louable : dénoncer les horreurs de la guerre et de la purification ethnique. Mais en plantant le décor de son film dans un pays d’Afrique en plein chaos, et ce à grands renforts d’images chocs et de propos bien pensants, le réalisateur américain est tombé dans les pièges du manichéisme et de la moralisation à l’occidentale. Restent quelques spectaculaires scènes de guérilla dans la jungle, un rythme soutenu et la performance excessivement martiale de Bruce Willis pour rendre l’ensemble regardable.” Guillaume Martin

« Permis de parler »

Et sinon, parmi tous les films qui passent ce soir, quel est votre favori ?

Pour retrouver l’ensemble des programmes, accédez directement à la grille en cliquant ici.

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Meet 17-Year-Old Samhitha Kasi, Telangana’s Youngest Engineer To Crack CAT With 95.95 Percentile

17-year-old Samhitha Kasi Bhatta cracked the highly competitive Common Admission Test (CAT) this year with 95.95 percentile in her very first attempt at a time when candidates much older need multiple attempts to clear the test.

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Speaking with ANI, Samhitha said that her scores will help to get into one of the IIMs (Indian Institute of Management) in the country. “I am hoping to do MBA in Finance from a reputed B-school,” Samhitha said.

ANI

Invited For Picnic, Two Minor Ranchi Girls Held Captive For A Week And Raped By Boyfriends

In a gruesome crime, two minor girls from Ranchi, aged 13 and 16, were allegedly raped by their boyfriends who had invited them for the picnic. The missing complaint was lodged on January 2 in Jagannathpur police station by family members of the 13-year-old girl and the family alleged that the 16-year-old friend of her had kidnapped her for trafficking.

But the girls returned and narrated a different story to the families and the police. Anup Karmakar, the in-charge of the Jagannathpur police station, said that both had the statement to the police saying they had left their houses to meet their boyfriends who asked to come for a picnic on January 2.

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